Nous étions à la fin du mois de Juin et ma femme était entré en clinique pour accoucher de notre second enfant. Comme pour le précédent, elle avait préféré passer sa grossesse auprès de sa mère loin de notre logis. C’est donc chez belle maman que je me rendis dès qu’il me fut annoncé la naissance de notre fille. Bien que fatigué par la longue route, je me précipitais à la clinique à peine descendu de la voiture pour aller voir à la fois la mère et l’enfant. Je trouvais tout le monde en pleine forme, j’étais aussi ravi qu’un jeune père peut l’être et le soir venant, je m’en retournais chez ma belle mère le cœur léger.
Belle maman habitait tout près de la clinique, à peine à deux pas. D’ailleurs on apercevait la clinique depuis son appartement et j’aurais presque pu voir ma femme si la fenêtre de sa chambre eut donné de ce coté. C’est dans cette clinique que tout ses petits enfants étaient nés d’ailleurs, car ma femme avait d’autres sœurs et toutes étaient venues là, pour accoucher.
Ma belle mère avait alors cinquante huit ans, elle était veuve depuis plus de trois ans maintenant et vivait seule la plupart du temps dans son appartement. Je dis la plupart du temps car l’appartement en question ne se remplissait que pour les fêtes familiales. Le reste du temps belle maman vivait toute seule. C’est donc une femme seule que je retrouvais ce soir là.
Oh ! n’allez pas croire qu’un feu érotique coulait en mes veines à l’idée de passer quelques jours en tête à tête avec ma belle mère. Non, c’était plutôt le contraire. Pour tout vous dire je l’appréciais peu et elle me le rendait bien pour des raisons historiques trop longues à aborder ici. Enfin, la cohabitation était courtoise sans plus. C’est dans cet esprit qu’elle me reçut, souriante quand même mais avec cette réserve que toujours elle me faisait sentir.
Ma belle mère était une grande femme très mince, les lèvres pincées en permanence avec ce port hautin que confère ce petit grade acquis dans l’administration et qui permet de montrer suffisamment de dédain pour le petit personnel que l’on a sous sa coupe. Elle était arrivé là à force de persévérance et aussi en se montrant docile avec ceux qui pouvaient favoriser sa carrière. Mais ça, je ne le sus que plus tard et m’expliqua bien des attitudes.
Ses cheveux étaient grisonnants, de temps en temps elle se risquait à une teinture qui mettait des reflets dans ses boucles permanentées et bien rangées tout autour de son crane. Son maquillage était toujours impeccable, rarement je la vis sans qu’elle fut fardée, les yeux faits et la bouche recouverte de rouge. Une femme bien propre sur elle quoi ! toujours en tailleurs de la meilleure coupe, toujours en corsage, toujours élégante mais d’une élégance froide qui mettait de la distance entre nous, car moi j’étais plutôt Jeans et basquet.
Ce soir là nous avons dîné en tête à tête, parlant de la naissance qui amenait un être nouveau dans la famille, elle me raconta l’accouchement en long et en large car bien sur elle avait été aux premières loges dès que les prémisses de la naissance se firent sentir. Elle me donna aussi les nouvelles familiales, toutes les nouvelles familiales et cela faisait du monde et de la salive pour en faire le tour. Bref elle me gonfla toute la soirée et moi qui avait déjà six cents bornes dans les jambes je demandais grâce au bout d’un moment pour me retirer dans la chambre qu’elle avait prévu pour moi.
Je m’écroulais dans mon lit et dormis du sommeil du juste jusqu’au matin suivant.
Bien sur le jour suivant je le passais avec ma femme toujours à la clinique pour quelques jours encore. Elle reçu de nombreuses visites et lorsque je me retirais le soir je ressentais une fois de plus une lassitude comme on peut en ressentir après une journée passée en milieu médical.
Je montais lourdement l’escalier pour arriver à l’appartement de belle maman, franchement, je ne pensais qu’au repos en me disant vivement la semaine prochaine que ma femme sorte de cette foutue clinique.
Je sonnais à la porte, attendant que belle maman vienne m’ouvrir, des pas furtifs derrière la porte, un loquet que l’on actionne et me voilà dans l’appartement. Elle referme derrière moi et je me tourne pour lui dire bonsoir. C’est alors que qu’elle me prend dans ses bras et sans que je ne puisse esquisser une défense elle m’embrasse sur la bouche ! Je n’ai pu éviter l’assaut, j’ai sa bouche sur la mienne, ses lèvres insistent sur les miennes, les forcent, son pubis est collé au miens, je sens son ventre chaud contre mon ventre. Bref, c’est carrément l’agression.
Je n’ai pas eu le loisir de réfléchir, alors qu’elle assurait ses prises et son emprise, ses mains se nouaient derrière mon dos et me retenaient prisonnier contre elle. Que faire ? m’arracher brutalement à ses bras ? et après ? j’étais jeune et timide, j’avais peur de ces adultes bien plus âgés que moi . Et puis ma belle mère m’en imposait malgré tout, si j’avais reculé à cet instant, j’imaginais l’ air de mépris qu’elle aurait pris et que j’aurais traîné le restant de mes jours.
Je l’ai laissé faire et en fin de compte mes bras ont enserré son corps maigre. Mes lèvres ont répondu aux siennes, nos bouches se sont ouvertes pour un vrai baiser entre amants et j’ai senti son haleine chargée d’alcool.
