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Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part. 5

Mes aventures avec Samantha et Marguerite (part. 5



Partie 5: Une expérience inattendue

Alors que Marguerite était devenu ma « fuckfriend » officielle, quelque chose d’inattendu se produisit environ 2 mois plus tard. Alors qu’elle n’avait fait que nous ignorer depuis 2 mois, Samantha vint vers nous timidement à la pause de midi.
– Salut… Lança-t-elle. Vous allez bien?
Marguerite et moi nous échangèrent un regard interrogateur.
– Oui, ça va toujours, répondis-je, depuis le temps.
– Ecoutez, expliqua Samantha, je sais pas ce qui m’a pris, je suis vraiment désolée pour tout ce que je vous ai fait, ou plutôt ce que nous avons pas fait. Mais ça me fait chier de perdre votre amitié pour un mec, surtout qu’il y aucune raison. J’suis vraiment désolée. Mais tu vois, (elle avait dit ça en me regardant donc ça me concernais), j’étais bloquée par le fait que si je restais à te côtoyer, je finirais par le perdre lui, alors… voilà…
Personnellement, depuis, la blessure s’était refermée, donc je ne lui en voulais pas. Et puis dans ce qu’elle avait dit, quelque chose me plaisait: elle ne me résistait pas.
– Donc j’aimerais vous présenter mon mec ce soir et vous inviter à dormir à la maison.
Je n’avais plus de colère en moi actuellement, donc j’acceptais, chose que je n’allais pas tarder à regretter…

La soirée en question se passa dans un bar du coin et le mec en question s’appelait Benoit. Il était grand, mince, cheveux noirs en pique sur la tête, très fashion. Bref, tout le contraire de moi. Nous étions posés à une petite table ronde, Benoit me faisait face et le pauvre gars devait à peine se sentir observé, parce que je crois que je l’ai fixé de colère 90% de la soirée. Après tout, même si question sexe ça allait très bien avec Marguerite, il m’avait enlevé Samantha. Et Samantha l’avait préféré à moi.
Nous apprirent vite à le connaitre moi et Marguerite et la même question se lisait dans nos yeux: qu’est-ce que Sam lui trouvait?! Benoit était macho, très con, et franchement pas intéressant, mis à part son physique assez balèze.

Enfin voilà, la soirée se passa comme ça et nous rentrèrent tous les quatre chez Samantha. Je n’avais jamais été chez elle et c’était vraiment sympa. Un petit appartement tout con, avec un grand salon, une chambre et une petite cuisine. Elle habitait seule ici, avec évidemment ce con de Benoit qui devait squatter souvent. Nous passèrent un bon moment à déconner en jouant à la console et à boire des coups devant les jeux. Mais vers 23h30, Marguerite reçut un appel de ses parents qui voulaient qu’elle rentre absolument pour je ne sais plus quelle raison. Elle nous lâcha donc. Génial. Je me retrouvais sans personne avec qui avoir une discussion décontractée, sans gêne. Il fallait que je me force à parler à Samantha ou à Benoit. Bon finalement, ça s’est plutôt bien passé, plus l’alcool coulait, plus les langues se déliaient et on a bien déconné les 3. Je finis même par trouver Benoit sympa. Et les choses…spéciales commencèrent là également.
Ca a commencé par une Samantha très éméchée:
– Putain, Darkei, j’ai trop fait ma pute… avec toi, désolée! Tu sais, en plus j’ai aimé… quand on a couché ensemble, t’sais…
Benoit réagit immédiatement:
– Quoi, quoi, quoi? Vous avez couché ensemble?
Je suis resté bloqué, j’ai cru qu’il allait me frapper.
– Ouaaais… mais avant, t’sais… C’est bon hein!… Mais Darkei c’est un type bien… je l’aime trop Ben….
Benoit me fixait d’un regard assez étrange.
– Vas-y, pourquoi tu dis ça? Répondit-il. Tu veux qu’on se foute dessus ou quoi?!
Je tremblais un peu, l’alcool me faisait tourner la tête.
– Eh… non sérieux… c’était avant mec… répondis-je. Je veux pas d’emmerdes…
Benoit ne répondit pas, il attendait une réponse de Samantha.
– Eh… au lieu de vous battre… occupez-vous de moi…
Aucun de nous deux ne répondirent. Samantha relança:
– Allez quoi, j’ai deux mecs… pour moi toute seule ce soir. Faites-moi plaisir… j’suis la cheffe maintenant…
Benoit me regarda et porta ses mains sur sa ceinture.
– Vas-y Darkei, lança-t-il, on va la calmer cette pute là!

