Je m’appelle Rania et je suis une jeune étudiante de 23 ans. D’origine algérienne, j’ai été élevé dans une famille assez conservatrice sur le plan religieux, ce qui nous a amené mes sœurs et moi à porter le voile dès l’âge de 15 ans, et de porter ensuite des jilbabs, qui couvrait entièrement nos corps. Mais durant l’été 2011, mes convictions religieuses furent mises à rude épreuve, et c’est cette histoire que je tenais à vous raconter.
Ayant pour habitude de passer les vacances en famille en Algérie chaque été en famille, j’ai été contrainte à passer seule l’été en France, à cause d’un stage obligatoire dans le cadre de mon Master qui s’achevait à la mi-aout. C’est ainsi que je reçus une invitation de la part de ma cousine Zohra à passer la deuxième quinzaine d’aout chez elle en Bretagne. La solitude devant vraiment pesante, je décidais d’accepter afin de pouvoir recharger les batteries avant de débuter ma seconde année de Master. C’est ainsi que je me suis retrouvé en gare de Lannion un lundi en fin de soirée, dans cette ville qui marquerait un tournant dans ma vie. Je fus accueillie par ma cousine et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle est tout le contraire de ce que je suis : moi et mon jilbeb qui me recouvre de la tête au pied, et elle, haut moulant décolleté et mini short, qui mettaient admirablement en valeur ses courbes généreuses. Elle avait les cheveux bruns qui lui tombaient jusqu’à la taille, et ses lèvres, pulpeuses, lui donnait l’air vulgaire.
« – Salam aleykoum » lui dis-je, légèrement gênée par la tenue de Zohra, « Comment vas-tu ? »
– « Ca va trakilou cousine ! Pas trop chaud avec cette tente sur la tête ? On n’est pas à Kaboul ici, lâches toi un peu ! Faudra que je m’occupe de toi ! »
Choqué par l’entrée en matière de ma cousine, je décide de ne pas relever l’affront et nous rejoignons son véhicule. Durant le trajet, Zohra me relance sur ma tenue.
– « T’en as pas marre de porter ce genre de truc ? Essayes de changer de style t’es plus dans ta banlieue ici ! De voir un muslim ici c’est rare, alors si les gens te voient comme ça ils vont croire que c’est carnaval ! T’as pas vu les regards chelou ds gens à la gare ?!? »
– « Ca ne me dérange pas le regard des gens je me suis habitué c’est pas pour eux que je m’habille comme je m’en fiche de leur réactions ! «
– « Moué bof c’est dommage ! Je suis sure que sous cette tonne de tissu se cache une beurette bien foutue ! »
– Quoi ?!?
– Bah quoi, tu dois être bien bonne d’après ce que je devine !
Encore une fois, l’obscénité de ma cousine me choque, mais je préfère ne pas renchérir et garde le silence sur le reste du trajet. Zohra habitait dans une jolie résidence, pas très éloignée du centre-ville et très jolie, ce qui me changeait de mes vieilles barres d’immeubles. A notre arrivée, je suis surprise de trouver chez une jolie demoiselle, blonde et assez plantureuse. Apparemment, elle éprouve la même surprise en me voyant, certainement peu habituée à voir une femme entièrement voilée.
– « Rania je te présente Gaelle, c’est ma coloc ! Gaelle, voici Rania ma cousine !
– « Enchantée je te souhaite la bienvenue chez nous ! me dit Gaelle, « Viens je vais t’installer on t’a préparé une chambre rien que pour toi, mets toi à l’aise !