Elle avait bu pour se donner ce courage de m’affronter, car je devais le savoir après, elle me craignait elle aussi au moins autant que je pouvais la craindre. Pour l’heure, nous nous bouffions le museau collés l’un à l’autre, son pubis poussait fort contre mon sexe qui déjà s’érigeait dans mon pantalon. Depuis plus de trois mois j’étais frustré et ce ne sont pas les branlettes quotidiennes et répétées qui pouvaient m’assouvir. Je répondais donc présent à l’attaque surprise dont je fus la victime de la part de ma belle mère.
Sans me lâcher, tout en m’embrassant fougueusement elle m’a entraîné vers sa chambre. Elle me tenait fermement la vieille salope, ne voulait pas me laisser m’échapper de son emprise.
Je ne sais comment on s’est retrouvé allongé sur son grand lit, elle nous a fait basculer tous les deux et je l ‘ai eu sur moi pour mieux me tenir sous elle. Elle continuait à me bouffer la bouche, j’étais tout barbouillé de sa salive et j’imaginais son rouge à lèvres couvrant le bas de mon visage. Elle a poursuivi l’assaut, sa main est parti à la découverte de mon corps et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, ma ceinture était défaite et une main se glissait sous mon slip.
J’ai tressailli à sentir sa main sur une partie aussi intime. Elle a saisi ma queue comme une noyée aurait saisi une bouée de sauvetage et elle a enserré dans sa main mon sexe déjà très dur. Je sentais qu’elle serrait convulsivement ce membre érigé malgré lui, frustrée de ne l’avoir fait depuis longtemps. J’avais décidé que je me laisserai faire, que pouvais je faire d’autre désormais, il était trop tard pour protester, partir à cet instant eut été du ridicule le lui achevé. J’ai décidé de poursuivre, d’autant que mon corps réagissait favorablement à ses caresses fébriles.
Pendant ce temps elle a continué à me dé habiller furieusement, elle m ‘a débarrassé du pantalon, du slip, des chaussettes de la chemise et je me suis retrouvé nu dans ses bras.
Je ne sais pourquoi à ce moment je me suis mis à penser à mon beau père !
C’était un homme très effacé, il n’en pouvait être autrement avec la femme qui était la sienne. Il en faisait un complexe de son épouse. D’ailleurs, il était plus petit qu’elle, rondouillard rougeaud et timide, mon beau père était le cocu parfait, la victime désignée. Quand ils étaient ensemble, ce qui était assez rare, elle le dominait de toute sa taille élancée et de ses talons qu’elle avait très hauts en général.
Mon beau père avait disparu trois ans plus tôt dans un accident de voiture, je veux dire qu’il avait été renversé par une voiture, un soir qu’il rentrait chez lui. Cette disparition, outre le chagrin qu’elle procura à la famille et à ses filles en particulier, souleva quelques interrogations. Il se chuchota que peut être cette mort n’était pas aussi naturelle que cela et qu’il se pourrait qu’un suicide…
En eut il assez d’affronter sa maîtresse femme ? toujours est il qu’il n’était plus là pour le dire.
Quand je revins de mon rêve ma belle mère avait glissé sur mon corps dénudé et avait pris mon sexe en bouche. Elle me suçait avec application. Je quittais des yeux le plafond fissuré pour voir la tète permanentée de belle maman qui allait et venait au dessus de ma bite bien dressée. Elle pompait avec maîtrise, en femme habituée à l’exercice, ses lèvres enrobaient doucement mon gland et prodiguaient une caresse divine qui me détendait et faisait monter ma tension. Je constatais qu’elle était toujours habillée de son éternel tailleurs élégant à peine froissé par nos ébats. Sa jupe était juste un peu remontée sur ses jambes trop fines et dévoilait la lisière d’un bas et l’amorce d’une jarretelle, car belle maman en était resté aux bas, je le savais pour les avoir vu sécher dans la salle de bains. Malgré l’avènement du collant elle restait fidèle aux bas et je m’en félicitais sur l’instant.
Elle m’a si bien sucé que je n’ai pu me retenir, je lui ai tout lâché dans la bouche.
Elle a aimé je peux vous le dire, je l’ai senti au frisson qui a accompagné ma jouissance, elle en frémissait de recevoir mon sperme et ses doigts se sont crispé sur ma verge pendant que je me répandais en saccades laiteuses dans sa bouche. Elle a tout pris sans laisser échapper une goutte, jusqu’à l’ ultime que ma queue a pu lui délivrer, sa langue a gobé et sucé le gland jusqu’à ce qu’il fut propre et rose comme au premier jour.
Ma belle mère venait de me tailler la plus belle pipe de ma vie ! Jamais sa fille ne fut en mesure de me faire la même, bien qu’elle aussi fut à bonne école. J’étais là, allongé nu sur son lit, elle était habillée à mes pieds, ma queue encore raide entre ses doigts et elle me souriait, triomphante.
_ « C’était bon non ?! »
Il y avait une bonne dose d’ironie dans cette interrogation qui n’en était pas une en fait. Juste marquer sa victoire, montrer ma faiblesse, ma défaite. J’étais à sa merci, elle savourait son triomphe. Elle m’a chuchoté en me regardant dans les yeux :
_ « Ca restera entre nous bien sur »
Je n’ai rien répondu, j’en étais bien incapable, mais une colère sombre a commencé à m’envahir. J’étais en colère après moi de m’être fait piéger ainsi. J’avais le sentiment d’être ridicule, nu devant une vieille dame qui savourait sa victoire. Je n’ai plus supporté la situation et soudain je me suis redressé sur le lit, je l’ai attiré à moi et j’ai commencé à la dé habiller furieusement.