Avant même que je n’aie le temps de comprendre ce qui se passait, l’alcool n’aidant pas, une scène horriblement dure s’afficha sous mes yeux: Benoit avait sortit sa queue et Samantha l’avait ni une ni deux engloutie au fond de sa bouche. Je fus un peu bouleversé par la scène en premier lieu, la magnifique Samantha avalait sa bite comme elle ne l’avait jamais fait avec moi (elle avait nettement pris de l’expérience) et surtout de voir la queue de ce gars que je connaissais à peine dans la bouche de la fille que je considérais il y a peu comme mon gros coup de coeur, ça me fit vraiment bizarre. Mais je savais bien que c’était ni le moment, ni la situation pour faire mon jaloux. D’ailleurs je savais pas trop ce que j’étais censé faire. J’aurais pu me barrer, mais aller dehors à cette heure-ci et surtout si loin de chez moi aurait été stupide. Ou alors j’aurais pu me poser dans la chambre d’amis et les laisser faire leur petite affaire tranquilles, mais j’en étais tout juste incapable. Laisser cet enfoiré se faire Samantha sans interférer se serait baisser les bras et je les avais laissé baissés assez longtemps comme ça.
Non en fait, je suis simplement resté planté là à regarder Benoit se faire sucer, à souffrir en silence comme une merde. Samantha faisait glisser ses lèvres humides sur la verge de son copain sans le moindre bruit, aspirant et respirant fort par le nez. Ses gros seins dans son t-shirt blanc ballottaient d’avant en arrière, suivant le mouvement de sa tête. Seul Benoit soufflait et lâchait quelques petits râles rauques qui me tordaient le bide de douleur. Samantha était magnifique, et elle le suçait fort et bien. Elle portait une petite jupe noire sans collants en dessous, dont je voyais à moitié le string blanc en dessous. Je restais là, je fermais ma gueule, j’étais faible. Mais pas ma queue, qui bandait comme pas possible dans mon jean.

Et puis, eh bien je n’ai rien fais, c’est elle qui s’en est chargé. Samantha a recraché le sexe de son mec et a rampé jusqu’à moi, portant directement les mains à ma braguette. Vu que c’était elle qui agissait, malgré la tension que je semblais capter de la part de Benoit, je la laissa faire. Elle déboutonna mon pantalon et fit glisser de ses deux mains mon caleçon vers le bas, ma queue s’éjecta de celui-ci en rebondissant. Elle engloutit à son tour ma bite qui était en surchauffe et je dus serrer les dents immédiatement tant elle avait fait des progrès. Mais ce n’était malheureusement pas le seul spectacle auquel j’eux droit. Pendant que ma Samantha et ses longs cheveux s’amusait entre mes jambes à sucer comme une vraie cochonne, Benoit avait vite fait de soulever la jupe noire de la belle et de s’amuser avec ses doigts sur sa chatte, à travers le string. Samantha gémissait et soufflait fort avec ma queue dans sa bouche. J’étais coincé, participant à se spectacle certes très excitant mais également très frustrant. J’attrapais la tête de Samantha et me mit à enfoncer ma queue dans sa bouche moi-même, de colère et d’excitation, usant sa gorge comme une chatte. Samantha comprit très bien et ouvrit sa gorge au maximum, mon membre glissant dans son oesophage de manière cyclique et relativement violente. Pendant ce temps, Benoit avait fait glisser le string le longs des cuisses de ma belle et l’avait tiré le long de ses jambes pour l’enlever et s’apprêtait à la pénétrer. Ma petite soirée de « rencontre avec son copain » venait de se transformer en putain de partie à 3 à laquelle je n’étais pas préparé DU TOUT.

Quelques secondes plus tard, c’était carrément ça. Je voyais le cul de Samantha claquer et rebondir sous les accoups de Benoit et moi je me faisais toujours sucer, mais la belle soufflait fort et gémissait même avec ma queue dans la bouche. Enfait ce qui me rendait dingue c’était pas la situation en elle-même, dans le sens que ça ne me gênait pas d’être à deux sur la même fille bien que ce fut la première fois pour moi, mais plutôt que c’était elle tout bêtement. J’avais souffert longtemps au fond de moi qu’elle me laisse tomber comme elle l’avait fait et la revoir m’avais fais le plus grand bien… mais je ne désirais pas forcément voir son copain la prendre devant moi. Au lieu de profiter de la situation, je ne rêvais que de me retrouver seul avec elle et je n’étais pas vraiment dans le truc. Et un autre truc me dérangeait, c’est que le gars accepte comme ça que je me tape sa copine avec lui, je redoutais que Samantha se soit tapée une pétée de mecs depuis notre « séparation ».

