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Ch. 9 : Lettre à Laura (9)

Ch. 9 : Lettre à Laura (9)



Je me souviens de tout, je me souviens de nous.

Je me souviens de cette semaine inoubliable après nos examens.

Durant les deux semaines précédentes, nous avons donc passé nos examens et nous n’avons eu que très peu de temps pour nous. Entre les révisions, les partiels, la fatigue et le stress, notre libido a légèrement sombré.
Mais ça y est, c’est fini, nous allons pouvoir profiter de nos 3 mois de vacances. Qu’elle est belle la vie d’étudiant…
Et cette première semaine va lancer les vacances sur les chapeaux de roues.

Mardi:
Ce matin là, tu me réveilles en m’apportant sur un plateau, mon petit déjeuner au lit. Tu es habillée en tenue de soubrette ultrasexy. Une coiffe serre-tête en dentelle blanche, un redresse-seins à bretelles noir, une micro jupe en résille ouverte à l’arrière, un mini tablier blanc et des bracelets et des jarretières en dentelles blancs. Je suis agréablement surpris, mais je ne comprends pas très bien.
– Que fais-tu dans cette tenue?
– Et bien voilà, je sais que je n’ai pas été très cool ces derniers temps, alors je veux me faire pardonner. Aujourd’hui, je suis ta servante, ton esclave, ta chose, tu peux me demander ce que tu veux.
Je suis ravi de cette proposition et cela me stimule en mon for intérieur.
Après avoir dévoré le copieux repas, je t’appelle pour me rejoindre dans la chambre. Je suis allongé nu sur le lit et je te demande une bonne turlutte. À genoux entre mes cuisses, tu saisis mon membre et tu entames une léchouille sur ma hampe. Je deviens dur rapidement:
– Vas-y plus vite, suce mon gland chiennasse.
Tu craches dessus et accélères tes succions.
– Hum, mon chéri, j’adore sucer ta grosse queue, j’adore l’avoir dans la bouche.
Je commence à gémir.
– Hum c’est bon comme ça, maintenant, gobes-moi les couilles.
L’une après l’autre, tu aspires chacune de mes bourses avec un réel plaisir en me branlant. Je suis sur un nuage, tu me procures un bien fou. Je relève mes jambes en arrière et t’ordonne:
– N’oublie pas mon trou du cul, lèches-le bien.
Ta langue glisse sur le contour de mon anus et lorsque ta langue pénètre mon orifice, je pousse un soupir jouissif.
– Putain, c’est trop bon, tu es vraiment la reine des salopes.
Tu varies les plaisirs buccaux, un coup tu me suces la queue, un coup, tu me lèches l’anus. Tu sens ma sève monter.
– Allez, viens, gicles dans ma bouche.
Je rugis en éjaculant abondamment au fond de ta gorge. Tu avales et tu me souris.
– J’en veux encore.

Je me lève et je vais fumer une clope.
– Vas dans la salle de bain et commence à te caresser.
J’écrase mon mégot et te rejoins dans la pièce d’eau. Tu es dans la baignoire, assise sur le rebord, jambes écartées et tu te fourres le vagin à deux doigts. Tu es bien humide et je viens, avec la pointe de ma langue, câliner ton petit bourgeon déjà bien gonflé. Tes joues rosient et tu halètes sobrement jusqu’à ce que mes lèvres aspirent les tiennes et que ma langue te fouille. Tu es trempée et tu te masses les seins en vociférant de plus en plus fort.
– Oui, oui, oui, continues, je vais jouir.
J’enfonce un, deux, trois, puis quatre doigts dans ta chatte, seul mon pouce est solitaire en extérieur et mes va-et-vient te secouent énergiquement. Tu cries de bonheur en laissant échapper des jets de ton merveilleux nectar.
Nos regards sont complices, nous avons jouis chacun notre tour, mais aujourd’hui je suis ton maître et soudain, pendant que tu es toujours assise là, les cuisses grandes ouvertes, je t’impose:
– J’ai envie de te voir pisser, montres-moi, lâches-toi maintenant devant moi.
Je sais que tu as toujours envie de faire pipi après le sexe et impudique, tu écartes tes lèvres et tu asperges le fond de la baignoire de ton liquide doré et odorant. Cela me fait clairement triper et me donne envie d’uriner aussi. Debout dans la cuvette rectangulaire, je prends mon sexe en main, je me mets à pisser devant toi en te regardant dans les yeux. En voyant cela tu me supplies:
– Pisses sur ma chatte mon amour, je veux sentir la chaleur de ton jus.
Mon sexe raide en main, je vise et j’arrose ton minou tout lisse, éclaboussant ton pubis et l’intérieur de tes cuisses. Notre délire te rend folle et sans m’avertir, tu insères ma queue, sur laquelle traîne les dernières gouttes d’urine, dans ta bouche pour une nouvelle gâterie. Tu me suces goulument et je ne tiens pu:
– Hum, Laura, j’ai envie de toi, j’ai envie de te prendre.
Tu fais le grand écart en posant une jambe de chaque côté de la baignoire et moi à genoux, je glisse ma lance dans ta grotte humide et je te pilonne en te soutenant par les fesses. Notre étreinte est fantastique et je gicle sur ta chatte en braillant mon orgasme. Cela te plait d’être souillée de sperme et de ta main, tu étales cette crème poisseuse sur tout ton pubis.