Sa veste a valsé à travers la chambre, et oui, elle avait gardé sa veste, c’est dire ! Ensuite sa jupe a glissé en un tourne main et son corsage a volé sur la plancher.
Je me suis arrêté pour contempler mon œuvre, elle était en face de moi en soutien gorge et gaine, noirs tous les deux et des bas noirs couvraient ses longues jambes maigres. J’ai regardé le tableau, il y en avait de plus sexy je dois dire mais bon, vu les circonstances et l’arrogance de la dame j’allais pas flancher maintenant. J’ai caressé le soutien gorge et j’ai été déçu, tout était faux la dedans. Un soutien gorge empli forme pour faire croire qu’elle avait des seins alors qu’elle était rigoureusement platte. J’ai eu le tort de le lui enlever, il n’y avait guère que les tétons qui pouvaient faire penser à une femme.
Mais que voulez vous, je ne pouvais pas inventer, c’était ainsi. Et ma rage en a été plus forte.
Moi, voyez vous, j’aime les gros seins. En avoir plein les mains, pouvoir masser des chairs molles que vous sentez se raffermir au fur et à mesure que vous agacez les pointes, que vous faites rouler les tétons entre vos doigts. Et puis bien sur pouvoir mettre sa queue entre les nichons pour la cravate de notaire. Oui, j’aime tout ça et de voir l’absence de nénés de belle maman m’a véritablement frustré, elle était plus plate que moi !
Alors j’ai délicatement pris un téton entre mes doigts et je me suis mis à titiller la verrue rose qui ornait son torse, et là tout à coup je l’ai sentie partir au quart de tour. Elle était hyper sensible du téton la maman de ma femme. Alors j’ai vicieusement poussé mon avantage, j’ai saisi l’autre téton et je me suis mis à les rouler comme un fou entre mes doigts, rien que pour la voir se tordre et rouler sur le couvre lit de satin rose de son grand lit, trop grand pour elle toute seule.
Elle miaulait et feulait, les yeux clos, se tordait et tressautait tandis que je massais et vrillais ses tétons entre mes doigts. Je regardais cela mis effaré mis amusé, ma belle mère secouée de tressaillements bizarres pendant que je lui excitais les nichons. C’était comme une espèce de revanche sur la dame hautaine toujours sur la réserve que je connaissais jusqu’alors.
Au bout de cinq minutes de cet exercice, elle m’a supplié de m’arrêter et la prendre.
_ « Baise moi maintenant ! » m’a t elle soufflé, « Tu m’as excité et j’ai envie de toi ! »
Joignant le geste à la parole, elle s’est allongée sur le dos les cuisses ouvertes en travers du lit et elle a écarté la culotte qu’elle portait toujours, me dévoilant une chatte nature, raisonnablement poilue et mouillée.
Je me suis abattu sur son ventre et c’est elle même qui a guidé ma bite entre sa culotte et sa gaine jusqu’à sa fente offerte. Je n’ai eu qu’à donner le coup de reins pour me propulser en son vagin. Mon gland a ouvert la voie et toute ma queue s’est glissé dans un univers gras et glissant. J’étais resté très dur après sa pipe, son dé habillage, quoique décevant, était un épisode chargé d’érotisme et ma bite frémissait de désir. Elle a englouti mon membre au fond de son ventre et tout de suite je me suis senti à l’aise en elle, une sorte de douceur enveloppait mon sexe qui contrastait avec l’aspect extérieur de la femme, fait entièrement de dureté et d’angularité. Elle avait la chatte accueillante belle maman, elle savait ouvrir les cuisses et recevoir l’hommage de l’homme. J’ai apprécié tout de suite son univers juste taillé pour ma queue, tant en grosseur qu’en longueur, j’occupais toute la place dans sa chatte et à l’entendre ronronner sous moi, on pouvait penser qu’il en allait de même pour elle.
J’ai pensé à cet instant que je devais être le premier depuis bien longtemps et j’ai savouré l’instant, ma bite était entré dans une chatte délaissée depuis des années, je me faisais l’effet d’un défricheur, d’un dépuceleur. J’ai senti ses muscles se contracter autour de mon membre, elle aussi appréciait cette présence qui lui avait fait tant défaut. Pour une femme de son age, veuve de surcroît les occasions ne sont pas courantes et elle se délectait les yeux clos de cette verge qui entrait en elle et écartait ses chairs. Elle palpait par sa chatte interposée ce pieu qui s’enfonçait en son ventre et réchauffait en elle son désir de baise.
Bref, nous savourions l’instant, à des degrés et pour des raisons divers mais nous aimions l’un et l’autre. Je ne bougeais pas, laissant faire les choses, sentant juste les muscles vaginaux d’Henriette, car elle s’appelait Henriette, se crisper sur ma bite.
Quand j’ai amorcé un premier coup de reins lent, très lent, elle a eut un gémissement. Je me suis arrêté pour la regarder. Elle a ouvert les yeux et m’a soufflé « Vas y ».
