Mon boulot était en danger.
Je travaillais pour une petite compagnie norvégienne et les chiffres étaient mauvais, le patron en charge de la filialle fut vite remercier sans ménagement.
Ils envoyèrent un vieux directeur de Pari qui était connu pour son intransigence.
Un soir couché avec ma femme je lui espliquais l’histopire pendant qu’elle me sucait, j’avais du mal à bander ça me tracassait.
Puis elle me dit, tu veux qu’on aille avec lui au sauna-club.
C’était un club avec alcôves ou nous étions allés une fois et pendant que l’on faisait l’amour des hommes pouvaient nous observer, elle n’avait jamais osé aller plus loin.
tu es sérieuse?
Oui pourquoi pas c’est un homme il a besoin de distraction et il y a des jolies femmes sur place.
En imaginant la scène je commençais à bander bien fort.
Et bien on dirait que l’idée fait son chemin en souriant.
Elle repris ma queue en bouche enrobant bien mon gland de sa langue et presque instantanément je jouis au fond de sa gorge.
Elle devait être très excitée car elle continuait de se masturber en gémissant beaucoup.
Le lendemain je fis la proposition à Napoléon; c’est le surnom qu’ou lui avait donné.
Nous allons à nous deus?
Non ma femme nous accompagne.
Un sourire illumina son visage
A quelle heure j’ai envie de m’amuser ?
Nous arrivâmes au club vers 20 heures mais un jour de semaine il n’y avait pas d’autres couples je commençais à paniquer.
Dans le vestiaire je vis qu’il matait bien ma femme, ses gros seins et son cul avantageux, depuis hier soir je remarquai qu’elle s’était rasé la chatte, dans le vestiaire.
Un jeune homme en profita pour passer derrière elle en frottant son pénis à son cul et prétextant l’étroitesse du local Martine fit semblant de rien.
Nous arrivâmes dans la grande salle et nous couchons par terre, d’autres hommes remarquent ma femme immé diatement et commencent à jouer avec leurs queues.
Napoléon râle, je pensais qu’il y aurait des femmes, belle soirée en perspective.
Il y avait bien une télévision qui diffusait des films porno, mais depuis notre entrée les regards masculins se tournèrent vers Martine.
Je m’imaginais déjà le lendemain à la recherche d’un nouvel emploi, quand je vis la main de ma femme sur la cuisse de Napoléon.
Celui-ci surpris la regarda et doucement je vis son gland se décalotter tout seul rien qu’ai contact de la main de mon épouse, il approcha son visage et força la bouche de Martine avec sa langue, elle se laissa faire.
La main de ma femme s’approchait de plus en plus de sa queue, celle -ci devint raide comme du bois.
Chérie que fais tu arrêtes!
Elle ne m’adressa pas un regard et s’empressa de prendre en bouche le sexe énorme de Napoléon, celui-ci gémit en me regardant avec un sourire.
Martine enfonça très profondément le sexe de son amant au fond de sa gorge, je pus le voir au traver la fine peau de sa trachée.
Dans la salle quatre hommes se masturbaient avec excitation se penchant pour essayer d’appercevoir la vulve ruisselante de ma femme.
Au bout de quelques minutes Napoléon coucha violemment ma femme sur le dos, lui écarta les cuisses, les voyeurs purent enfin découvrir toute l’intimité de ma femme offerte à leurs yeux.
Il se rapprocha d’elle posa les jambes de Martine sur ses épaules et la pénétra violemment , ma femme gémit les hommes s’approchèrent d’elle ,lui touchèrent les cuisses les gros seins, les gros coups de reins de son amant la fit jouir rapidement, et un long jet de sperme finit dans sa chatte.
Les quatre hommes se vidèrent sur son visage et ses seins.
Napoléon se retira de ma femme en disant finalement quand ik y a une salope la soirée n’est jamais ratée, au suivant …..
Ajouter un commentaire