L’aventure que je vais vous raconter s’est passée il y a maintenant 6 mois.
Si les détails sont nombreux et précis c’est sans doute par ce que cette aventure a changé ma vie et que je l’ai rapidement retranscrite pour pouvoir m’en souvenir. Et aussi par déformation professionnelle de scientifique…
Je suis Françoise, professeur en Faculté, 38 ans, blonde aux yeux verts, 1.55 m pour 42 kg TP 95 C pour les amateurs de silhouette. Chaque année, un Congrès de Pharmacologie a lieu quelque part dans le monde et cette année, les responsables ont choisi de nous faire travailler dans un pays chaud.
Autant faire coïncider l’agréable avec le travail. Une semaine de travail pour bien se changer les idées.
Les idées, en ce moment, elles sont grises.
Mon mari a été victime de ce que nous appelons un AVC, accident vasculaire cérébral à 45 ans. Un vaisseau qui pète dans le cerveau. En fonction de la taille de la veine et de sa localisation, on en meurt ou on en reste très diminué. Lui, il a survécu. La moitié du corps engourdie et paralysée. Depuis 6 mois, il progresse beaucoup, il a repris le dessus et s’il a recouvré la parole, il est toujours dans un fauteuil roulant depuis bientôt 18 mois… 18 mois de courage pour nous deux, pendant lesquels j’ai du faire face à mon travail d’enseignante en Pharmacologie Dynamique aux étudiants de 5 ème année de la Faculté de Médecine, plus la « paillasse » l’après midi. Mais bon, il ne faut pas se plaindre, le plus dur est pour lui.
Bien évidemment, toute vie sexuelle est impossible et si pendant les 3 premiers mois, je n’ai eu plus aucune libido, il m’est arrivé, depuis qu’il est rentré à la maison en hospitalisation à domicile d’avoir envie d’un câlin. Je me suis caressée furtivement, en cachette, avec un immense sentiment de culpabilité. Certes, dans mes pensées érotiques, je faisais l’amour avec mon mari, mais comment pouvais-je me donner du plaisir quand lui ne pouvait plus rien faire, à quelques mètres de moi, dans la pièce d’à côté ?
Mon mari, brillant chercheur en thermodynamique, est un homme à l’esprit ouvert et quand il a pu communiquer un peu avec moi, m’a fait savoir qu’il ne fallait pas que je renonce à ma vie sexuelle sinon à ma vie de femme. Il m’a dit immensément regretter ne plus pouvoir me prouver son amour et par-là me donner du plaisir. « Tu es trop jeune pour ne plus avoir de relations sexuelles. Il m’a encouragée à me caresser. Tout d’abord, je me suis caressée dans la chambre, lui restant dans la pénombre, pour m’éviter le poids de son regard, mais je n’y arrivais pas. Il m a ensuite proposé de m’acheter un godemiché car c’était surtout la pénétration qui me manquait. Mais je n’ai jamais osé franchir le seuil d’un sex-shop. Je me suis donc caressée enfin devant lui et je suis arrivée à me procurer quelques miettes de plaisir arrachées à la vie quand celle ci n’est plus un long fleuve tranquille…
Bref, j’avais besoin de dépaysement au bout de ces 18 mois de soins constants et d’angoisse. J’ai pu faire coïncider mon Congrès avec un séjour en Clinique de rééducation pour Jean où il réapprendrait à se lever, voire à marcher… Il m’a assurée qu’il n’avait pas besoin de son infirmière adorée -sa petite femme- et que je devais me changer les idées. J’ai bien reconnu là son courage et c’était vrai qu’il avait raison. J’avais besoin de penser un peu à moi et cesser de faire l’infirmière 10 heures par nuit.
Donc, un aller en avion pour Paris ou j’ai retrouvé des collègues de ma Fac mais aussi de la France entière et c’est dans un groupe de 150 enseignants que je me suis fondue pour prendre un premier avion pour Madrid puis un second pour Dakar. Vols fatigants mais, on en profite pour papoter entre nous de choses et d’autres, que ça soit professionnel ou des choses anodines.
Première demi-journée libre pour récupérer et défaire les valises, voire se reposer un peu. La piscine de la résidence est juste en bas de mon bungalow. Une douche, et une tête. Quel bonheur, ne penser à rien, même pas à soi. Bonne nageuse, je fais des longueurs en apnée, je me régale sentir cette eau à 27 ° C s’insinuer en moi. Je sors d’un bond, et m’effondre dans une chaise longue, encore ruisselante. Comme souvent après ce genre d’exercice un peu violent, je me laisse aller et je m’assoupis un peu. J’ouvre les yeux quand j’entends des pas qui se rapprochent de moi.
C’est Charles, un collègue de Paris, qui, au courant de mon célibat forcé, vient pointer son museau…ou sa truffe ou sa queue…La chasse est ouverte et ça n’a pas été long…..
– J’ai su pour ton mari… C’est pour ça que vous n’êtes pas venu l’année dernière….
– On ne peut rien te cacher…
– Alors, comme ça, seule et abandonnée, me fait il avec un sourire qui se voudrait Gibbs….
– Seule, mais pas abandonnée
Il se permet une main aventureuse sur mon épaule et entame un couplet qu’il m’avait déjà servi il y a 15 ans quand nous étions étudiants.
– Ah, la solitude, ça n’existe pas et si tu savais que moi-même, je ………
– Ecoutes Charles, t’es gentil, tu es marié avec une bonne copine, je suis mariée et loin de moi toute pensée d’avoir une aventure avec toi, alors t’es gentil, tu me lâches.
La tronche !!! Il se relève rapidement. C’est le râteau express de 18 h 45.
– Bon, je vois que ta parano ne s’est pas calmée. On se voit demain au Congrès ?
– C’est ça. A demain Charles. Et bien le bonjour à Marie Christine. »
Deux jours de cours sur les nouvelles techniques enzymatiques de séparations et de différenciations moléculaires. Enfin deux matinées. Les après-midi, je les passe au bord de la piscine avec Laurence, collègue basée A à Nantes, divorcée depuis deux ans. Lassée des infidélités masculines, elle a décidé de consommer du mâle sans se fixer. Nos conversations sont souvent inavouables et nous piquons des fous rires comme des gamines.
Nous consommons des cocktails que nous nous faisons apporter soit au bord de la piscine, soit au bord de la plage. Le grand truc, c’est d’emmener les chaises de l’hôtel dans l’eau et de papoter en regardant passer les gens, comme aux terrasses de cafés des grandes villes. L’eau à 28 ° C est délicieusement bonne. Nous enlevons le haut du maillot et les Noirs n’ont pas l’air affolés des mœurs européennes. Entre femmes, nous en profitons pour dire du mal des mâles français qui, mariés ou pas se jettent sur la première proie, mariée ou pas… Dans nos champs de vision passent les Sénégalais, garçons ou filles qui sont très bien fichus. Des cuisses, des pectoraux, des poitrines insolentes…
– Il y en a quelques-uns que je prendrais bien pour mon dessert, me souffle Laurence en voyant de loin s’approcher un superbe Noir.
C’est le serveur de l’hôtel, pour le côté plage. Il s’arrête face à nous et d’un grand sourire me lance :
– Que prendra mon professeur ?
– Pardon ?
– Madame mon professeur, je vous demande si vous désirez boire quelque chose.
– Pourquoi m’appelez-vous comme ça, nous sommes 150 ainsi ?
– Mais par ce que vous êtes mon prof à la Fac de Marseille. 5 ème année.
– Vous…. Vous… êtes mon élève ?
– Oui, avec 125 autres.
Le bol !!! C’est tout moi ça ! 3 500 km et je me retrouve dépoitraillée devant un de mes étudiants.
– Excusez-moi, c’est pour ça que je ne vous ai pas remis.
– Sans importance et puis je sais que pour vous autres Blancs, ajoute t’il avec un grand sourire, tous les Noirs se ressemblent.
– Non non, ça n’est pas ça, mais que faites-vous ici, demande-je stupidement
– Je suis chez moi et je paie une partie de mes études en travaillant ici, avec mon oncle au Bar.
– Oh je vois. Eh bien, je suis ravie de vous savoir ici Monsieur …Monsieur….
