Chap II – Formation…
Assez dormi, fainéante…
Maître Pierre écarte les cuisses, doigte le sexe, lorsqu’il le juge suffisamment humidifié, il pénètre Aline…
Aline sent son excitation monter, Maître Pierre va la faire jouir, il la fait jouir, elle hurle son plaisir, elle pleure d’humiliation et de ressentiment contre son tempérament, elle est vraiment une grosse pute de naissance, même violée, elle joui… cette constatation la désespère…
Maître Pierre est sous la douche avec elle, auparavant il a enlevé les compresses, qui protégeaient les marques, il la savonne doucement, nettoie son sexe, son cul, ses anneaux, la rince soigneusement, lui tend une brosse à dent avec du dentifrice, la laisse se laver les dents et l’essuie délicatement…
Il passe de la vaseline sur ses piercings, lui explique comment les nettoyer et ainsi éviter l’infection.
Maitre Pierre, la prend dans ses bras, l’embrasse, elle ouvre sa bouche et rend passionnément les baisers, l’anneau de son nez toutefois la gêne, son tortionnaire lui caresse doucement les reins et la poitrine, elle ronronne, se laisse faire, elle apprécie…
Une laisse a été fixée à l’anneau de son nez, c’est assez douloureux, elle se contrôle, elle enfile des mules à talons à sa taille et suit son Maître.
Dans le couloir, il la coince contre un mur, l’embrasse à nouveau, elle rend les baisers, il doigte le sexe de l’esclave et sans surprise le trouve humide….
Tu dormiras avec moi ce soir…
Maître Pierre ouvre une porte, une pièce est occupée par une dizaine de femmes, c’est le réfectoire, il lui dit de s’asseoir à une table où sont déjà assises trois femmes, Aline remarque tout de suite que physiquement elle lui ressemblent, elles arborent elles aussi des anneaux, dont celui dans le nez, les corps sont zébrés de marques…
Les pony, voilà la quatrième Aline, comme à la belote… faites-lui bon accueil…
Aline fait connaissance avec ses trois compagnes d’infortune Agnès, Marine, Noémie, elle partage le maigre repas, Noémie, la plus ancienne est ici depuis quatre jours, ses trois compagnes sont aussi au régime…
Maître Pierre a fini de positionner un bâillon ouvert sur la bouche de l’esclave, ce n’est pas que j’ai peur que tu me mordes, mais c’est pour t’habituer à avoir ta gorge occupée…
Aline hoquète, bave, s’étouffe, impavide Maître Pierre guide la pénétration en lui tenant la tête, l’esclave agenouillée garde ses mains dans le dos, comme elle en a reçu l’ordre.
Une dizaine de minutes plus tard, Aline entend son Maître grogner, un flot de sperme lui envahit la bouche… elle avale…
Des coups discrets sont frappés à la porte de la chambre, Maître Pierre va ouvrir… Oui garde ?
Monsieur c’est l’heure de l’entraînement…
Exact… disposez de l’esclave garde.
Toujours nue, tenue en laisse par l’anneau de son nez Aline suit le garde, ils rentrent dans une grande pièce, Aline remarque que ses trois compagnes d’infortune sont déjà attachées bras et jambes écartés entre des piliers, le garde l’attache de même…
Eh bien Monsieur Rochet ? Demande une voix sortie d’un haut-parleur…
Avec mes collègues Monsieur, nous sommes tombés d’accord, en l’honneur de notre nouvelle élève sur le chiffre 42, 95 tour de poitrine, 9 plus 5, 14, elle a trois compagnes… 42 pile et face, bien sûr…
Excellente démonstration Monsieur Rochet un beau calcul, procédez que nous nous délections du visionnage…vous ajouterez 20 coups sur les fesses de notre nouvelle esclave, son cadeau de bienvenue !
Trois hommes entrent dans la pièce, ils bâillonnent les pony, M. Rochet bâillonne Aline.
Tous les soirs, les pony avant d’aller dormir avec un Maître ou un Garde sont fouettées pour être entraînées à la douleur, tu va donc subir cet entraînement…
Aline a le dos en feu, les fesses en feu, M. Rochet lui cingle maintenant la poitrine et le ventre, les coups ne sont pas appuyés, mais ils font mal…
L’entraînement est terminé, les quatre pony pendent pantelantes maintenues par leurs bras attachés, les quatre esclaves gémissent, ainsi qu’ils doivent le faire obligatoirement après chaque entraînement, les gardes leur violent l’anus, les quatre esclaves gémissent, sodomisées sans pitié…
Les quatre esclaves sont libérées de leurs liens, Aline doit résister à la tentation de se frotter les fesses, mais elles ont reçu l’ordre de ne pas le faire, Aline suit ses compagnes d’infortune prend une nouvelle douche, se sèche et à la suite des trois esclaves pony parcours des couloirs, elles entrent dans une pièce où se trouvent sept femmes à moitié nues, regardant la télévision ou buvant du café ou de la tisane.
Un accent du sud, alors les nistonnes, qu’est-ce que vous voulez café ? Thé ? Tisane ?, apparaît une femme assez forte, une blouse entrouverte laisse voir des mamelles imposantes, Aline surprise reconnaît la femme qui s’est fait arracher des dents… elle la regarde bouche-bée…
Eh oui, c’était moi, nine, je l’ai regretté crois-moi, tu t’appelles ?