J’ai repris lentement, très lentement, en regardant son visage en même temps que ma queue esquissait ses premiers vas et viens. Elle s’est mise à geindre doucement, on aurait dit des gémissements de douleur d’abord, mais au fur et à mesure que mon membre entrait et sortait d’elle à un rythme encore ralenti, ces gémissements se sont fait plus sensuels. Encouragé, j’ai poussé un peu les feux , adoptant un rythme léger et soutenu. Ses râles ont crus en volume et en volupté. Ma queue a acquis un bon tempo, plongeant dans un sexe bien huilé, accueillant, il était à l’aise et glissait bien dans les profondeurs de son vagin, le remplissant complètement.
Je baisais ma belle mère sans réticence, lui poussant ma queue bien au fond, à toucher son utérus, je sentais un léger tressaillement de son corps quand je venais butter contre le fond de son sexe. Elle râlait de plaisir sous moi, en un cri continu de femme qui se laissait emporter par son désir d’être prise.
Je l’ai pistonné un moment sur le même rythme, faisant monter en elle le plaisir que je mesurais à l’aune de ses gémissements qui s’amplifiaient peu à peu jusqu’à atteindre un cri continu et presque hystérique.
_ « Vas-y, vas-y, vas-y » psalmodiait-elle au rythme de ma queue s’enfonçant dans son ventre. Je n’avais certes pas besoin d’encouragements, j’étais fasciné par ce visage dont je ne pouvais détourner le regard, la bouche ouverte, les yeux clos et ce râle qui sortait de ce corps que je besognais sans répit, comme si ce fut ma queue qui provoqua le gémissement.
Je pinais de plus belle et je la sentais très proche de la jouissance, j’avais accéléré la cadence fouillant son sexe d’une bite avide, allant et venant sans ménagement, buttant contre l’utérus et la faisant tressaillir à chaque poussée.
Son cri continu m’excitait, je n’avais jamais eu affaire à femme aussi bruyante et manifestant sa jouissance aussi peu discrètement. Ma femme manifestait trop de pudeur pendant l’acte, restant sur son quand à soi, mais sa mère par contre se laissait aller à crier son plaisir-désir en une plainte continue et qui me poussait à encore plus d’envie de la baiser.
J’ai eu moi aussi envie de jouir et je ne me suis pas retenu plus longtemps, j’ai versé un flot de sperme en sa chatte, en une seconde elle a été inondée de mon foutre, surprise de la soudaineté de ce flux de liquide brûlant qui lui emplissait le vagin. Elle a eu un « Oh !! » de surprise et s’est laissé aller à son tour en un long vagissement a****l tandis que son corps se tendait comme un arc au point de me soulever et que seul nos pubis furent en contact. Elle s’offrait à son tour avant de s’effondrer au creux du lit, épuisée de trop de tension. Je m’effondrais à mon tour et nous restions là , l’un dans l’autre, incapables du moindre geste.
Combien de temps sommes nous restés ainsi ? je ne saurais le dire, c’est elle qui a brisé le silence.
_ « C’était si bon ! » M’a t elle susurré à l’oreille.
J’ai relevé la tête pour la regarder dans le yeux, en bougeant je me suis rendu compte que je bandais encore vaguement, ma queue toujours enfouie en son vagin. Je l’ai regardée, elle me souriait avec une certaine bienveillance, toute morgue avait disparue de sa face, elle avait perdu son arrogance en prenant sa dose de sperme.
_ « Tu ne pensais pas baiser ta belle mère de si tôt ?! » m’a t elle lancé. Je n’ai su que répondre, tout cela était si subit, si inattendu.
_ « Avoue que tu ne pensais pas la baiser du tout ! » J’ai souri bêtement, c’est tout ce que je pouvais faire dans l’instant.
_ « Moi ça fait longtemps que j’ai envie de toi, avant même que mon mari ne disparaisse »
Je ne savais toujours pas quoi articuler à cette femme qui me déclarait sa flamme.
_ « J’ai eu envi de toi dès que je t’ai vu avec Maud (ma femme) je me suis dis qu’elle avait de la chance et si un jour l’occasion se présentait, il ne faudrait pas que j’hésite. »
J’avais l’impression d’être tombé dans une embuscade et que je m’empêtrais dans un filet.
_ « Tu sais je l’ai dit à Maud que son mari me plaisait, bien sur elle ne m’a pas cru, et surtout elle n’a pas cru que je pourrais coucher avec lui. Il est vrai que je ne le lui pas dis ! qu’est ce qu’elle aurait pensé de sa mère ! »
La dessus elle se met à pouffer de rire. Moi je la regarde complètement hors du coup, ne comprenant pas ce qui m’arrive. Ma belle mère a retrouvé son sourire ironique et je me trouve un peu bête dans cette position qui pourrait paraître dominante vu que je continue à la chevaucher. Elle me regarde toujours, souriant, et tandis que je sens des contractions autour de ma verge. Elle recommence à enserrer ma queue et à la masser avec ses muscles vaginaux. La fougue de la jeunesse fait le reste et me voilà une nouvelle fois bandant et pénétrant la chatte de belle maman. Je suis effaré de ma propre attitude, comment puis je bander pour cette femme vieillissante, sans attrait et qui est la maman de ma femme ? Je n’aurai jamais la réponse, et je dois constater que ma bite est raide. Cette histoire n’est pas tout à fait sortie de mon imagination. Elle a un semblant de réalité mais je ne vous dirais pas où commence la fiction, à vous de voir, d’imaginer, d’envisager.