– « Merci pour l’accueil, c’est très sympa de m’accueillir chez vous. »
– « Bon, poses tes valises et prépares toi, on va sortir manger » propose Zohra
– « Non merci, je suis un peu fatigué si ça ne vous dérange pas, je préfère rester. »
– « Ok c’est comme tu le sens ! Tchuss à taleur ! »
Zohra et Gaelle parties, je monte m’installer dans ma chambre et ne pouvais m’empêcher de penser aux paroles de ma cousine. Elle me trouve bonne ?!? Après avoir entendue cette phrase, j’étais certes choquée, mais une petite partie en moi ne pouvait s’empêcher d’éprouver de la fierté. Prise par une impulsion, je me levai, retirai mon jilbeb et me mis à observer mon corps avec intérêt. J’observais ma poitrine, qui était assez volumineuse, ce qui me causait parfois un mal de dos. J’analysais également mes fesses, rondes et bien perchés, et mes cuisses bien pleines. Je retirais mes sous-vêtements et m’admirais nue, pendant un long moment et cette examen provoquait en moi un mélange de honte, de dégout de moi-même mais aussi de l’excitation. Que diraient mes parents s’ils me voyaient ainsi ?!? Un peu perturbée, je pousse le vice plus loin et commence à laisser courir mes doigts tout le long de mon corps. Mon excitation devient tout un coup exacerbée par la palpation en règle de mon corps réalisé par mes propres soins ! Je ne sais pas combien de temps je reste ainsi, mais soudain, le bruit de la porte d’entrée me tire de ma rêverie ! J’enfile mon jilbeb à toute vitesse et essaye de regagner ma chambre lorsque soudain, je perçois la conversation une partie de la conversation de Zohra et Gaelle :
– « … te plait bébé j’ai envie de toi ! »
– « Arrêtes c’est chaud ma cousine est en haut si elle nous entend, ça sera l’intifada elle va faire un scandale !
– « Mais vas-y on fait ça discrètement, ta cousine c’est une nonne version islamique elle doit déjà dormir depuis longtemps il est déjà 1h du mat’ ! »
Je n’arrivais absolument pas à croire ce que j’entendais ! J’étais effaré : Zohra, élévée dans la plus pure tradition musulmane, avoir une relation hors mariage, qui plus est avec une fille ?!?
– « Et s’il elle nous entend on fait quoi ?!? » lui demande Zohra
– « Mais je te dis qu’elle dort ta cousine, regardes : RANIIIIIIIIA VIENS ME LECHER LA CHATTE !!! » se mit à crier Gaelle
– « MAIS T’ES FOLLE FERMES-LA PUTAIN !!! »
– « Tu vois ?!? Aucune réaction ! Je t’ai qu’on a rien à craindre ! Allez viens j’ai envie de toi maintenant et c’est pas négociable !
– « Bon d’accord mais discrètos alors ! »
Zohra et Gaelle s’installèrent dans le canapé. Je décidais alors de m’approcher à pas de loups de l’escalier pour avoir une vue du salon et je fus pris d’un frisson. Elles étaient là, toutes les deux, à s’embrasser de manière passionnée sur le canapé. Pour la deuxième fois de la soirée, je fus prise de honte et de dégout d’avoir assisté à ça, mais là encore une partie de moi-même avait de désir de ne rien rater du spectacle. Je restais donc là, en haut de l’escalier, à les observer. Zohra, pause sa main sur l’épaule de Gaelle et cette dernière pause la sienne sur la joue de Zohra.
Leurs mains deviennent baladeuses et elles se caressent.
Je vois alors la langue de Zohra, venir chercher la langue de sa colocatire, doucement chaudement, elles se mélangent, la bouche ouverte elles se cherchent, leurs salives se mélangent, elles se rapprochent un peu plus.
Gaelle a passé sa main derrière la tête de Zohra, qui elle commence à caresser le corps de Gaelle, qui frissonne quand elle passe sur ses seins. Elles se reculent légèrement, se regardent en souriant.
– « Tu sais quoi ? Ma cousine peut nous trouver ici que je n’arrêterai pas pour rien au monde »
– Voilà ça c’est la Zozo que je connais, cochonne à souhait !
