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VU SUR LE NET:le club des nymphes (2)

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Louise me rejoint soudain et me lance :

— Apparemment, je dois trouver un rat de bibliothèque. Je crois que je vais aller me renseigner auprès de cette fille, me dit-elle en me montrant une petite blonde mignonne. Je l’ai déjà aperçue plusieurs fois à la bibliothèque. Avec un peu de chance, ce sera elle.

Elle me laisse ainsi. A priori, ma sœur ne s’est pas trompée sur l’identité de son parrain. La voilà déjà en train de discuter avec un grand type baraqué. Il me semble que c’est le président du club sportif de l’école, un certain Franck Ferral. Et voilà : tout le monde semble savoir où chercher son parrain, et moi je n’ai aucune idée de qui peut être le mien.
Dépité, je commande une bière et décide de me lancer à l’aventure au hasard. Le premier type que je questionne – un type à la gueule d’intello boutonneux – n’a aucune idée de qui ça peut être. Il me fait la liste des clubs de sa connaissance, mais aucun ne semble correspondre à ce club mystère. Comme il n’a pas pu m’aider, il refuse de prendre la bière que je devais lui donner.
Le second gars n’en sait pas plus ; mais lui, il prend quand même la bière.

Merde, avec tout ça, je n’avance pas. On dirait déjà que plus de la moitié des premières années ont mis la main sur leur parrain. Si ça continue comme ça, je ne vais pas le trouver.
J’interroge finalement un troisième gars qui, lui, semble savoir de qui il s’agit mais refuse de me le dire. Il m’en dit cependant un peu plus sur le club de mon parrain. Apparemment, ça serait un club très spécial réservé à certains élèves. C’est pour ça que ceux que j’ai déjà interrogés ne savaient rien.
J’ai quand même l’impression qu’il se fout de ma gueule. Quoi qu’il en soit, il engloutit la bière que je lui ai offerte d’une traite.

Dépité, je retourne au bar prendre une autre bière quand je croise David, qui semble ne pas avoir encore trouvé son parrain.

— Viens, on va interroger Sarah, me fait-il. C’est une bonasse ; elle devrait connaître pas mal de monde.

Je me laisse convaincre et on se dirige vers elle. Elle est assise à une table avec d’autres secondes années. Un mec et une fille ont la bouche collée l’une à l’autre.

— Alors, lance-t-elle en nous voyant arriver, où en sont vos recherches ?
— C’est la panne sèche, déclare David.
— Je vois que vous avez de la bière, observe l’un des mecs. Asseyez-vous à notre table et on va voir ce qu’on peut faire avec vous.

Sarah se décale sur la banquette et me fait signe de m’asseoir à côté d’elle. Je m’exécute. On est plutôt serré et je sens sa jambe collée le long de la mienne. Son parfum, plutôt très agréable, me monte aussi aux narines. J’ai soudain très chaud.
D’où je suis, je vois ma sœur de l’autre côté du bar. Elle est debout à côté de son parrain ; tous deux sont appuyés contre le bar, si bien qu’ils me tournent le dos. Je vois distinctement la main de son parrain, jusqu’alors posée au bas de son dos, glisser discrètement sur ses fesses. Élodie ne semble pas réagir, comme si elle n’avait pas remarqué.

Tandis que la rage commence à brûler à l’intérieur de moi, David commence son speech sur sa quête de parrain. Apparemment, il dit devoir trouver un perroquet ou quelque chose du genre. Je n’écoute que d’une oreille, trop occupé à observer la main qui se promène sur le cul de ma sœur.
Comme à chaque fois que j’assiste à une scène de ce type, un mélange de jalousie et d’excitation m’envahit. J’aimerais tant que ce soit ma main sur le cul de ma sœur… mais ceci n’arrivera jamais.
D’un coup, une main se pose sur ma cuisse et me fait revenir à la réalité. Je sursaute et me tourne vers Sarah qui me sourit.

— Et alors, on te parlait ! fait-elle tout en enlevant sa main. Quel est ton indice ?