Pour revenir à la scène, je me suis fais sucer une bonne dizaine de minute, Benoit la prenant à un rythme constant et qui me donnait juste envie de la prendre à mon tour. Samantha recrachait ma queue fréquemment pour regarder ses hanches se faire marteler par le pilon de son copain.
Je me contentais de sa bouche pour l’instant mais l’envie de la prendre en levrette grandissait méchamment en moi. C’est Benoit qui l’incita à changer de position en retirant son sexe de celui de Samantha et en tapotant avec sur son cul. Sans un mot, Samantha se coucha sur le dos et je rampa à genoux jusqu’à son entrejambe tandis que son copain se déplaça pour s’occuper de la bouche de la cochonne. Je posa mon gland sur sa vulve et je m’introduis doucement en elle. Sa chatte était déjà très chaude et détrempée vu que Benoit s’était déjà servit, et je glissa en elle entièrement d’un traite. J’attrapa ses jambes et je m’en servis comme appui pour balancer mes hanches en elle. Je retrouvais toute la passion de lui faire l’amour, à la simple différence qu’il s’agissait ici d’une baise à 3 bien crade et sans sentiments quelconques. Je tapais en elle comme un forcené, avec une rage folle et je lui mordais les cuisses de plaisir, elle gémissait de façon très excitante en laissant entrer la bite de Benoit dans sa bouche qu’elle gardait ouverte. Nous prenions tous les trois notre pied comme pas permis, à en juger par les râles et les gémissements de plaisirs qui retentissaient dans le petit salon. Et c’est là que Benoit lança:

– Eh, chérie, vas-y on peut te prendre en sandwich? Comme dans les films t’sais?!
Je m’arrêta, Samantha se redressa en s’appuyant sur ses coudes.
– Quoi?! Mais t’es pas bien? lui répondit-elle.
– Bah, allez quoi, faut faire des expérience tant qu’on en a l’occasion, non? Lui répondit son copain.
Samantha me jeta un regard que je connaissais bien, elle avais envie de rire intérieurement.
– C’est pas la sodo qui te pose problème non? Dit Benoit.
Samantha laissa échapper un petit rire et un sourire en coin en me regardant droit dans les yeux.
– Ca te gêne, DarKei? Me demanda-t-elle.
Je souris en retour.
– Non, pas du tout et toi?
– D’accord mais allez doucement, répondit la belle, je veux pouvoir marcher demain.

Benoit se coucha sur le dos après avoir retiré son t-shirt (car il faisait chaud, très chaud), Samantha portait toujours son top noir qui ressemblait plus à un chiffon humide désormais et elle l’enleva puis dégrafa son soutif, ses deux obus rebondirent à l’air libre. De mon côté, j’enlevais tous mes vêtements également: on était tous à poil et il n’y avait plus une seule gêne. Samantha passa par dessus les jambes de Benoit et s’empala sur sa queue bien tendue. Benoit se mit à faire des va-et-vient mécaniquement et je vis les magnifiques fesses de Sam rebondir sous les coups de hanches. Je dois avouer qu’en plus d’être ma position préférée (la femme qui chevauche), c’est également celle que j’ai le plus de plaisir à regarder dans les pornos et en l’occurrence, devant moi aussi. D’ailleurs je ne me lança pas tout de suite, je regarda la scène un bon moment, les couilles de Benoit claquant contre la chatte détrempée de Samantha qui déversait son jus d’amour sur l’entrejambe de son copain. Et moi je me branlais en regardant la scène quelques instants. Ce n’est que quand Benoit arrêta le mouvement, essoufflé, que Sam se tourna vers moi:
– Bon alors, on le fait ce sandwich ou on laisse tomber? me demanda-t-elle.
– C’est bon j’arrive, je profitais juste un peu du spectacle, répondis-je.

Samantha s’aplatit sur son copain et celui-ci attrapa ses fesses et les ouvrit bien grand. Je voyais bien tout de là où j’étais: la queue de Benoit toujours à l’intérieur de la chatte dégoulinante de Samantha et son trou du cul bien écarté, très attirant. J’avançais doucement et plaça mon gland sur le petit trou écarté. Ce n’était pas ma première sodomie, mais la première fois que j’allais prendre une femme en sandwich. Je cracha sur mes doigts et lui enfonça mon index délicatement, la belle souffla (oooouh), je lui enduisit son trou de salive et poussa doucement mon gland en elle. Je fis un léger mouvement d’avant-arrière pour l’aider à s’écarter et petit à petit je m’enfonça en elle. C’était tellement bon! Son cul était serré comme pas possible. Benoit commença de léger mouvement lui aussi. Pour ceux qui n’ont jamais participé à un sandwich, il faut savoir que la sensation de la queue de l’autre gars qui bouge en dessous se ressent vachement. Du moins dans le cul de Sam, je découvris cet étrange plaisir. Je lui écartelais son petit trou et le sexe de Benoit lui caressait le vagin en se frottant contre moi.