– Oh pas de Monsieur. Ici, pour tout le monde, c’est Barthélemy
Je me sens stupide, là devant lui, les seins à l’air, les jambes écartées dans l’eau.
Laurence intervient.
– Alors Barthélemy, si vous voulez bien nous servir, vous pouvez nous mettre ce que vous voulez. Pour deux.
Elle le regarde d’un air équivoque.
Barthélemy hésite devant ce double langage. Il ne sait sur quel mode il doit répondre.
– Ce que je v…..
Je regarde Laurence. Elle semble très sérieuse et continue, imperturbable.
– C’est vous le spécialiste. On vous laisse décider ce qui peut être bon pour nous. 2 femmes seules qui ont soif de tout.
Il répond du tac au tac
– Oh Madame, le choix est bien difficile, mais je tenterais de vous contenter toutes les deux et pour le mieux. Je crois que je vais vous trouver quelque chose qui vous plaira.
Il s’en retourne vers le bar.
J’apostrophe Laurence.
– T’es complètement folle de le brancher comme ça !
– Moi ? Mais je n’ai rien fait !!!! s’amuse t elle
– Tu rigoles, tu lui dis de nous mettre ce qu’il veut …….
– T’as pas vu comment il nous matait tout à l’heure quand on se mettait de la crème sur la poitrine? Ca fait 3 fois qu’il vient à côté de nous, ranger des chaises qui sont là depuis deux jours…Pour une fois qu’on sait sur quoi on peut tomber. Tu sais, les hommes, c’est comme la neige, on sait jamais combien de cm on va avoir et combien de temps ça va tenir…..
– Alors que là ????….
– Là, ma fille, c’est pas de la neige, c’est de l’ébène. Brut de brut. Rien que du bon. Ecoute, entre un collègue blanc de 45 balais, bedonnant, perdant ses cheveux, marié et qui va essayer me tirer comme un lapin en me gueulant si je la sens bien sa petite frite, un jeune black bien fait, beau et costaud sous tous rapports, le choix est vite fait… Et moi je te dis, qu’il est mignon et qu’en plus il a l’air d’avoir un sacré paquet.
– Qu’est ce que tu en sais ?
– Avant d’épouser Jacques, j’ai eu une autre vie. Des expériences de couleurs, si on peut dire, en parlant de noir…..
– Tu rigoles ?
– Oh que non, et crois-moi, toute femme blanche devrait passer par-là, si tant est qu’elle aime le sexe.
– A ce point ?
– Ma fille, dit-elle d’un air sentencieux, tu peux pas savoir comme ils ont envie d’être à la hauteur de leur réputation, comme ils aiment la chair blanche, et …… comme leur queue est longue et dure, finit-elle en pouffant, heureuse de sa chute.
– Ils ne sont sans doute pas tous comme ça.
– Pas un pour rabaisser l’autre ! Et puis t’as vu comme il nous matait. Ma fille, on a le ticket ! Eh bien à toi de regarder. Vise le paquet qu’il a dans son bermuda et sans effort…
Elle a à peine le temps de finir sa phrase que Barthélemy est de retour, les yeux effectivement rivés sur ses seins. Un grand sourire Banania illumine son visage.
– J’espère que vous allez vous régaler, mesdames. C’est ma spécialité.
– J’espère que c’est pas la seule …
– J’aimerais vous faire connaître d’autres spécialités du Sénégal
– Qui sont ……???
– Très spéciales ……, mais après mon service, vers 22 h
– Vous nous mettez l’eau à la bouche … Dites en plus.
– Des cocktails plus corsés, de la danse de chez nous, mais j’y pense, pour les cocktails, venez plutôt, disons vers 21 heures. Je vous offrirai ma potion magique, comme disent les Séné gaulois.
– Les Séné quoi ???
– Les Français de souche qui vivent depuis longtemps au Sénégal.
– Et cette potion magique ? s’enquiert Laurence
– Une surprise …. Alors, c’est d’accord ? 21-30 h au bar.
– A ce soir Barthélemy » s’élance Laurence.
Laurence me regarde, un air égrillard dans les yeux.
– Ma fille ce soir, t’as le choix. C’est ou la soirée chiante avec un laboratoire de produits chimiques qui va essayer de nous fourguer sa came, ou bien on va s’encanailler. Boire, danser, et plus si affinités…Ca va me changer des connards de France et de leurs culs coincés. La proposition est soumise au vote… Je vote pour, dit-elle en levant ses deux bras au-dessus de sa tête, ce qui a pour effet de vider son verre au-dessus d’elle…. Bon, j’en serais quitte pour rappeler le beau Barthélemy
– Vraiment, t’es pas bien…
– Ecoute, j’en ai marre des 5 à 7 avec des stressés, des paumés, des cas sociaux, des mecs qui sont persuadés que le maximum de l’érotisme consiste à te mâchonner le lobe de l’oreille, après t’avoir bidouillé le clito 30 secondes. Quand ils le trouvent ! Quand ils y pensent ou pire s’ils savent ce que c’est et où ! J’ai envie de faire l’amour et qu’on me fasse l’amour. Point barre. Exister en tant que femme. Ni plus, ni moins.
– Ah l’amour toujours, la Femme avec un grand F, l’Homme avec un grand H …
L’amour surtout, me coupe t elle, l’Amour avec un grand Q mais je préfère l’homme avec un gros sexe…
– Tu as sans doute raison.
– Un peu que j’ai raison. Pas de crétin qui va me coller, pas de jaloux, pas ou peu de sentiment et puis surtout, beaucoup mais alors vraiment beaucoup….. ».
Elle laisse sa phrase en suspens
– Oui ?
– Surtout beaucoup de sexe….En quantité, en longueur et en largeur en couleur.
Je m’amuse de son excitation exagérée.
– Je vais surtout croire que son cocktail ou le peu que tu en as bu te monte à la tête.
– Pas du tout, Docteur, rien ne m’est monté à la tête. Tout est descendu directement là, dit-elle en me désignant l’emplacement de ses ovaires sur son maillot.
Tu sais, ça va faire 6 mois que je ne suis pas éclatée ou plutôt qu’on ne m’a pas éclatée… (Se reprenant soudain). Ma pauvre chérie, je suis idiote de me plaindre quand toi ….
– C’est vrai que depuis quelques temps, je ne suis pas à la fête
– Ecoute, ce soir, on s’amuse. On fait les folles et advienne que pourra !
– En attendant ce programme intéressant, je rentre prendre une douche et puis je vais téléphoner après le repas à Jean. 20 h au bar ? OK ?
– Ca marche.
19 h 30 Après une bonne douche presque froide pour me débarrasser de l’eau sablonneuse de l’Océan et tenter de chasser les idées coquines infiltrées dans ma tête. Décidément cette Laurence, quel numéro !
En parlant de numéro, le portable passe mal et je me dirige vers la réception pour avoir un téléphone filaire.
Une superbe sénégalaise me dit avec un sourire éclatant d’au moins 50 dents que je serai plus au frais au téléphone de la piscine.
Effectivement, une petite brise du soleil couchant évapore les petites gouttes de sueur et laisse une agréable sensation de fraîcheur.
J’arrive à avoir Jean au bout du fil. Il s’est habitué à son nouveau séjour. Il a fait quelques progrès et m’enjoint de bien me reposer.
– Que fais-tu ce soir ? Demande t il.
– Je mange avec Laurence et on va boire ensuite un verre avec des amis éludé-je.
– Il y aura des hommes avec vous ?
– Pourquoi me demandes tu ça ?
– Profites en bien mon doux amour, amuse-toi et pense à toi. Tu t’es bien occupée de moi, pense à toi.
– Tu sais, ça ne sera pas une soirée extraordinaire. » Il doit sentir que je mens mal.
– Vas danser, amuse-toi mais « Save the last dance for me ».
– Tu veux dire ?
– Profite de la vie, j’ai confiance en toi, tu sais comme ça va m’aider. Défoule-toi, prends du plaisir, je ne serai pas jaloux.
– Tu es gentil. Je t’aime. A très bientôt.
– Bonne nuit mon amour.
A peine raccroché, je sens une douce main se poser sur mon épaule, je me retourne, Laurence est là, superbe. Robe à volets, fendue jusqu’en haut des cuisses, un décolleté verti-gi-neux mettant en valeur sa belle poitrine, sans sous tif, un maquillage de la reine de Sabbat.
