Nos rencontres avec Thérèse se poursuivent régulièrement au rythme de ses commandes, et tournent immanquablement autour de son envie principale, laisser libre cout à son imagination pour jouer longuement avec mon petit cul.
Elle a pris l’habitude, à chaque fois qu’elle me reçoit, de tout préparer à l’avance pour que la partie boulot soit le plus vite terminé. Et qu’elle puisse s’offrir ainsi le maximum de temps pour sa partie plaisir.
Elle a aussi pensé à aménager un peu son bureau en installant un petit canapé facilement dépliable en lit, ce qui rend bien plus confortable nos séances, ainsi qu’un petit meuble ou elle range tous les accessoires qu’elle a décidé d’utiliser, à un moment ou à un autre, pour pénétrer mon petit cul, objet principal de ses fantasmes.
Il contient ainsi maintenant une belle collection de godes et plugs en tout genre, ainsi que divers objets hétéroclites de formes et tailles différentes, qu’elle pourrait tous, dans son esprit et avec un peu d’efforts et d’imagination, réussir à me rentrer dans le cul. Et puis souvent, fraichement achetés du matin, différents légumes aux formes plus ou moins allongées et qui trouvent ainsi une autre destination entre les mains expertes de Thérèse.
Après des essais très variés, elle a tourné sa préférence tout naturellement, avec mon approbation ravie, vers les aubergines. Avec son expérience maintenant et sa très bonne connaissance des réactions et de l’élasticité de mon petit trou du cul et la profondeur de mon rectum, elle m’a raconté combien de temps elle passait pour les choisir méticuleusement, avec des formes assez allongées pour qu’elle puisse avoir une bonne prise en main, et avec des tailles croissantes régulièrement pour pouvoir me dilater progressivement.
Il faut bien dire qu’elle est devenue une experte avec, et que l’aubergine avec sa peau très douce et lisse, sa forme et sa taille idéale est le légume parfait pour se faire ramoner le cul par une femme dont c’est le régal absolu. C’est vraiment un plaisir pour moi quand je la vois ouvrir le tiroir et en sortir ces fameuses aubergines, car je sais qu’elle va me faire passer un moment rempli de supplice et de plaisir à la fois.
Thérèse l’avait bien remarqué et une fois en me brandissant la plus grosse sous les yeux :
-« Regarde mon lapin avec quoi je vais te défoncer ton petit trou aujourd’hui. Allez, ouvre vite le canapé et dessape toi, je veux te voir à poil, le cul en l’air. »
Pendant que je m’exécute docilement, je la vois qui pose sa robe pour rester en culotte et soutien-gorge, puis elle sort du tiroir le reste de la série. Il y en a quatre, la peau bien brillante, longues et de tailles progressives. La plus grosse me parait énorme, et avec un grand sourire, elle me dit :
-« Je l’ai mesuré tu sais, un peu plus de 7 cm de diamètre là tu vois au plus large, juste légèrement plus gros que ton plug mais sur une plus grande longueur. Je ne t’ai encore rien mis d’aussi gros dans le cul. »
-« Tu crois ? Ça me fait un peu peur tu sais, elle est vraiment grosse et longue, alors vas-y doucement. »
-« Ne t’inquiète pas, ça doit rentrer je suis sure, je vais te mettre les quatre progressivement de la plus petite à la plus grosse pour bien te dilater. Ton petit cul s’ouvre plus que tu ne le crois, tu sais, et je suis souvent bien placée pour le voir. Allez en place, mets-toi à quatre pattes au bord du lit avec le cul bien en l’air. »
Je suis complétement nu et je m’installe comme elle me le demande, les genoux au bord du lit, cuisses écartées et les pieds dans le vide, en appuis sur mes avant-bras et la tête reposant sur les draps, baissant le ventre et remontant au maximum mes fesses. Elle passe derrière moi entre mes jambes, et dans cette position elle doit vraiment avoir une vue parfaite sur ma queue et mes couilles qui pendent, et un accès facilité à mon cul.
A peine en place, je sens que du gel froid me coule dans la raie et qu’elle me tartine les fesses de lubrifiant avec sa main, puis autour de l’anus et enfin ma rondelle en m’introduisant deux doigts dans le cul. Elle commence toujours ainsi pour m’ouvrir et préparer mon sphincter à ce qui l’attend. Après quelques secondes seulement, elle m’introduit un troisième doigt qu’elle joint à plat aux deux autres pour me masser en décrivant des arcs de cercle. Et je sens que l’effet est
immédiat.
-« Tu es vraiment bien détendu je vois, ton cul reste déjà grand ouvert, il ne se referme même pas quand j’enlève mes doigts. Bon on commence avec la première juste pour la formalité et pour te chauffer un peu. »
Thérèse se saisit alors de la plus petite aubergine et me la plonge d’un coup très profond dans le cul sans même la lubrifier. Puis elle pratique quelques mouvement de va et vient saccadés avant de la retirer tout aussi rapidement. Puis elle passe à la deuxième en procédant de la même façon, tout aussi rapide. Je sens que ça rentre très facilement tout en m’ouvrant les entrailles.
