Quelques jours plus tard, je reçois un coup de fil chez moi de Christian qui me demande de passer le voir le plus rapidement possible. Je lui demande pourquoi tant d’empressement et il me répond que je le saurais bien assez tôt. J’en parle à mon mari qui me dit de ne pas me poser de question et de me rendre immédiatement à son invitation.
A peine ai-je sonné à sa porte qu’il m’ouvre et m’ordonne de le suivre.
Arrivés dans son sous-sol, il me fait entrer dans une grande pièce avec des fauteuils, un canapé et dont les mur sont couverts de miroirs. Je trouve la déco un peu étrange et Christian d’un ton plus sc qu’à son habitude me dit de m’asseoir dans un des fauteuil.
Il se saisit du téléphone et sur un ton laconique dit simplement :
« Elle est là ! Vous pouvez venir. »
Devant mon air surpris, il sourit et me demande ;
« Pour patienter déshabilles-toi Michèle ! »
Docile comme souvent, je me met nue sans aucune gêne. Il me connaît sous toute les coutures et donc je n’ai pas de scrupule, ni de pudeur à me mettre nue devant lui.
A peine déshabillée, la porte s’ouvre et je vois David, guillaume et Seb entrer dans la pièce.
Ils viennent me rouler des pelles et me peloter pour me dire bonjour. Surprise, je me laisse faire et un frémissement d’excitation parcours mon échine tout en me demandant ce qu’ils ont bien pu manigancer entre eux.
Pendant que les trois hommes me tripotent outrageusement, Christian ouvre sa braguette, sort son sexe et s’approche de nous. Il vient derrière moi et se met à me doigter la rosette. Sous leurs assauts, je ne peux retenir mes gémissements et mon corps se met à onduler sous les caresses.
Le doigt inquisiteur de Christian fait des va et vient dans mon conduit étroit me faisant de plus en plus d’effet. Je mouille comme une chienne. Une main tente de rentrer dans ma chatte. J’ai un peu mal mais elle y réussi et elle me fiste fermement. Christian en profite pour remplacer son doigt par sa queue et me voilà rempli par la chatte et le cul.
Ca fait à peine une demie heure que je suis ici qu’ils m’utilisent à leurs grès sans me l’avoir demandé. Mais c’est un régal et je suis loin de m’en plaindre. Seb et Guillaume me fourre leur sexes dans ma bouche distendue. Je ne les suce pas mais ils abusent de ma bouche sans vergogne. J’ai mal à la mâchoire. Je ne suis à ce moment qu’une femelle à remplir sans aucune considération pour moi.
Ils me chauffent bien ces salops. Christian se sent dans mon cul comme chez lui et me bourre frénétiquement en rythme avec la main de David qui me fiste le vagin.
« Salope ! T’aimes te faire enculer par ma grosse bite ! Hein ? T’es bien remplie putain ! Dis que tu veux que l’on te fourre plus fort chiennasse ! »
Je ne peux répondre avec les bites qui me fourre profond dans la gorge. Je ne peux émettre que des gargouillis et des ahanements.
Malgré la v******e avec laquelle ils abusent de moi, je prends un pied immense. Après une bonne demi-heure de ce régime intense, mon corps est pris de convulsions et j’explose dans un orgasme peu commun. La contraction de mon vagin et de mon cul dans cet explosion, fait que mes tourmenteurs éjaculent presque en même temps m’inondant de leur abondante semence.
Reprenant nos esprits, Christian lance aux autres :
« Cette salope est une vrai pute. Elle est Sofia sont bien les meilleurs garage à bite que je connaisse ! C’est top que son mec nous la laisse à dispo ! »
A ce moment, les mecs m’entrave sur une croix de saint André qui était disimulée derriére un rideau. Je me débat pour la forme et ça les excite.
Obscènement nue, les quatre membres écartelés,je suis à leurs merci. Je soupçonne les intentions sadiques des quatre mâles en manque de mon corps depuis cinq semaines. Je me souviens de leurs écrits me disant qu’ils allaient bien s’occuper de moi à mon retour. Encore sous le coup de mon orgasme, je suis prise de vertige, électrisée par l’angoisse. Tout mon être proteste et la peur d’être attachée sans pouvoir me défendre, me fait couler comme une fontaine. Je ne peux leurs dissimuler mon état de femelle. Seb est le premier à le remarquer.
« Regardez cette pute ! Elle joui d’être entravée à notre merci ! »
Oui, je suis à leurs merci et j’attends sans rien dire mon sort. Mais ils me laissent ainsi et quittent la pièce en laissant la porte ouverte. Je les supplie de me détacher et me tortille dans mes entraves. Des pensées folles me traverse l’esprit.
« Que comptent-ils faire de moi ? Où est mon homme et leurs a-t-il donné le droit vraiment de faire de moi ce que bon leur semble ? Vais-je rester clouée ici, sans pouvoir aller aux toilettes le moment venu ? »
A ces pensées, je me mets à transpirer à grosses gouttes. Mon corps est luisant de sueur.
Puis après un moment qui me semble interminable les voilà qui reviennent en rigolant. Christian dit à Guillaume :
« Tu veux commencer Guillaume ? »
« Oui avec plaisir puis je passerai la main à Seb ! »
Il prend une longue tige de bambou flexible et me le présente devant mon visage.