Nous étions à la fin du mois de Juin et ma femme était entré en clinique pour accoucher de notre second enfant. Comme pour le précédent, elle avait préféré passer sa grossesse auprès de sa mère loin de notre logis. C’est donc chez belle maman que je me rendis dès qu’il me fut annoncé la naissance de notre fille. Bien que fatigué par la longue route, je me précipitais à la clinique à peine descendu de la voiture pour aller voir à la fois la mère et l’enfant. Je trouvais tout le monde en pleine forme, j’étais aussi ravi qu’un jeune père peut l’être et le soir venant, je m’en retournais chez ma belle mère le cœur léger.
Belle maman habitait tout près de la clinique, à peine à deux pas. D’ailleurs on apercevait la clinique depuis son appartement et j’aurais presque pu voir ma femme si la fenêtre de sa chambre eut donné de ce coté. C’est dans cette clinique que tout ses petits enfants étaient nés d’ailleurs, car ma femme avait d’autres sœurs et toutes étaient venues là, pour accoucher.
Ma belle mère avait alors cinquante huit ans, elle était veuve depuis plus de trois ans maintenant et vivait seule la plupart du temps dans son appartement. Je dis la plupart du temps car l’appartement en question ne se remplissait que pour les fêtes familiales. Le reste du temps belle maman vivait toute seule. C’est donc une femme seule que je retrouvais ce soir là.
Oh ! n’allez pas croire qu’un feu érotique coulait en mes veines à l’idée de passer quelques jours en tête à tête avec ma belle mère. Non, c’était plutôt le contraire. Pour tout vous dire je l’appréciais peu et elle me le rendait bien pour des raisons historiques trop longues à aborder ici. Enfin, la cohabitation était courtoise sans plus. C’est dans cet esprit qu’elle me reçut, souriante quand même mais avec cette réserve que toujours elle me faisait sentir.
Ma belle mère était une grande femme très mince, les lèvres pincées en permanence avec ce port hautin que confère ce petit grade acquis dans l’administration et qui permet de montrer suffisamment de dédain pour le petit personnel que l’on a sous sa coupe. Elle était arrivé là à force de persévérance et aussi en se montrant docile avec ceux qui pouvaient favoriser sa carrière. Mais ça, je ne le sus que plus tard et m’expliqua bien des attitudes.
Ses cheveux étaient grisonnants, de temps en temps elle se risquait à une teinture qui mettait des reflets dans ses boucles permanentées et bien rangées tout autour de son crane. Son maquillage était toujours impeccable, rarement je la vis sans qu’elle fut fardée, les yeux faits et la bouche recouverte de rouge. Une femme bien propre sur elle quoi ! toujours en tailleurs de la meilleure coupe, toujours en corsage, toujours élégante mais d’une élégance froide qui mettait de la distance entre nous, car moi j’étais plutôt Jeans et basquet.
Ce soir là nous avons dîné en tête à tête, parlant de la naissance qui amenait un être nouveau dans la famille, elle me raconta l’accouchement en long et en large car bien sur elle avait été aux premières loges dès que les prémisses de la naissance se firent sentir. Elle me donna aussi les nouvelles familiales, toutes les nouvelles familiales et cela faisait du monde et de la salive pour en faire le tour. Bref elle me gonfla toute la soirée et moi qui avait déjà six cents bornes dans les jambes je demandais grâce au bout d’un moment pour me retirer dans la chambre qu’elle avait prévu pour moi.
Je m’écroulais dans mon lit et dormis du sommeil du juste jusqu’au matin suivant.
Bien sur le jour suivant je le passais avec ma femme toujours à la clinique pour quelques jours encore. Elle reçu de nombreuses visites et lorsque je me retirais le soir je ressentais une fois de plus une lassitude comme on peut en ressentir après une journée passée en milieu médical.
Je montais lourdement l’escalier pour arriver à l’appartement de belle maman, franchement, je ne pensais qu’au repos en me disant vivement la semaine prochaine que ma femme sorte de cette foutue clinique.
Je sonnais à la porte, attendant que belle maman vienne m’ouvrir, des pas furtifs derrière la porte, un loquet que l’on actionne et me voilà dans l’appartement. Elle referme derrière moi et je me tourne pour lui dire bonsoir. C’est alors que qu’elle me prend dans ses bras et sans que je ne puisse esquisser une défense elle m’embrasse sur la bouche ! Je n’ai pu éviter l’assaut, j’ai sa bouche sur la mienne, ses lèvres insistent sur les miennes, les forcent, son pubis est collé au miens, je sens son ventre chaud contre mon ventre. Bref, c’est carrément l’agression.
Je n’ai pas eu le loisir de réfléchir, alors qu’elle assurait ses prises et son emprise, ses mains se nouaient derrière mon dos et me retenaient prisonnier contre elle. Que faire ? m’arracher brutalement à ses bras ? et après ? j’étais jeune et timide, j’avais peur de ces adultes bien plus âgés que moi . Et puis ma belle mère m’en imposait malgré tout, si j’avais reculé à cet instant, j’imaginais l’ air de mépris qu’elle aurait pris et que j’aurais traîné le restant de mes jours.
Je l’ai laissé faire et en fin de compte mes bras ont enserré son corps maigre. Mes lèvres ont répondu aux siennes, nos bouches se sont ouvertes pour un vrai baiser entre amants et j’ai senti son haleine chargée d’alcool.
