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3ÈME SÉANCE (Histoire vécue)

3ÈME SÉANCE (Histoire vécue)



Cette fois encore, je me suis préparé la veille, rempli mon petit sac de mes dessous sexy, mon appareil photo ainsi que, coquin, le collier et la laisse de mon chien. Cette fois encore, je me suis rasé de près ne laissant qu’un semblant de triangle au dessus du pubis. Cette fois encore, la douche a été le prétexte d’un lavement en règle.

Ce soir là, nous avions discuté un instant sur MSN. J’en profitais pour lui demander l’autorisation de venir lui rendre visite ; et comme la fois précédente, il m’avait intimé l’ordre d’aller m’acheter des bas, je lui annonçais devoir y aller avant de venir le retrouver. De vrais bas, que je pourrai fixer avec mes porte-jarretelles, contrairement aux bas autofixants que j’avais portés les premières fois.

Le jour J, je devais faire quelques courses et ainsi, m’acheter les bas. Malheureusement, je n’ai pas osé, croisant une connaissance dans le magasin. Il ne me restait plus que la solution « sex shop ». Dans ce dernier, sous le regard d’un autre client, je choisissais rapidement une paire de bas, un gode énorme de 6 cm de diamètre et plus de 20 de long, ainsi que du Poppers. Je sortais ma carte bleue pour régler mais le vendeur me précisa qu’il n’acceptait pas celles-ci. J’allais alors retirer du liquide et revint rapidement. Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’il m’annonça 129€ ! J’avais lu 69€ au lieu de 99€ pour le godemiché ! Dépité, j’abandonnais la magnifique queue de silicone sur le rayon.

Dans la voiture, je ne pu m’empêcher de sortir les bas de l’emballage, comme pour les toucher alors que j’appelais R pour le prévenir de mon arrivée.Peu de temps après, j’étais chez lui. Je lui racontais mon aventure au sex shop, ce qui l’amusa. Croyant que je devais le rejoindre le matin, il s’était déjà amusé seul, croyant probablement que je n’allais pas venir. Il paraissait désolé, mais après tout, j’imaginais que ça allait durer plus longtemps, pour mon plus grand plaisir. Rapidement, je me changeais devant lui mais malheureusement, les bas que j’avais amenés étaient trop courts. Il fallut donc les tirer et R vint m’aider à la attacher.

Debout, il se plaça dans mon dos, me prenant dans ses bras, caressant tour à tour ma poitrine puis mon sexe. Je sentais le sien entre mes fesses que je plaquais contre lui.

A cet instant, il me demanda d’aller dans le couloir, devant un mur blanc et de poser pour lui. Il m’indiquait les poses à prendre, ça m’excitait, une main posée sur les fesses, les jambes écartées, puis, les couilles hors du string. J’entendais le bruit de l’appareil photo à chaque fois qu’il immortalisait une pose érotique. C’était pour moi, la première vraie séance de photos. Je me sentais comme ces filles qui posent sans pudeur devant un photographe de magasine.

Nous sommes retournés ensuite dans le salon. Je m’appuyais alors sur l’accoudoir d’un fauteuil alors qu’il me prenait les bourses restées dehors à pleines mains. Ecartant les jambes, j’offrais mon postérieur sans pudeur qu’il lubrifia bien vite. Se protégeant, il se replaçait entre mes cuisses et me pénétra rapidement. Je lui demandais de ne pas s’occuper de mes plaintes, de ne penser qu’à son plaisir : Je voulais être son objet !

Il percutait mes fesses sans retenue à chacun de ses aller retour. Je sentais son membre me posséder. J’étais là, à me faire enculer, comme une vraie salope, offrant ma croupe à mon amant providentiel, bien décidé à être « sienne ».

J’osais prendre mon appareil photo, respirant le poppers et à mon tour, immortalisait la scène. Entre mes jambes, je prenais les images que je ne pouvais voir : une queue me pénétrant.

Mais j’avais envie d’une fessée, il ne semblait pas y penser, aussi, ais-je eu le culot de le lui demander. Il m’a simplement répondu que j’avais été obéissante, la raison pour laquelle il ne m’avait pas taper sur les fesses. Néanmoins, il sorti… Sa main ferme et caressante et vint me frapper plusieurs fois sur chacune des fesses. Je sentais le sang affluer, la chaleur monter. Elles devaient être déjà bien rougies et ses coups devirent plus forts. Aurais-je pu imaginer un jour, apprécier autant l’humiliation de la fessée ? Evidemment, je pris des photos de ce derrière marqué.

Osé, je lui faisais remarqué que j’avais apporté avec moi la laisse et le collier de mon chien. Un de ces colliers en chaîne chromée censé servir de collier de force. Très vite, je sentais le froid du métal autour de mon cou. Un petit cadenas vînt fermer les anneaux et la laisse y fut accrochée. J’avais envie de lui appartenir sans limites, devenir sous objet. Dans mes dessous de femme, mes seins se réveillaient, je pouvais les sentir pointer dans mon soutien gorge. J’adore cette agréable sensation de salope soumise ! La laisse pendait dans mon dos quand il pris l’anse pour m’attacher les couilles qu’il tirait vers l’arrière. Ainsi parée, je me penchais vers l’avant le laissant jouer avec la laisse comme s’il s’agissait d’une poignée. La traction qu’il exerçait me remontait les parties, haut entre mes fesses, ce qui m’imposait de me cambrer encore plus. Il me baisa à nouveau.

