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La petite couturière

La petite couturière



Le métier de couturière ne se résume pas à raccourcir des pantalons et à recoudre des fermetures éclair. Il arrive que des clients ou des clientes me demandent des choses bien plus passionnantes. Modifier la coupe d’une robe, par exemple. Ce fut le cas d’une femme que je n’avais jamais vue auparavant, et qui entra dans ma boutique un matin en pleine semaine.
Une femme très bien sur elle, assez grande. Un chignon soigné, une forte poitrine et de longues jambes. Je lui ai donné la cinquantaine. Sa demande sortait de l’ordinaire de mon travail : la robe de marque que son mari lui avait offerte pour son anniversaire n’était pas assez fendue, selon elle.
Elle sortit la robe d’une poche en papier et la déplia délicatement sur ma table de travail. Elle était assez longue et souple, couleur de noix, très agréable au toucher. La femme me dit alors :
« Pourriez-vous augmenter la fente d’environ vingt centimètres ? »
A vue d’œil, la robe était déjà bien fendue, au moins jusqu’en haut des cuisses. Je n’aurais aucune peine à la découper, puis à reprendre la finition jusqu’au niveau souhaité.
J’ai répondu :
« Elle risque d’être vraiment très fendue. »
« Oui, dit la femme en souriant. C’est ce que je souhaite. »
« Bien, répondis-je. Pouvez-vous la passer, afin de bien définir le niveau de coupe ? Il y a une cabine au fond de la boutique. »
Deux minutes plus tard, elle ressortit avec cette robe sur le corps. Et je sus tout de suite ce qu’elle souhaitait exactement.
« Vingt centimètres, dis-je, cela signifie qu’on verra l’élastique de votre culotte. Et même un peu plus haut. »
« C’est ce que je souhaite, dit-elle en me souriant. Je la porterai sans rien dessous. C’est aussi ce que veut mon mari. »
« Parfait, répondis-je en admirant la robe. »
Elle était coupée juste au-dessus des chevilles. Le dos était dénudé et il me sembla évident qu’on ne pouvait pas porter de soutien-gorge avec ce genre de vêtement hautement soigné et admirablement découpé. A moins d’être très indélicat. Ni soutien-gorge, ni culotte donc.
« Est-ce possible ? dit la femme. »
« Oui. Sans aucun problème. »
« Combien de temps vous faudra-t-il ? »
« Deux jours, cela vous convient ? »
« C’est parfait. »

Mais je me mis au travail le jour-même, pour la simple et bonne raison que je n’avais qu’une envie : essayer cette robe. Et c’est ce que je fis le soir, chez moi, dans ma chambre. Je me mis à poil et passai la robe sur mon corps. Puis je me regardai dans la glace de mon armoire. Le décolleté était à la limite de l’insolence, mais pas autant que la fente dessinée le long de ma cuisse gauche. Elle montait bien au-dessus de ma taille, revendiquant clairement que je ne portais pas de culotte.
Je me suis assise au bord de mon lit, toujours face au miroir, puis je me suis touchée. D’abord la cuisse en question, puis un sein. Je l’ai fait déborder du décolleté, de sorte à ce que mon téton dépasse un peu. Ensuite, j’ai écarté le pan de la robe jusqu’en lisière de ma chatte.
Dans le miroir, je me suis adressée à la propriétaire du vêtement.
Je lui ai dit :
« Espèce de grosse salope. »
Puis je me suis branlée.
Avec mes doigts pour commencer, en observant la scène dans le miroir. Et avec une bouteille en verre. Je me suis faite jouir deux fois de suite, puis j’ai enlevé la robe pour me mettre à quatre pattes sur mon lit et m’enculer avec la même bouteille.