Elle avait bu pour se donner ce courage de m’affronter, car je devais le savoir après, elle me craignait elle aussi au moins autant que je pouvais la craindre. Pour l’heure, nous nous bouffions le museau collés l’un à l’autre, son pubis poussait fort contre mon sexe qui déjà s’érigeait dans mon pantalon. Depuis plus de trois mois j’étais frustré et ce ne sont pas les branlettes quotidiennes et répétées qui pouvaient m’assouvir. Je répondais donc présent à l’attaque surprise dont je fus la victime de la part de ma belle mère.
Sans me lâcher, tout en m’embrassant fougueusement elle m’a entraîné vers sa chambre. Elle me tenait fermement la vieille salope, ne voulait pas me laisser m’échapper de son emprise.
Je ne sais comment on s’est retrouvé allongé sur son grand lit, elle nous a fait basculer tous les deux et je l ‘ai eu sur moi pour mieux me tenir sous elle. Elle continuait à me bouffer la bouche, j’étais tout barbouillé de sa salive et j’imaginais son rouge à lèvres couvrant le bas de mon visage. Elle a poursuivi l’assaut, sa main est parti à la découverte de mon corps et avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, ma ceinture était défaite et une main se glissait sous mon slip.
J’ai tressailli à sentir sa main sur une partie aussi intime. Elle a saisi ma queue comme une noyée aurait saisi une bouée de sauvetage et elle a enserré dans sa main mon sexe déjà très dur. Je sentais qu’elle serrait convulsivement ce membre érigé malgré lui, frustrée de ne l’avoir fait depuis longtemps. J’avais décidé que je me laisserai faire, que pouvais je faire d’autre désormais, il était trop tard pour protester, partir à cet instant eut été du ridicule le lui achevé. J’ai décidé de poursuivre, d’autant que mon corps réagissait favorablement à ses caresses fébriles.
Pendant ce temps elle a continué à me dé habiller furieusement, elle m ‘a débarrassé du pantalon, du slip, des chaussettes de la chemise et je me suis retrouvé nu dans ses bras.
Je ne sais pourquoi à ce moment je me suis mis à penser à mon beau père !
C’était un homme très effacé, il n’en pouvait être autrement avec la femme qui était la sienne. Il en faisait un complexe de son épouse. D’ailleurs, il était plus petit qu’elle, rondouillard rougeaud et timide, mon beau père était le cocu parfait, la victime désignée. Quand ils étaient ensemble, ce qui était assez rare, elle le dominait de toute sa taille élancée et de ses talons qu’elle avait très hauts en général.
Mon beau père avait disparu trois ans plus tôt dans un accident de voiture, je veux dire qu’il avait été renversé par une voiture, un soir qu’il rentrait chez lui. Cette disparition, outre le chagrin qu’elle procura à la famille et à ses filles en particulier, souleva quelques interrogations. Il se chuchota que peut être cette mort n’était pas aussi naturelle que cela et qu’il se pourrait qu’un suicide…
En eut il assez d’affronter sa maîtresse femme ? toujours est il qu’il n’était plus là pour le dire.
Quand je revins de mon rêve ma belle mère avait glissé sur mon corps dénudé et avait pris mon sexe en bouche. Elle me suçait avec application. Je quittais des yeux le plafond fissuré pour voir la tète permanentée de belle maman qui allait et venait au dessus de ma bite bien dressée. Elle pompait avec maîtrise, en femme habituée à l’exercice, ses lèvres enrobaient doucement mon gland et prodiguaient une caresse divine qui me détendait et faisait monter ma tension. Je constatais qu’elle était toujours habillée de son éternel tailleurs élégant à peine froissé par nos ébats. Sa jupe était juste un peu remontée sur ses jambes trop fines et dévoilait la lisière d’un bas et l’amorce d’une jarretelle, car belle maman en était resté aux bas, je le savais pour les avoir vu sécher dans la salle de bains. Malgré l’avènement du collant elle restait fidèle aux bas et je m’en félicitais sur l’instant.
Elle m’a si bien sucé que je n’ai pu me retenir, je lui ai tout lâché dans la bouche.
Elle a aimé je peux vous le dire, je l’ai senti au frisson qui a accompagné ma jouissance, elle en frémissait de recevoir mon sperme et ses doigts se sont crispé sur ma verge pendant que je me répandais en saccades laiteuses dans sa bouche. Elle a tout pris sans laisser échapper une goutte, jusqu’à l’ ultime que ma queue a pu lui délivrer, sa langue a gobé et sucé le gland jusqu’à ce qu’il fut propre et rose comme au premier jour.
Ma belle mère venait de me tailler la plus belle pipe de ma vie ! Jamais sa fille ne fut en mesure de me faire la même, bien qu’elle aussi fut à bonne école. J’étais là, allongé nu sur son lit, elle était habillée à mes pieds, ma queue encore raide entre ses doigts et elle me souriait, triomphante.