A ma demande, nous sommes allés devant un grand miroir. Je voulais voir l’action en direct. Etre le spectateur de ce scénario digne des films X, apercevoir la queue qui allait disparaître dans le tréfonds de mes reins, me délecter des images de mon cul grand ouvert et laminé par sa queue. L’ayant supplié de ne s’occuper que de son plaisir, il n’hésitait pas à venir me frapper à grands coups. Tout mon corps était projeté en avant, ma tête venant taper le mur par moment. Ses mains s’agrippaient tour à tour sur mes hanches, puis sur mes épaules comme pour mieux me plaquer à lui. Je suis restée un long moment à me faire enculer devant cette glace. Lorsqu’il est sorti, je mis à genoux pour venir le sucer, l’empêchant de se nettoyer et pour le faire dans ma bouche.
Malheureusement, le goût eu raison de cette pipe… Je me rinçais la bouche au lavabo, désolée mais bien décidée à renouveler l’expérience.

Je ne sais plus vraiment à quel moment nous avons parlé de fist mais après avoir fouillé dans ses affaires, une paire de gants chirurgicaux sur les mains, il m’ordonna de m’appuyer sur le lavabo. Je senti le froid dur gel et vite après ses doigts venir explorer mon trou déjà largement ouvert. Impudique, j’allais à la rencontre de sa main que j’essayais d’happer entièrement. Mais il ne semblait pas vouloir précipiter les choses. Tombant à quatre pattes sur le sol, offrant ma croupe relevée, je le laissais explorer mes entrailles, gémissant d’un plaisir à peine dissimulé par la douleur furtive de cette dilatation forcée. Je l’imaginais étonner à la vue de ce cul béant dans lequel ses doigts fouillaient chaque recoin. Ils étaient tous entrés et seules, les articulations de la main butaient encore à l’entrée.

Etait-ce une jouissance qui m’emportait quand j’ai dû le supplier d’arrêter ? Un orgasme diffus faisait trembler mes jambes… Mon corps entier vibrait de bien-être ! Si je n’éjaculais pas de ce sexe qui pendait entre mes jambes, il me semblait le faire de trou qui me servait de chatte.

Il me fallut un petit instant pour reprendre complètement mes esprits. Nous sommes retournés dans le salon, il venait d’enlever sa capote mais j’avais encore envie de le sucer. Je me retrouvais donc à ses pieds et entreprenais de branler la bite qui se dressait à nouveau vers moi. J’imaginais ce qu’une vraie pute pouvait faire, tentant de l’imiter, lui serrant les couilles de mes mains sans cesser de le masturber jusqu’à ce que je le sente se raidir. Il s’est saisi de son sexe pour me remplacer, le dirigeant vers ma poitrine que j’avais dégagé de mon bustier. J’ai senti la chaleur de son sperme gicler dans mon soutien gorge et sur mon épaule. Que je regrette de ne pas pouvoir accueillir le jet en moi ! Que j’envie les femmes qui, dans ces moments, peuvent lécher et avaler ou bien encore recevoir cette jute en elles, témoignage du plaisir de leur mec. J’en suis privée alors que je fais tout pour être une bonne salope !

Après un bref nettoyage, nous sommes restés ainsi, à discuter ; lui, assis dans nu dans le divan et moi, toujours en dessous sexy dans le fauteuil en face de lui. A le voir ainsi, je me remis à me caresser. L’envie de jouir montait pendant que je sentais son regard sur moi. Je lui ai donc demandé l’autorisation de m’empaler sur le gode que j’avais dans mon sac. Je protégeais le fauteuil d’un bout de papier essuie tout, me lubrifiait l’anus en écartant les jambes et posais le membre de silicone sur l’assise. Je me suis placé au dessus pour m’asseoir. Quelle surprise quand je fut empalé en quelques secondes ! Je devais être encore tout ouvert ! Je venais d’enfoncer d’un coup tout le godemiché dans mon intimité. Il est pourtant relativement gros. Je le sentais tout au fond de mon bas ventre et accélérais alors les mouvements de ma main. Le fait de m’exposer ainsi sans pudeur m’excitait au plus haut point. J’ai jouis comme j’aime tant !

J’adore écrire les histoires de ces instants privés. Une forme d’exhibitionnisme secret que peu auront l’occasion de partager avec moi. S’il est vrai que j’ai eu quelques réticences à me laisser aller au début, je me découvre pleinement aujourd’hui. Je n’éprouve aucune honte, peu de gène même si je reste encore discret. J’ai trouvé ma voie, un mec dans la vie, une salope dans l’intimité. J’aurai encore bien d’autres aventures que je n’hésiterai pas à raconter ici…

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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