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Partie 5: Julie la CPE deviens adicte à la grosse

Partie 5: Julie la CPE deviens adicte à la grosse



Rappel partie 4: de retour de voyage scolaire, je retourne enfin julie, ma CPE, et nous nous empressons de ratt****r le temp perdu.
En parallèle, Julie découvris qu’elle était enceinte, et ne savais pas comment l’avouer a Antoine. Après la baise, elle pris son courage à deux mains, et… ne dit rien du tout… et fit à manger et elle mis un bon film… il fallait qu’elle lui dise. L’opportunité se présenta enfin… elle décida de tout avouer.

-Enfin débarrassés de la prof d’art plastique récalcitrante, on fit une toilette rapide et on passa à table.

Pour oublier ça, elle me fit un grand plat de pâtes à la viande avec lequel je me petat le bide, et on regarda un bon film au lit, nus, blottie contre moi.

Durant ce film, mon regard fut plusieurs fois attiré par son ventre.
Plus je regardait son ventre, plus j’avais l’impression qu’elle était enceinte.

Intrigué, je me glissait derrière elle, et posa mes deux mains sur son ventre rebondi, le palpant avec curiosité.

Elle me vis faire et rougis.
Son ventre était effectivement plus rond et plus ferme que d’habitude.
Surpris, je le palpat encore, tout en me disant: sexy, on dirais qu’elle est en cloque. Un vieux fantasme. Surement ce plat de pâtes qui lui est resté sur l’estomac…
Me voyant faire, elle posa ses mains sur son ventre puis sur les mienne, elle pris son courage à deux mains, et me dit:
« Antoine, j’ai quelque chose à t’avouer… » en se tapotant le ventre.

surpris, je lui demandât « ah? et quoi donc? »

« Eh bien antoine je suis enceinte, enceinte de plus de deux mois. Presque 3.
En fait ça correspond exactement à… la première fois que je t’ai eu en moi. »

Je tombait de haut. Comment était-ce possible? Elle continua:
« et ça malgré ma pilule, je te jure que je ne l’ai jamais oubliée de ma vie.
Ça ne fait qu’une semaine que je sais que je suis enceinte, et j’attendais le bon moment pour te le dire, voilà tout…

Je posa ma main sur son ventre, pour le palper, perdu et un peu choqué, sans dire un mot.

Elle me pris la main et dit, « et lui, c’est ton fils, Antoine. Notre fils.

J’etait choqué. Je l’avais mise en cloque?
Jnetait a la fois choqué, très excité, heureux, et très inquiet…

Je lui avoua que je trouvais la chose très surprenante, et très intéressante, mais que je me sentais pas près a être père si tôt et que je voulais d’abord faire mes études, profiter de la vie, etc. Je ne savais pas si il était raisonnable de considérer une pareille option.

Elle ajoutat: je sais que tu est trop jeune pour assumer cette responsabilité si tôt, mais ce n’est pas ce que je te demande.

Et que voudrais tu ?
« Je veux ton fils. »Me dit elle.
Il y a 2 mois, ce jours où tu est venu me rendre ma veste pleine de vase, dans mon bureau… ce jours ou j’ai… fait connaissance avec tes attributs masculins..
ce jours ou la capote à craquée quand j’ai essayée de te la mettre.
j’étais en fin de période d’ovulation…
Malgré ma pilule, et sans que nous le sachions tu m’as mise enceinte.
Je sais que tu est jeune mais… je vais être franche:
Je veux le garder. Sure A 200%.
– je ne dit rien, abasourdi..
Elle ajoutât:
-ça fait déjà plus de deux mois…
Mon poney… Je veux que ton jeune sperme continue à grandir en moi, me fasse gonfler le ventre, je veux que tu me prenne enceinte, et je veux que tu soit le père.
Tu est un beau jeune homme, intelligent et vigoureux. Je ne me vois pas avec qui que ce soit d’autre comme père pour mon fils…
En revanche, comme je sais que tu est un jeune homme qui est seulement au lycée, je suis prête à assumer (presque) seule d’élever cette enfant, le temps que tu fasse tes études.
Je te suivrais ou tu ira.
Et si tu ne veux pas, je l’eleverais seule. Ça ne me pose aucun soucis, il naîtra « sous X » et je lui donnerais toute l’affection qu’il mérite.