Zohra fait alors glisser les bretelles de Gaelle, elle découvre ses seins bien ronds, les survolent. Elle continue de faire glisser la robe avec l’aide de Gaelle. Ma cousine enlève elle aussi son haut, et tout en poussant son Gaelle, s’allonge sur le canapé, ou elles reprennent leurs baisers et leurs caresses. Elles poursuivent en s’embrassant respectivement partout sur leurs corps. Zohra place alors sa tête entre les cuisses de Gaelle et commence à déposer de délicats baisers sur son sexe, puis se relève légèrement, et commence à la caresser avec ses doigts. On distingue le va et vient des doigts sur le clitoris. Gaelle, sous l’action du va et vient des doigts de ma cousine se tortille, gémit et offre son bassin en cambrant les reins. Tout ce spectacle provoque en moi une réaction assez inattendue : en effet je commence à mouiller mon jilbeb, n’ayant pas eu le temps de remettre ma culotte, et ressent énormément de plaisir à regarder ses deux se donner mutuellement du plaisir. Je porte alors ma main vers ma fourche, commence à me caresser, tout en me mordant les lèvres pour éviter de crier. Cette sensation nouvelle me procure tellement de bonheur, je suis secouée de tremblements et mon plaisir n’a jamais étés aussi fort. En bas, Gaelle, gémit de plus en plus fort, elle écarte les cuisses, et appuie sur la tête de Zohra en disant :
– « Vas-y ma Zozo tu es une bonne beurette fais-moi jouir avec ta bouche mon amour, OUIIIIIIIIIIII !!! Ma chérie je mouille sous ta bouche, lèche moi bien, oh oui lèche moi bien, lèche oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiii»
Zohra, quant à elle à 4 pattes devant le sexe de son amante, commence à placer sa main sur son vagin et commence à le caresser. Puis de sous le canapé, sors un objet ayant la forme d’un sexe masculin, et commence à le frotter sur son sexe. Puis les filles échangent leurs rôles : Gaelle est à 4 pattes et Zohra se retrouve les jambes en l’air. Gaelle commence alors à lui lécher son sexe et à lui insérer des doigts, tout en enfonçant le sexe masculin dans son anus. Ma cousine ne met alors pas très longtemps avant de gémir :
– « Oh Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Fais moi mouiller ! Lèches-moi ! Encules moi avec le gode j’aime ça ! Bouffes ma chatte ! Vas-y démolis-moi le cul ! Je suis ta chienne, ta petite pute fais moi jouir !!! »
Après une dizaine de minute de ce traitement, les deux amies se couchent sur le canapé, Zohra plaçant sa tête au niveau du sexe de Gaelle et son propre sexe à hauteur du visage de celle-ci, qui a elle aussi prit un gode (j’appris le nom plus tard) et elles se mirent à se lécher et se pénétrer l’un l’autre. Mon excitation était à son comble et je fus obligé de fourrer ma culotte dans ma bouche, pour éviter de lâcher un cri qui aurait signalé ma présence. Après avoir passé énormément de temps dans cette position à pousser des gémissements de plaisir, elles se mirent assises l’une en face de l’autre et à l’aide d’un troisième gode beaucoup plus grand, qu’elles se partagèrent en se l’enfonçant dans leurs anus respectifs, elles se pénétrèrent avec les deux autres godes, ce qui provoqua des hurlements de plaisirs chez elles ! Les hurlements qu’elles poussaient et le plaisir manifeste qu’elles prenaient eurent raison de mes résistances : je me levai, rejoignis ma chambre et je passai une bonne partie de la nuit à me caresser, et même la fin des hurlements de Zohra et Gaelle, m’indiquant qu’elles avaient certainement fini par regagner leurs chambres, ne mit pas fin à mon envie de me caresser, les jambes et les pieds sur l’extrémité du lit, une main multipliant les allées et venues sur mon sexe, entrainant un ondulement frénétique de mes hanches, et l’autre caressant ma généreuse poitrine.
Cette première nuit en Bretagne a démarré sur les chapeaux de roues et j’étais loin de me douter que je m’enfoncerais encore plus loin sur les chemins de la perversion durant ce voyage.
A suivre
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