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DECOUVERTE DE L’AUTRE SEXE (suite 6)

DECOUVERTE DE L’AUTRE SEXE (suite 6)



(Attention, histoire peut être un peu longue mais introductive de la suite. Vous pouvez la passer après avoir lu le début sans que cela ne gâche la suite à venir si ce n’est votre plaisir)

Ma vie redevient normale, j’oubliais les écarts de ma femme et les miens. Si, pendant plusieurs semaines, je pensais fréquemment à ce qui s’était passé et que j’en tirais un grand plaisir un peu honteux, c’était du passé. Si je ne regrettais rien, l’expérience était vraiment très bonne, j’étais heureux de redevenir moi-même. Jusqu’au jour où je reçu un mail de Philippe :

« Salut,

Comment vas-tu ? J’ai été déçu de ne pas avoir de tes nouvelles depuis tout ce temps.

Mais bon, nous allons pouvoir nous ratt****r. Je ne sais pas si tu es au courant mais nos deux petites femmes vont passer un week-end rando toutes les deux. Tu savais qu’elles aimaient la rando toi ? Et c’est ce week-end.

Donc, ça va être le moment de ton gage, tu t’en souviens n’est-ce pas où faut-il que je te rappelle comment tu as perdu ?

Donc, si le week-end est à elles, il sera aussi à nous et le gage est le suivant :

1/ Il faudra que tu viennes passer le week-end à la maison à partir de samedi soir.
2/ Tu devras arriver en Elodie
3/ Tu devras faire ce que je te demanderai pendant le week-end (ne t’inquiète pas, ce sera très cool).

Je te souhaite une bonne fin de semaine, à samedi 21H00.

Bises

Philippe»

Merde, ça recommence ! Oui, j’ai promis mais ça fait longtemps, ça ne compte plus ! Je pris la résolution de lui répondre le soir même pour décliner son invitation. Hélas, arrivé au soir, après que mon épouse m’ait demandé si ça ne me dérangeait pas qu’elle parte faire un stage de découverte rando avec Florence ce week-end et que j’ai accepté, je n’étais plus aussi sur de moi. C’est donc après de nombreuses hésitations que je lui répondis :

« C’est OK.
Bises
Elodie »

Après avoir envoyé ma réponse j’ai regretté. J’ai voulu lui en envoyer un autre d’annulation mais j’ai finalement renoncé. La date approchant, mes doutes s’estompèrent et je fis le choix que j’avais bien fait d’accepter pour prendre un peu de bon temps. Mais une autre question se posa, arriver en Elodie, certes, mais je n’ai rien à me mettre. Nous étions jeudi et il était trop tard pour faire des commandes Internet et me faire livrer. Seule solution, allé en magasin. Là je me sentais mal.

