Ce soir-là, je me suis retrouvée toute seule avec le grand-père de mon copain de l’époque qui s’appelait Théo. C’était en pleine campagne et nous étions arrivés trois jours avant. Nous attendions les résultats du bac et Théo avait prévu de passer la soirée avec des amis d’enfance. Il ne rentrerait que le lendemain.
Je m’entendais bien avec le grand-père. Il me faisait rire et me taquinait tout le temps. Et ce soir-là, après le repas où nous avions bu du vin, il a décidé de me faire goûter de la liqueur de prune.
A la première gorgée, j’ai cru que ma bouche prenait feu.
« La deuxième passera mieux, tu vas voir, ma poulette, m’a dit le grand-père en s’amusant de me voir grimacer. »
Nous étions assis dans le canapé du salon et il avait baissé le son de la télé qui diffusait un vieux film en noir et blanc. Ma tête tournait déjà à cause du vin rouge.
J’ai repris une gorgée, puis j’ai dit :
« Vous avez raison, ça coule mieux. »
Il me regardait. Il était assis à ma gauche, très près de moi. Lui aussi avait beaucoup bu à table, et je sentais bien qu’il allait essayer quelque-chose. Ça ne m’inquiétait pas.
Il m’a dit :
« Je suis content qu’on passe une soirée tous les deux. »
« Moi aussi, ai-je répondu avant de prendre une gorgée de prune. »
Il a souri.
« C’est vrai ? Ça te fait plaisir ? »
« Oui, j’aime bien votre compagnie. »
Il s’est alors mis à toucher mes cheveux que j’avais attachés en chignon.
Je ne mentais pas, j’aimais bien ce vieux monsieur. Et j’ai aimé aussi sa façon de me toucher comme ça, les cheveux, puis la nuque. Je me suis tournée vers lui et je lui ai dit :
« J’aime bien vos gros doigts rugueux. »
« Ce sont des doigts de travailleur, ma poulette. Moi, j’aime ta peau toute douce. En tout cas, ton épaule est douce. Celle de ton bras aussi. Tu n’es pas choquée que je te caresse un peu ? »
J’ai fait non de la tête et il a dit :
« Tant mieux. Je n’osais évidemment pas le faire en présence de Théo, mais j’y pensais en te regardant. »
« J’ai bien vu que vous regardiez souvent. »
Ses doigts sont remontés vers mon épaule et il a dit :
« Et ça ne t’a pas ennuyée ? »
« Non, j’aime bien qu’on me regarde. Par contre, Théo n’aime pas trop ça. Il est très jaloux. »
« Mais Théo n’est pas là ce soir. »
« Non, il n’est pas là. »
« Donc, je peux te regarder autant que je le veux. Et te caresser. J’ai lu dans tes yeux que tu aimais qu’on te caresse, je me trompe ? »
« Non, c’est vrai. »
« J’en étais sûr, a dit le grand-père en pinçant la bretelle de mon petit débardeur moulant. »
Il était mauve et je ne portais rien dessous. Ma jupe était assortie, mais elle n’était pas moulante. Elle m’arrivait à mi-cuisses. J’étais pieds nus depuis la fin du repas.
Il a fait glisser la bretelle de mon épaule, puis il a dit :
« Monte sur mes genoux, ma poulette. »
J’ai fini mon verre de liqueur, puis j’ai obéi. Une main du grand-père s’est posée en bas de mon dos. Tout en bas. Puis sur une fesse.
Il a dit :
« Arrête-moi si tu trouves que j’abuse. »
J’ai répondu :
« Vous n’abusez pas, Théo n’est pas là pour voir. »
« Dans cas, enlève ton débardeur. »
J’ai obéi. J’en avais très envie. J’ai ôté mon débardeur et une main s’est aussitôt plaquée sur mon sein gauche. J’ai jeté mon vêtement à travers la pièce et j’ai regardé la main qui me pinçait à présent le téton.
Le vieux me regardait dans les yeux. Je sentais bien qu’il avait envie de me dire quelque-chose. Sa bouche s’ouvrait, se refermait. Il hésitait. Alors j’ai passé mon bras derrière sa tête et je l’ai embrassé sur la bouche.
