Cet après-midi, nous décidons d’aller en ville. Quelques courses à faire et, pour Salomé qui adore cela, un peu de shopping.
Je suggère à Salomé de faire en sorte que cette sortie, somme-toute banale, devienne un peu plus originale … Elle me comprend tout de suite : « tu veux que je m’habille sexy ? » dit-elle. « Mieux que ça, lui dis-je, je prends mon appareil photos et tu oublies de mettre des sous-vêtements. On va jouer un peu « .
Elle prend son air coquin, son visage rosit mais ce n’est pas de honte, plutôt d’excitation ! Elle adore l’exhib ! montrer son corps la comble et l’excite terriblement …
Vêtue d’une robe légère qui s’ouvre entièrement par devant sans rien en dessous, nous voilà parti pour une belle promenade en ville …
Il y a du monde en ce samedi après-midi et il fait chaud.
Je suggère à Salomé de déboutonner suffisamment sa robe en haut pour que l’on voit bien ses petits seins et en bas pour que l’on voit jusqu’en haut de ses cuisses. Elle s’exécute et ouvre en haut jusqu’en dessous de la base de ses seins. De ce fait, on sait d’emblée qu’elle ne porte pas de soutien-gorge et, au moindre mouvement de bras, on voit entièrement sa jolie poitrine. En bas, de même, l’ouverture permet, quasiment à chaque pas, de se demander si elle a une culotte ou pas !
J’observe autour de moi et voit certains regards de passants un peu interrogateur …
Je devance Salomé de quelques pas et, me retournant, je commence à la mitrailler avec mon appareil photos. J’adore cette décontraction qu’elle arbore … comme si de rien n’était, elle marche avec un naturel désarmant !
A chaque fois qu’elle le peut, elle va plus loin : ici, à la devanture d’un magasin, elle pose le pied sur le rebord de la vitrine qui est bien à 40 cm de haut. Ainsi, de derrière on ne voit rien mais les clients du magasin n’ont plus aucun doute sur sa nudité, sa robe s’étant écartée de part et d’autre de sa cuisse. Même de côté, je vois la naissance de son sexe et en profite pour faire une série de photos. Certains clients, et clientes aussi, ont remarqué sa posture et s’en régalent visiblement. Elle feint de ne pas s’en apercevoir et quitte nonchalamment sa position et poursuit sa route …
Nous entrons dans un magasin de chaussures, une vendeuse s’approche, Salomé demande un essai pour des petits escarpins. La vendeuse revient avec la paire demandée, fait asseoir Salomé et s’agenouille devant elle comme font toutes les vendeuses en chaussures … Salomé n’a pas les cuisses jointes. La vendeuse découvre entièrement son sexe et je vois son trouble mais elle ne se démonte pas. Peut-être a-t-elle l’habitude … Salomé lui demande un autre essai. Pendant que la vendeuse est repartie vers la réserve, je me mets face à Salomé qui écarte bien les jambes en remontant sa robe. Je prends toutes une série de photos tandis que la vendeuse revient. Salomé reprend sa position initiale mais avec les jambes plus écartées et ne lésine pas sur l’ampleur de ses mouvements pour lever le pied afin d’essayer les chaussures. La vendeuse est rouge mais parait moins gênée que la première fois. Visiblement, le manège lui plait. Salomé lui dit : « quand il fait chaud, j’adore être nue sous ma robe. Pas vous ? ». Elle lui répond, un peu confuse : » je ne peux pas ici car je suis accroupie en permanence et la plupart des clients trouveraient cela indécent mais je vous comprend. Je ne sais pas si j’oserais faire cela mais ça doit être très excitant. » » Ca l’est, confirme Salomé, vous devriez essayer. Vous verrez comme c’est troublant de constater que l’on vous observe, que l’on s’étonne, que l’on cherche à en voir plus … et d’en jouer, surtout »
Excit le magasin de chaussures et sa mignonne petite vendeuse qui se demande sans doute si elle osera, un jour, en faire autant.
Nous entrons maintenant dans un magasin de prêt-à-porter et là, c’est l’euphorie : Salomé essaye 10 tenues différentes, ouvre le rideau du salon d’essayage alors qu’elle est, tantôt complètement nue, tantôt les seins à l’air, tantôt vêtue seulement d’un tshirt ou d’un chemisier. Là, ce sont surtout les hommes qui se régalent et il y en a pas mal. Mon appareil photos est toujours en action. J’entends des réflexions du genre : « elle a pas froid aux yeux, la petite … qu’est-ce qu’elle est mignonne … elle a pas beaucoup de seins … ça n’a pas l’air de la gêner … T’as vu, elle est entièrement épilée … etc …
Le magasin de vêtements est derrière nous et un homme d’âge mur nous suit, visiblement. Nous allons donc satisfaire sa curiosité.
Nous quittons cette rue commerçante pour nous diriger vers un parc proche du centre-ville. Le monsieur nous suit toujours. Nous rentrons dans le parc, il y a peu de monde. Nous nous dirigeons vers la pièce d’eau à l’extrémité de laquelle il y a une sorte de grotte et deux bancs. L’endroit est un peu à l’abri des regards et, surtout, il n’y a pas d’enfants aux alentours.