Je fit oui de la tête…
J’étais sur le cul… j’avais mis ma CPE enceinte et elle comptait le garder… on baisais ensemble que depuis deux mois et demi…
Je me surpris à être terriblement excité à cette idée.
Et puis j’étais totalement libre de faire mes études et ma vie comme je le voulait, j’étais libre de ne pas avoir la paternité si je le désirais…
Cela me rassura.

« Et ton mari? » lui dis-je.
« Mon mari n’en saura rien, il pensera qu’il est de lui pendant ma grossesse. Enfin jusqu’à l’accouchement … Et tu n’as qu’un mot à dire, et il ne me touchera ni regardera plus la moindre fois, je trouverais un prétexte, je te suis réservée à 100% desormais mon poney… »dit elle en palpant mon sexe avec envie.
D’ailleurs depuis que je te connais, il ne m’intéresse plus…

Elle ajoutat: « Ça faisait longtemps que je voulais un enfant. J’ai enfin trouvé un homme avec qui je veux une descendance. Et en plus ça s’est fait tout seul… »

J’etait perplexe. Quoi que très tenté… je me demandais si elle n’avais pas fait exprès de tomber enceinte.

Je lui dit que je trouvais la chose très excitante et très intéressante, mais que ça faisais beaucoup d’un coup comme décision dans une seule soirée.

Elle me dit qu’elle comprenais et qu’elle me laisserais le temp de réfléchir.
Mais que dans tout les cas, elle voulais que je la baise tout le long de sa grossesse et que je l’aide à combler toutes ses pulsions.

Je pensât: « oh putain t’inquiète même pas… » l’idée m’intéressait beaucoup moi aussi…
Elle pris à nouveau ma main et la posa sur son ventre pour me faire palper.

Elle me dit: avec son petit sourire « mon poney, félicitations. tu vas être papa. »

Je palpa également ses seins, qui me semblait plus gros que d’habitude.
Tout s’expliquait, j’avais donc pas rêvé…
Ils Était plus fermes et légèrement plus gros… je n’osais imaginer ce qu’ils allait devenir pendant sa grossesse.

Enfin si, je le fit. J’eu une puissante érection. Je me sentais un peu sale de faire ça, mais je ne put m’en empêcher…

Je saisis son ventre à deux mains, pour essayer d’imaginer ma CPE engrossée avec un énorme ventre en levrette.

Elle devina ma pensée, et souria.
« Tu a tout compris…ce regard que tu as, ça je veux, et tout les jours. ajoutât elle. » elle m’embrassa a pleine bouche.

Elle attrapa mon sexe, le félicita, et l’embrassa également. Elle me branla en disant « putain si tu savais comme j’ai envie de te sentir une dernière fois mon poney… »
Elle voulais des coups de queues. Mais en douceur.

Je me glissa donc derrière elle, lui attrapa le ventre d’une main et les seins de l’autre, et je la baisat en cuillère , tout en caressant son ventre enflé de femme en début de grossesse…
Elle couina de plaisir.une main sur le ventre et l’autre sur mes couilles,entre ses jambes.
Elle me les palpât avec envie. « Tout ça a cause d’elles… » plaisantât elle en les faisant rouler entre ses doigts. La sensation était délicieuse.

Je la prennais en cuillere avec une certaine délicatesse…. un peu comme si je pensais qu’elle était « plus fragile » maintenant qu’elle était enceinte.
Elle me rappela à l’ordre, en donnant de violents coups de culs sur mon sexe pour me signaler son désir, elle me susurra à l’oreille: « et alors, qu’est-ce qui t’arrive mon poney… n’ai pas peur je suis pas en sucre… enfonce moi ta grosse queue, te retiens surtout pas… je veux ta grosse teube, ta grosse bite, ta grosse queue de poney. je te veux, je te veux, je te veux… alors défonce moi sans pitié…»

A ces mots,, j’oublia mes préjugés et je me lâchât.
Les yeux sur Son gros cul bombé et moelleux contre mon bas ventre, je fus pris d’une nouvelle pulsion.
Toujours en cuillere, je lui saisis la gorge d’une main, le ventre de l’autre, et je me lâchât.

