Alain m’annonça au petit déjeuné que nous avions un nouveau voisin. Curieuse, je lui demandais des détails sur le nouveau résident.
« Il est mignon ? »
En me souriant, il me répond :
« Pourquoi ? Tu veux t’le faire ? Oui il est mignon. J’pense même qu’il pourrait être à ton goût. »
« On l’invite à prendre l’apéro ? »
« Attention. C’est un apéro. » Me précise-t-il en rigolant.
A dix huit heures,le téléphone sonne.
« Chérie, je vais rentrer plus tard que prévu, on a un dossier à boucler en urgence. »
« En urgence ! Tu t’fous d’moi ? Et notre voisin qui arrive dans 20 mn qu’es c’que j’en fais ? »
« Je t’fais confiance. Tu te débrouilleras bien avec ! »
Puisque mon mari me pose un lapin, jevais m’habiller sexy pour recevoir le voisin. Je suis impatiente de voir de quoi il a l’air. Je venais à peine à peine d’enfiler ma robe que la sonnette retentit.
« Bonjour, je suis Michèle.Entrez, mon mari va être en retard. Je suis désolée. »
« Bonjour. Vik. »
J’étais toute excitée de constater que je lui faisais de l’effet. Il faut dire que mon décolleté ne pouvait pas le laisser indifférent.
Après quelques banalités, devant un verre, il ne quittait pas mon décolleté et pouvait profiter pleinement de la vue de mes seins libres. je pus constatais que bosse révélatrice tendait son pantalon.
« Vous aimez ma robe, je vois. »
Gêné par ma question, il bredouillât :
« Heu, c’est-à-dire que… heu… Oui, je vous trouve très sexy ! »
« J’ai très envie que nous fassions plus ample connaissance. »
Tout en lui parlant j’avais posé ma main sur la bosse de son pantalon. Après quelques secondes d’hésitation, les yeux rivés sur mon décolleté, il sorti sa belle queue dressée pour moi.
« Huuum quelle jolie queue ! »
Je commençais à faire courir mes doigt sur cette hampe dressée pour moi. Il dégageât mes seins. Le jeune garçon n’avait d’yeux que pour ma poitrine et je sentais que je commençais à mouiller. Une fois mes seins libérés, il se mit à me les caresser et sucer mes tétons durcis par l’excitation. Inquiet, il me demande :
« Mais et votre mari, s’il arrive ? »
« Alain ? Il adore me partager avec d’autres hommes. Je me demande même s’il n’a pas fait exprès d’être en retard. »
Je commençais à gémir de plaisir sous ses caresses. Je sentais son sexe dur qui palpitait dans ma main. Alors que je me baissais pour le sucer, il en profita pour me retirer ma robe. Pendant que je le suçais, il me caressait la tête comme on flatte une bonne petite chienne.
Soudain, la porte s’ouvrit. Alain entra et éclata de rire en me voyant en pleine action avec la queue de notre jeune voisin dans la bouche.
« Je m’en doutais ! Michèle tu es décidément une sacré salope. Dés qu’il y a un mec, tu ne peux pas t’empêcher de le sucer ! »
David, prit ma tête pour essayer d’enlever sa queue de ma bouche mais je le tenais ferme par les fesses et le gardais bien au chaud continuant ma pipe.
« T’inquiète pas, mon gars. Profite de ma femme ! Elle adore jouer à la chienne en chaleur devant moi. »
Notre jeune voisin n’en croyait pas ses oreilles. La surprise, malgré mon savoir faire, l’avait fait débander. Je dus me remettre à le pomper avec toute mon expérience pour lui redonner de la rigidité. En passant derrière moi, Alain me me claquât séchement les fesses. Après cinq minutes, de ce traitement, Vik se mit à gémir. Je gardai les lèvres serrées autour de son gland. Il se mit à éjaculer abondamment dans ma bouche. Surprise par une telle quantité, Je ne pu tout avaler. Le trop plein m’en passait par le nez.
Je le sortis de ma bouche pour lui nettoyer la queue. Curieusement, mon nettoyage buccale le remis en érection. Décidément, il avait du potentiel le voisin. Alain lui dit :
« Et bien mon gaillard, je crois que ma petite salope te fait de l’effet. Allez ! Venez vous asseoir tous les deux que nous trinquions à notre nouvelle amitié. »
Nous nous rhabillâmes et avons terminé notre apéritif comme si rien ne s’était passé.
Quelques jours plus tard, j’étais en ville à faire les boutiques quand je reçus un coup de fil de Vik :
« Bonjour Michèle ; voilà, vous avez dit l’autre soir à l’apéro, qu’un de vos fantasme serait de vous faire baiser par plusieurs inconnus et j’ai pensé à mon frère et ses potes. »
« Heu … Oui je…. pourquoi pas ….Oui Mais c’est que je préfèrai que soit plus le fruit du hasard. »
« Oui mais rien ne t’empêche d’y penser. Il s’appelle Jean. Je lui ai beaucoup parlé de toi et de tes talents. Il travaille à l’entracte près du cinéma. Vas l’voir ! »
En raccrochant, j’étais un peu abasourdie. Un garçon que j’avais sucé qu’une seule foi quelques jours auparavant me proposait de me taper son frère et ses potes. Je me dis que finalement c’était peut-être une opportunité à saisir. Je me suis donc rendue au bar et commandais une bière. Le serveur qui me l’apporta ressemblait trait pour trait à Vik. A un tel point que je crus que c’était lui.
