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ma copine Anna

ma copine Anna



J’ai connu Anna au lycée. On s’entendait très bien toutes les deux. Anna était un peu plus petite que moi, une longue chevelure noire encadrait son visage presque adulte comme souvent pour les jeunes méditerranéennes. J’admirais sa beauté et l’enviais un peu d’attirer tous les garçons.
Mais elle me répétait souvent qu’ils étaient trop bêtes. Elle était plus âgée que moi et pour fêter ses 16 ans, elle m’invita à passer la soirée et la nuit chez elle. Ma mère accepta facilement, Anna n’était pas une inconnue ni une mauvaise fréquentation.
Je mis donc dans un sac ma chemise de nuit, ma brosse à dents et mon innocence pour me rendre chez mon amie. Elle vivait seule avec sa maman, dans une grande maison pas trop loin de chez moi. C’est elle qui m’accueillit avec un grand sourire. Comme Anna, elle n’était pas très grande mais je me souviens encore de sa poitrine.
Il faisait chaud et sa robe décolletée offrait une vue magnifique sur ses seins lourds et bronzés. Elle ne portait pas de soutien-gorge et ceux-ci se balançaient de droite à gauche dans une valse bien organisée tandis qu’elle me conduisait dans la chambre d’Anna.
La soirée fut charmante. Anna et moi avons passé de longues heures à discuter lorsque sa maman vînt nous demander de nous coucher. Une fois dans la salle de bains, nous nous sommes déshabillées. C’est la première fois que je voyais Anna nue. Elle avait un corps fin et des seins un peu plus petits que les miens. Ses poils pubiens abondants en faisaient déjà une femme.
Comme j’allais mettre ma robe de nuit, elle me proposa de poursuivre le petit jeu que nous avions commencé. Ce genre de jeu où on s’invente des épreuves plus ou moins osées pour se prouver son courage. « Chiche que tu laisses ta robe de nuit ici et que tu montes dans la chambre toute nue. »
Comme il faisait chaud, et que j’avais entendu sa maman devant la télé, je lui répondis ok. Je montai donc dans la chambre, sans faire de bruit. Anna me rejoint peu après, nue elle aussi. Elle poursuivit : « chiche que tu oses pas te mettre devant la fenêtre ». Sans hésiter, je me mets devant celle-ci, je prends même une pose aguicheuse, au moment précis où quelqu’un sonne.
On éclate de rire, on se précipite toutes les deux sur le lit et on se faufile sous les couvertures en éteignant la lumière. Sa main se pose alors délicatement sur mon épaule, et elle me dit « chiche que tu oses pas m’embrasser. » Je la regarde et je pose mes lèvres sur les siennes.
Elle passe aussitôt la langue et commence à tourner celle-ci dans ma bouche. Je réponds à son baiser en faisant de même. Nos langues s’enroulent l’une à l’autre tandis que nous nous serrons l’une contre l’autre. Nous rallumons finalement la lumière et sortons des couvertures, où il commençait à faire très chaud.
Sa main se pose sur l’un de mes seins et commence à jouer avec le téton. Qui durcit rapidement sous ses caresses. « Tu aimes ? » je lui souffle un « oui ». Elle n’en attendait pas moins pour m’embrasser à nouveau et envoyer son autre main vers mon intimité.
« Caresse-moi » me demande-t-elle. Maladroitement au début, je commence à caresser l’un ses seins, puis elle prends ma main et la dirige vers son sexe. « Là ». Je passe un index dans sa fente pour me rendre compte qu’elle est aussi mouillée que moi.
Je reproduis chacun de ses gestes. Sa main se pose sur mon clitoris et je fais de même. Nous nous masturbons jusqu’à l’orgasme, que nous essayons tant bien mal de garder silencieux. « Tu crois qu’on nous a entendu ? » lui dis-je. « T’inquiètes pas, maman reçoit ses clients. On peut faire tout le bruit qu’on veut. »
« Ses clients ? ». « Oui, elle les fait payer très cher pour qu’ils puissent faire des choses avec elle. » Je venais de comprendre le métier de la maman d’Anna. En tout cas ça avait l’air de bien rapporter. « Tu veux qu’on aille voir ce qu’ils font ? »
Excitée à l’idée d’un spectacle que je n’osais imaginer, je lui répondis « pourquoi pas… ». Nous sortons donc de la chambre discrètement, nues et un peu folles. Des bruits montent du salon, dont nous nous approchons. Alors que nous essayons péniblement de voir quelque chose, nous sommes surprises par une voix derrière nous.
« Alors les filles, on est curieuses ? » Déconfites, nous nous retrouvons devant un vieux monsieur qui nous reluque de haut en bas. Nous tentons de cacher nos parties intimes mais il ajoute « Si vous voulez que je reste muet, il va falloir me montrer un peu plus. »
Nous nous offrons donc à sa vue et ses caresses. Il se contente de peloter nos seins, nos fesses et nous demande de nous embrasser. Ensuite, comme s’il ne s’était rien passé, il nous adresse un dernier sourire et il pousse la porte du salon, nous laissant avec des émotions bizarres.
Nous remontons dans la chambre où nous passons une nuit peuplée de rêves étranges. Je repense souvent à ce monsieur dans mes fantasmes les plus secrets. Quant à Anna, elle a repris le commerce de sa maman…

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