Je relis mon indice à voix haute et en bredouillant.

— Hou la-la… T’as pas de chance, toi, mon pote, me fait un des secondes années.
— Ouais, t’es vraiment mal barré avec un parrain comme ça, enchaîne un second en se marrant.

Visiblement, ils semblent tous savoir de qui il s’agit. Un autre affirme qu’il ne voudrait pas être à ma place. Ça commence un peu à m’inquiéter. Ils plaisantent ou pas ? Je leur demande alors le nom, mais aucun n’accepte de me le donner. Ils veulent me faire tourner en bourrique.
L’un des gars me prend la bière que j’ai amenée en échange, dit-il, du nom du parrain.

— Et alors, qui est mon parrain ?
— Ah moi, j’en sais rien, mec ; j’avais juste envie de bière.

La table explose de rire. Je n’apprécie pas vraiment la blague. Je me tourne alors vers Sarah en lui demandant le nom et en l’implorant du regard.

— Lève-toi, me dit-elle.

Je m’exécute. Elle se lève, me prend la main et m’emmène vers le bar.

— Il te faudrait une bière pour supporter le choc, affirme-t-elle avec un sourire espiègle…

Sur le chemin, je vois ma sœur et son parrain bouger du bar et se diriger vers une table dans un coin de la salle. Le gars a toujours sa main collée sur le cul d’Élodie.
Sarah me fait signe d’attendre dans un coin où je n’ai plus de vue sur ma sœur. Elle se penche vers le serveur pour commander des boissons. J’ai une vue parfaite sur son cul moulé dans son pantalon et j’en profite tant que je le peux. Visiblement, elle porte un string en dessous ; on en devine assez facilement la forme.
Elle revient et me tend une bière :

— Tiens, fillot !
— Fillot ? fais-je, surpris. Tu veux dire que c’est toi mon parrain ?
— Plutôt marraine en fait, lâche-t-elle en se moquant.

On s’assoit tous les deux à une petite table et elle commence à m’interroger sur ma vie. On parle de tout et de rien, si bien que je finis ma bière, puis une autre sans m’en apercevoir. Cette fille semble vraiment parfaite ; non seulement elle est très sexy, mais en plus elle est sympathique. C’est elle qui dirige la conversation, si bien que je n’ai pas vraiment à m’embêter pour savoir quoi dire. Vraiment très difficile de résister à son charme.
Et puis soudain, l’indice me revient en tête.

— Au fait, c’est quoi cette histoire de club unique en son genre ?
— Euh, oui, c’est un club plutôt féminin à la base, fait-elle sans chercher à développer.
— Mais encore ?
— Ne cherche pas : t’en sauras pas plus pour le moment. Je t’en dirai plus si tu te montres sage.

Envahi par la curiosité, j’insiste, mais elle ne lâche pas le morceau. Elle me propose ensuite de venir sur la piste de danse, probablement pour me changer les idées. Comme je suis légèrement bourré, j’accepte et commence à me lever. Nous croisons Élodie qui me lance :

— Frérot, je ne vais pas rentrer à l’appart cette nuit. Mon parrain fait une petite fête chez lui et m’a invitée.

Je sais très bien ce que ça veut dire : elle va aller se faire baiser. Elle sort alors du bar en compagnie de son parrain, de deux autres mecs et d’une fille de seconde année. Son parrain lui met une claque sur le cul une fois à l’extérieur.

Sur la piste de danse, Sarah bouge comme une déesse. Son corps ondule parfaitement au rythme de la musique. Je me sens pataud à côté d’elle. Il y a pas mal de monde sur la piste de danse ; et du coup, il y a peu d’espace, ce qui fait que nous sommes très proches l’un de l’autre, si bien que je sens encore son parfum envoûtant. Je vois plusieurs mecs qui lui matent le cul et je me dis que j’ai bien de la chance de danser avec une fille comme elle. Pour ma part, je profite tant que je peux de sa magnifique poitrine qui se balance en cadence. Soudain elle s’approche doucement de moi, presque à me coller, et me dit à l’oreille :

— Dis donc, fillot, tu ne serais pas en train de mater les seins de ta marraine, par hasard ?