– Alors, dit-elle, la nuit est à nous ?
– Oui, j’ai même la permission de minuit de Jean. Il va bien et insiste pour que je m’amuse tout plein.
Je reconnais bien là sa grandeur d’âme.
Barthélemy est là derrière son comptoir.
– Que puis-je vous servir ?
– Faites-nous le plein, en lançant un regard égrillard à faire bander un aveugle.
– Alors un Spatial pour tout le monde. C’est moi qui offre.
– Qu’est ce ?
– Bois bandé, rhum, Cola, Ginseng, zestes de citron et glace pilée.
– Whaouh !!! C’est pas ce qu’on met dans les moteurs d’avion ?
– Non-Madame, dans les boosters des lanceurs de la navette spatiale…Mais ils ont arrêté, ça faisait des trous dans les réservoirs… Maintenant, c’est devenu la boisson nationale du village…
– Allez, on essaie
La boisson est délicieuse, la tête me tourne un peu.
La musique est envoûtante et Laurence s’est mise à onduler sur la piste en me défiant du regard. Elle est rapidement entreprise par 1 Blanc et 3 ou 4 Sénégalais.
C’est bientôt l’inévitable salsa et les chansons de la Compagnie Créole. Barthélemy me sourit et me propose d’aller la rejoindre sur la piste.
– Mon service est fini. Je suis libre et …disponible.
– Avec plaisir.
Pendant ce temps, Laurence a pratiquement disparu sous les mâles sénégalais qui le serrent de près. Elle est à son affaire en ondulant des hanches. Elle retourne au bar reprendre un autre verre suivi du regard brûlant de 4 ou 5 hommes et retourne sur la piste en entendant la musique d’un Collé Serré. Un grand mâle s’empare d’elle et ils miment pratiquement l’amour sur scène. Ses cuisses fuselées dépassent de sa robe de gitane, ses seins semblent prêts à sauter directement dans les mains envieuses de ses partenaires de danse.
Barthélemy se plante face à moi et nous dansons ainsi quelques danses un peu chaudes. Est ce l’effet de sa potion magique, le comportement de Laurence, l’attrait de ce beau garçon, mais j’ai l’impression de voler, d’être désirable. J’ai de plus en plus envie de m’amuser. Pourtant, une petite voix me dit »que fais-tu là, avec ce garçon qui a 10 ans de moins que toi ? »
Pourtant, je danse comme une folle, je suis heureuse. D’être une femme désirée et qui danse sous les regards de ces hommes qu’on devine avides de femmes. Les Sénégalaises ne sont pas en reste, un couple est en train de mimer l’acte d’amour devant nous, à quelques mètres de nous.
Barthélemy est très prévenant, me souriant sans cesse, mimant sa danse sur la mienne. Il ondule des hanches en me fixant dans les yeux. Je vois son torse puissant sous sa chemise entrouverte et les fameuses tablettes de chocolat qui sont vraiment chocolat… Il a la grâce et l’agilité d’un félin. En plus, il est loin d’être vilain, ce coquin. M’est avis qu’il ferait bien connaissance avec moi un peu plus…. Si affinités. La tête me tourne un peu et je retourne m’asseoir au bar. Il me rejoint bientôt, escorté de Laurence et d’un mâle dominant qui la tient par les hanches. Barthélemy propose de reprendre la même boisson. C ‘est vrai que c’est délicieux.
– Ca n’est pas raisonnable, mais je crois que je vais faire une entorse à mon régime.
– T’as raison, glousse Laurence, c’est bon pour ce qu’on a
– Djombe, sers-nous, dit Barthélemy. Il se tourne vers moi.
– Redis moi ce qu’il y a dans ton truc demande Laurence
– Surtout du Bois Bandé. Ca donne de la vigueur aux hommes et aux femmes l’envie de faire l’amour.
– T’as raison, lui répond-elle, en ce qui me concerne, ça marche bien. Et puis, on va arrêter de se faire des « tu » longs comme le bras. Ce sois, on s’amuse et on fait sauter les protocoles.
– D’accord, m’entends-je lui répondre. Barthélemy, sers-moi un grand verre avec des glaçons.
– Tu es sur que c’est raisonnable, me demande t il en me souriant
– Ce soir, la prof laisse la place à la femme.
Barthélemy se met à côté de moi et hasarde une main sur mon genou. Je la repousse doucement. La salle est pleine de confrères trop heureux de surveiller mes faits et gestes.
– Viens plutôt danser lui souris-je maintenant que la musique est plus calme.
L’habituel « Only you » sort des haut-parleurs. Il se colle à moi. Comme je suis petite face à lui. Il colle ses grandes mains sur le bas de mon dos et nous entamons un slow. Laurence nous a rejoins sur la piste avec son partenaire.
Nous nous croisons au rythme du tempo. Barthélemy plaque insensiblement ses mains sur mes fesses, profitant de l’obscurité et m’attire vers lui. Je suis soudain gênée par quelque chose d’inhabituel, comme un caillou dans une chaussure. Je mets quelques secondes à réaliser que c’est son sexe qui nous sépare…. Un truc incroyable de volume et de dureté. Il est placé entre mon nombril et mes seins. J’ai un premier mouvement de recul mais il me tient fermement par les fesses et je ne puis me dérober à cette pression intime. La sensation remonte de mon ventre à mon cœur puis à mon cerveau en une fraction de seconde et redescend à mon bas ventre aussitôt. Une envie de faire l’amour m’embrase.
Je ne sais où regarder, n’osant pas soutenir son regard. En tournant la tête, je vois que la même scène avec Laurence se déroule à côté de nous, mais que Laurence a carrément glissé ses cuisses entre celles de son partenaire et mit ses mains sous son tee-shirt. Elle lui caresse doucement la peau du dos pendant que son cavalier a les yeux rivés dans son décolleté. Par prévenance, il ne lui a pas sorti les seins de sa robe, mais ça n’est certainement pas l’envie qui lui manque. A elle aussi… Je pose la joue sur la poitrine trempée de sueur de Barthélemy et je me surprends à aimer ça. Maintenant, je me colle à mon tour contre lui, et me laisse aller. Il descend une des ses mains le long de mes cuisses et commence à vouloir me caresser les hanches. Cette sensation m’électrise et je sens que je commence à lubrifier. J’ai envie de ce mec et mon petit corps le réclame.. J’ai envie de l’embrasser et même de faire l’amour avec lui sur la scène, devant mes collègues horrifiés. J’ai peur de ne pas me contrôler. J’arrête la progression de sa main et lui souffle.
– Non, attends, pas ici.
– Viens, me dit il en se séparant de moi.
Je regrette presque qu’il ne me prenne pas par la main. Il s’adresse à Jérémie, le partenaire de danse de Laurence et revient vers moi.
– Si tu veux, on peut se retrouver dans la chambre de mon collègue qui lui aussi travaille pour l’hôtel. Avec lui, nous partons en avance et Laurence et toi, nous rejoignez dans 10 mn. Je le regarde sans savoir quoi lui répondre. J’ai envie de cette folie. J’hésite un peu et les mots ne sortent pas. Laurence répond à ma place.
– Ca marche. Ou est-elle cette chambre ?
– Derrière le bar, au fond, près de la guérite de sécurité. On vous attend.
Je regarde Laurence qui semble si sûre d’elle. Les garçons s’en vont dans l’obscurité.
– Je me sens comme une pile électrique m’assure t elle. Allez hop, on va dire bonsoir a quelques vieilles barbes et on les rejoint. Moi ce Bois-Bandé-Ginseng-Rhum m’a donné une envie ……… Je te dis que ça. Il est pas mal le mien et en plus, il a l’air monté comme un âne. Il n’arrêtait pas de se frotter en dansant. Je sais pas comment il a pas joui pendant les slows. Ca m’a mise dans un état….
– Tu crois que c’est raisonnable ? Demandé-je tout en connaissant la réponse et en sachant de ce que j’ai envie.
– T’en as autant envie que moi, qu’eux et y a pas de mal à se faire du bien. Allez Hop ! Jean t’a donné sa bénédiction ou non ? Il a envie que tu t’amuses et tu ne le tromperas pas avec une aventure sans lendemain. En route, mauvaise troupe !!