Ma femme étant partie le vendredi en fin de journée, j’en profitais pour commencer ma transformation. Cette fois ci j’avais bien l’intention d’être une Elodie assez convaincante. Je commençais par faire la liste des choses à faire et des choses à acheter. Pour cette dernière je dressais la liste des magasins à faire (note : attention, ne pas aller dans des magasins de lingerie où je sui déjà allé pour ma femme). Cela fait, je suis parti sous la douche pour une première étape relativement simple : l’épilation. Avec ma tondeuse je me suis raccourcis l’ensemble du corps, pas trop tout de même, je tenais toujours à mon image d’home viril. Il fallait faire le juste milieu entre Elodie et Franck. Puis, épilation des zones qui ne se voient pas, les aisselles, le haut du dos, le bas du dos, les fesses, entre les fesses, le haut des cuisses, le bas du ventre et le tour du sexe. Pas facile à étaler la crème, j’en mets trop, pas assez. Les deux tubes que j’ai trouvés dans les affaires de ma femme y sont passés. Le temps que je finisse les zones par lesquelles j’avais commencé me cuire sévèrement mais impossible de me rincer tant que l’ensemble n’aura pas eu le temps requis. Je patientais donc, nu comme un vert en attendant que les minutes prescrites sous atteintes et en prenant sur moi pour surmonter ces picotements de plus en plus intenses des zones par lesquelles j’avais commencées. Enfin, passage de la spatule et très vite douche ! Ca pique encore un peu mais ça va mieux et je suis tout doux. Je me badigeonne de lait hydratant pour le corps sur les zones épilées et ça fait du bien. Mais le tube de ma femme y est passé, j’ai du abusé, tant pis, j’en rachèterai.
Ca c’est fait, ma petite liste, oui, les ongles. Je me commence par les pieds, je coupe et je peints. Merci à ma femme d’être partie sans emmener tous ses produit. Un beau rouge à ongle sur mes pieds me donne une drôle d’impression. Quoi d’autre pour ce soir ? A oui, voir si je peux trouver une robe de ma femme qui pourrait aller. Mis à part celle que j’ai déjà portée, impossible de passer les haches. Je suis bon pour un achat complémentaire.
Bon, pour ce soir, je ne peux pas faire plus. Pour me mettre dans l’ambiance j’enfile un string de ma femme, c’est serré mais tant pis, je vais le garder pour la nuit. Et puis de sentir quelque chose entre mes fesses qui m’effleure le sexe ravive quelques souvenirs.
Le lendemain matin, courses, je suis à l’ouverture du premier magasin, la lingerie. J’espère ainsi qu’il y aura moins de monde. Je n’y suis jamais allé mais je sais que ma femme aime bien : Rouge-Truc. Je sais ce que je veux alors je me dirige vers les rayons correspondants. Alors que je cherchais ce qui me plairait le mieux une jolie venteuse me demanda si j’avais besoin d’aide. Je la remerciais gentiment et poursuivais mes recherches. Je finis par trouver une guêpière magnifique qui semblait à la fois souple et suffisamment rigide pour me cintrer la taille. En fait elle était très simple, toute blanche mais en dentelle opaque avec des coutures et des petites décorations très sexy. En plus elle semblait monter assez haut dans le dos et descendre assez bas sur les fesses. « C’est pour un mariage ? » me demanda la vendeuse qui était revenue à la charge. « C’est notre plus beau modèle renchérit-elle ». « C’est vrai qu’il est très beau » lui répondis-je.
– Il vous le faudrait en quelle taille, juste pour que je m’assur que nous l’ayons en stock ?
– Heu ! Je ne sais pas trop, Ma femme fait à peut prêt ma taille.
– Mais elle ne doit pas avoir les mêmes courbes que les vôtres.
– En fait nous sommes assez proche depuis qu’elle a pris un peu de poids lui dis-je doucement en me penchant vers elle.
– Je comprends, vous voudriez alors essayer pour elle ? Me dit-elle avec un sourire
– Vous croyez ? Heu, bon, bien, oui, pourquoi pas ?
– Allez vous installer dans la cabine n° 3, je reviens.
Dans la cabine, assez spacieuse, je m’asseyais. Je crois que je ne me suis jamais senti aussi mal à l’aise, aussi ridicule et je me relevais pour partir lorsqu’on frappa :
– Voilà, j’ai trouvé une taille qui devrait vous correspondre. Heu, correspondre à votre épouse.
– Merci beaucoup. Lui dis en prenant la guêpière et refermant la porte.
Elle était vraiment très jolie, la guêpière. La vendeuse aussi mais je n’étais pas là pour ça. J’ôtais ma veste et ma chemise et tentais de l’essayer. Des crochets, des boutons, des zips, des trucs, des machins, impossible de comprendre comment on met ce truc. Encore plus honteux, je finis par sortir la tête de la cabine, ma vendeuse n’était pas loi. Je la hélais discrètement et lorsqu’elle fut à porter de voix basse je murmurais : « En fait, je crois que j’aurais besoin d’un peu d’aide ». « Mais bien sur » me dit-elle en se faufilant dans la cabine.
– Alors, il y a plusieurs techniques. Soit vous êtes seule, soit vous avez de l’aide. Quelle sera la situation.
– Heu. Elle sera seule.
– Aie. Ce ne sar pas facile. Le mieux alors c’est qu’elle repasse au magasin pour que nous fassions les réglages sur elle.
– Heu ; je ne préfère pas, faites-le sur moi, ça devrait aller.
– Mais bien sur ! J’ai l’habitude. Elle me fit un grand sourire. Avait-elle compris, je crois que oui.
– Donc, nous allons la régler dans un premier temps, je vous montrerai ensuite comment la mettre. Pour que vous puissiez l’expliquer à votre femme. Nouveau grand sourire.

Elle me l’enfila, la régla, la serra, Je sentais mon ventre compressé.
– Pour que ce soit parfait, il faudrait au moins quitter votre pantalon.

Au moins ? Non mais quoi encore ? Je quittais néanmoins mon pantalon et m’admirait dans les glaces. Même en caleçon cette guêpière me faisait une taille et un cul superbe.
– Je vous l’avais bien dit que c’était notre meilleur modèle. Me dit-elle avec un nouveau sourire. Je crus même noter un petit clin d’œil.
– Bon, quelques retouches et elle sera parfaite.

Elle serra à nouveau, tira par ci, tira par là. Au final ma taille c’atait encore amincit mais je pouvais encore respirer et bouger.
– Et vous croyez que je, heu, que ma femme pourra danser et bouger toute la nuit comme ça ?
– Oui, sans aucun risque, il est conçu pour toutes les occasions et toutes les positions, c’est notre meilleur modèle. Encore un grand sourire.
– Et pour aller avec que vous faudrait-il en coordonné nous avons les culottes, les tangas et les strings bien sur.
– Hue, un tanga et un string, elle choisira.
– Vous voulez aussi essayer ?
– Heu, non, merci.
– Pour finir, vous faudrait-il aussi des bas. Des blancs pour aller avec l’ensemble ?
– Oui, pourquoi pas ?
– Plutôt opaque, non ?
– Heu, oui, s’il vous plait.