Après t’être nettoyée, tu nous cuisines de bons petits plats. Je me sens comme un pacha, lorsque tu me sers une bière, alors que je suis affalé dans le canapé.
Puis, dans l’après-midi, je te donne différentes tâches ménagères à exécuter.
Ce sentiment de pouvoir, de domination totale m’électrise complètement. Et toi tu es surexcitée d’être soumise corps et âme. Tu vibres lorsque tu dois me sucer les orteils ou lorsque tu dois lécher le foutre que je viens d’expulser par terre en me branlant à te mater à quatres pattes.
Et puisque tout m’est permis aujourd’hui, je t’explique en début de soirée, mon souhait de te prendre en photo.
– Fous-toi à poil et fais ce que je te dis.
Également nu, avec la lanière de l’appareil autour du cou, je te fais prendre, pendant plus d’une heure, des postures plus obscènes les unes que les autres.
Tu es rentré à fond dans le jeu, en prenant bien soin de faire ton regard de salope allumeuse. Devant l’objectif, tu prends vraiment ton pied et les clichés que j’enregistre sont dignes d’un magazine porno bien hard. Bien cambrée avec les fesses bien écartées ou jambes grandes ouvertes avec une banane dans la chatte, tu me fais bander comme un malade. Nous terminons cette séance par une série de photo ensemble. Une première partie avec des gros plans de ma queue dans tous tes trous, puis une autre où nous utilisons le retardateur. En 69, en levrette, en Amazone, etc… Plusieurs positions y passent, certaines sont plutôt acrobatiques. Après avoir baiser comme des fous, on s’est promis qu’un jour on se filmerait.

Le soir venu, je te propose un massage pour te remercier de cette formidable journée. Et forcément ça part en cacahuètes au bout de quelques frictions. Nos deux corps, entièrement huilés, glissent l’un contre l’autre. Allongée sur le dos, le creux derrière tes genoux posé sur mes épaules, la pointe de mon missile à tête chercheuse visualise ton œil de cyclope et je te sodomise avec vigeur. Nous atteignons l’orgasme dans un rugissememt bestial et je rempli ton trou du cul de foutre. En te couchant:
– Merci mon cœur pour cette formidable journée, c’était vraiment génial, j’ai jamais rencontré un mec qui m’a fait jouir autant. Je t’aime.
– Moi aussi je t’aime, j’ai trop kiffé la journée, vivement qu’on refasse ça.
– On verra si tu es gentil, mais si ça arrive, j’espère que tu penseras à m’attacher.
– J’y ai pensé, mais j’ai pas osé, j’avais peur que ça ne te plaise pas.
– Je t’ai dit que tu pouvais faire tout ce que tu veux…
– Bon et bien ça n’est que partie remise, on trouvera bien un moment pour tester ça. Bonne nuit.