– Je ne sais pas, je ne sais plus. J’ai besoin de téléphoner à Jean.
– T’es folle !!!
– Non, j’ai besoin de savoir……
– Quoi… ???
– Ce qu’il m’a dit tout à l’heure, son « Save the last danse for me ».
Je retourne au bar pour téléphoner à Jean. Il ne dort pas.
– Mon amour, tout à l’heure, tu m’as dit « Save the last dance for me ». Tu peux m’éclairer un peu ?
– Ma Chérie, tu es sûrement entourée de jeunes gens qui ne pensent qu’à vivre la vie et à en profiter. Fais de même. La vie est trop courte. Amuse –toi. Dieu sait ce que nous avons vécu ces derniers mois. Je te le redis, je ne serai jamais jaloux de ton bonheur…
– Tu es trop généreux.
– Non, c’est toi, toi qui m’a aidé à survivre pendant cette rééducation, mais je te jure bien que tu ne perds rien pour attendre. Je fais de gros progrès et j’ai hâte de te faire l’amour. Et ça sera merveilleux. Amuse toi et Save the last….
– Je t’aime
– Moi aussi. A très bientôt.
Je raccroche les larmes aux yeux. Laurence m’interroge.
– Tu lui as pas dit qu’on sortait ce soir ?
– Si !
– Et évidemment, il t’a fait un sketch
– Et bien ma cocotte, j’ai son feu vert. Et son aval.
Elle ouvre une bouche pareille à la grotte de Lourdes.
– Ah ben, elle est raide, celle-là….. Elle se reprend
– En tout cas, pas aussi que celle de nos deux blacks » .Contente de sa plaisanterie, elle se met à hennir…..
Nous faisons des adieux académiques à nos collègues et après avoir emprunté le chemin du retour, bifurquons vers la guérite de sécurité. Une seule lumière. Ils sont là, derrière la porte.
Alea Jacta Est.
Laurence a à peine le temps de frapper à la porte que celle-ci s’ouvre. Jérémie est là, se rajustant, son pantalon encore à mi-genoux. Il vient de prendre une douche. Derrière lui, Barthélemy sort de la salle de bains, beau comme un dieu, des jambes interminables et fuselées. Il noue en vitesse une serviette autour de ses reins, cachant à peine un membre de fort bonne facture. Jérémie s’empare de Laurence qui a à peine le temps de rentrer. Il écrase ses grosses lèvres contre les siennes et l’embrasse goulûment. Elle se cambre et frotte ainsi son ventre contre son bassin. Barthélemy se dirige vers moi, passe ses mains dans mes cheveux et me fait un long bisou humide dans le cou. Je me sens défaillir. Une envie a****le d’être désirée me reprend et je me serre contre lui. Son torse glabre est musclé. Je m’écrase contre lui, déformant mes seins sur ses pectoraux. Il descend une main comme il l’avait fait sur la piste de danse et recommence à me caresser les hanches. Je me sens toute chose. J’ai envie de me fondre en lui. Je sens une bosse énorme soulever sa serviette. Il remonte ses mains le long de mes petites épaules et fait doucement glisser ma robe le long de mon torse. Mes bretelles descendent le long de mes épaules, il roule celles ci le long de mes coudes et entreprend de faire sortis mes seins de ma robe. Il s’empare de ceux-ci et m’embrasse longuement. Sa bouche descend ensuite vers mes aréoles et entreprend de les sucer l’un après l’autre. Je sens mes jambes se dérober sous moi. A croire qu’un nerf relie directement mes seins à mon clitoris.
Je m’accroche à ses épaules en gémissant, les yeux fermés, le visage tendu. Je sens confusément son sexe qui se lève contre mon ventre et, ironie, nous sépare. Sa bouche remonte à mes lèvres et il me glisse une langue généreuse dans la bouche. Je passe mes bras autour de son cou, en les levant bien haut. En ouvrant les yeux, je m’aperçois que Laurence n’a pas perdu son temps. Jérémie est allongé sur le lit de la petite chambre et Laurence a descendu son pantalon pour se saisir d’un membre majestueux qui est déjà en semi-érection. Elle se penche vers celui-ci et l’embouche aussitôt, comme si elle avait fait ça toute sa vie. Jérémie qui surveillait la manœuvre, se laisse tomber en arrière sous la douceur de la caresse. Elle entreprend de sucer son pénis qui augmente encore de volume. Elle l’enserre de sa main gauche, mets sa main droite par-dessus et embouche le gland qui dépasse. Je vois ses joues se creuser sous la succion. Je suis terriblement excitée par le spectacle qu’il m’offre. Je ne peux me détacher du spectacle de cette superbe fellation. Barthélemy suit la direction de mon regard et voit ma fascination.
– Ca te plait ?
– J’ai envie de te faire la même chose, lui dis-je d’un souffle.
– Attends, fait-il en laissant glisser ma robe définitivement au sol.
Il enlève également mon soutien gorge, libérant ainsi mes seins qui me donnent l’impression d’avoir doublé de volume. Ma culotte est trempée. Elle atterrit entre mes chevilles. J’ai envie de voir, sentir, ressentir son sexe. En fait, il se penche légèrement vers moi, et me prend dans ses bras comme si je ne pesais rien. Il m’emporte vers l’autre lit de la chambre et m’y installe délicatement. Mes mains quittent ses épaules. Je l’embrasse à mon tour pour le remercier de la tendresse et de l’amour qu’il va me donner. Il se débarrasse rapidement de sa serviette. Son sexe tendu claque contre son ventre.
Mon Dieu ! Il est monté comme les représentations du Satyre. Son gland décalotté arrive largement au-dessus de son nombril. Ses testicules sont énormes et bien visibles car il est entièrement rasé, comme son collègue. Je tends la main vers « la chose » mais il se recule et entreprend de me caresser les cuisses avec des gestes d’une infinie douceur. Je me cale plus confortablement sur le lit, me doutant confusément de ce qui va m’arriver. Il s’installe à genoux devant le lit et me suce les orteils que j’ai si sensibles. Je veux me dégager, mais il me tient tendrement et je ne peux me dégager. La caresse est finalement très agréable et je me détends, me laissant emporter par des ondes de douceur qui m’assaillent. Il écarte le compas de mes jambes, remonte sa langue le long de mes mollets, franchit les genoux.
Je l’attends. Ses grosses mains me tiennent aux hanches. Sa langue remonte encore. C’est interminable. Comme une immense soif et un temps infini pour ouvrir une bouteille. Ses mais descendent le long de mes jambes et les écartent. Enfin ! Son nez arrive sur mon buisson, réduit à sa plus simple expression. Je sens la moiteur de mon sexe. Sa respiration nasale me chatouille le clitoris et très rapidement me stimule. Toute honte bue, je relève la tête pour assister au spectacle de cet homme qui n’est pas mon mari et qui entreprend de me faire une minette. Le spectacle est à la hauteur des sensations. Il s’est installé à genoux entre mes jambes qui pendent au dehors du lit et sa tête est entre mes cuisses. Ses mains vont des mes hanches à mon nombril.
Je me mets soudain à penser que si je ne peux m’occuper de lui, je peux me caresser les seins. Les sensations sont grisantes. Mes aréoles sont brûlantes, mes seins fermes, comme gorgés de lait… De ma main droite, je me caresse les seins, n’osant pas me toucher le clitoris qu’il ignore encore superbement. Ma main gauche s’aventure enfin sur sa tête crépue et l’entraîne vers ma foune qu’il semble vouloir éviter. Son menton remonte et ses grosses lèvres se posent sur les miennes. J’en défaille presque. Je comprends maintenant pourquoi il a voulu me faire languir !! Le coquin ! Ses mains écartent mes cuisses et sa langue prend possession de mon vagin. Il tourne un peu son visage, repousse ma cuisse gauche de sa joue et réussit à entrer entièrement sa grosse langue dans mon vagin. Il la remonte doucement, me faisant ainsi connaître des sensations inouies. J’ai envie qu’il s’occupe de mon clito. Lisant dans mes pensées, son pouce gauche, qu’il a humidifié (sur son gland ?) se pose sur mon bouton d’amour.