En sortant de la boutique, je venais d’y l’laisser presque 300 €, j’étais rassuré, l’étape la plus difficile était passée. J’avais bien conscience de n’avoir abusé personne dans le magasin mais tant pis je n’y reviendrai jamais.

Finalement, dans cette galerie marchande de magasins de mode, je trouvais tout ce qui me manquais, chaussures, jupe portefeuille et chemiser en soie assorti, veste assortie, bijoux, parfum et étonnamment une perruque ainsi que de faux ongles. Pour le maquillage je taperai dans celui de ma femme. Je trouvais même une pharmacie dans laquelle j’achetais du gel décontractant pour le cas où il aurait l’intention de me sodomiser, ce dont je ne doutais pas un seul instant.
En rentrant à la maison je me rendis compte qu’il était déjà presque 15H00. Un petit repas sur le pouce et préparation.

Première étape, la salle de bain. Tout d’abord faire le tour des produits de ma femme pour faire la sélection de ce qui me sera utile. Cela fait, douche où je me savonne soigneusement partout et en profite pour un petit lavement. Essuyage, passage d’un lait parfumé et hydratant sur tout le corps en insistant bien sur les fesses.

Seconde opération maquillage qui commence par un rasage de prêt. Ensuite ? je n’en sais rien alors j’y vais comme je le sens. Je commence par le fond de teint au regard du résultat plutôt satisfaisant, je m’en applique aussi sur les fesses pour voir. Elles sont plus homogènes et très jolies je trouve. Bon, les yeux, je commence par un peu d’ombre à paupière puis un peu de crayon noir sous les cils et u peu de mascara sur les cils, je ne veux pas en faire trop non plus. Juste une petite retouche de mes sourcils pour les tailler un peu et déjà l’effet est frappant, mon visage s’est visiblement féminisé. Après l’application du rouge à lèvre c’est encore plus frappant, je pourrais passer pour une femme tout au moins pour le visage, il faut maintenant que je cache ce corps d’homme.

Troisième opération donc, habillage. J’enfile la guêpière et là c’est le drame, impossible de la fermer. J’ai beau rentrer le ventre, me tordre dans tous les sens, impossible d’accrocher les agrafes et je commence à m’énerver lorsque je me souviens des conseils de la vendeuse. Je la place donc de côté, accroche les agrafes du haut et la tourne délicatement pour la mettre en place. Ok, c’est mieux mais galère tout de même pour les agrafes du bas qui sont dans le dos. Au final je suis satisfait du résultat, elle masque bien tout le torse et descend jusqu’au haut des fesses mais est échancrée sur le devant et je vois bien mon clito qui, étonnement est resté très sage. Serré comme il faut il m’affine la taille et me donne un ventre bine plat. J’enfile les bas, ils sont très doux, très agréables à porter et d’une longueur parfaite. J’avais un peu peur du résultat mais ils sont effectivement bien opaques et mes poils sont parfaitement camouflés. Je les attache aux jarretelles de la guêpière, je commence à avoir la main. Maintenant, string ou tanga, j’opte pour le tanga que j’enfile. Il me va très bien mon clito y trouve sa place et la ficelle s’immisce parfaitement entre mes fesses. L’ensemble est parfait et en me regardant je commence à avoir une certaine excitation.

Quatrième étape, les finitions. Je commence par mettre en place la perruque et l’attache bien pour qu’elle ne bouge pas. Elle est brune, carré mi long qui me tombe sur les épaules avec une mèche qui couvre un peu mon front et passe au-dessus des sourcils de mon œil droit. Houaou ! là je fais très féminine, je me reconnais tout juste. J’enfile le chemisier et la jupe. Parfait, le chemisier masque la guêpière qui donne l’impression qu’il y a une poitrine et la jupe arrive à mi-cuisses. Je mets les escarpins, les talons sont moins hauts que ceux que Philippe m’avait prêtés mais suffisamment pour que je peine à marcher. Je m’entrainais un petit moment et la technique finit par venir.

Zut ! Les ongles. Je posais tant bien que mal les faux ongles, pas trop longs mais d’un rouge qui, heureusement s’accordait à merveille avec le rouge à lèvre. Je me parais de bijoux, collier, boucles d’oreilles et bracelets. Une goutte de parfum derrière chaque oreille. J’étais prête et il était 8H30, je n’avais pas vu le temps passer et il était temps d’y aller. Je piquais un sac à main de ma femme qui allait très bien avec mon ensemble et y fourrait mon portefeuille ainsi que le gel et le maquillage. Je sortais de la maison en espérant ne croiser personne. Ce fut le cas mais je rencontrais quelques problèmes avec la voiture. D’abord, comment s’y assoir en jupe et ensuite, comment conduire avec des talons ? Je finis par résoudre le problème notamment en quittant mes escarpins. En arrivant chez Philippe il y avait du monde dans la rue, j’ai fait au moins 3 fois le tour du pâté de maison avant qu’il n’y ait plus personne et que j’ose me garer et sortir. Il était 9H20 lorsque je sonnais à la porte de la maison de Philipe.

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