Je rappelle en quelques mots qui est Habiba: c’est une beurette qui m’a fait confiance à tel point qu’elle vit chez moi, comme avec une amante, ce que je suis pour elle. Quand nous nous sommes aimées la première fois, j’ai pu me rendre compte qu’elle était toujours vierge. Je lui ai promis, vers la fin d’un jouissance qu’elle me donnait que je la dépucellerai. Elle prend cette « formalité » au sérieux. Dès le lendemain matin après que je l’ai embrassée sur la bouche, Je l’ai fait mettre sur moi, ma tête entre ses jambes, elle presque assise: ma langue va se poser doucement sur sa vulve où j’entre Je la lèche avec plaisir, son goût de cyprine m‘attire énormément. Je ne pense jamais oublier et son goût et son odeur. Je sens sa crispation de jouissance. Je sors ma langue pour la faire un peu entrer dans son anus: elle a aimé. Quand je sens qu’elle est sur le point de jouir, je la fait mettre sur le dos, Je pose ma langue sur son clitoris et la doigte en même temps: Je ne peux aller bien loin dans son vagin. Je reste ainsi pendant qu’elle se laisse aller à des orgasmes inconnus d’elle.
Je prend ses seins que je caresse doucement, je taquine un peu ses tétons.
Elle veux me rendre tout ce que je lui ai fait. Je l’en empêche pour me consacrer à son désir: la faire femme
Je lui explique qu’elle peut avoir un peu mal et que je ne la raterai pas. Elle n’en croit rien;
– Tu me fait bien jouir, alors je sais que tu ne me fera pas mal.
J’ai quand même une appréhension: ma première fois a été un désastre: il me la mise sans que je sois excitée et je n’oublierai jamais la douleur que j’ai eu cette fois. Par contre mon second lui, m’ai faite jouir normalement quand il était dans mon vagin. C’est quand il a voulu me sodomiser que j’ai refusé. C’est à la suite de ça qu’une copine m’a appris l’amour entre filles. Depuis je suis devenue une lesbienne convaincue.
Habiba tient à perdre sa virginité: j’avoue qu’être une femme entière entraine le dépucelage pour les plaisirs qu’il apporte pour la suite.
Je la rassure à nouveau:
– Je vais d’en mettre une.
– Tu n’as pas de bite pour me la mettre
– Ne t’en fait pas, j’ai ce qu’il faut.
– Ca fait mal ?
– Oui, un peu, mais pas longtemps.
– Tu m’embrassera pendant que tu me le fera ?
– Mieux que ça, je te baiserai pour que tu sois excitée le plus possible.
Je laisse passer la matinée, étant occupée à gagner ma vie. Ce n’est que l’après midi que je la retrouve; elle est restée nue depuis ce matin, elle avoue qu’elle s’est faite du bien en m’attendant.
Je me met également nue: elle me saute dans les bras pour m’embrasser: nos langues s’entendent bien entre elles. Nous sommes debout, je lui met une main sur son clitoris et commence à la masturber. Elle m’arrête, elle préfère dans la chambre. Nous sommes l’une contre l’autre quand elle prend l’initiative de me caresser le clitoris. J’ai trop envie de me laisser baisée par elle que je la laisse me branler: je ferme les yeux, lève les bras vers le dossier du lit. Je sens ses lèvres sur mes seins. Elle me fait partir vers les rivages dorés d’un bon orgasme. Puis elle veut ma langue sur son con. Je ne lui refuse rien, je lèche son bouton avant de remettre une fois de plus ma langue dans son vagin. Je la fait encore jouir. Je la fait mettre en levrette. Elle se demande bien pourquoi.
– Je vais te déflorer.
– Oui baises moi, mais tu n’a pas ce qu’il faut.
Oh que si j’ai ce qu’il faut: mon godemiché, celui dont je me sers quand j’ai trop envie d’avoir une bite dans mon ventre. Je le lui montre bien: il a la taille de celle de son amoureux. Elle le prend dans la bouche pour savoir quel effet ça fait d’avoir une bite dans la bouche.
J’ai promis de la faire jouir en même temps. Dans cette position je peux lui lécher le cul. C’est difficile mais j’y arrive: elle gémit dans l’attente. Je pose le bout du gode juste à l’entrée de sa vulve. Je le fais entrer juste ce qu’il faut pour qu’elle sente bien la grosseur qui va aller dans son ventre. Ensuite lentement, tout doucement je pousse jusqu’à sentir son hymen. Je ressort l’engin pour le remettre à ce même endroit.
– Met moi le, j’en ai envie, baises moi.
Elle n’a pas fini sa phrase qu’elle n’est plus vierge. Elle a poussé un léger cri. Je reste au fond de son sexe, comme me l’avais fait le seul qui m’ai faite jouir. Je commence les aller et venu. Elle semble insensible quand enfin
– Merci, je sens que c’est mieux que tu pourra me baiser encore.
– Toi aussi tu pourra te baiser seule si tu veux.
– Et dans le cul ?
– Maintenant ?
‘ Oui, encules moi.
Décidément je dois tout lui faire: elle reste en levrette, se mouille abondamment l’anus qu’elle me tend. Je sois son anus s’ouvrir avant même que j’ai posé l’engin. Je pensais qu’elle allait protester et au contraire, je la vois suivre mes mouvements. La voyant ainsi disposée je m’allonge sous elle, lèche son clitoris. Elle me voyant ainsi pose ses lèvres sur mon cul pour y entrer un peu. Juste ce qu’il me faut pour me faire partir encore.
Les jours se suivent et se ressemblent: nous sommes heureuse de vivre un amour interdit, mais tellement bon. Nous avons choisi dans un sex-shop d’autres « amants » pour elle des boules de geisha, un plug et un énorme gode. Pour moi, je n’ai pris que des boules et un chapelet de 9 boulles pour le lui mettre au cul et la faire jouir à fond. Le premier essai a été concluant, je lui ai mis toutes les boules enfoncées dans son anus: elle se laissait faire avec plaisir. Par contre quand je sors les billes, elle jouit à chaque passage. Elle devient totalement une dingue du sexe, même si une fois elle a voulu se donner à un bel étalon, elle n’a pas joui comme avec moi
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