-« C’était une formalité ces deux-là pour toi mon chou, passons aux choses plus sérieuses, un peu de gel sur la troisième et hop dans ton cul. Je vais y aller un peu plus doucement avec celle-là, c’est elle qui doit t’ouvrir pour la grosse. »
Thérèse n’a pas de mal à me rentrer celle-ci aussi. Elle prend par contre plus son temps pour faire des va et vient plus lents et de plus en plus profonds en marquant un temps d’arrêt au diamètre le plus large pour augmenter ma dilatation. Cette soumission à Thérèse me fait bien bander. Je me sens déjà bien rempli avec cette aubergine et le frottement régulier contre ma prostate commence à m’arracher quelques râles de plaisir. Elle me gode ainsi quelques minutes en augmentant l’amplitude de son mouvement jusqu’à ressortir complètement l’aubergine pour me la
replonger directement dans le cul jusqu’à la queue.
-« Bon, à mon avis, ton cul est bien prêt à se prendre la plus grosse, alors allons y pour le plat de résistance. Allez fais-moi plaisir mon minou et montre-moi que ton cul en est capable. »
-« Ok, je suis prêt mais vas-y doucement, j’ai déjà la rondelle en feu. »
Thérèse enduit les 3/4 de l’aubergine de gel, puis me la colle devant les yeux en riant, comme par défi. Elle me semble vraiment monstrueusement grosse maintenant que je suis au pied du mur. Elle retire ensuite la précédente qui était encore en place et qui fait un gros ‘pop’ à la sortie. Je sens que mon anus et mon rectum restent complètement ouverts et dilatés et je ressens la fraicheur de l’air qui entre en moi. Thérèse contemple quelques secondes ce spectacle en riant de plus belle. Elle est vraiment aux anges en pensant à ce qu’elle s’apprête à me faire subir. Puis elle applique enfin le gros bout de l’aubergine contre mon cul ouvert.
-« C’est parti mon minou, détend toi bien et remonte le plus possible tes fesses. Si tu voyais comme ton cul est déjà ouvert. Et pousse en même temps que moi pour que ça rentre mieux. »
Je me cambre au maximum, je sens mon cul qui s’ouvre inexorablement sous la poussée de Thérèse et l’aubergine qui progresse lentement dans mon derrière, en m’écartant et distendant l’anus comme jamais. Je ressens un formidable mélange de plaisir et de douleur qui monte au fur et à mesure de la dilatation. Un râle sourd et continu sort de ma gorge, tandis que mes fesses et mes jambes se mettent à trembler hors de mon contrôle tellement je m’abandonne à la pénétration. Avec son expérience maintenant et déjà arrivé au plus large, Thérèse a bien repéré et compris ce moment, et d’une dernière poussée sèche et rapide, elle force et me plonge l’aubergine au plus profond de moi. Celle-ci rentre d’un coup sur toute sa longueur jusqu’à la queue en m’arrachant un long cri de plaisir. Mon cul l’aspire littéralement, et j’ai l’impression qu’il va éclater tellement je me sens distendu et totalement rempli.
-« Oui, ouiiii mon bébé, ca y est, elle est rentrée, hooo je t’adore tu sais. J’en étais sure que tu l’as prendrais complètement dans ton cul. Et ce n’est pas fini mon chou, je vais te faire hurler de plaisir maintenant. »
Et sans me laisser le temps de reprendre mon souffle, Thérèse se met déjà à manipuler cette énorme aubergine qu’elle vient à l’instant seulement de me rentrer à fond. Elle la tire et la repousse en moi à un rythme effréné puis en augmentant progressivement l’amplitude de son mouvement, elle finit par la ressortir complètement pour la replonger immédiatement dans mon cul. Mon anus est en feu et j’ai la sensation qu’il est déchiré à chaque pénétration. Je hurle à chacun de ses coups de boutoir ; je ressens la pression de l’air que l’aubergine pousse au fond de mon rectum, puis des picotements violents dans tout le bas ventre jusqu’à l’extrémité de ma queue quand elle frotte ma vessie et écrase ma prostate.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Thérèse accompagne maintenant mon enculage à l’aubergine de la main droite, d’une masturbation frénétique de ma queue avec sa main gauche. La sensation devient maintenant tellement intense et indescriptible que tout mon corps se remplit de tremblements. Je n’y tiens plus et je jouis avec d’énormes spasmes en hurlant de plaisir tandis que Thérèse retire une dernière fois l’aubergine laissant mon cul béant qui s’ouvre et se ferme à chaque éjaculation en longs jets de mon sperme. Puis je m’effondre sur le lit, sans force et vidé.
-« Woooo, quel pied Thérèse, je n’avais encore jamais ressentit une chose pareil. Tu sais vraiment y faire avec mon petit cul. »
-« J’ai vu ça mon chou, tu as jouis comme un dingue, c’était hallucinant de te regarder. Je n’avais encore jamais vu ton corps trembler à ce point. Et comme tu as hurlé. Je me suis éclatée à te travailler le cul comme ça, vraiment j’adore quand tu es mon petit jouet. »
C’était vraiment une de nos séances les plus intenses ou nous nous sommes donnés l’un l’autre un maximum de plaisir ensemble. Avant bien d’autres expériences différentes, Thérèse étant d’une imagination débordante.
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