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LA PATRONNE SALOPE

LA PATRONNE SALOPE



Histoire d’un autre : je m’appelle Éric, j’ai 28 ans et je suis électricien. Je précise parce que c’est important. Il y a 6 mois, j’ai travaillé pour une femme dans les Hauts-de-Seine. Elle s’appelle Clara, elle est plus âgée que moi, genre milieu de la quarantaine. Elle voulait que je refasse tout le système électrique du sous-sol de sa grande baraque pour le transformer en salle de jeu. On est vraiment chez les gros bourgeois, là. Son mari est trader à la Défense, mais il voyage beaucoup. Elle, elle reste à la maison. Je sentais bien qu’elle cherchait des distractions, la Clara. Elle se plaignait toujours devant moi que son type n’était jamais là, qu’il ne s’occupait pas assez d’elle. Et puis elle avait ce petit côté coincé qui m’excitait beaucoup, tu sais ? Blonde et mince, avec un chignon, toujours la bouche en cul-de-poule et se baladant devant moi en peignoir de satin… Je ne tenais plus, j’avais du mal à me concentrer sur le taf. Je prenais du retard exprès même !

Un jeu s’est installé entre nous : Clara me regardait travailler et nous flirtions. Je lui disais qu’elle était belle. Je complimentais ses tenues. Elle me jetait un regard un peu coquin, puis elle s’en allait. J’avais posé une fois ma main sur sa cuisse. Elle m’avait répondu froidement : « Qu’est-ce que vous faites, là ? ». Puis elle avait éclaté de rire, avant de se barrer en ondulant du cul. Je me branlais tous les soirs en pensant à elle, mais je m’étais fait une raison. Tout ça, c’était qu’un jeu.

Deux semaines après le début des travaux, j’étais sur une installation super difficile. Il y avait des sacs de ciment et de plâtre partout, j’avais du mal à me déplacer et j’étais en sueur, alors j’ai retiré le haut. C’est le moment que ma patronne a choisi pour débarquer. « – Ça ne vous dérange pas ? – Non, non, je vous en prie, Madame. » J’essayais de me concentrer sur le boulot. Mais au bout de quelques minutes à la voir se tortiller bizarrement, je me suis rendu compte… qu’elle se touchait en me regardant !

Clara s’était assise sur un sac de plâtre et avait relevé son peignoir. Rien dessous, juste sa chatte et son index qui branlait son clito. J’ai halluciné « – Vous ne m’avez pas fait votre gentil petit compliment, Éric. – Je suis désolé, le boulot est dur aujourd’hui. – Et il n’y a pas que le boulot qui soit dur ? – Venez près de moi… » Je me suis assis sur le sac à côté d’elle, tout rouge, entre la gêne et l’excitation. Là, la boss a sorti un nichon et a pris ma main toute sale pour la poser dessus.
« Vous n’avez rien à me dire sur ma poitrine, Éric ? » Je me taisais. Je sentais que ça l’énervait, mais je voulais voir jusqu’où elle irait. « Dites, vous êtes mal luné aujourd’hui ! Vous avez déjà pris une de vos clientes sur un chantier ? » Et elle m’a obligé à la palper plus fort.

Jamais, mais c’était le moment ! J’ai arrêté de me retenir et je me suis relevé pour me planter devant Clara. Comme ça, elle était à la bonne hauteur : celle de ma braguette ! J’ai sorti mon engin. Il était large et veineux, mais surtout, il sentait fort à cause du travail. Clara a humé et souri d’un air pervers. Tout en me regardant dans les yeux, la bourgeoise a tendu la langue et a léché du bout jusqu’à la base, nettoyant la sueur et la crasse avec gourmandise. Puis elle a soulevé mes couilles pour les avaler et en faisant traîner sa langue du côté de mon cul. J’avais tellement sué… Mais ça ne l’a pas gênée, au contraire : là aussi, elle a tout nettoyé avec des bruits de chatte qui lape une coupelle de lait.

J’ai eu envie de la baiser, alors je l’ai carrément attrapée par la taille et je l’ai retournée sur le sac de plâtre. Sa teuch était toute lisse et coulait bien : quand j’ai écarté avec les doigts, ça a fait un filet transparent entre les lèvres. Pas besoin d’attendre : je l’ai plaquée vers l’avant, puis je l’ai enfilée. Elle s’est mise à beugler. Ah, elle en voulait ? J’allais la pilonner façon marteau-piqueur !

Sous mes coups de bite espacés mais violents, Clara s’est enfoncée dans le sac de plâtre, qui a fini par crever. Il y avait de la poussière partout. J’ai foutu la main dans le sac, puis j’ai claqué son cul pour laisser une belle marque blanche. Paf ! Paf ! Une fessée pour la bourgeoise ! Elle criait fort à chaque tape. Son peignoir était tout défait, c’était hyper sexy… J’ai pilonné violemment, tout couvert de sueur et de plâtre. « Oh oui, Éric, vas-y, enfonce-là ! Mets-moi ta grosse bite, souille-moi comme une chienne ! »

Ça m’a tellement surpris que Clara parle comme ça. J’ai bien failli jouir, alors j’ai un peu ralenti pour me calmer. Mais elle a agrippé mes fesses pour me forcer à garder le rythme. « Baise-moi comme ça, plus vite ! » Le plâtre volait partout, le peignoir pendouillait… « Jouis maintenant, je veux sentir ton sperme tout sale dans ma chatte ! » S’en était trop : j’ai lâché une fournée épaisse entre ses cuisses.

Mais Clara ne m’a pas laissé de répit. Toujours vautrée sur le sac, elle a écarté son cul. « Lèche-moi l’anus, Éric. Tout de suite ! » C’est donc comme ça qu’elle prenait son pied, cette grosse salope ? J’ai donc léché son étoile, d’abord tout autour, puis au milieu, et enfin dedans. J’en ai même profité pour la doigter avec mon majeur tout crado. Elle gémissait en suppliant que je continue.

Ça m’a rendu fou : il ne m’a même pas fallu deux minutes pour rebander. Sans demander son autorisation, j’ai profité qu’elle se dilatait à vue d’œil pour lui cracher dedans, puis je lui ai enfilé le cul sans ménagement. Je l’ai bourrée à nouveau, mais cette fois-ci par derrière et en lui tirant son chignon trop serré. Elle a joui très vite et moi, j’ai remis une petite giclée pour la route. Clara, toute essoufflée et honteuse, a ensuite remis son peignoir et s’est tirée en traînant la patte tellement je l’avais dérouillée.

Elle m’a confessé plus tard qu’elle réservait d’habitude la sodomie à son mari. De sentir une autre queue, ça l’avait « troublée », comme elle a dit. Et après m’avoir régulièrement sauté dessus jusqu’à la fin des travaux, ma petite catin des Hauts-de-Seine m’a demandé si je pouvais rester quelques semaines supplémentaires pour m’occuper du grenier…

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