Je mis de violents coups de bassins contre ce gros cul bien chaud et rebondi, qui me réclamais. A chaque coups de reins je claquait violemment mon bassin contre ses fesses, et ma queue bien au fond de sa chatte.
Quel bonheur. Elle gémissait également de plaisir.
C’était la 3ème baise de la soirée et c’était toujours aussi bon… ma queue et son vagin en était un peu irrités, mais aucune importance…
C’était trop bon, Je la defoncat en cuillère de toutes mes forces. Son gros cul rougissais à force de se faire percuter par mon bassin. Je grognais de plaisir pendant qu’elle couinais sous mes coups de reins. Elle eu plusieurs orgasmes, comme à son habitude… veinarde.

Je lui pris ses gros seins à deux mains et les malaxât fermement, etJ’accélérat pour finir le travail, ne demandant qu’à jouir moi aussi.
Après plusieurs minutes, nous craquions.
Elle hurlais, par saccade entre chaque coup de queue que je lui assénait :« oh…. pu…tain… mon… po….ney…. pe… tit… sa…. laud… ouh…. ça…. co…. mmence… a… faire… mal… mon… beau…. mais… ça… fait… tel….ment… de…. bien… t’arrr… ettte…. SURR… TOUUUUUT…. PAAAAAAAAAASSSS!!!!!!
Et elle eue un orgasme monumental, qui m’achevat. Ses contractions étaient si bonnes… mon sexe était au paradis.

Je la percutais à une vitesse folle. Je me finit enfin au fin fond de sa chatte, dans un long rale de soulagement et de plaisir…. un râle de plaisir mutuel… nous nous effondrons de nouveau. le 3eme orgasme est particulièrement puissant chez l’homme… presque douloureux.
Le peu de sperme qui me restait vint inonder une derniere fois sa chatte, « seulement » 6 ou 7 jets.
Elle hurlat en tremblant:
« Oh putain Mon poney… inonde moi encore avec ton jus ton sperme ta semence… féconde moi, vide toi tout entier… engrosse moi encore….

Puis s’effondra à mes côtés.
Ah….. quel bonheur.

Toujours au fin fond de sa chatte, je débandais en elle peu à peu… je remis les mains sur son ventre pour le palper… toujour sois le choc de la nouvelle.
J’etait complètement KO, de par l’effort et de part la quantité énorme de dopamine dans mes veines…

Le sourire niais du mâle comblé et enfin rassasié sur mon visage.

Julie souria. Elle attrapa mon sexe et le sortit de son vagin pour pouvoir se retourner face à moi, et m’embrassa tout en me caressant.

Elle était parfaite…
on resta là un moment à récupérer de l’orgasme,
Puis on décidait d’un commun accord de s’endormir, dans les bras l’un de l’autre…

Au bout de quelques minutes, j’étais presque endormi et à peine conscient,
elle me mis sur le dos et me dit « mon poney… je peux pas te laisser dans cet état Apres tout ce que tu m’as fait…. »
Et elle descendit vers mon sexe pour le lecher et le nettoyer de toute sa mouille et de tout mon sperme qui l’enduisait. Mon sexe, epuisé, était en mimolle. Elle suçât donc ma grosse bite moelleuse à pleine bouche en s’amusant de la sentir pulser sous sa langue sans parvenir à re bander.

J’etait si proche du sommeil que ça sensation etait très bizarre… entre ça et l’orgasme j’avais l’impression d’être defoncé, au paradis du sexe. Toujours les yeux fermés, Je souriais et gémissait de temps en temps…
Elle me decapat la bite pendant de longues minutes avec voracité, en oubliant pas d’utiliser de temps à autres ses seins.
Elle me fit un superbe massage du corp avec ses seins, qu’elle s’amusait à poser sur mon corp pour le pétrir avec. Un pur délice…
ma CPE enfin rassasiée de sa faim de sperme, elle se remis face à moi, et s’endormit, à mes côtés, mon sexe au creux des main.
Je lui attrapât un sein inconsciemment, et on s’endormit ainsi.

J’entendis la porte d’entrée se refermer. Je cru rêver…

—Ce que j’ignorais c’est que la prof d’art plastiques… bien trop curieuse, était rentrée discrètement quelques minutes plus tard, discrètement et nous avais entendus et vus baiser, avant de se cacher et partir quand elle nous croyat tous endormis…
Elle savais donc parfaitement qui nous étions et la situation.