Merde, pris en flagrant délit ! Il me semblait m’être montré plus discret que ça.

— Désolé, je ne le ferai plus.
— Ça va, je te pardonne pour ce soir. Tu sais, ça ne me dérange pas plus que ça ; c’est même plutôt flatteur.

Elle s’approche encore de moi jusqu’à frotter sa poitrine contre mon torse. Elle ondule sensuellement le long de mon corps et laisse ses mains flatter ses courbes. Divine tentation ! Puis soudain elle recule d’un mètre et se laisse emporter par une danse envoûtante tout en se moquant de la tête que j’affiche.
Je reste scotché quelques secondes, le temps que les informations arrivent à mon cerveau. Vient-elle vraiment de se frotter contre moi ? Merde, je commence à me sentir serré dans le pantalon… Je crois que je vais beaucoup apprécier ma marraine.

Avec un regard aguicheur, elle me fait signe du doigt d’approcher ; mais quand je le fais, elle recule encore. Elle joue avec moi, et je dois dire que ça m’excite beaucoup. Je suis comme hypnotisé ; elle m’a en son pouvoir. Elle pourrait me mener n’importe où : je la suivrais sans réfléchir.
Elle recommence le manège plusieurs fois, jusqu’au moment où elle se retrouve bloquée par le mur. C’est ma chance. Je m’approche d’elle, prêt à la plaquer contre le mur ; elle me saute dessus et m’embrasse. Je sens sa langue chaude s’engouffrer dans ma bouche et caresser la mienne. Mes mains se posent sur ses hanches et remontent en direction de sa poitrine. Elle m’att**** les bras et me repousse violemment avec un sourire narquois.
Plusieurs des secondes années de la table de tout à l’heure arrivent et lui murmurent quelque chose. Elle vient vers moi, me dit qu’elle doit y aller et me laisse un bisou sur la joue.

— Au revoir, mon fillot.

Je la regarde alors sortir avec les autres quand soudain je prends conscience de ce qu’il vient de se passer : j’ai roulé une pelle à l’une des filles les plus bandantes de l’école !

***

— Alors, c’est vrai ce qu’on dit ? Sarah est ta marraine ? me demande David, excité.

Ah oui, c’est vrai il n’est pas au courant. J’ai quitté la table avant qu’elle me l’annonce. Du coup, j’acquiesce d’un signe de tête.

— Et bah, mon p’tit salaud, t’as de la chance. Allez, raconte !
— Raconter quoi ?
— Tu sais très bien ce que je veux savoir : tu te l’es faite ou pas ?

Comme d’habitude, il ne passe pas par quatre chemins. Dois-je lui dire ce qu’il s’est passé sur la piste de danse ? Non, je ne crois pas. En fait, je n’en ai même pas envie.

— Tu sais David, répond Louise à ma place, tous les mecs ne sont pas comme toi à sauter sur tout ce qui bouge.
— Tu parles, ma vieille… C’est pas parce que personne ne t’a jamais touchée qu’il faut croire qu’il y a des mecs sages : c’est juste que t’es pas bandante !

Sur ce coup-là, David se montre vraiment con. Il exagère, d’autant plus que Louise est loin d’être laide. Son attitude me donne encore moins envie de lui raconter la soirée. En plus, je ne pense pas que cette histoire plaira à Louise ; elle ne semble pas porter Sarah dans son cœur.

— Alors mec, insiste David, tu te l’es faite ou pas ?
— Non, nous avons discuté un peu puis nous sommes allez danser. Elle est partie juste après.

C’est en quelque sorte la vérité ; ainsi, je ne lui mens pas.