Il a à peine le temps de le masser que je bascule dans un orgasme terrible, une main sur un sein, l’autre enfonçant la tête de Barthélemy sur ma foune qu’il entreprend d’aspirer de plus en plus fort, tout en continuant à me masser le clitoris. Sa grosse langue si douce et pourtant râpeuse m’emplit totalement. Je me raidis et bascule la tête en arrière, les cuisses resserrées autour de sa tête. Il me les écarte un peu, je sens que je pourrai le broyer. Me sentir controversée dans mes spasmes me donne l’impression d’être violée… Je crie ma jouissance à pleine gorge. Je sens mon cœur battre dans mon clitoris et ai l’impression que cet orgasme ne s’arrêtera jamais. Barthélemy m’encourage dans mon plaisir et je sens un doigt inquisiteur me masser l’anus pendant mon plaisir. Je me rends compte ainsi que je suis trempée. Le temps semble s’être arrêté et je voudrais bien qu’il en soit ainsi. Plus de 18 mois sans être touchée…
Je rouvre les yeux. Il est toujours installé entre mes cuisses et continue de me lécher tendrement. Je m’aperçois que Laurence et Jérémie se sont arrêtés pendant leurs ébats pour nous regarder, enfin me regarder jouir. Et pour cause… Je saurai plus tard que mon hurlement de jouissance a déclenché l’éjaculation de Jérémie qui n’était pas prévue…. Du moins pas si tôt et pas dans ces conditions…Laurence est maculée de sperme sur le visage et les cheveux, son rimmel a coulé. (Elle m’avouera plus tard en pouffant qu’elle s’en était pris une rasade dans la gorge avant de ressortir précipitamment l’objet de tous les délits du fond de sa gorge….) Laurence est à genoux, dépoitraillée, la robe baissée à la taille face à son amant qui s’est relevé. Elle tient toujours à la main son membre viril qui s’est vidé de sa substance. Sur le visage de son amant, on peut lire le plaisir et la stupéfaction d’avoir éjaculé aussi vite. Un fou rire nous gagne. Je lui lance :
– Il paraît que c’est bon pour la peau….
– Oui, eh bien comme démaquillant, c’est pas terrible…En tout cas, ça avait l’air bien !
– Bien ?? Tu rigoles ? Dévastateur… Un tremblement de terre ou plutôt de chair. Ca va paraître bateau, mais je ne sais pas si j’avais jamais jouis comme ça.
– Faut dire aussi que rester en panne 18 mois, on fait des réserves, dit Laurence
– C’était bon pour moi aussi, assure Jérémie, même si j’ai été le premier surpris…
– Et moi tout de suite » après plaisante Laurence.
Je me suis relevée sur les coudes et ma tête est maintenant proche de celle de Barthélemy. Mon bras gauche enserre sa tête et il se rapproche de moi pour que je puisse l’embrasser. Mes lèvres fines reviennent au contact des sa grosse bouche d’africain et de sa langue qui joue avec la mienne. J’ai l’impression qu’elle me fait l’amour. Je me rends compte qu’il m’a donné du plaisir mais qu’il n’a rien eu en échange. Je me bascule en arrière et il vient sur moi. Pour ne pas être écrasée, j’écarte les jambes et il s’installe sur moi. Je sens son membre énorme qui bat contre ma cuisse. Cette sensation me trouble et relance ma libido. Je me sens femme, femelle, creuse…Il m’embrasse dans le cou. Je lui gémis de ne pas me faire de suçon. Il déserte et attaque aussitôt mes seins gonflés du bonheur d’être désirée. Ses grosses pattes enserrent mon ventre qui se creuse sous leurs investigations.
– J’ai envie de toi, me lance t il.
Je suis surprise car il a dit ce que j’avais envie de prononcer
Il se penche vers la table de chevet et se saisit d’une broîte de préservatifs grande taille, commence à se débattre pour trouver rapidement le bon sens.
– Attends, lui dis-je, c’est moi qui vais te la poser. »
Ce disant, je me retrouve avec cette colonne de marbre noir sous le nez. Moi qui avais toujours redouté des odeurs un peu trop …fauve, je suis agréablement surprise par la douceur des effluves qui émanent de son sexe. Je me penche un peu plus et m’enhardissant, le prends entre mes lèvres. Il pousse un gémissement de plaisir, rejetant la tête en arrière, ses mains sur mes épaules. C’est le plus énorme, le pli gros, le plus long sexe que j’au jamais touché ou même vu dans les films pornos que je regardais de temps en temps avec Jean. Je pose une première main qui touche son pubis, la seconde au-dessus de la première, le gland violacé dépasse encore fièrement de quelques centimètres avec son doux capuchon roulé sagement dessous. Il sourd du méat un liquide transparent qui aide à la tendre masturbation qui suit immédiatement. Il abandonne mes épaules pour se saisir de mes seins bien remplis car je suis penchée en avant sur lui. Ses pouces jouent avec mes tétons. J’alterne les succions profondes (quand bien même je ne peux pas l’avaler en entier) les franches masturbations manuelles à deux mains pour revenir avec ma bouche seule. Je m’amuse ainsi à le décalotter à l’aide de mes seules lèvres. Je sens que je pourrais jouis encore rien qu’à ces simples jeux. C’est lui qui met fin à ce délicieux supplice. En me repoussant doucement, il annonce en souriant :
– Faut arrêter, sinon, je vais faire comme mon collègue…. »
J’ai trop envie qu’il me mette sa queue dans le ventre(voilà que je me surprends à penser de façon crue). Je prends la capote, l’écarte au maximum et la pose sur son gland, la déroulant sur 5 ou 6 cm. Puis, je me penche sur son sexe, et seulement avec les lèvres, entreprend de la dérouler sur sa magnifique queue. Je ne peux évidemment aller jusqu’au bout, mais c’est bon de la sentir encore grossir sous mon palais. Il a reposé ses mains sur mes épaules. J’ai mis mes mains autour de ses fesses. Il les serre, je sens qu’il se retient.
Il me repousse doucement sur le dos. J’écarte les cuisses. Je l’attends. A cause de la différence de taille, il descend beaucoup, se repose sur les poignets, son membre à l’horizontale. Il s’avance. Qu’est ce qu’il attend ? Pour m’embrocher. Pour me prendre. Jusqu’aux ovaires. Jusqu’à la gorge. J’écarte au maximum les cuisses et d’un geste impudique écarte mes lèvres intimes. Son bélier se rapproche et entreprend une lente reptation. Son gland écarte mes lèvres, repousse mes chairs, passe un premier obstacle de chair. Entre enfin. Je soulève mon bassin pour mieux faciliter l’envahissement. Il pousse toujours. Un tiers de son membre est entré.. Mes mains se posent sur ses biceps. Pas pour le freiner. Pas pour le ralentir. Non, mes mains sont derrière ses biceps pour l’attirer en moi. Il entre encore et toujours. Sans difficulté majeure. Je suis trempée. Je sens passer son gland un peu plus haut et repousser des chairs plus intimes encore. Je relève la tête sur l’oreiller et surveille la prise de possession. Il ahane
– Tu es bonne, tu es bien serrée ». Il se penche sur moi pour m’embrasser. Je tourne la tête, gênée par ce geste trop personnel que je réserve à mon mari. Il semble comprendre et se contente de m’embrasser dans le cou. Ca n’est pas désagréable du tout.
Je lui réponds
– Viens ».
Il est entré de plus de la moitié. Il avance encore son bassin, j’écarte du mieux que je le peux mes jambes. Je sens son sexe buter conter le col de mon utérus. C’est dingue, cette sensation de remplissage maximale, d’être touchée dans un endroit inaccessible… Une décharge électrique se produit en moi et je jouis d’un coup sous la pénétration profonde. J’écarte mes jambes encore plus et les détends. Il sent ma jouissance et entame une courte série de va et vient. Mes jambes se replient d’elles même derrière ses reins et l’emprisonnent en moi. Je crie sous la v******e de l’orgasme. Tout mon bassin est douloureux de plaisir.. Je voudrais et redoute que ça ne s’arrête jamais. Son dos voudrait se reculer mais je le tiens prisonnier. Son recul me tire sur les jambes et les cuisses. Mon cœur monte à 180, ma respiration est superficielle, mon regard fixe. Mes mais montent sur ses épaules pour le retenir, pour le garder en moi, pour lui demander de sortir de moi mais de revenir, pour m’assurer de sa réalité en moi, de la folie que je commets en ce moment.