Le lendemain matin, je me réveillat avec une énorme trique.
Une fois de plus, j’avais la tête dans le 80H de ma CPE, elle avais ses bras enroulés autour de mon cou, et dormais Ainsi avec un grand sourrire.
Ses énormes seins écrasés contre mon visage au reveil me faisait bander comme un taureau.
Je lui dévora affectueusement le sein sur lequel elle m’écrasait, pendant son sommeil, et lui fit quelques suçons pour lui faire comprendre à son réveil que je m’était un peu amusé… hehe.

Soudain, je me ****llat de la veille… je palpat son ventre, légèrement enflé par son début de grossesse…
Bordel, j’ai l’impression que c’est encore plus gonflé… me dis-je.

Mais bref.
Je devais partir tot.
Je décida donc de me laver et me préparer à manger pendant son sommeil, puis je la rejoignat au lit pour lui dire « au revoir ».
Enfin réveillée, elle me souria, remarquât mon érection matinale dans mon jean, elle ajoutat tu n’as pas l’air de vouloir partir mon poney… et tu dit au revoir à ta jument mais pas au revoir à ton poulain? Plaisanta elle, puis elle ouvris ma braguette, elle crachat sur mon sexe et le lécha avec apetit. Elle me murmura un « au revoir mon poney » decue que je ne puisse pas rester, et m’embrassa longuement le gland en passant bien sa langue autour et sous la peau.

Super. J’etait parti pour bander pendant tout le trajet.

Je rentrât chez ma famille passer le week end, et leur raconter mon voyage scolaire.

——-

La semaine suivante je fut cloué au lit par une maladie… je n’allât pas en cours.

On échangea beaucoup par sms avec ma CPE…

Elle finit par me convaincre de la faire entrer chez moi à l’improviste, le vendredi en début d’après midi. comme je me sentais mieux… malgré la présence de ma mère.
Elle promis d’être discrète. C’était très excitant…
Elle finissait à midi, et le rendez vous était prévu dans l’après midi, à partir de 13h.
Après le repas, je laissa comme convenu ma fenêtre ouverte, et m’endormis.

Ma mère était au res de chaussée et n’avais pas de raison de monter. Bien. De plus, elle devais partir faire une course.

A 12h59, elle grimpa ma façade (c’est très simple compte tenu de sa disposition) et entrât discrètement dans ma chambre Par la fenêtre.

Me voyant endormi, ne l’attendant pas si tôt, elle en profitât pour me faire une petite surprise…
Silencieusement, Elle se mis entièrement nue, et cachât ses vêtements dans ma caisse à linge.

Elle se glissat dans mon lit à mes côtés, et se blotti contre moi. Elle resta là quelques minutes, puis attrapa mon sexe. Joua avec, amusée de voir que je dormais toujours.
Elle me mis quelques coups de langue. Je bandit dans sa bouche, toujours endormie.
Amusée, elle se mis à califourchon sur moi, et commença à mettre mon sexe dans sa chatte.

Elle fis quelques vas et viens.

Sentant le contraste entre sa main gelée contre ma peau et sa chatte bouillante, je me réveillat.
« Coucou, mon poney… » dit elle en riant.
J’entendais ma mère ranger l’aspirateur en bas… elle allais bientôt partir.
Voir Julie nue contre moi me provoqua une fois de plus une erection intense.
« Salut Julie… »dis-je, surpris de voir ainsi ma CPE, déjà dans mon lit avec son regard perverse… ça me plaisais déjà.
Je mis 3 bonne secondes à réaliser que mon sexe était déjà au fond de son vagin.
« Putain de merde Julie… » dis-je, bandant de plus belle, en réalisant la situation.

Disant ça beaucoup trop fort, Elle me fit taire avec une main sur ma bouche.