« Tu as péché et tu dois être punie ! Dans ta position, la douleur va être intense ! » me dit-il d’un air sadique.
En brandissant la tige lui faisant fouetter l’air, il leur dit :
« Allez, 10 coups pour la mettre en condition ! »
Le premier coup est violent et cingle mes fesses. Je ne peux retenir un cri de douleur. Mais j’ai à peine le temps de me reprendre que le deuxième coup tombe tout aussi fort. Mon corps se tend dans les liens. Ils rigolent tous de me voir me tortiller dans mes entraves. Christian me lance :
« Tes vacances ont été un théâtre de débauche salope ! Tu es punie par où tu as péché ! Tu peux crier, personne ne t’entendra ! »
Le 3ème coup tombe juste au-dessous de mes fesses. Puis sur mes reins. Le salop vise de manière à ce que tout mon postérieur soit marqué. Chaque coup provoque une douleur qui se diffuse dans tout mon corps. Je sens mes fesses meurtries qui me chauffent.. Les spectateurs apprécient mes contorsions et mes grimaces de douleur.
Seb le remplace. Les coups de bambous pleuvent sur mon ventre cette foi-ci. Je suis prise de spasmes incontrôlables. Les coups s’arrêtent. Mes fesses et mon ventre sont en feu. De la cyprine coule sans discontinuer de ma chatte. Des larmes coulent sur mes joues. Ils admirent quelques instants les traces du supplice sur mon corps. Mais le répit est de courte durée. David prend une sorte de raquette de ping-pong et en me fouillant la chatte, il me dit :
« Tu vois ? Les sensations que tu vas avoir avec ça vont être différentes. Je suis certain que tu va aimer petite pute ! »
Son regard est inhabituel. Il a une lueur perverse dans les yeux en me disant ça.
En effet, quand le premier coup s’écrase sur ma fesse gauche suivi aussitôt d’un deuxième coup sur ma fesse droite, je pousse un râle a****l. Je serre mes fesses en désespoir de cause mais le coup suivant s’abat et la douleur est encore plus vive. Je n’ai pas d’échappatoire que de subir leur perversité. Au troisième coup, Christian me pose des pinces sur les tétons. Je serre les dents alors que Seb prend le relais avec un martinet. Je craque et les supplie de me détacher, promettant de leurs faire ce qu’ils voudraient. Seb me répond :
« Tu ne voudrais pas gâcher mon plaisir tout de même ? »
Aussitôt le martinet s’abat sur mes seins déjà rudoyés par les pinces. Je manque de m’évanouir. Après plusieurs coups, mon martyr s’arrête et j’entends David ou guillaume dire aux autres :
« Elle a son compte je crois ! »
Christian intervient :
« Pas tout à fait ! »
Il allume une grosse bougie et fait couler de la cire chaude sur mes seins, mes fesses et ma chatte. Une chaleur vive envahi les parties de mon corps déjà tés sensibles. J’essaie de bouger pour éviter la douleur mais je suis solidement attachée. Je n’arrêtes pas de les supplier.
« Pitié ! Je ferai tout ce que vous voulez ! Je serais votre chienne,votre esclave ! »
Christian alors me détache en me disant :
« Bienvenu pour ton retour de vacances chérie ! »
Puis en me jetant juste une tunique transparente, il me dit :
« Enfile ça et rentre chez toi ! »
J’écarquille les yeux paniquée :
« Oh non ! Je vais pas pouvoir rentrer comme ça ? »
Ils éclatent tous de rire et David lance :
« Ben…. C’est à dire que tu n’as pas le choix ! »
Seb rajoute :
« Comme ça tout le monde pourra voir ce qu’on fait aux salopes de ton genre dans le quartier ! »
Là, d’une claque aux fesses Christian me dit :
« Ouste ! On veux plus te voir ! Rentres chez toi illico montrer à ton mari comment on s’est servi de toi ! »
Sans demander mon reste, je files vers mon domicile en espérant ne rencontrer personne. Je suis morte de honte. Mon cœur bat à toute vitesse. Je suis rassurée lorsque j’arrive à mon portail. Juste au moment où je m’apprête à entrer, une main ferme se plaque sur mes fesses me faisant sursauter. C’est Paul, mon vieux voisin. Il me glisse à l’oreille :
« Quel joli cul Michèle ! Visiblement tu as reçu une belle fessée dis donc coquine ! Suces-moi salope ! »
Je suis dans tout mes états. Honteuse qu’il me voit ainsi et impatiente de rentrer pour prendre une douche et me détendre, je le supplie de me laisser tranquille. Mais il insiste en me donnant une grande claque sur mes fesse déjà bien douloureuses.
« Allons, je suis sûr que tu suces bien et tu vas pas refuser ça à ton voisin ? »
« Une autre fois Paul. Je vous en prie ! Je vous promets ! »
Mais il appuie sur mes épaule et pour m’en débarrasser rapidement, je le suces. En me prenant la tête ; il utilise avec plaisir ma bouche et en moins de cinq minutes il éjacule au fond de ma gorge dans un grognement bestial. J’avale et aussitôt je rentre chez moi et claque le portail pour me mettre enfin à l’abri de ces pervers.
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