_ « C’était bon non ?! »
Il y avait une bonne dose d’ironie dans cette interrogation qui n’en était pas une en fait. Juste marquer sa victoire, montrer ma faiblesse, ma défaite. J’étais à sa merci, elle savourait son triomphe. Elle m’a chuchoté en me regardant dans les yeux :
_ « Ca restera entre nous bien sur »
Je n’ai rien répondu, j’en étais bien incapable, mais une colère sombre a commencé à m’envahir. J’étais en colère après moi de m’être fait piéger ainsi. J’avais le sentiment d’être ridicule, nu devant une vieille dame qui savourait sa victoire. Je n’ai plus supporté la situation et soudain je me suis redressé sur le lit, je l’ai attiré à moi et j’ai commencé à la dé habiller furieusement.
Sa veste a valsé à travers la chambre, et oui, elle avait gardé sa veste, c’est dire ! Ensuite sa jupe a glissé en un tourne main et son corsage a volé sur la plancher.
Je me suis arrêté pour contempler mon œuvre, elle était en face de moi en soutien gorge et gaine, noirs tous les deux et des bas noirs couvraient ses longues jambes maigres. J’ai regardé le tableau, il y en avait de plus sexy je dois dire mais bon, vu les circonstances et l’arrogance de la dame j’allais pas flancher maintenant. J’ai caressé le soutien gorge et j’ai été déçu, tout était faux la dedans. Un soutien gorge empli forme pour faire croire qu’elle avait des seins alors qu’elle était rigoureusement platte. J’ai eu le tort de le lui enlever, il n’y avait guère que les tétons qui pouvaient faire penser à une femme.
Mais que voulez vous, je ne pouvais pas inventer, c’était ainsi. Et ma rage en a été plus forte.
Moi, voyez vous, j’aime les gros seins. En avoir plein les mains, pouvoir masser des chairs molles que vous sentez se raffermir au fur et à mesure que vous agacez les pointes, que vous faites rouler les tétons entre vos doigts. Et puis bien sur pouvoir mettre sa queue entre les nichons pour la cravate de notaire. Oui, j’aime tout ça et de voir l’absence de nénés de belle maman m’a véritablement frustré, elle était plus plate que moi !
Alors j’ai délicatement pris un téton entre mes doigts et je me suis mis à titiller la verrue rose qui ornait son torse, et là tout à coup je l’ai sentie partir au quart de tour. Elle était hyper sensible du téton la maman de ma femme. Alors j’ai vicieusement poussé mon avantage, j’ai saisi l’autre téton et je me suis mis à les rouler comme un fou entre mes doigts, rien que pour la voir se tordre et rouler sur le couvre lit de satin rose de son grand lit, trop grand pour elle toute seule.
Elle miaulait et feulait, les yeux clos, se tordait et tressautait tandis que je massais et vrillais ses tétons entre mes doigts. Je regardais cela mis effaré mis amusé, ma belle mère secouée de tressaillements bizarres pendant que je lui excitais les nichons. C’était comme une espèce de revanche sur la dame hautaine toujours sur la réserve que je connaissais jusqu’alors.
Au bout de cinq minutes de cet exercice, elle m’a supplié de m’arrêter et la prendre.
_ « Baise moi maintenant ! » m’a t elle soufflé, « Tu m’as excité et j’ai envie de toi ! »
Joignant le geste à la parole, elle s’est allongée sur le dos les cuisses ouvertes en travers du lit et elle a écarté la culotte qu’elle portait toujours, me dévoilant une chatte nature, raisonnablement poilue et mouillée.
Je me suis abattu sur son ventre et c’est elle même qui a guidé ma bite entre sa culotte et sa gaine jusqu’à sa fente offerte. Je n’ai eu qu’à donner le coup de reins pour me propulser en son vagin. Mon gland a ouvert la voie et toute ma queue s’est glissé dans un univers gras et glissant. J’étais resté très dur après sa pipe, son dé habillage, quoique décevant, était un épisode chargé d’érotisme et ma bite frémissait de désir. Elle a englouti mon membre au fond de son ventre et tout de suite je me suis senti à l’aise en elle, une sorte de douceur enveloppait mon sexe qui contrastait avec l’aspect extérieur de la femme, fait entièrement de dureté et d’angularité. Elle avait la chatte accueillante belle maman, elle savait ouvrir les cuisses et recevoir l’hommage de l’homme. J’ai apprécié tout de suite son univers juste taillé pour ma queue, tant en grosseur qu’en longueur, j’occupais toute la place dans sa chatte et à l’entendre ronronner sous moi, on pouvait penser qu’il en allait de même pour elle.
J’ai pensé à cet instant que je devais être le premier depuis bien longtemps et j’ai savouré l’instant, ma bite était entré dans une chatte délaissée depuis des années, je me faisais l’effet d’un défricheur, d’un dépuceleur. J’ai senti ses muscles se contracter autour de mon membre, elle aussi appréciait cette présence qui lui avait fait tant défaut. Pour une femme de son age, veuve de surcroît les occasions ne sont pas courantes et elle se délectait les yeux clos de cette verge qui entrait en elle et écartait ses chairs. Elle palpait par sa chatte interposée ce pieu qui s’enfonçait en son ventre et réchauffait en elle son désir de baise.
Bref, nous savourions l’instant, à des degrés et pour des raisons divers mais nous aimions l’un et l’autre. Je ne bougeais pas, laissant faire les choses, sentant juste les muscles vaginaux d’Henriette, car elle s’appelait Henriette, se crisper sur ma bite.
Quand j’ai amorcé un premier coup de reins lent, très lent, elle a eut un gémissement. Je me suis arrêté pour la regarder. Elle a ouvert les yeux et m’a soufflé « Vas y ».