A son tour, Elle laissa s’échapper un couinement de douleur et de plaisir en sentant mon sexe durcir violemment en elle…

Elle me chuchotât « Vas y mon poney, je suis toute à toi… soulage toi de ta semaine, et fait moi du bien…» me dit elle, provocatrice, avec un sourire en coin…

Je souris puis la retourna brutalement en levrette, et lui posa mon sexe sur les fesses.
« Ohhhh… plus si malade que ça on dirais, me dit elle, excitée. »

Elle enfonçât mon sexe dans sa raie des fesses, et me branla entre ses grosses fesses en faisant des vas être viens…

C’était délicieux. Mais je devais retenir mes gémissements à tout prix, ma mère était toujours en bas en train de se préparer à partir. J’entendais les clés de la porte…
Elle s’acharnait sur ma queue, me voyant lutter pour résister, et sachant pertinemment que je me vengerais pour son plus grand plaisir une fois ma mère partie.
« Julie… T’es vraiment la reine des putes… » lui dis-je, les mains aghripees a son cul de toutes mes forces de frustration,
N’attendant qu’une chose, que ma mère dégage enfin pour la défoncer.

A l’instant où on entendis la porte claquer,
Il y eu un court blanc…. j’allumas la radio.

Julie compris ce qui allait suivre, et dit en me regardant dans les yeux dans le miroir, un peu inquiète, avec son air de chienne « oh, oh… » je lui attrapât les cheveux fermement. Elle ajoutat « oh oh oh…. » en cambrant à fond.
Je posât mon gland à l’entrée de son vagin. Elle etait trempée.
Je souris. Elle plaisantat: « adieu monde cruel… »

Et soudain, une main sur son bassin et l’autre empoignant ses cheveux je tira d’un coup sec, pour l’empaler sur mon sexe.
Elle hurlat.
Je la maintenis par les cheveux, de sorte qu’elle reste bien appuyée contre mon bassin, mon sexe au plus profond.
Cette nympho adorais ça.
Elle se dandinais tout en hurlant de douleur…
Heureusement que nous étions seuls.

On enchaîna avec une levrette brutale. Je l’empallais sans aucune retenue.
Nous gémissions ensembles. C’était bestial.
Le tout ponctué de nombreuses fessées.
L’odeur de sexe était violente et le bruit de la chair qui claque brutalement contre mon bassin couvrais tout les autres, excepté peut être le titre « I dont care I love IT » qui passais à fond à la radio, et qui semblait particulièrement approprié. elle hurlais:
« Putain mon poney vas y vas y vas YYYY ANTOINEE!!!! Fait ce que tu veux de moi, fait-moi-mal-fait-moi-du-bien-fait-moi-du sale-fait-moi-languir, fait moi l’amour fait moi un gosse fait moi souffrir fait moi chienne fait moi JOUIIIIRRRR!!!! I LOVE ITTTTTT!!!!»
elle explosa sur ma queue dans un orgasme intense.

Je continuais à la ramoner comme un fou, puis j’ejaculat en elle dans un long rale quelques secondes plus tard, l’inondant de mes 5 jours de sperme…
C’était libérateur.

Nous étions au paradis.

Mais nous n’en avions pas encore finis.
Je ne débandât pas.
Je lui dit de venir me nettoyer, ce qu’elle s’empressa de faire avec amour.
Je m’allongeat sur mon lit, les bras derrières la tête confortable installé. Elle me suça longuement, pendant que je profitais du moment avec une expression de satisfaction intense.
Elle avais du feu dans le regard en me pompant, elle adorais ça… cela décuplait encore mon plaisir.

quelques minutes plus tard,
D’un coup, son téléphone sonnât, sur ma table de chevet.
Je l’attrapat. C’était boubakar.
Je souris.
Je montra l’appel entrant à Julie, ma chienne enceinte,
toujours occupée à me faire une énorme branlette espagnole pipée, mes 22 centimètres enduits d’une épaisse couche de salive, entre ses énormes seins.

Elle ralat: « oh non pas (Slooorp) lui… »
Je souria à nouveau.
Elle me dit « oh (gloups) ne me dit pas que… »
Je hocha la tête.
– « Tu est (slurp)vraiment le (slurp) diable… »
me dit elle avec son regard de chienne.
« Alors tu porte le fils de Lucifer… »
Lui répondis-je en décrochant son téléphone, et en lui lançant au visage.

« bordel Mon poney… »me dit elle avec son regard pervers.
Je souris.

Je baissât la musique et lui dit de mettre le haut parleur.

-Allo Julie ma chérie, Tu vas bien?