Deux jours plus tard, c’est le mari qui vint récupérer la robe retouchée. Il avait au moins cinquante-cinq ans. Les cheveux grisonnants, assez grand, comme sa femme. Un peu plus grand que moi. Un bel homme, élégant, plein de fric, ça se sentait.
Je lui ai montré la robe. Il l’examina à la lumière, en particulier au niveau de la fente que j’avais augmentée, puis il me regarda et dit :
« Ça me semble très bien, mais… »
Il reposa la robe sur ma table de travail et compléta :
« Cela vous ennuierait-il de la passer, afin que je sois bien certain que la fente monte suffisamment haut ? Vous êtes à peu près de la même taille que mon épouse, cela devrait me donner une bonne idée. »
J’ai accepté.
La veille, je m’étais de nouveau branlée devant ma glace avec cette robe de salope. J’avais joui trois fois. Et, tout en me déshabillant dans ma cabine d’essayage, tandis que l’homme patientait, j’ai repensé à ce que j’avais fait.
Je me suis mise toute nue, puis j’ai enfilé la robe. Je l’ai ajusté dans le miroir de la cabine, puis, pieds nus, je suis ressortie.
Et en me voyant, l’homme s’est aussitôt écrié :
« C’est merveilleux ! C’est absolument parfait ! »
Je me tenais debout à deux mètres de lui et son regard n’en finissait pas d’arpenter les courbes de mon corps avec cette robe.
Il ajouta :
« Vous êtes sublime. Pouvez-vous vous retourner ? »
J’obéis.
« Bon sang… dit l’homme dans mon dos. Vous avez de superbes fesses. Quel âge avez-vous, mademoiselle ? »
« Vingt-neuf ans, dis-je. »
« Voilà, dit l’homme. Vous avez les fesses que ma femme avait il y a un peu plus de vingt ans. Et à peu près la même poitrine. Vous êtes sublime, répéta-t-il en s’avançant vers moi. »
Je lui ai refait face.
Il était à moins d’un mètre.
Il a dit :
« C’est exactement ce que nous voulions, ma femme et moi. Cette fente le long de votre cuisse, bon sang… C’est tout à fait réussi. Voulez-vous savoir quel détail me plait particulièrement ? »
J’ai haussé l’épaule et il a pointé le doigt vers ma cuisse en disant :
« La marque de l’élastique de votre culotte, là. C’est vraiment splendide. J’irai même jusqu’à dire que c’est émouvant. »
« A ce point-là ? dis-je. »
Il fit un pas de plus vers moi en répondant :
« Oui. Emouvant, c’est le mot. Vous êtes toute nue sous cette robe et c’est parfaitement émouvant. Ma femme ne m’a pas menti, ajouta-t-il. Vous avez un corps magnifique. »
Sur ces mots, il posa une main délicate à l’emplacement de l’élastique de ma culotte, puis il répéta :
« Ma femme ne m’a pas menti. »
Je repensai à ce que j’avais fait devant ma glace deux soirs de suite. Je m’étais défoncée.
Et à présent, l’homme faisait glisser lentement sa main sous le tissu de la robe pour atteindre ma fesse gauche, tout en me regardant dans les yeux. Il la caressa d’abord, puis il la cramponna en disant :
« Mademoiselle, verriez-vous un inconvénient à ce que je me masturbe sur la marque de l’élastique de votre culotte ? »
Je n’ai pas réfléchi longtemps. Nous nous tenions debout au beau milieu de ma boutique, et n’importe qui pouvait entrer à tout moment, mais je lui ai répondu :
« Allez-y, mais ne soyez pas trop long. »
Et il sortit sa queue.
Elle était toute molle, mais il se mit à la branler énergiquement et je la vis prendre du volume rapidement. Dans un même temps, avec son autre main, il écarta le tissu de la robe afin de découvrir ma chatte. Je l’ai laissé faire. Sa bite était bien raide désormais, et je sentais qu’il n’allait pas trainer longtemps. Mais avant d’éjaculer comme convenu, il prit le temps de passer ses doigts dans ma fine toison, puis de me palper un sein. Ensuite, pour finir, peu avant d’éjaculer, il revint à ma fesse et s’aventura jusqu’à mon anus. Je l’ai laissé faire.
Et il se termina sans plus tarder avec sa main gauche.
Son sperme épais vint se coller à ma hanche. De grosses gouttes qui ne coulèrent pas. Elles restèrent cramponnées à ma peau et je n’eus aucun mal à les évacuer ensuite, après avoir léché le gland de mon client.

Puisque je vous dis que le métier de couturière ne se résume pas à raccourcir des pantalons et à recoudre des fermetures éclair.

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