ournal 2
Je n’aie jamais eue beaucoup de copines. J’ai toujours apprécié d’avantage la présence des garçons, les trouvant plus amusant et excitant. Préférant de beaucoup leur conversation et leur énergie. J’ai donc passé d’innombrables soirées dans les sous-sols de mes copains à boire de la bière, fumer des joints et surtout à les regarder jouer de la musique….Eh oui, j’étais une groupie!!D’ailleurs, il m’arrive encore aujourd’hui encore d’entre certaines chansons et de me retrouver dans le même état d’excitation…..
3 Mars 1995
Cher journal,
Y’a un dicton qui dit : Un c’est bien mais Deux c’est mieux…. Eh bien je peux dire maintenant que 3, ça donne des bleues aux fesses!!!
J’ai trainée tout le week-end avec Fred et les autres, ils pratiquent à leur local de musique en vue du show de la semaine prochaine. J’adore les voir répéter, ils sont superbes… J’ai un faible pour les voyous et ils ont le look de l’emploi! Je fantasme secrètement sur chacun d’eux depuis des mois et j’ai toujours cru qu’ils ne voyaient qu’en moi, la Sophia, un peu garçon manqué avec qui ils aiment bien déconner durant les match de hockey!!! Eh bien, j’adore qu’on me prouve le contraire …
Je suis arrivé au local en fin de journée, armée de ma caisse de bière et de mon paquet de clopes, bien décidée à passer une belle soirée! Le studio de répet n’est pas très grand, avec l’éclairage et avec les emplis, il y règne une chaleur presque étouffante par moment. Et ce, à mon grand plaisir, car j’ai la chance de les voir se dévêtir un à un. De les mater comme ça, tout en sueur tenant leur guitare de façon si viril, m’excitais au plus haut point…. C’est Fred qui a remarqué l’étincelle dans mes yeux en premier et m’a fait un clin d’œil complice! Gênée, je suis sortie à l’extérieur pour fumer une cigarette. La soirée était plutôt froide et une légère neige tombait, ce qui était l’idéal pour refroidir les pulsions qui montaient en moi! Une fois ma clope terminée et un peu plus en contrôle de mon corps, je rentrai à l’intérieur. Je ne portais qu’une petite camisole à fine bretelles sous mon mentaux et le froid avait fait son œuvre sur mes mamelons qui se dressaient maintenant bien en évidences sous les tissus fin. Je ne sais pas lequel à cesser de jouer le premier, mais la chose dont je me souviens c’est le silence qui s’est installé. Ils se sont tour à tour approchés de moi. L’air était chargé d’électricité. Je crois qu’à ce moment-là, je ne réalisais pas ce qui était en train de se produire… Ils ont commencés à me caresser et à m’embrasser. Je me suis retrouvé complètement nue en moins de deux, laissant leurs 6 mains se balader sur mon corps, les laissant explorer les moindres détails de mon anatomie. Entrant leurs doigts dans ma chatte, mon cul, ma bouche. Léchant mon clitoris au point de le faire exploser. Au bout de quelques minutes, ils me mirent à genoux et j’ai commencé à détacher leurs ceintures et à déboutonner leur jeans et bientôt je me suis retrouvé face à 3 superbes bites en érections. Moi qui suis gourmande de nature, j’eue immédiatement l’eau à la bouche, ne voulant qu’une seule chose, les avoir le plus rapidement en bouche. Je m’exécutai, léchant, suçant et en les branlant tout à la fois. J’étais si excité, j’avais de la mouille partout….
L’un d’eux me prit et me déposa sur le petit divan au fond de la pièce. J’eue seulement le temps de m’installer à quatre pattes que j’avais déjà une bite qui me pénétrait à grands coups. Je me donnais entre les deux autres qui me baisaient la bouche à tour de rôle m’enfonçant leur queue bien au fond de la gorge, provoquant des hauts le cœur et une salivation intense. Je me laissai faire, les trois me déplaçant dans les positions qui leur permettaient de pouvoir en avoir le plus possible. Je me retrouvai bientôt en sandwich entre Fred et Mike qui se partagèrent mon cul et ma chatte. Ils me pénétrèrent doucement au début, ce qui me donna le temps d’apprivoiser le mélange de plaisir et de douleur. Je sentais leur halène sur ma nuque et mon visage. Jo en face de moi, se branlait en me regardant prendre mon pied, il s’approcha et me mit sa queue dans ma bouche. J’étais empalée par toute ces queues bien dures qui prenaient plaisir à me défoncer…C’était si bon, je sentais qu’ils me possédaient toute entière, que j’étais leur chose, qu’ils pouvaient me faire tout ce qu’ils désiraient. Je me laissai baissée à fond les regardant changer de position et profiter de tout ce que j’avais à offrir. Dans la pièce, la musique avait fait place à un entremêlement de gémissements, de grognements et de cris de plus en plus intenses. Le plaisir me faisait planer complètement, tout mon corps tremblait. Toutes ces mains, ces sexes qui me labouraient de partout, me faisaient crier comme une vraie salope…La salive dégoulinait sur mon visage, le mascara suivait les larmes qui coulaient le long de mes joue sous mes yeux rougies. Je savais que j’avais l’air d’une chienne en chaleur et j’adorais ça…J’adorais l’effet que j’avais sur eux, je savais que je les excitais à mort! De les voir prendre leur pied et de les entendre râler comme des fous me procurait tellement de plaisir que j’eue l’orgasme le plus intense que mon corps n’ait jamais connue….Pour un instant j’aurais pu crever, j’en aurais eue rien à foutre, tellement j’étais près du ciel…
Puis l’un après l’autre, ils se retirèrent de mes orifices brulant de jouissance, et ils vinrent se positionner près de moi.. J’ai rassemblé le reste de mes forces et je me suis assis sur mes talons les jambes bien ouvertes. J’assistai au meilleur show qu’ils ont pu donner dans leur vie, les 3 se branlant devant moi chacun à la limite de son plaisir. J’ai ouvert la bouche et sortie la langue, je ne voulais rien perdre. Ils me giclèrent dans la bouche presque les trois en même temps et ma bouche fut empli de leur foutre bien chaud. J’avalai le tout comme une bonne salope, me régalant de la texture et de la saveur du sperme de mes 3 copains. Épuisés, en sueurs et complètement vider nous nous sommes tous effondrés sur le plancher froid. Nous sommes restés là, étendus, les quatre complices à fumer et boire nos bières en rigolant. Nous avons tous parié que je ne pourrais pas m’assoir le lendemain…Paris qui fut gagnée, j’écris présentement avec un sac de glace entre les cuisses!!!
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