-Salut boubakar, bien et toi? (Sluuurp)
– ca vas, ça vas… j’appelais juste pour avoir de tes nouvelles,
-Oh rien (slurp) de spécial, la routine quoi, (slooooorp) et toi, bien passée ta formation?(slurck)
(Elle coince mon sexe entre ses seins et me commence une énorme branlette espagnole avec un sourire de chienne, pendant sa réponse.) on entend légèrement ses seins claquer contre mon bassin.
-ah Daccord, eh bien oui ça s’est bien passé, je crois que je me suis BIEN BIEN fait enculer sur le prix, mais dans l’ensemble j’ai appris des choses utiles.
-Daccord, (slurp) coooool! c’est marrant ça, moi aussi…(Sluuurp) dit elle en me faisant un clin d’œil.
Il repondit sans se méfier plus que ça,
-De quoi tu parle?
-Non rien, c’est… (sluuurp) une pote qui me disais un truc. Dit elle, en me branlant de plus belle.
Il dit:
-Et sinon toi ta semaine?
Elle repondit, en saisissant mon sexe avec envie:
-Moi la routine, une semaine BIENNN Longue,(sluuuuuurp) et Avec un de mes élèves en ce moment, c’est souvent TRES TRES dur…(paf, paf paf) dit elle en se bifflant avec ma queue.
Mais C’est dingue ce que ces (sluuuurp) gosses sont matures (sluuurp, hmmmm…) parfois…
Enfin…. (slurp) bref,
Il repondit:
-ah ça, ça finira par passer avec le temps,
Tu vas les mater ces gosses t’inquiète.
Elle renchéris:
-ohhhhh t’inquiète pas pour ça… (slurp slurp slurp) j’ai pas fini de le mater celui la… (Je lui enfonce mon sexe dans la gorge, pour lui faire faire une tentative de gorge profonde) (Sloorck… urgh, khof khof kof…)
Il repondit:
-c’est bien, fait toi respecter. Bon a part ça, tu fait quoi là de suite? Tu mange?
Elle improvisa, tout en se faisant enfoncer mon sexe dans la bouche.
-Oh, (sluuurp) zz’hecoute lah wadio , (slorp) he souis shai … (Sluuuuurp) mah pote mathilde et son mari, Antohane, (sluurp) les glaciers. (Slooorp) ils m’ont invités (slurp)pour la soirée. (Slurp) Mais tu connais déjà Mathilde,(slurp) , chaque fois qu ils ont un nouveau parfum à faire tester, (slurp) on se régale! Ecoute: (SLOOORP SLOOORP, SLUURP, *Gloups* ahhhhh….) hummmm…. un délice… (slurp) dit elle en me pompant comme une énorme chienne en aspirant ma queue dans sa bouche et en avalant une grosse gorgée de sa bave. Je laissa s’échapper un « hummm, bonne chienne… »

Il repondit un peu bizarrement, pendant que je lui donnais de grands coups de bassin dans la gueule pour que sa brznlette espagnole m’achève et que je me finisse dans sa gueule. Elle me branlait a mort en attendant mon sperme avec son air pervers. Dans un rale à demi etouffé je lui crachat tout à la gueule en disant:

« Mathilde, Julie, goutez moi donc ce parfum laaaaaa!!!! » et je lui crachat de gros jets de sperme entre les seins sur le visage en pleine gueule et dans la bouche, qu’elle léchât avec grand apetit. (SLUUURP SLOOORP hummm… Antoine… delichieuse chelle la puthain… SLUURP Gloups Gloups Gloups hmmm… sluurp… sloorck… *gloups* succulente…

Avant de me lécher la queue comme une confiserie pour me nettoyer, avec son air de grosse chienne satisfaite.
Absolument (sluurp) delichieux(sloorp) che parfum… (BUURP)

Il repondit, croyant que nous faisions les cons à faire du bruit exprès parce que Julie était au téléphone:

-haha les cons, ah oui, cool tu les saluera de ma part. Bon profite bien, moi je vais me regarder le match, comme tout les vendredis. Tu me racontera une autre fois!

-Daccord chéri! (SLUUURP) Bon match! (SLOORP slurp… hmmm… GLOUPS khof Kof khof….) BURRP! Hmmm… lhe ghou he lhe mheme danh leh deuh shens (SLOOORP, SLUURK, hmmm…)
-merci, bonne soirée. Bon je vous laisse vous avez l’air occupés, mon bus arrive. t’étouffe pas juju, haha! Ça change de te voir te lâcher
.
-haha (slurp) promis, Je vais essayer ! (Sluuurp) (BURP!) bye byeeeeeeee! (SLUUURP)
-bye juju!
-raccroche.