J’ai repris lentement, très lentement, en regardant son visage en même temps que ma queue esquissait ses premiers vas et viens. Elle s’est mise à geindre doucement, on aurait dit des gémissements de douleur d’abord, mais au fur et à mesure que mon membre entrait et sortait d’elle à un rythme encore ralenti, ces gémissements se sont fait plus sensuels. Encouragé, j’ai poussé un peu les feux , adoptant un rythme léger et soutenu. Ses râles ont crus en volume et en volupté. Ma queue a acquis un bon tempo, plongeant dans un sexe bien huilé, accueillant, il était à l’aise et glissait bien dans les profondeurs de son vagin, le remplissant complètement.
Je baisais ma belle mère sans réticence, lui poussant ma queue bien au fond, à toucher son utérus, je sentais un léger tressaillement de son corps quand je venais butter contre le fond de son sexe. Elle râlait de plaisir sous moi, en un cri continu de femme qui se laissait emporter par son désir d’être prise.
Je l’ai pistonné un moment sur le même rythme, faisant monter en elle le plaisir que je mesurais à l’aune de ses gémissements qui s’amplifiaient peu à peu jusqu’à atteindre un cri continu et presque hystérique.
_ « Vas-y, vas-y, vas-y » psalmodiait-elle au rythme de ma queue s’enfonçant dans son ventre. Je n’avais certes pas besoin d’encouragements, j’étais fasciné par ce visage dont je ne pouvais détourner le regard, la bouche ouverte, les yeux clos et ce râle qui sortait de ce corps que je besognais sans répit, comme si ce fut ma queue qui provoqua le gémissement.
Je pinais de plus belle et je la sentais très proche de la jouissance, j’avais accéléré la cadence fouillant son sexe d’une bite avide, allant et venant sans ménagement, buttant contre l’utérus et la faisant tressaillir à chaque poussée.
Son cri continu m’excitait, je n’avais jamais eu affaire à femme aussi bruyante et manifestant sa jouissance aussi peu discrètement. Ma femme manifestait trop de pudeur pendant l’acte, restant sur son quand à soi, mais sa mère par contre se laissait aller à crier son plaisir-désir en une plainte continue et qui me poussait à encore plus d’envie de la baiser.
J’ai eu moi aussi envie de jouir et je ne me suis pas retenu plus longtemps, j’ai versé un flot de sperme en sa chatte, en une seconde elle a été inondée de mon foutre, surprise de la soudaineté de ce flux de liquide brûlant qui lui emplissait le vagin. Elle a eu un « Oh !! » de surprise et s’est laissé aller à son tour en un long vagissement a****l tandis que son corps se tendait comme un arc au point de me soulever et que seul nos pubis furent en contact. Elle s’offrait à son tour avant de s’effondrer au creux du lit, épuisée de trop de tension. Je m’effondrais à mon tour et nous restions là , l’un dans l’autre, incapables du moindre geste.
Combien de temps sommes nous restés ainsi ? je ne saurais le dire, c’est elle qui a brisé le silence.
_ « C’était si bon ! » M’a t elle susurré à l’oreille.
J’ai relevé la tête pour la regarder dans le yeux, en bougeant je me suis rendu compte que je bandais encore vaguement, ma queue toujours enfouie en son vagin. Je l’ai regardée, elle me souriait avec une certaine bienveillance, toute morgue avait disparue de sa face, elle avait perdu son arrogance en prenant sa dose de sperme.
_ « Tu ne pensais pas baiser ta belle mère de si tôt ?! » m’a t elle lancé. Je n’ai su que répondre, tout cela était si subit, si inattendu.
_ « Avoue que tu ne pensais pas la baiser du tout ! » J’ai souri bêtement, c’est tout ce que je pouvais faire dans l’instant.
_ « Moi ça fait longtemps que j’ai envi de toi, avant même que mon mari ne disparaisse »
Je ne savais toujours pas quoi articuler à cette femme qui me déclarait sa flamme.
_ « J’ai eu envi de toi dès que je t’ai vu avec Maud (ma femme) je me suis dis qu’elle avait de la chance et si un jour l’occasion se présentait, il ne faudrait pas que j’hésite. »
J’avais l’impression d’être tombé dans une embuscade et que je m’empêtrais dans un filet.
_ « Tu sais je l’ai dit à Maud que son mari me plaisait, bien sur elle ne m’a pas cru, et surtout elle n’a pas cru que je pourrais coucher avec lui. Il est vrai que je ne le lui pas dis ! qu’est ce qu’elle aurait pensé de sa mère ! »
La dessus elle se met à pouffer de rire. Moi je la regarde complètement hors du coup, ne comprenant pas ce qui m’arrive. Ma belle mère a retrouvé son sourire ironique et je me trouve un peu bête dans cette position qui pourrait paraître dominante vu que je continue à la chevaucher. Elle me regarde toujours, souriant, et tandis que je sens des contractions autour de ma verge. Elle recommence à enserrer ma queue et à la masser avec ses muscles vaginaux. La fougue de la jeunesse fait le reste et me voilà une nouvelle fois bandant et pénétrant la chatte de belle maman. Je suis effaré de ma propre attitude, comment puis je bander pour cette femme vieillissante, sans attrait et qui est la maman de ma femme ? Je n’aurai jamais la réponse, et je dois constater que ma bite est raide.
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