S’appuyant à la roche, Salomé prend des poses toutes plus lascives les unes que les autres et mon appareil photos entre en action. Le monsieur, qui avait mis prudemment un peu de distance entre lui et nous s’est rapproché. Je me tourne vers lui et lui sourit. Enhardi, il s’approche.
Salomé ouvre complètement sa robe et continue à prendre des poses de plus en plus érotiques. Elle se caresse les seins, le ventre, le sexe … Un autre homme, beaucoup plus jeune, nous observe de loin mais ne s’approche pas. A part nos deux voyeurs, personne d’autre et Salomé quitte sa robe ! la voilà complètement nue et elle se donne du plaisir. Du plaisir à se savoir regardée et du plaisir à se caresser. Elle s’allonge sur un banc, se met à genoux, se montre par devant, par derrière, écarte les jambes, écarte son sexe et je vois son clito rose nacré turgescent et l’intérieur de ses lèvres gluant, preuves de son plaisir. Puis, brusquement, elle att**** sa robe, l’enfile, boutonne quelques boutons et, en riant me dit : « on y va ? ».
Le monsieur d’âge mur la regarde et, en souriant, nous dit « merci, quelle belle fille vous faites ! vous avez un corps divin « . » merci, dit Salomé, je suis ravie de vous avoir procuré du plaisir. Sachez que j’y ai pris, moi-même, énormément de plaisir et votre admiration me comble ».
Nous quittons le parc et, le soir tombant, je propose à ma jolie compagne d’aller au restaurant.
Nous choisissons une table et, une fois installés, je sors de ma trousse un oeuf vibrant à télécommande et je demande à Salomé de se l’enfiler dans le vagin. Elle me regarde fixement avec un sourire à la Joconde dont elle a le secret et qui indique chez elle une profonde satisfaction doublée d’une troublante excitation et sans quitter sa chaise, elle écarte les jambes et enfonce l’oeuf qui entre facilement tant la séance au parc l’a excitée : elle est trempée. Aux tables autour de nous, parmi les couples attablés, un semble avoir remarqué et compris la chose. Ils nous font un sourire complice.
On nous apporte l’apéritif et après avoir porté un toast à la beauté et à l’exhibitionnisme de ma compagne, je mets l’oeuf en fonctionnement à la vitesse la plus basse. Elle me regarde et, en sirotant son américano, elle glousse puis ronronne doucement. « Salaud, me dit-elle, je vais avoir du mal à me contenir ! » « Je vais y aller progressivement, dis-je « .
Je la laisse manger tranquillement et je remets cela au dessert. Elle ronronne à nouveau et j’imagine l’état de son mental qui fait tout pour se contenir et éviter de se manifester plus bruyamment.
Enfin, nous sortons du resto et, tout en marchant, je mets la vitesse de vibration supérieure. Salomé se jette à mon cou et m’embrasse goulument pour éviter de crier son plaisir dans la rue où nous ne sommes pas seuls.
Je la coince dans l’encoignure d’une porte cochère et lui masturbe le clito. Elle n’en peu plus et geint fortement. Ma main est trempée ! Des passants nous regardent amusés.
Nous regagnons la voiture et je demande à Salomé d’ouvrir complètement sa robe ce qu’elle fait presque avec v******e tant elle a envie d’être nue. Je me dirige vers la périphérie, dans un quartier réputé pour le ballet des voitures de voyeurs et d’échangistes. Samedi soir d’été, il y a du monde et nous nous intégrons dans ce ballet où chacun observe l’autre en quête d’un compagnon, d’une compagne ou d’un couple ou même de plusieurs couples pour finir la soirée. Après quelques tours où nous avons bien attiré les regards, nous nous arrêtons et aussitôt, quelques personnes s’approchent de la voiture. Il y a deux ou trois couples et des hommes seuls.
Alors, je mets l’oeuf à la vitesse maximum, j’entr’ouvre une fenêtre de derrière afin qu’il y ait « du son » et je commence à masturber Salomé qui écarte les jambes en posant les pieds sur le tableau de bord. Elle ne peut pas être mieux exposée, mieux vue.
Elle se laisse carrément aller et ses vagissements se transforment en couinements puis en cris … enfin, elle se tend et, dans un orgasme fulgurant, son corps subit les spasmes de la jouissance tandis que ma main et le siège sont trempés de son abondante cyprine. J’arrête l’oeuf. Elle le retire et remettant la main sur son sexe, je recommence à la masturber puis, de trois doigts, je la pénètre et en mouvements très rapides de va et viens, je la fais à nouveau hurler de plaisir dans un orgasme éjaculatoire dont les jets atteignent le pare-brise.
Dehors, les couples se caressent sans retenue et deux ou trois hommes ont éjaculé sur la voiture.
Ma petite exhibitionniste se remet lentement de ses émotions sexuelles et je remets en route.
En chemin, nous nous arrêtons dans une station service où je passe la voiture dans un car-wash à rouleau afin d’effacer les trace de sperme sur la carrosserie. Salomé en profite pour sortir nue et remettre sa robe avec une lenteur calculée devant le gardien de nuit de la station qui n’en croit pas ses yeux.
Nous rentrons à la maison et, après une douche coquine à deux, Salomé s’occupe de mon plaisir qu’elle souhaite à l’égal de ce qu’elle vient de connaitre. C’est sa façon à elle de me remercier de lui avoir permis de s’exhiber encore une fois … et d’en avoir jouit si intensément …
Ajouter un commentaire