Mais c’est trop bon. Je gémis en le regardant dans les yeux et lui dis tout mon plaisir.
– Ne t’arrête pas. C’est bon, c’est trop bon. Ohhhhhhhhh !
Il accélère la cadence. Je n’en peux plus. Il va me rendre folle. Brusquement, ses mouvements deviennent désordonnés et il frappe de plus en plus fort avec sa matraque dans ma chatte malmenée. Il se crispe et se met à jouir de longs flots de sperme. Il roule des yeux, se penche un peu sur le coté et me malaxe un sein de toutes ses forces. Le sentir venir en moi me ré excite et relance mon orgasme. Je me tends vers lui pour me faire prendre encore plus. Maintenant, il est fiché au plus profond et je sens les derniers spasmes de sa jouissance. Il avance son bassin au gré de sa jouissance et je me tends vers lui. Il m’embroche un peu plus. Comme c’est bon de faire l’amour, comme c’est bon d’être une femme désirée et comblée.
– Je reprends lentement mes esprits, Barthélemy toujours fiché en moi, limitant maintenant ses mouvements en moi.
Plus loin, Laurence ahane de plaisir sous les coups de boutoir de son amant d’un soir. Elle est entièrement nue et Jérémie l’a installée en levrette, elle repose sur les coudes la tête sur ses avants-bras. Ses gros seins blancs ballottent au rythme des assauts de Jérémie qui entre et sort régulièrement de son ventre un organe de belle taille. Elle couine quand il sort entièrement et gémit quand il revient. Penché sur le coté, il contemple le visage angélique de mon amie qui semble s’être échappée de ce bas-monde pour aller planer dans des cieux plus cléments. Les yeux fermés, elle savoure la douce v******e qui l’envahit. Jérémie surveille la montée progressive du plaisir de sa partenaire et se penche régulièrement pour att****r un sein qui danse sous ses coups de reins. Il semble se guider aussi à ses intonations et, quand elle commence à gémir puis crier, il accélère le mouvement ou change la trajectoire de son sexe dans celui de Laurence.
C’est très émoustillant de les voir faire et je sens une douce chaleur qui irradie mon ventre et sauf erreur de ma part, je sens la queue de Barthélemy re-durcir en moi. Lui aussi est fasciné par le spectacle audio-visuel. Il se dégage de moi et s’allonge comme moi sur le côté, me caressant doucement les seins de sa main droite. Je sens sa grosse queue poisseuse de sperme reposer puis battre contre ma fesse. Il s’est débarrassé de son préservatif « King Size »en le nouant, fier semble t il de la grande quantité de sperme emprisonnée… Je me laisse aller à ses caresses. Sa main gauche est passée sous mon torse et joue avec mes seins gonflés. Sa main droite est sur ma hanche et caresse mon ventre si délicieusement malmené. Dieu que c’est bon !! Je me sens totalement déconnectée de toutes les contingences de ce monde. Je ne pense qu’à Jean qui me permet de me procurer ce plaisir, qu’à mon corps qui est merveilleusement bien. (J’enseigne les Endorphines en 5 eme année, ces molécules naturelles du cerveau qui permettent d’atténuer la douleur ou d’exacerber un plaisir…), qu’à ce jeune Africain qui est là derrière moi, qui a envie de moi et qui m’a rendue à ma féminité ce soir.
Je pense aussi à ce que je vois aussi, c’est à dire à mon amie dont les cris se font de plus en plus perçants sous la pénétration. Il a maintenant abandonné ses seins et se tient à genoux derrière elle, les jambes très écartées pour compenser la différence de taille. Ses mains se sont posées sur ses hanches et il la tient bien. Je ne sais pas bien si c’est son bassin qui avance, ses mains qui l’attirent à lui ou si c’est elle qui vient au-devant du membre qui la transperce. Sans doute les trois ensemble… La tête toujours penchée sur le coté, elle a maintenant la bouche ouverte, pour crier son bonheur, nous avertir de sa jouissance proche mais aussi pour respirer bien à fond car on devine sans peine que son cœur doit battre la chamade. Sa main droite a gagné son bas-ventre et elle se caresse le bouton. Il la lâche de la main gauche, s’empare d’un sein et la colle d’un coup en lui.
Sous la v******e de l’orgasme, elle relève la tête et exhale un soupir comme un ballon-sonde qui se dégonfle. Elle abandonne son clitoris et att**** la hanche droite de son amant comme pour assurer la prise… Elle donne deux ou trois coups de reins, repose ses bras devant elle, et entame un orgasme qui semble digne d’éloges. Son amant lui aussi, donne deux ou trois coups de reins et reste, abuté dans sa femelle, à se vider en elle, le regard fixe, ses grandes mains ayant attrapés les deux seins qu’il malaxe comme un malade. Elle est face au mur et gémit comme sous l’effet d’une brûlure.
Ses cuisses s’écartent petit à petit, elle bascule en avant, se libérant de l’emprise intérieure, et elle s’affale devant elle, le sexe de Jérémie ressortant d’elle avec un petit bruit ridicule… Elle garde les yeux ouverts, savourant son plaisir. Je ne sais si elle me voit, mais je suis dans la direction de son regard vitreux. Jérémie recule du petit lit où gît sa conquête. Il retire prestement sa capote, bien remplie elle aussi et descend du lit. Il se dirige vers Barthélemy et d’un air complice, lui tape dans la main, comme deux gamins ravis d’avoir partagé un des 400 coups …
Je suis encore un peu excitée mais me laisse aller à une douce torpeur pendant que Laurence cuve son plaisir. Jérémie s’est engouffré sous la douche. Je me laisse à glisser une main derrière moi et à caresser les tablettes de chocolat (c’est le cas de le dire !) de Barthélemy. Il flatte un peu encore mes seins et mon ventre et s’en va à son tour sous la douche dès que Jérémie en est sorti. Je m’allonge sur le coté, repue (enfin presque !). Nos mâles sont maintenant revenus dans la pièce principale du logement et parlent leur dialecte. On dit les femmes bavardes !! Leurs palabres sont régulièrement interrompues de grands éclats de rire. Visiblement heureux.
La vie est belle !
Barthélemy vient vers moi et me contemple dans mon demi-sommeil. Je me retrouve avec son truc pratiquement sous le nez. Il n’a pas l’air indifférent à ma présence. Je vois de grosses veines qui battent sous la peau et ses testicules ont l’air de mener une vie tout à fait indépendante, montant et descendant sans cesse. La bête se relève tout doucement.
J’ai encore envie de faire l’amour avec elle.
Il se penche vers moi et m’embrasse dans le cou. Je fonds littéralement. Mes bras passent autour de son torse et le serre contre moi. Ses mains s’attardent sur mes seins qui n’ont jamais été aussi gonflés depuis la naissance de ma fille. Mes aréoles sont gonflées et je suis presque étonnée de ne pas voir sortir de lait… Une de ses mains est descendue vers mon entre jambe et s’insinue dans ma chatte. Je suis maintenant totalement et sexuellement disponible. Mes mains descendent de son torse et entourent son pénis qui bondit maintenant, petit oiseau fragile. Je le prends bien en main et commence à le masturber doucement. Un liquide incolore sourd du méat. Il grandit et grossit à vue d’œil.
Une merveille… J’empaume ses testicules de l’autre main. Il envoie sa tête en arrière et se concentre sur les bonnes choses que je lui fais. Ses mains me tiennent aux épaules. Je le prends en bouche et décalotte son gland sans tirer sur la peau de mes mains. Son gland aussitôt gonfle énormément et je ne peux le recouvrir de son capuchon de chair. Je le sors de ma bouche à son grand désarroi et me dépêche de le re-calotter et de le sucer à nouveau.
