Je suis souvent en déplacement dans la capitale et mon travail est très prenant. Le soir je rentre tard à l’hôtel et n’ai pas l’énergie de sortir. Mes soirées sont donc courtes et solitaires. Un soir il faisait déjà nuit je suis passé par une grande place ronde au bord de la rocade dans l’ouest de la ville c’est-à-dire du côté des beaux quartiers. Il y avait autour de cette place des prostituées de toutes sortes assez jeunes, généralement avec un look assez classique. On pouvait voir de grandes blacks longilignes, des asiatiques félines, des blanches au teint pâle et même de jeunes hommes cherchant l’aventure. Je tentais de trouver une place de parking en tournant dans le quartier proche quand je vis une jeune femme peu visible sous les arbres bordant l’avenue. Je n’y prêtais pas trop attention car elle avait l’air d’attendre quelqu’un. Mais 10 minutes plus tard je suis repassé elle était toujours là. J’ai pu me garer pas loin et je l’ai observée. Elle ne bougeait pas, n’avait pas l’air de draguer et se faisait discrète. Elle était de taille moyenne assez mince avec de petits seins, habillée sans luxe d’une robe noire arrivant à mi-cuisses.
Elle s’est approchée lentement de ma voiture de mon côté, s’est baissée à hauteur de ma vitre. J’ai entrouvert celle-ci et l’ai entendu me dire avec une voix douce « tu es mignon, ça fait cinq minutes que tu me regardes, si tu veux on peut passer un moment ensemble dans ta voiture ». Comme je ne répondais pas elle me précisa son tarif juste pour sucer et celui pour baiser avec préservatif. Cela m’ému et je lui dis « d’accord » sans réfléchir plus. Elle fit le tour et s’installa à côté de moi puis sans se déshabiller défit ma ceinture ouvrit mon pantalon sorti mon pénis encore mou. Elle le branla un peu avec sa main puis l’entoura de ses lèvres pour le mouiller de sa salive. Elle l’essuya avec un kleenex puis se mit à me sucer profondément avec toute sa bouche. C’était délicieux et tellement imprévu.
Après quelques minutes j’étais vraiment dur. Elle se redressa, me regarda dans les yeux et me dit « je vais venir sur toi ». Elle me mit une capote, inclina mon dossier à 45 degrés puis m’enjamba en me faisant face. Elle s’accroupit en mettant un pied de chaque côté de mon bassin sur mon siège. Puis elle remonta sa robe, écarta simplement sa culotte en dévoilant son sexe qui avait une abondante toison châtain. Et elle s’enfila sur mon pénis un peu d’abord puis bien à fond. Je n’ai pas bougé et l’ai laissée faire. Elle m’a baisé avec virtuosité comme si elle aimait vraiment ça. Ses mouvements de cuisses, ses ondulations du bassin provoquaient des sensations délicieuses accentuées par le fait que de temps en temps des passants traversaient le parking à quelques mètres de nous, sans nous voir. Elle fit durer un bon moment puis je ne pus me retenir et je déchargeai au fond de son vagin avec un râle de plaisir mâle. Elle se retira doucement, remis sa culotte en place, s’assit à côté de moi. Puis elle me nettoya avec un mouchoir en papier et finit suçant de nouveau doucement mon sexe devenu flasque.
Nous avons parlé ensuite un grand moment toujours dans la voiture. Elle m’expliqua qu’elle avait une petite fille de deux ans qu’elle devait élever seule, le père s’étant sublimé dans la nature. Elle était enseignante en grande banlieue mais n’y arrivait pas financièrement avec son salaire de débutante. Elle avait donc entrepris de devenir occasionnelle et venait faire quelques passes quand l’argent manquait vraiment. Elle me dit « En plus j’y prends du plaisir. Je vis seule et j’ai besoin de ce contact mâle régulièrement ; avec toi c’était bien ». Dans son quartier et son emploi elle avait une vie normale de jeune maman et personne de soupçonnait ses extras nocturne. Elle ajouta qu’elle-même arrivait bien à séparer ses deux mondes opposés.
Je lui ai donné son argent qu’elle ne m’avait pas encore demandé. Elle m’a fait des bises affectueuses sur les joues. Elle ajouta en descendant de voiture « je m’appelle Axelle et c’est mon vrai prénom » puis « va dormir tu as l’air si fatigué ».
Je suis repassé plusieurs fois le soir au même endroit mais je ne l’ai pas revue.
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