« Jean je suppose? »
Il me regarda des pieds à la tête, et me dit :
« Vous êtes la fameuse Michèle ? »
« Oui c’est ça ! Je suis la voisine de votre frère. »
« Vik m’a parlé de vous. Parait-il que vous êtes une sacré bonne salope et que vous sucez comme une pute ! »
Voilà qui avait l’avantage d’être clair. J’étais soudain un peu mal à l’aise car ma réputation me précédait. Jean savait à quoi s’attendre avec moi et il savait qu’il pouvait être direct avec moi.
« Bon… Je termine mon service dans cinq minutes. Je vous offre un verre et vous m’expliquez ce que vous voulez. »
J’avais un peu honte, et j’avais envie de prendre mes jambes à mon cou. Mais la curiosité et l’envie de réaliser mon projet étaient plus fort. A la fin de son service, Jean s’assit à mes côtés et, d’emblée, en pays conquis, il posât sa main sur le haut de ma cuisse en me disant :
« Alors Michèle, tu veux te faire sauter par plusieurs mecs ? »
« heu… Oui mais j’aurais voulu que ça se passe comme par surprise… ! »
« Mon frère avait dit vrai. T’es une sacré chaudasse ! »
« Vous seriez d’accord ? »
Il explosât de rire.
« Quel mec serait assez con pour refuser une telle offre ? Tu veux que ça ressemble une sorte de k**napping ! »
En disant cela, il remonta sa main jusqu’à ma chatte humide avant de poursuivre :
« Ce serait vraiment complètement con de ne pas faire profiter mes potes d’une salope comme toi! »
Je souriais timidement en repoussant doucement sa main investigatrice.
« Bon ! Viens ! J’vais t’montrer un truc ! »
Pendant que nous traversions le bar, il me tripotait les fesses sous ma robe courte sans se soucier des clients attablés.
« J’adore les salopes comme toi qui osent se balader sans soutif et sans culotte. »
J’étais horriblement gênée et tentais de garder mes mains plaquées sur le bas de la robe pour l’empêcher de la soulever. Au moment où il me faisait rentrer dans une sorte de cave, mon téléphone sonnât.
« Michèle ! C’est Alain ! T’es où là ? »
« j’suis avec le frère de Vik dans la cave de l’Entracte. »
« Encore un plan tordu où tu vas te faire sauter ! »
« Tu veux venir mater ? »
« J’arrive ! »
Sur l’entrefaite, je me retrouvais entourée de plusieurs mecs. A partir de là, tout s’enchaînât. Rapidement ces inconnus vinrent se frotter à moi et me tripoter. Mon mari qui était arrivé entre temps, filmait avec son portable. Je me comportais comme une chaude salope. Les caresses devenaient plus appuyées et les langues fouillaient ma bouche.
J’étais offerte sans aucune retenue. J’étais l’objet de toutes leurs envies, soumise par plaisir, à leurs appétits sexuelles. Je les suçais à tour de rôle pendant que d’autre me pénétraient. Mais ils n’en restèrent pas là quand l’un eut une idée lumineuse.
« Les gars, on va la prendre en double cette salope ! »
J’allais, curieusement subir mes premières doubles pénétrations, et même triple avec un sexe dans ma bouche. J’étais en transe, jamais je n’aurais imaginée que mes entrailles, acceptent,d’avoir deux hommes, en elles. J’étais avide de sexe.
« La salope on va la fourrer comme une pute ! »
Je vivais mon fantasme fond et avec Alain qui filmait j’en aura un souvenir. Les uns après les autres, il se vidaient dans le sac à foutre que j’étais pour cet instant.
J’avais l’impression que les queues n’arrêtaient pas de m’enfiler. Je dégoulinais de sperme t mes orgasmes m’avaient épuisé. Je ne tenais plus sur mes jambes mais les queues continuaient à se succéder. J’avais mal à la mâchoire et ma chatte et mon cul irrités par tant de pénétrations devenaient douloureux. J’avais beau leurs dire que j’avais mon compte, il continuaient de me baiser et de se déverser en moi. Mais combien étaient-ils ?
Au bout d’un moment, ils partirent repus, me laissant détruite par terre. Du sperme coulait de mes orifices distendus et j’avais de haut le cœur tant j’avais avalé de sperme. Je retrouvais mon mari qui, abasourdi par tout ce qui venait de se passer, était presque, lui aussi, honteux de m’avoir abandonné à tant de mecs. Il me cajolât gentiement et nous rentrâmes chez nous où après une bonne douche Alain me fît un massage de mon corps et mes trous endoloris avec une crème apaisante. Je m’endormis comme une masse lors de ce traitement
Le lendemain, toute courbaturée, je me réveilais vers les 10h00. Alain me caressait doucement et je lui dis :
« Tu sais chéri. Même si j’ai honte de ce que l’on a fait cette nuit, j’ai adoré ça ! »
« Moi aussi mon ange. Te voir t’enfiler autant de queue et être la pire des salopes en te faisant défoncer comme une chienne en chaleur. J’ai adoré et en redemande…! »
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