Je suis bisexuel, donc je ne fus pas dégouté par cela mais plutôt excité. Et ma Samantha se tordait de plaisir. Elle était écrasée sur le corps de son copain et moi je m’aplatissais contre son dos, lui mordait les côtés et lui caressait de temps à autre un sein. Son copain lui léchait constamment les seins et râlait de plaisir. J’étais collé contre son dos trempé de sueur et j’adorais ça. Je prenais mon pied dans le cul de ma belle Samantha, situation que je n’aurais jamais pu prévoir. Je sentis Benoît accélérer le mouvement en hurlant: il jouissait! Je profitais de son élan pour accélérer à mon tour le rythme de mes hanches et Samantha se mît à hurler, à mi-chemin entre l’orgasme et la douleur. Je jouis à mon tour dans son cul, et c’était la première fois que je le faisais. J’ai adoré ça, cette sensation de chaleur et son cul qui se rétractait sur ma bite, divin!

Losque, épuisés, nous nous retirèrent chacun notre tour, nous laissèrent une Samantha complètement trempe de sueur et démontée de l’arrière-train! Elle se laissa tomber sur le dos dans un soupir de soulagement! Je lui tins la main discrètement, et ne pus m’empêcher de sourire.

La soirée redevint normale par la suite, la triste normalité devrais-je dire. Après avoir qualifié le moment passé de « monstre cool », Benoît se rhabilla et alla me chercher un matelas. Ils ne tardèrent pas à aller se coucher dans la chambre et je dus dormir seul au salon avec les images de notre partie de jambes en l’air devant les yeux. Je finis par m’endormir.

1 heure plus tard, je fus réveillé par le son de la porte de leur chambre qui s’ouvrait, et je tourna péniblement la tête vers la porte. Samantha était là, en sous-vêtements, dans toute sa splendeur, à la faible lueur de la lumière de la lune qui éclaircissait la pièce. Elle fit quelques pas et vint s’asseoir sur le petit canapé à côté du matelas où j’étais logé. Le silence devint très vite génant, je pris l’initiative:
– Putain, quelle soirée… C’était… innatendu, mais c’était cool.
Samantha me sourit.
– Ouais, j’ai trop mal maintenant, mais c’était super excitant.
Je sentis mon sexe se tendre dans mon caleçon, sous la couverture, en repensant à la scène.
Plus forte que mon érection, mon envie de lui dire ceci pris le dessus:
– Tu m’as manqué, Sam. Affreusement manqué. Ne refais jamais ça, partir comme ça.

Elle descendit du canapé et s’assit sur le bord du matelas, à quelques centimètres de ma queue tendue. Je lui caressa le visage et nous nous embrassèrent. Ce genre de baiser qu’on fait dans les films en général, limite si la musique venait s’ajouter à notre romance. D’un geste simple, je fis tomber son soutien-gorge et goba son téton droit. Samantha gémissait doucement. Ma main lui glissa sur les fesses et je lui caressa sa chatte à travers son string, que je fis immédiatement glisser le long de ses jambes. Elle me retira mon t-shirt et arracha presque mon caleçon en l’envoyant valser à l’autre bout de la pièce.

Elle s’empala sur moi d’une traite et en essayant de faire le moins de bruit possible, nous commeçèrent à faire l’amour comme des bêtes enragées. Samantha sautait, rebondissait sur ma bite en gémissant et en soufflant doucement. Je serrais les dents pour ne pas faire de bruit. Je lui bouffais les seins, les malaxaient, les laissaient parfois sautiller à ma guise.

– ooh… C’est bon, DarKei, prends-moi!
– Sam, tu es parfaite, continue… c’est parfait…

Elle se redressa et se retourna pour passer en cheval inversé, me chevauchant en se penchant de plus en plus en avant, aidant son mouvement avec mes mains, une vue magnifique sur son cul qui s’applatissait sur moi. Elle finit par tomber en avant, l’occasion pour moi de me mettre à genoux et de la prendre en levrette. Elle se laissa tomber la tête sur le canapé tandis que je tapais en elle comme un fou. Lorsqu’à force de va-et-vients trop rapide, je me sentis venir, je lui souffla:
– Je vais…jouir…
– Viens en moi…

J’éclata, me tendant à mon maximum, la tête dans les nuages… C’était parfait… Ephémère, mais parfait!
Comme lors de notre première fois, elle me remercia du bon moment passé en ma compagnie, s’essuya, m’embrassa, me fit un clin d’oeil et partit se re-coucher.

Le lendemain, nous firent comme s’il ne s’était rien passé et nous avions tous les deux un petit sourire en coin bien caché. Ma coquine préférée était de retour, et le camp de sport de fin d’année, qui arrivait 2 semaines plus tard, me semblait soudain chaud… très chaud!

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Le prochain chapitre sera le dernier de mes aventures avec mes deux camarades cochonnes… et il fut très chaud, ne le manquez pas! biz

DarKei

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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