7250 & 7256 font leurs excuses à Master K
Le repas du soir vient de se terminer.
Notre Maître vient nous chercher pour nous conduire au grand salon.
Ce soir vous allez faire vos excuses publiques à Master K.
Puis il pourra vous utiliser à sa guise, toute la soirée.
Je vous conseille vivement de lui obeir et de vous appliquer.
A la moindre faute, vous vous exposerez à une très sévère punition ..et je ne pourrai intervenir en votre faveur.
Nous arrivons dans le salon , qui se soir là est beaucoup plus fréquenté que d’habitude.
Au milieur de la pièce, se tient Master K, debout, son sexe énorme est sorti de son pantalon, et une esclave , à genou le masturbe pour entretenir son érection.
Notre Maître nous conduit à ses pieds, et nous ordonne de nous mettre à genoux.
Master K, je vous remets mes deux soumises pour la soirée, vous pourrez ainsi juger si la peine de 15 jours qui leur a été infligée a porté ses fruits.
Nous prononçons alors à haute voix nos excuses, en lisant à voix haute, chacune à notre tour un texte qu’une assistante nous mets sous le nez;
Maître, veuillez accepter les excuses de votre humble soumise.
Je suis entièrement à vous et vous prie d’user de moi comme bon vous semblera.
Très bien, dit il
Mon premier ordre sera très simple.
Vous allez chacune me sucer à fond, debout, en offrant vos fesses à tous ceux ici présents qui voudrons vous sodomisez pendant que vous accomplirez votre fellation.
Nous prenons la position exigée.
Master K se place devant la bouche de 7256 et se met en devoir d’ingurgiter l’énorme membre tandis qu’un client l’investit analement.
Un autre client s’introduit alors dans mon orifice étroit. Puis c’est à mon tour de recevoir la verge de Master K au fond de ma gorge.
Grâce aux exercices pratiqué au Centre de Rééducation, j’ai fait de gros progrès et arrive à maîtriser mon envie de vomir.
L’exercice dure une éternité, derrière nous une dizaine de clients font la file pour nous sodomiser, tandis que des esclaves les préparent en les masturbant.
Ensuite, la soirée prend des allures d’orgie bdsm.
Renouvellement des stocks :
Le lendemain matin , à notre surprise, une assistante nous apporte deux nouvelles tenues , totalement différentes de nos robes d’O classiques.
Enfilez-les, ordre de votre Maître.
Il s’agit un teeshirt blanc moulant avec l’inscription « Domaine d’Infern’O » , et d’une mini jupe en jeans.
J’enfile le teeshirt, il moule outrageusement ma voluptueuse poitrine. Puis je passe la mini…
Elle est si courte , que même en tirant dessus au maximum, j’arrive à peine à cacher le bas de mon sexe..
et bien entendu ..pas le moindre sous vêtement.
A ce moment notre Maître arrive et siffle ironiquement à la vue de nos nouvelles tenues ..
J’espère que cela vous plait, car aujourd’hui, je vous enmène en voyage.
En voyage ?
Oui, avec Robert, qui prendra les photos pour ton reportage et le Directeur des achats du Domaine.
Nous allons en hélicoptère sur le continent , chez un grossiste pour choisir un lot d’esclaves.
Mais venez, je vous expliquerez en route, l’hélicoptère nous attend.
Arrivé à bord, nous nous installons face au Directeur commercial , un chauve un peu rondouillard, et de notre Maître. Robert a pris place à côté du pilote. Nous décollons.
Le Directeur commercial nous explique que nous sommes du voyage pour agrémenter le trajet en adressant un clin d’oeil complice à notre Maître, mais aussi pour les aider à sélectionner ni plus ni mois que 50 esclaves que le Domaine désire acquérir.
10 viendrons compléter le service offert aux clients du Domaine et là nous cherchons des sujets jeunes.
les 40 autres seront destinées à notre nouvelle unité de production laitière dont la construction s’achève.
Nous recherchons donc des esclaves qui sont déjà dotées d’une poitrine généreuse afin d’être opérationnelles le plus vite possible.
En parlant de poitrines, montrez moi un peu les vôtres …
Superbes !
Il paraît que vous êtes aussi douées pour la fellation .. allez, montrez moi, dit-il en sortant un sexe de taille moyenne, mais surmonté d’un gland très large qui me fait penser à un gros champignon.
Après une bonne heure de voyage passée à dispenser nos faveurs au directeur commercial, nous arrivons au dessus de vastes entrepôts jouxtant un héliport dans une immense propriété ceinte de hauts murs le long desquels patrouillent des gardes avec des chiens.
A notre arrivée nous sommes accueillis par trois splendides hôtesses vêtues de tuniques complètement transparentes au niveau des seins.
On nous conduit dans un hall de réception , et on nous sert du champagne.
Un délégué commercial nous fait savoir qu’ils ont préparé spécialement à notre attention un salon afin que nous puissions examiner la marchandise à notre aise.
Nous nous y installons dans de confortables fauteuils et le délégué appelle alors un premier lot d’esclaves que l’on fait défiler devant nous.
C’est un lot d’une douzaine de jeunes filles âgées de 18 à 19 ans.
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