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L’iris pourpre – Partie 1

L’iris pourpre – Partie 1



Le chant des cigales résonnait encore dans ma tête. J’avais la tête appuyée contre la fenêtre du train qui m’emmenait vers une nouvelle vie, loin de mes parents, loin de mes amies, loin de tout. J’allais poursuivre mes études à 400 kilomètres de ma maison. Pour la première fois, j’allais avoir mon propre appartement. Après tout, à 19 ans, c’est normal de quitter le nid, non ?

Ce qui l’es moins en revanche, c’est d’avoir toujours sa virginité. Toutes mes copines l’avait déjà fait de nombreuses fois, j’étais la seule encore vierge. Je n’avais même jamais embrassée de garçon. Ce n’est pourtant pas l’envie qui m’en manquait, mais j’avais comme un blocage. Très peu de garçons m’approchaient, et je refusais catégoriquement toutes leurs propositions.

J’étais pourtant une grande fada de sexe. Il y a même des fois ou je me faisais un peu peur quand à mes pratiques solo. Je me masturbais plusieurs fois par jour, et, seule, j’avais déjà fait tout ce qui était faisable, et j’avais jouis plusieurs fois sur toutes les catégories de vidéo porno trouvables sur internet.

J’ai toujours appréhendée le fait de devenir une adulte, et encore plus le fait de ramener un copain à la maison, et de devoir le présenter à mes parents… Le malaise… Mais cette fois, j’étais bien décidée à coucher, et peu importe avec qui. Je ressentais un manque constant, et la masturbation n’arrangeait rien, au contraire.

Le train était déjà arrivé en gare. Je ne mis pas longtemps avant d’arriver a mon appartement. Je l’avais déjà un peu aménagée lorsque j’étais venu quelques semaines plus tôt. J’avais donc juste à défaire ma valise.

J’allais reprendre les cours que dans deux semaines. Je n’aurais donc aucune occasion de rencontrer des mecs d’ici là. Comme je n’avais rien à faire ce soir, je sortis mon plug anal gonflable, mon vibro hitachi et mon gode. Je les avais acheté tous les 3 en cash au sexshop de ma ville pour ne pas laisser de traces bancaires. En plus, si je les avais commandés sur internet, mes parents seraient certainement tombés dessus dans la boite aux lettres, et je ne veux pas qu’ils sachent que leur fille est une salope.

Après les avoir sucés goulûment pour les lubrifier, j’enfonçais sans hésitations mon plug et mon gode. Je mis en marche mon vibro et caressa mon clitoris avec celui-ci. Puis j’attrapai l’extrémité du gode et commença à faire des va et viens de plus en plus rapides, jusqu’à finir trempée.

Je tremblais de plaisir, j’avais à la fois chaud et froid, puis au bout d’un moment viens l’orgasme tant attendu. J’arrêtais mon vibro, et je m’allongeais comme une masse sur mon lit, nue, avec mes orifices toujours comblés par mes jouets.

Après plusieurs minutes de récupération, je mis mes sextoys dans le lavabo puis je remis mes fringues. J’avais encore faim. Une faim irrassasiable de sexe. Il m’en fallait plus. Il m’en faudrait toujours plus.

Je traînais sur internet pour avoir des réponses. « Comment coucher rapidement », « comment baiser dans ma ville »… Je cherchais à peu près tout et n’importe quoi. Je m’arrêtais net sur le topic d’une fille qui se faisait payer…

A suivre.

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