JEUDI:
Ce soir-là, ta meilleure amie, Marion, organise chez elle, une fête de fin d’année. Nous y retrouvons Agathe et son mec, qui pour une fois a bien voulu sortir de ses pénates.
Nous sommes une bonne quinzaine d’étudiants dans ce studio de 30m2 et l’ambiance est extra autour de cet apéro dînatoire.
Tout le monde rigole, la musique provenant de l’ordinateur est bonne et les cadavres de bouteilles de différents alcool s’entassent. Les esprits s’échauffent, tu te fais chatte avec moi, tu te colles souvent contre moi, parfois même tu caresses ma braguette discrètement.
Marion aussi est d’humeur coquine. On remarque que cette dernière batifole avec un grand brun ténébreux. Malheureusement, la compagne du jeune homme l’a aussi remarqué et une sacrée dispute dans le couple éclate, ce qui a eu pour but de les voir partir plus tôt que prévu.
Derrière cette querelle amoureuse, nous sommes tous partis en virée nocturne pour fréquenter quelques bars branchés. Un verre par-ci, un verre par-là. Certains commencent à être bien fatigués, voir complètement bourrés, ce qui est mon cas.

2h du matin, c’est la fermeture du bar et alors que tout le monde se décide à aller en boîte, Marion nous propose, ainsi qu’à Agathe et son boyfriend, de finir la soirée chez elle. Les deux tourtereaux sont cramés et décident de rentrer chez eux.
Nous voilà donc tous les trois chez ton amie, qui ,en nous servant un shooter de téquila, nous invite à rester dormir chez elle dans le clic-clac du salon. Pendant plus d’une heure, nous restons bavarder et plaisanter sur la soirée, les commérages fusent à volonté.
Au moment d’aller nous coucher, alors que nous installons notre plumard, Marion débarque en titubant pour nous souhaiter bonne nuit. Impudique, elle arbore devant nous sa nuisette noire au décolleté légèrement transparent, me laissant apercevoir ses magnifiques gros seins. Mon sang s’est mis à bouillir, mon cœur s’est accéléré, mes pensées deviennent impures et ma queue se gonfle dans mon boxer. Cette petite brune rajoute en nous quittant:
– Ne faites pas trop de cochonneries, je vienne de mettre des draps tous propres.
Ce à quoi tu réponds en blaguant:
– Ne t’inquiètes pas tu me connais.
– C’est bien pour ça que je me méfie.
Une fois au lit, ta main se ballade sur mon torse et descend sur mon boxer. En sentant ma bosse:
– Et bien, c’est moi ou c’est Marion qui t’excite comme ça.
Je ne peux me résoudre à te mentir:
– Un peu des deux.
– Tu as envie de te la faire?
– Non, pas du tout, c’est juste qu’elle a de très beaux seins.
– Oui c’est vrai et ils sont bien gros, j’aimerais en avoir des comme ça.
En caressant tes seins je te rassure:
– Mais j’adore les tiens, ne change pas, tu es parfaite comme ça.
Tu m’embrasses chaleureusement et nous commençons à nous cajoler. Dans un sursaut de lucidité je te demande:
– Tu es sûre de vouloir continuer, tu n’as pas peur qu’elle nous entende ou même pire qu’elle nous voit?
– Ne penses pas à ça, je suis sûre qu’elle dort déjà comme un bébé et puis si elle nous surprend c’est pas grave, elle m’a déjà vu à poil.
J’ai la sensation que cette perspective te donne de plus envie de moi et tu viens t’empaler sur ma grosse tige et tu me chevauches de manière torride.
L’alcool aidant, je suis très long à venir et plusieurs orgasmes te gagnent. Je finis par éjaculer fortement en toi en te serrant contre moi et en mordant ton sein gauche pour éviter d’hurler.

Le lendemain au petit déjeuner, Marion, qui a encore la tête dans le pâté, nous a avoué qu’elle était éveillée, qu’elle nous a entendu baiser, que cela l’a excitée et qu’elle s’est masturbé.