Il est aux anges. Ses testicules sont collés au plafond ! Je le prends plus profondément et tente une gorge profonde pour voir jusqu’où je peux aller. Un réflexe nauséeux m’arrête alors qu’un bon tiers dépasse encore de ma bouche qui s’est refermée à grand peine. Je le ressors doucement, englué de salive et de secrétions. La bête a encore grossi pour prendre finalement des dimensions quasi dantesques. Je n’ai pas de centimètre de couturière sous la main mais je pense que mon amant d’un soir est doté d’un engin qui dépasse les 24 cm.. Ma main ne fait pas le tour de ce cylindre qui bat devant mon nez. Je l’embrasse le long de la hampe pour le remercier du bonheur qu’il va encore me donner… Barthélemy me repousse lentement le dos sur le lit, ma bouche le quitte à notre grand regret à tous deux. Mes cuisses s’ouvrent seules.
Je sais la douce v******e qui m’attend.
Il descend sa tête vers mon buisson ardent qui n’attend que lui. Il se met à genoux devant moi et me tient les jambes écartées bien droites vers le ciel où il va m’envoyer. Je me sens femelle, j’ai envie de cet homme de 15 ans de moins que moi, j’ai envie de son sexe en moi, j’ai envie de vivre…
Il repose le creux de mes genoux sur ses épaules et ses mains remontent le long de mon ventre, le massent et s’attardent encore sur mes seins qui décidément sont à la fête ce soir…
Je sens une autre main dans mes cheveux et encore une autre.. C’est Laurence qui s’est approchée de moi et me caresse… Ses mains repoussent celles de Barthélemy qui redescendent vers mon ventre. J’ai tant envie d’être câlinée. Je la regarde et ouvre la bouche pour le lui dire quand elle descend son visage vers le mien et m’embrasse à pleine bouche, sa langue s’introduisant au plus profond de ma bouche… J’en reste bête mais c’est si bon. Et puis en l’embrassant, j’ai moins de remords vis à vis de Jean… la vie est compliquée… Mes mains se tendent vers ses seins orgueilleux et empaument ses aréoles. C’est la première fois que j’embrasse une femme et que je touche des seins de façon sensuelle.
C’est doux, c’est très agréable. Je lui rends fougueusement son baiser en lui massant les seins. Je lui arrache quelques gémissements qui ne peuvent sortis de sa bouche encombrée. Elle se dégage doucement et me tête les seins à son tour. J’ai du mal à reconnaître mon 95 C qui a l’air d’enfler sous les caresses. Barthélemy active sa langue sur mon clito qui se redresse lentement. Jérémie s’approche de Laurence en la caressant par derrière, mêlant ses grandes mains sombres aux miennes aux seins de sa maîtresse. Il l’embrasse dans le cou, elle se retourne et l’embrasse à pleine bouche.
Ils nous abandonnent pour regagner leur couche. J’abandonne à regret la douceur féminine pour me concentrer sur d’autres douceurs.
Le sexe de Barthélemy est déjà au garde à vous… Je suis bien… Barthélemy ressort sa langue de ma foune et descend un peu plus bas. Un doigt inquisiteur s’approche du liseré de mon cratère le plus secret, que je n’ai jamais livré qu’à Jean. Je suis trempée…
Sa bouche rejoint son doigt et sa langue s’insinuent entre mes fesses. Il relève mes cuisses pour mieux dégager mon anus et sa langue râpeuse se met en devoir de me l’humidifier. Ses mains remontent le long de mes jambes grandes ouvertes et me les basculent encore en arrière. Mon anus est ainsi entièrement dégagé et prêt à subir ses assauts… Dans un moment d’égarement, je prends mes jambes moi-même pour les remonter vers moi et lui laisser libre accès à l’objet de ses désirs. Ses mains se placent de part et d’autre de mes fesses et les écartent doucement. Il roule sa langue sur elle-même et je sens très doucement le plus merveilleux des pénis qui essaie de me transpercer. C’est divin !!
Mes mains abandonnent mes jambes une seconde et je prends les siennes pour qu’il m’écarte mieux les fesses, révélant mon puits secret. Il a bien compris mon manège, ses mains remplacent les miennes. Sa langue incroyablement longue, douce et puissante réussit à entrer dans mon rectum, enflammant un brasier dans mon ventre. Je n’ai jamais été caressée ainsi. J’ai un peu honte, mais la sensation est tellement fabuleuse que je me laisse aller à ce plaisir. Je me surprends à me tortiller pour que sa langue puisse me pénétrer le plus possible. Je tiens mes jambes seules en l’air et je prends la tête de Barthélemy pour l’appliquer le plus possible contre moi. Je ne peux que l’att****r que par sa chevelure crépue, et c’est bien volontiers qu’il se prête à mes exigences en s’insinuant le plus possible en moi. C’est divin !!! Il retire sa langue et effectue des mouvements de succion et se met en demeure d’aspirer mon anus. J’ai l’impression folle qu’il va m’avaler. Je pose mes mains sur son front et le supplie d’arrêter.
– Arrête. J’ai trop envie de toi. Viens comme ça….
– Le temps d’enfiler une capote…
La perspective de ne pas goûter la douceur de sa queue me déplait. Soudain, une pensée traverse mon esprit.
– T’es en 5 eme année ?
– Oui, pourquoi ?
– Donc, pour l’hôpital, t’as fait le test HIV et toute la batterie de tests qui va avec ?
– Evidemment.. Tout est négatif.
– Alors, si tu n’as pas attrapé quelque saleté depuis ton test, plus besoin de capote…
– Je vous jure Docteur, dit-il en se marrant, qu’à part la veuve poignet, depuis le mois de juin, ma bistouquette n’a connu personne..
– Bistouquette, bistouquette, moi, je dirais plutôt matraque de CRS…
Décontractée, je me laisse aller en arrière, heureuse d’abandonner ce latex, qui s’il est bien utile, moi me déplait après 15 ans de vie maritale.
Je repense à cette maxime orientale : « Ecarte les cuisses et que le plaisir t’emporte ». A Dieu va.
Jérémie me reprend les chevilles entre ses grosses mains noires.
(Mon Dieu ! Quel contraste saisissant !! C’est maintenant que je m’en aperçois…)
Il m’écarte les jambes. Je suis sa douce prisonnière. Il me tient aux jambes, mon sexe et mon cul lui sont offerts, proposés. Il ne peut pas me refuser sa venue. Il doit me prendre… J’ai trop envie de lui. Par-là. Que fait-il ? Et s’il ne voulait plus de moi ?
Il s’avance à genoux. Je lance ma main droite pour me saisir de son sexe. Mes doigts ne rejoignent pas mon pouce.. Je me demande une fraction de seconde ce que je vais en faire… Il se laisse manipuler. Le bout de son gland est trempé de secrétions. J’applique son gland contre ma rondelle et je sens sa queue qui palpite ma main. Je m’enduis de ses secrétions et applique son gland bien fort contre ma rondelle.
– Laisse moi faire, lui dis-je.
Je prends doucement son pieu et le dirige un peu plus fort entre mes fesses. J’ai l’intention de mener la danse. De m’enculer sur son gros machin tout en douceur, comme je le faisais avec Jean Je l’attire à moi, il se rapproche encore un peu. Je le sens docile. A bien y réfléchir, sodomiser une femme blanche de 15 ans son aînée et qui plus est sa prof de Fac, ça ne doit pas arriver tous les jours.
Une sodomie, ça se mérite…
Je le regarde dans les yeux pour lui monter ma docilité, parce que j’appréhende toute velléité de grands coups de reins, pour lui montrer enfin que je suis pour ce soir, sa femelle conquise. Que tout est pour lui. Que même si j’ai peur d’avoir mal, j’ai envie d’essayer…
Malgré l’excitation de la folie que je suis en train de commettre, je tente de me calmer et de faire le vide en moi pour bien me décontracter. Peine perdue. Ses grosses mains viennent de s’emparer de mes seins et il en presse les bouts comme s’il voulait en faire sortir du lait. Ma main presse sa queue et l’intromission commence….
Tout d’abord, le gland est si gros, que j’ai l’impression qu’il n’a aucun rapport de volume avec mon anus… Comme deux corps totalement étrangers qui n’ont aucune raison de s’emboîter. Je réussis, à tâtons, à présenter le bout de son gland sur le plus profond de mon cratère. Je pousse sur mon sphincter pour m’ouvrir et je sens la chaleur de sa queue contre ma muqueuse. La lubrification aidant, il glisse et entre en moi plus facilement que prévu. Le gland se décalotte et entre sans coup férir d’un seul trait. Je me sens me dilater de plus en plus… Je suis inquiète, je le regarde intensément, j’ai peur qu’il ne me fasse mal…Il s’arrête, s’enquiert de mon bien-être.