Aussitôt après, il s’est décidé à me dire :
« J’ai aussi lu dans tes yeux que tu aimais sucer les bites. »
Une minute plus tard, je passais ma langue baveuse sur la fente de son gland. Il ne bandait pas encore à fond. Je m’étais mise à genoux devant le vieux qui avait ouvert un peu ses jambes et sorti sa queue après avoir défait sa ceinture et sa braguette.
Au moment où j’ai enfourné sa queue toute entière dans ma bouche en enroulant ma langue autour, il a murmuré :
« Petite salope, je vais te voir à poil, hein ? »
J’ai pris le temps de lui répondre oui, puis je me suis remise à sucer.
Il a ajouté :
« Tu vas me montrer ton cul et ta chatte. »
Je n’ai rien dit.
Il a continué :
« Parce que je sais que tu aimes montrer ton cul et ta chatte. »
J’ai accéléré mes mouvements.
« Et te faire sucer ton petit bouton de salope, je me trompe ? »
J’ai fait non de la tête et il a dit :
« Dis-le-moi que tu aimes ça. »
« Que j’aime quoi ? ai-je dit en le regardant dans les yeux. »
« Te faire sucer le cul. »
« J’aime me faire sucer le cul, ai-je dit avant de remettre sa bite dans ma bouche en la branlant. »
« Dans ce cas, je vais m’allonger sur le dos et tu vas te foutre à poil pour venir poser ton cul sur mon visage. Dépêche-toi. »
J’ai obéi. Tandis qu’il enlevait sa chemise, j’ai fait glisser ma jupe le long de mes cuisses. Ensuite, j’ai baissé ma culotte et j’ai attendu qu’il enlève son pantalon et son caleçon. Il s’est couché sur le dos dans le canapé et je l’ai enjambé pour ouvrir mes fesses au-dessus de son visage. Sa langue s’est aussitôt immiscée dans mon cul et j’ai repris sa bite dans ma bouche. Elle était raide à présent.
Et là j’ai eu une pensée pour Théo. Je me suis surprise à l’imaginer en train d’observer la scène depuis l’autre bout de la pièce. En train de me voir me faire bouffer le cul par son grand-père dans ce canapé, à poil.
Ça m’a fait jouir. Mon cul a vibré sur le visage du vieux et, comme s’il avait deviné mes pensées, il a dit :
« Espèce de petite garce. »
Plus tard, il a approché sa bite de ma chatte. J’avais ouvert les cuisses dans le canapé et je me touchais les seins en regardant son gland venir vers mes lèvres lisses. Il me l’a enfoncée délicatement, puis il a appuyé ses mains sur le dossier du canapé pour accélérer son mouvement.
Il m’a alors dit :
« Je te saute. »
J’ai répondu :
« Oui. »
« Et tu aimes te faire sauter, salope… »
« Oui, j’aime ça. »
« Sans capote, en plus de ça. Tu aimes que ça mouille bien et que ça colle, hein ? Tu aimes le sperme, ma belle… »
« Oui, j’aime ça. »
« Je vais envoyer la sauce au fond de ta chatte, petite salope. »
« Non, pas au fond, s’il vous plait. »
« D’accord, pas au fond. Dans ce cas, touche-toi le clito et je giclerai sur tes doigts. Dépêche-toi. »
J’ai obéi.
Il a suivi mon geste des yeux et m’a laissée me branler pendant un petit moment, puis il s’est retiré d’un seul coup et le sperme a jailli. Il en a mis partout, ce vieux cochon. J’ai tout étalé sur mon ventre et entre mes cuisses, jusqu’à mon anus. Puis j’ai nettoyé son gland avec ma langue avant d’aller prendre une douche.
J’ai passé cette nuit-là dans le lit du grand-père de mon mec, à poil contre lui, et il m’a de nouveau sautée le lendemain au réveil.
Ce jour-là, j’ai appris que j’avais mon bac. Théo également. Nous avons fêté ça à son retour, avec son grand-père qui me tripotait les seins et le cul dès que son petit-fils se levait pour aller aux toilettes.
Mais nous nous sommes quittés dans le courant de l’été, Théo et moi, parce que j’étais incapable d’être fidèle à qui que ce soit, depuis toujours.
Ce qui ne m’a pas empêchée de revenir voir son grand-père par la suite.
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