SAMEDI:
C’est le premier weekend de juin, il fait super beau et nous sommes invités chez tes parents. Ta sœur Sandrine est également invité avec son petit ami Jérôme. Arrivée aux alentours de 11h, apéro et barbecue en guise de ripailles. Au moment de prendre le café, Jean-Yves, ton père quémande l’aide de ses deux gendres pour des travaux de jardinage. Pendant qu’on s’emploie à la tâche dans d’horribles bleus de travail, toi et ta sœur décidez de faire bronzette en maillot de bain.
A chaque fois que je passe devant vous, je ne peux m’empêcher de vous mater. Je connais ton corps par cœur, mais je découvre celui de Sandrine, notamment ses beaux gros seins. Tu remarques que je vous regarde et tu me provoques en prenant des poses suggestives… Cela nous émoustille tous les deux.
En fin d’après-midi, alors que Jérôme est parti jeter les ordures à la déchetterie, je range le matériel dans le cabanon. Tu en profites pour me prendre par surprise.
– Alors petit coquin, on mate les gonzesses qui bronze?
– Ouais, deux belles créatures comme vous, je ne pouvais pas détourner le regard.
– Ma sœur te plait on dirait? Tu aimerais te la faire?
– Non j’ai pas envie de me la faire comme tu dis, j’ai juste mater son énorme poitrine…
Ma révélation te surchauffes et en plaquant ta main sur ma queue:
– Je ne sais pas toi, mais moi j’ai très envie de sexe et je suis sûr que tu en as envie aussi.
– Bien sûr que j’en ai envie, mais pas ici, ton père pourrait nous surprendre…
– Mais non, ne t’inquiète pas, il est rentré. Allez, laisse-toi faire.
On se déshabille et je te prends avec fougue sur l’établi. La peur d’être surpris en plein acte nous surexcite et ma verge coulisse facilement en toi tellement tu mouilles. Puis tu t’accroupis et tu me suces pour recevoir mon jus dans ta bouche.
C’est à ce moment là que la porte s’ouvre et que Sandrine nous grille. J’essaye de cacher mon sexe avec mes deux mains, mais trop tard, elle a tout vu. Visiblement choquée, elle n’a pu dire que:
– Oups, désolé.
Puis, elle est sortie en refermant soigneusement la porte. Une crise de fou rire s’est emparée de nous et on a fini notre affaire. Ce soir là, elle nous a à peine adressé la parole.

DIMANCHE:
Nous n’avons pas bien dormi, un orage bruyant a éclaté dans la nuit.
A notre réveil, plus un nuage, le soleil a repris toute sa splendeur.
Après le petit déjeuner, tu me proposes une petite ballade, pour me montrer un petit coin sympa où tu aimes aller depuis ton enfance.
Tu me guides donc dans un petit bois qui se situe à environ un kilomètre de chez tes parents. Nous empruntons un sentier boueux, à cause des fortes pluies tombées dans la nuit, qui nous amène à un petit ruisseau. Nous nous posons là en pleine nature, seuls. Nous profitons de l’instant en discutant et en nous câlinant tendrement.
Tes bisous dans le cou allument la flamme de mon désir et soudain je me suis souvenu d’un de tes fantasmes. Tu m’avais expliqué en regardant l’émission Fort Boyard, que tu aimerais bien faire l’amour dans la boue. Je sais que nos câlins t’ont chauffé également et je t’invite à réaliser cette coquinerie. Nous ôtons nos fringues, tu t’allonges sur le dos et je démarre un cuni. Tu gémis rapidement. Puis je te pénètre, tu mouilles tellement que ça coulisse tout seul. Mes coups de reins brusques t’arrachent des cris de plaisir, tu te lâches, sachant qu’on est seul dans ce bois.
C’est ensuite toi qui vient sur moi, je sens la boue fraîche s’étaler partout sous moi. Tu me chevauches telle une guerrière.
Nos mains sales caressent nos ventres, nos seins. Mise à part nos visages et nos sexes, nous sommes recouverts de terre humide. Même ta belle chevelure rousse est devenue marron. Notre partie de jambes en l’air est torride, tu as des spasmes, ton vagin se contracte, ton orgasme est proche. Je décide de te prendre en levrette. Sous mes coups de boutoir, tes petits seins s’agitent, ta cyprine coule le long de tes cuisses et tu jouis avant moi en proférant:
– Oui, vas-y, encore, c’est trop bon.
J’accélère mes va-et-vient le plus vite possible en faisant éclabousser de la boue un peu partout et dans un grand râle je gicle au fond de ta chatte.
Cette bonne baise en pleine nature fût exaltante contrairement au nettoyage à l’eau fraîche du ruisseau. Une bonne douche en rentrant et un savoureux gueuleton préparé par ta mère nous ont réchauffé.

Pour conclure cette magnifique semaine, à notre retour chez toi, nous réservons notre semaine de vacances en camping. Et vu notre état d’excitation du moment, ce séjour promet d’être fabuleux.

A suivre…

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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