– Ca va ? Je te fais pas trop mal ?
– Non. Et j’espère que vas me faire du bien…
Ma main droite s’est empare de mon clitoris qui ainsi fait monter encore plus la pression dans mon ventre.
Le temps de laisser mon sphincter se dilater et je l’invite d’un clignement des yeux à reprendre sa longue marche. Il pousse, inexorablement, doucement, sans vraiment forcer, surveillant à la fois mon visage pour y lire d’éventuelles traces de douleur, et l’avancée de son pénis. C’est quand même différent sans capote… Ses mains se positionnent de part et d’autre de mes cuisses et tendent mes fesses afin qu’il puisse entrer sans me faire mal… Ainsi prisonnière, je me sens pénétrée inexorablement.
Je pousse, lui aussi…
Il entre, je m’ouvre…
J’ai l’impression d’être délicieusement forcée… Comme une violée consentante… Je suis en train de me faire empaler. Le délice des supplices… Il pousse toujours doucement, enfiché qu’il est dans mon cul.. Je penche ma tête pour surveiller l’infernale progression et m’aperçois qu’il est entré aux plus des deux tiers. C’est impensable !!! Comment mon petit gabarit peut-il avaler une bête de cette taille ? Et ça n’est pas fini… Je ne sens pas de limite physiologique à son envahissement. C’est vrai que par-là, la route est presque droite (rectum/recta = droit).. Jusqu’où ira t il ? Au fond, je l’espère bien.
– Ca va toujours ?
– C’est délicieux. Tu es énorme, mais tu me fais tant de bien.
J’appuie ma main gauche sur son torse puissant et me laisse définitivement clouer comme un vulgaire papillon…Je me caresse comme une perdue. Ma bouche est sèche de par l’émotion de réaliser une grande première, mais mon sexe est une véritable fontaine. J’enduis son sexe de temps en temps de mes secrétions Il reprend mes jambes entre ses grosses pattes et poursuit sa longue marche. Je pousse une dernière fois, et ai d’un coup la surprise de sentir ses testicules se poser contre mes fesses. Il est entré entièrement en moi !!! Je n’aurais pas imaginé cela hier encore. J’aurais pensé que c’est physiologiquement impossible. Mais il est là et bien là. Je sens sa monstrueuse présence au plus profond de moi. Je n’ose pas bouger, comme si j’avais avalé un sabre…
Je suis ravie. Des larmes me montent aux yeux.. Je passe une main derrière sa nuque pour l’amener à moi, il se penche à moi et je l’embrasse goulûment, malgré mes principes.
Je me sens dépendante de lui, comme reliée à lui par un cordon ombilical. Le plaisir commence à manifester sa présence dans mes reins. Lui seul peut me faire jouir. Je suis sa chose. Lui seul décidera de nous faire jouir. Pourvu qu’il prenne son temps. Pourvu qu’il ne tarde pas. Pourvu que la montée du plaisir soit interminable, que le plaisir soit long. Que sa volonté soit faite… Encouragé par mon signe de bonne volonté, par le fait que je n’ai pas mal, il engage, après notre baiser une lente reculée. Il s’en va comme la mer se retire et me laisse désolée.
Un grand vide installe sa présence envahissante…
Mon corps qui avait difficilement accepte sa présence, ne peut se résoudre à le laisser partir. Je me déballonne, je me sens vide. Je sais qu’il reviendra mais je ne veux plus de cette interminable progression. Je ne veux pas qu’il me quitt. Plus de trois quarts de son bâton magique sont sortis de moi. Je ne sens plus que son gland volumineux qui fraye son chemin à rebours dans mes reins. . Ma main lâche son épaule et le retient aux hanches. Il s’arrête net. Je le regarde dans les yeux, interrogative. Il me fixe et ….Pousse d’un seul coup son sexe au plus profond de mon cul. 20 centimètres d’un coup !!! Le retour tant attendu de sa matraque m’envoie des décharges dans le cerveau., comparables à celles que je ressentais lorsque étudiante, j’ai goûté à quelques drogues plus ou moins douces…Des décharges folles zèbrent ma conscience.
Je crie.
Il reste quelques secondes, vrille un peu son sexe en moi et repart.
Je gémis.
Il donne un grand coup de reins et revient aussi vite, aussi loin, aussi fort.
Une tornade de plaisir commence dans mes reins et s’achève dans mon cerveau. Mes sens sont exacerbés. Je ressens très exactement ce qu’il me fait subir.
Il accélère la cadence. Ses coups de reins sont de plus en plus marqués. Ma main danse une sarabande infernale sur mon sexe. Je sens le plaisir arriver au triple galop. Il va arriver… Il est là. Je sens littéralement mes reins exploser de plaisir pendant que je suis paralysée cérébralement, incapable de penser à autre chose qu’au plaisir qui déferle en moi. Je suis une surfeuse rattrapée par un vague énorme qui me roule et m’emmène.
Je hurle.
Je m’arque boute sous lui et m’offre ainsi encore plus. Il me perfore. Il entre et sort de moi sans aucun problème. Je le sens sortir parfois entièrement de mon cul, mais il y retourne d’un trait, comme si sa queue avait toujours connu le chemin. La route qu’il avait ouverte en 3 ou 4 minutes, il met maintenant 1 ou 2 secondes pour la refaire. Il tape au fond de mes fesses. Mon cœur bat la chamade. Je vais manquer d’air. Je m’arrête de crier pour prendre de grandes goulées d’air. Ma main gauche s’est refermée convulsivement sur son coude droit et je le serre comme une planche de salut.
Il entre et sort.
Il sort et entre. Il est l’infernal piston d’une machine diabolique et moi, la machine à jouir.
Il me bourre pendant un interminable temps trop court. Il est en sueur.
Je hurle toujours.
Je le vois au-dessus de moi, il roule des yeux, il a beau contrôler sa jouissance, je sais qu’il ne durera pas bien longtemps.
Mon capital orgasme est entrain de s’épuiser. Je lui lance :
– Viens, maintenant. Donne, donne-moi tout…..
Il se lâche presque aussitôt. Je sens son plaisir s’écouler au plus profond de mes fesses. Comme je sens bien son sexe se vider en moi, me donner le meilleur de lui. De longs jets, de longues saccades qui n’en finissent pas de ruisseler dans mon cratère en feu.
Son plaisir à lui réveille le mien qui s ‘endormait. Je n’ai plus besoin de stimulation clitoridienne et je glisse mes mains derrière sa nuque pour l’accompagner. Mon cœur rebondit dans ma poitrine. Nous allons jouir ensemble…J’enchaîne un second orgasme, plus calme, plus raisonnable…
Il éjacule encore 5 ou 6 jets et ralentit doucement ses incursions pour profiter des derniers spasmes ravageurs. Son sexe n’a pas encore dégonflé, je le sens encore bien présent. C’est incroyablement bon… Il se penche vers moi et se met à m’embrasser de sa grosse bouche qui englobe mes lèvres. Je lui rends son baiser. Il est toujours fiché en moi et son ventre bouge de façon toute a fait indépendante, comme animé d’une propre vie. Je suis toujours reliée à lui et nous ne faisons plus qu’un, pendant encore quelques trop courts instants…
Ca a été fabuleux. Je veux le lui faire savoir. Ma bouche a du mal à articuler quelques sons. J’ai la gorge sèche. Du mal à reprendre mon souffle.
– C’était, c était ….
– Super, extra, dément, me coupe t il.
– C’était, tu peux pas savoir, c’était fort fort fort…J’ai cru que j’allai m’évanouir
– Tu es un super coup. Et tellement serrée. C’est tellement bon un petit cul bien serré. Un petit cul de blanche…
– Et un gros sexe de Noir…. Génial… J’avais peur que tu me fasses mal. Tu as été merveilleux. Je n’avais jamais pratiqué qu’avec Jean, qui est moins bien monté que toi. Ca devais faire deux ans que je …
– Eh bien, faudra pas attendre encore deux ans pour t’en servir, me coupe t il. Tu sais, ton petit cul marche très bien, il lui fallait seulement un peu de ramonage….Dit-il en riant. Tu m’as bi
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