— Et toi au fait, fais-je pour changer de conversation, ça a donné quoi la recherche de parrain ? Tu as fini par trouver ?
— Mon parrain est un trou du cul de geek. Une grande asperge à lunettes. J’ai oublié son putain de nom. De toute façon, je ne compte pas nouer des liens avec lui. Ce n’est pas comme si j’avais eu une marraine comme la tienne.
— Tu dois être déçu alors, toi qui espérais tant tomber sur une jolie marraine, se moque Louise.
— Pas grave, j’ai fait connaissance avec sa copine. Je l’ai doigtée sous la table et j’ai fini aux chiottes à me faire sucer. Elle a des petits seins mais ce n’est pas trop grave ; au moins, elle a tout avalé, jusqu’à la dernière goutte.
— Pff, t’es vraiment con, lâche Louise, désespérée par son attitude.
— Quoi, t’es jalouse, la vieille ? Si tu veux m’bouffer toi aussi la bite, on peut s’arranger tu sais.
— Va te faire foutre, connard !
— Allez, c’est l’heure d’aller en cours, dis-je pour mettre fin à cette conversation qui, sans vouloir faire de jeu de mots, commence à partir en sucette.

***

Ça fait déjà plusieurs jours depuis la soirée et je n’ai pas réussi à reparler avec ma marraine. Je l’ai croisée plusieurs fois et ai tenté d’engager la conversation ; mais à part un salut de sa part, je n’ai pas eu droit à grand-chose. Je commence à me demander si elle ne s’est pas moquée de moi à la soirée parrainage. Je l’ai encore aperçue cet après-midi à la pause ; elle discutait avec ma sœur et deux autres filles de ma promo. Qu’est-ce qu’elles peuvent bien se dire ? J’imagine le pire, du genre : Sarah se vante de m’avoir allumé et de m’avoir laissé en plan, la queue entre les jambes. Ça ferait sûrement bien marrer ma sœur, ce genre de truc. Je sais au fond de moi que ce n’est pas ça qu’elles disent, mais je ne peux pas m’empêcher de me sentir visé par leurs complots. J’aimerais bien aller m’incruster dans leur conversation pour savoir ce qu’elles disent, mais je vois déjà les yeux de ma sœur me foudroyer pour me faire partir. Elle n’a jamais apprécié que je me mêle de ses affaires.

Quoi qu’il en soit, j’enrage de plus en plus de cette situation. J’ai beau interroger Élodie le soir à l’appartement, elle refuse de m’en dire plus sur ses relations avec ma marraine, et puis elle s’en va sans même me dire où elle va ; probablement chez son parrain se faire baiser, ou chez un autre gars : ma sœur n’est plus à ça près. Et puis j’enrage aussi de fantasmer sur ma sœur et de ne jamais réussir à me la sortir complètement de la tête. Même Sarah ne parvient pas à l’expulser de mon crâne.

Nouvel après-midi ; à la pause, je sors des toilettes quand soudain je tombe sur Sarah.

— Salut fillot ! me lance-t-elle, joviale. Comment vas-tu ? Ça se passe bien, les cours ?

J’aurais préféré qu’elle commence la conversation sur autre chose que ces questions banales.

— Bien, fais-je sur un ton évasif.
— Je vois ! Dis, fillot, je suis désolée si j’ai pas été trop présente dernièrement, mais je suis pas mal occupée avec mon club. J’ai pas mal de préparatifs à élaborer. Mais pour me ratt****r, j’aimerais t’inviter ce soir chez moi. J’ai organisé une petite soirée. Tu veux bien venir ?
— Euh, oui ; pourquoi pas ? Ça peut être sympa ! fais-je, surpris.
— OK. À ce soir alors, dit-elle en me donnant un bout de papier avec une adresse dessus. Tu ne vas pas être déçu…

Une soirée chez ma marraine super sexy ! Je ne sais pas pourquoi, mais l’excitation grimpe d’un coup en moi. Enfin si, je sais pourquoi : j’ai beaucoup d’espoirs, après ce qu’il s’est passé lors de la soirée parrainage. En plus, elle m’a dit que je n’allais pas être déçu ; je pense que ça annonce beaucoup. La journée va être longue. Il faut que j’évite d’en parler à David, sinon il ne va pas me lâcher.

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