Hummm….
elle était enduite de mon sperme une fois de plus, et ce sur le lit de ma chambre, avec son sourrire de chienne enceinte et satisfaite.

Cette salope etait vraiment addicte à ma queue. Et je devenais addict à cette chienne.

Elle finit de me nettoyer la queue comme une énorme chienne en gémissant, pendant que je poussais de longs râles de satisfaction.

« SLUUURP hmmm mon poney putain c’était si bon… te pomper comme une chienne avec mon SLUUURP cocu de futur ex au téléphone… SLOORP
je pourrais te pomper des heures…
Et oh SLUUURP par pitié, encule ta jument ici et maintenant mon poney…
dit elle en me présentant son anus et en le secouant impatiemment dans lesquel était planté le moulage de mon sexe, jz ria en voyant ça, me demandant quand elle l’avais enfilé.

« Haha avec plaisir… retourne toi Julie.»
J’enfoncat lentement mon sexe dans son Anus, préalablement détendu par mon clone, sous ses gémissement.

« Ahhhhhhhhhhhhhh….. putain c’est si bon antoine… avec ta queue de poney… remplis moi le fion… défonce moi. Fait moi mal… vide complètement tes grosse boules dans ta chienne… je suis née pour te servir de chienne… désormais c’est sur.»
Je veux

Sur ce language très poétique,
Je commençât à l’enculer à nouveau,

Je lui mettait De longs coups de queue dans l’anus, et j’en ressortais le laissant beant.
Son cul était ma drogue.
Si gros et apetissant que plus je le regardais plus j’avais envie de l’enculer et plus je l’enculais fort.
Elle couinais ses obscénités comme à son habitude, er j’adorais ça.
Je lui percuta le cul avec intensité durant un bon quart d’heure sans différentes positlon, tanto en lui masturbant le clito, tanto non, avant d’enfin, dans un dernier rale d’une intensité que seuls les 3 eme orgasmes procurent, vider le reste de mes couilles au fin fond de l’anus de ma CPE, sous ses cris de satisfaction, pour notre plus grand plaisir.

Je me retirât. Son cul coulait blanc.

Au même moment, on entendit mes parents rentrer… on s’habilla a toute vitesse,mais pas le temps. Ils montèrent.
Elle se cachât sous mon bureau.
J’essayat de cacher les traces de baise au maximum, et enfila une robe de chambre pour cacher mon état, et un bon coup de déodorant.
Je m’assis à mon bureau, de manière à cacher au maximum Julie juste en dessous, et je lui balançat quelques vêtements au hasard dessus.

Julie trouva pertinent de glisser sa tête dans ma robe de chambre pour me faire une petite fellation sous le bureau en me coinçant la jambe entre ses gros seins, pendant que je saluait ma famille.

je priais pour qu’ils ne voient pas Julie juste sous le bureau, partiellement visible, nue et enduite de mon sperme qui lui coulais encore de l’anus et d’à peu près tout les orifices d’ailleurs.

Par miracle ils ne la remarquèrent pas.
Une fois sortis de la pièce, je lui étalât mon sperme et lui donna dequoi s’essuyer, je la rhabillât, pendant qu’elle me suçait, une dernière fois,

Et on se dit au revoir discretement.
Je l’aida à descendre par la fenêtre et à rejoindre sa voiture sans être vue.

Quelques heures passèrent,

Puis je vis sur internet un email de ma prof d’art plastique… impossible, elle n’as pas pu voir mon visage… très étrange.

Je l’ouvrit… je vis une photo de moi sodomisant Julie que l’on devine aisément enceinte…
Je me décomposa en voyant ça, craignant le pire…

Mais je n’en revint pas de ce que le message disais… j’etait completement abasourdi.

La suite prochainement…

ci joint une photo ressemblant à Julie,(ce n’est pas elle) si ça peux aider à visualiser… bien que rien ne valent l’imagination. ( ce n’est pas elle mais c’est globalement son physique, les seins de Julie sont juste un peu plus gros.

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