Aline, Madame !
Madame, moi c’est Claudie, l’ancienne pony, la nouvelle cuisinière depuis un an, enfin je bouffe… remarque bien, que samedi et dimanche, je me suis fais 4 clients, il y a des amateurs pour les grosses, qu’est-ce que vous en dites les planches à pain ?
Lâche-nous Claudie est la réponse des interpellées qui éclatent de rire…
Elles font quoi, elles ?
Ce sont des putes, certaines sont mariées, leurs maris leurs imposent des stages de prostitution, comme la brune et la blonde, à gauche, elle sont mariées à des gus blindés de tune, baraque avec larbin et tout, et ici, elles sucent de la bite et se font démonter la moule et le cul…, le pire c’est que leurs bonhommes payent pour les voir se sauter… en plus de raquer pour les faire sauter…
Tu vois la blonde, elle est mariée avec un garde, elle ira dormir cette nuit avec lui chez elle, et demain matin elle reviendra ici…
Elles ont été enlevées aussi et on est où ?
Tu vois Nine, certaines comme vous, je l’ai été aussi, ont été enlevées, dressées, se sont rendues compte qu’elles aimaient ça, en plus ça paye, moi tu vois je possède 4 apparts chez moi à Toulon, une villa à Cassis, plus deux locaux commerciaux dans une marina…, mais je me plais ici…
Les femmes, les « putes » sont envoyées ici, soit par leur mari ou compagnon, soit viennent ici se faire sauter volontairement, personne ne les force.
Sinon, nous sommes dans une chasse privée en Sologne, 400 hectares, ça appartient à Pierre, la clientèle, du haut de gamme qui raque un maximum…
Agnès, Marine, Noémie, discutent avec Aline, papotent, boivent qui du café, qui de la tisane…
Claudie revient avec un cd, les nistonnes, c’est ça pony…
Aline et ses compagnes regardent attentivement le film, elle savent maintenant de quoi leur avenir va être fait…
Une des filles a mis un cd dans une chaîne, les filles dansent entre elles, Aline suivie de ses nouvelles copines de misère se joint à elles, elle danse, elle adore danser…
M. Rochet apparaît, Mesdames, 10 heures, extinction des feux…
Toi, Aline, tu prends cette porte, et ce sera la 3e à droite…
Agnès s’approche de M. Rochet, le prend par la main en souriant, Aline à compris…
Elle frappe à la porte, Maître Pierre vient lui ouvrir, il écarte ses bras, Aline se précipite contre lui, il l’embrasse, elle lui rend ses baisers, elle a besoin d’affection, même les marques d’affection de son bourreau, de son tourmenteur sont bonnes à prendre, pense-t-elle…
Aline est couchée à plat ventre sur le lit, Pierre, ainsi qu’il lui a demandé de l’appeler dans l’intimité a fini de lui passer du baume sur la marque de ses fesses, lui pose une compresse.
Il lui caresse les reins et les fesses, une tape légère sur les cuisses, Aline écarte ses jambes, Pierre caresse doucement l’anus et le sexe de son esclave…
Aline sent son ventre prendre feu, Pierre a enfoncé un de ses pouces dans son anus, il caresse le sexe de son esclave, il ôte le pouce, rentre le majeur, deux doigts caressent la paroi entre l’anus et le vagin, Aline sent son ventre fondre, la caresse devient plus précise, plus profonde, elle hurle Oui… Oui…. Oui… Oui…, elle vient de jouir sous les doigts de son bourreau.
Elle se retourne, embrasse Pierre avec toute la fougue d’une femme comblée, retombe inerte sur le matelas… en profite pour détailler son Maître, son bourreau, son persécuteur et l’homme qui l’a fait jouir !
Grand, il dépasse le mètre quatre-vingt, des cheveux gris taillés en brosse, des yeux verts, mince, longiligne, musclé (il paraît presque frêle du fait de sa taille, mais elle se rend compte que cet homme est très musclé), particularité une sexe hors norme, longueur et largeur…
Elle caresse le torse de son amant…
Pierre lui souri, caresse les seins, joue avec les anneaux, se penche, l’embrasse, elle rend les baisers, une main glisse vers son sexe, suit lentement la marque du fer rouge, elle ne ressent quasiment plus de douleur, la main appuie sur ses cuisses, elle les écarte, elle s’offre, comme la pute qu’elle est, Pierre la pénètre, elle noue ses jambes autour de la taille de son Maître, s’offre au maximum à la pénétration.
Pierre va a son rythme, lentement, il accélère, Aline encaisse les coups de boutoir dans son sexe, elle a de nouveau le ventre en feu, Pierre impavide continue sa pénétration, elle sent le changement de rythme, il va plus rapidement, elle va hurler, le sperme jaillit dans son sexe elle hurle… Oui… Oui…. Oui… Oui…
Pierre va la reprendre trois fois dans la nuit, deux fois dans son cul, une fois dans son ventre, elle l’a sucé deux fois… ce n’est pas un homme, mais une bite en érection… une bite qui me fait jouir comme une dingue…, elle se rendort.
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