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Mésaventure nocturne

Mésaventure nocturne



La nuit était déjà bien avancée et un froid vif soufflait à travers les ruelles désertes. Je comptais bien gagner mon chez-moi le plus rapidement possible, mais hélas, plus de métro ni de bus a l’horizon. Et me voilà à cette heure tardive dans les rues malfamées de cette banlieue ignoble.
J’avançais à grands pas, contemplant fièrement mes grosses godasses, des Docs Martens noires, coquées qui me donnaient un genre badboy. Bien serré dans mon jean noir, avec ces grosses pompes aux pieds, bien confortables, je me sentais plus fort.
Plus loin, dans un square, j’aperçois des silhouettes, un groupe de trois filles sur un banc et qui me regardent approcher en discutant entre elles. Elles me détaillent des pieds à la tête et je fais de même. Elles sont plutôt pas mal toutes les trois. Lorsque je passe devant elles, l’une des filles me lance un « salut » avec un petit rire. Je m’arrête pour la regarder. Elle est brune avec des mèches rouges, cheveux longs, regard noir. Elle arbore un petit sourire narquois en me regardant. Je la détaille un peu plus. Elle à un piercing sous la lèvre, porte une veste en jean avec un pull noir en dessous, un jean bleu et des converses bleus clairs aux pieds. Elle s’approche de moi et je m’aperçois qu’elle a peut près ma taille. « Tu veut baiser avec une de nous trois ? » me dit elle en me toisant. Je reste sans voix en entendant ça, et je regarde les deux autres. Une petite beurette plutôt jolie en bas résilles, petite jupe noire et des petites adidas rouge aux pieds. Jolie mais un peut « pouff » avec sa jupe raz la foune et ses bas qui moulent ses cuisses. La troisième, une grande gigue aussi grande que moi également avec un pantalon large et des grosses Vans grises aux pieds, le visage plein de piercings et les cheveux décolorés en rouge. Mais pas mal quand même me dis-je a moi-même me surprenant a avoir une érection. Je leur réponds que si elles veulent je peut m’occuper de toutes les trois.
Et on se retrouve dans une petite piaule crade avec un lit. Je m’assois sur le lit et j’attends la suite. La petite beurette s’assoit à coté de moi. Peut être va elle commencer a se désaper me disais je. C’est elle que je vais tirer en premier, je bande tellement dur que je crois que je vais la défoncer. Et j’imaginais déjà ses jambes repliées au dessus de moi et ses petits pieds s’agitants frénétiquement de plaisir et de douleur a chacun de mes coups de queue.
Pendant ce temps, la grande gigue fixait mes Docs avec insistance. « C’est du combien tes Docs ? » me dit elle. Du 42, ma grande, lui répondis je. « Comme, moi, alors » dit elle « c’est ma pointure ».
Et elle s’accroupit devant moi et commence à défaire les lacets de mes grosses pompes. « Bon me dis-je, les festivités commencent » et je décide de me laisser faire. La beurette se penche sur moi et me roule une pelle d’enfer. Je sens son parfum mélangé à une légère odeur de sueur et sa langue qui tourne dans ma bouche. En continuant a m’embrasser elle s’assoit a califourchon sur moi et me force a me pencher en arrière. Elle doit sentir comme mon sexe est dur me dis-je, elle doit commencer a mouiller dans sa petite culotte a l’idée de ce qu’elle va prendre. Et les deux autres suivront après… Elles vont passer à la casserole !
Pendant ce temps, je sens qu’on s’active à défaire mes Docs. Je jette un regard par-dessus l’épaule de la beurette. Elles s’y sont mises a deux et chacune est en train de tirer sur une des grosses pompes. En deux temps trois mouvements elles se retrouvent chacune avec un de mes gros fers a repasser dans la main. Je contemple mes chaussettes noires en espérant qu’elles ne puent pas trop car leurs visages sont tout près. Et puis tant pis pour elles me dis je, peut-être qu’elles aussi elles puent des pieds ! Dans ce cas elles ont l’habitude.
La beurette commence à défaire ma braguette. Ouahou ! La ça devient intéressant. Je lui caresse le cul en laissant mes mains remonter sous la jupe. Merde ! C’est des collants qu’elle a ! Tant pis, bientôt elle aura plus rien sur elle.
Je jette un œil sur les deux autres. La brune a tendu à l’autre la chaussure qu’elle tenait à la main et contemple la scène froidement. L’autre, la grande gigue s’est assise sur une chaise, mes chaussures à ses pieds et commence à retirer ses baskets. Mais qu’est ce qu’elle fout me dis-je. Mes pompes lui plaisent et elle va les essayer, ça ne peut être que ça !
Mon déshabillage continue et pendant que je regardais les autres, la beurette tire lentement sur mon jean et mon caleçon commence à descendre lui aussi. Je me prépare en retenant mon souffle, ça y est, les premiers poils apparaissent et puis soudain ma bite est au grand jour, droite comme un I. La beurette lance un petit cris avec un rire en mettant la main devant sa bouche. Quesqui se passe. Je comprends alors que ma bite est jugée à son calibre et qu’elle est visiblement considérée par elle comme petite. La brune se penche et regarde à son tour, elle a un ricanement méchant en voyant la chose. Quant à moi je sens que je débande tout doucement et que ma petite bite de 13 cm se rétracte au milieu des poils pour mieux se cacher. Elle qui se dressait fièrement voilà 2 minutes !
La grande gigue est en chaussettes bleu, elle est en train d’enfiler l’une de mes pompes. Il y a un moment de flottement, elle se penche pour regarder ma bitte et part d’un grand rire. Je suis mal, me voilà à poil devant elles avec mes chaussettes qui puent et ma petite bite. L’une a déjà mes chaussures aux pieds et s’applique à faire les lacets, on tire mon jean et mon caleçon vers mes pieds, tout se passe très vite.
Je veux me redresser pour les insulter mais la beurette se précipite et a nouveau me roule une grosse pelle. Je me laisse faire en me disant que malgré mon humiliation je pourrais peut-être encore me les faire et on verra a ce moment la qui rira.
Laisse toi faire mon pote me dit la beurette en quittant ma bouche pour descendre tout doucement vers mon sexe. Je sens son souffle chaud sur ma poitrine, sur mon ventre et enfin sur ma queue.
J’en profite pour retirer mon pull. Désormais je suis complètement a poil a part mes chaussettes. Elles par contre non pas quittés un seul habit a part la grande gigue dont les Vans grises sont restées sur la moquette pendant qu’elle inspecte ses pieds avec mes chaussures aux bouts coqués. Elles ont l’air de lui aller à ravir, il faut dire qu’elle est grande et que ça ne choque pas. J’ai comme l’impression qu’elle va vouloir les garder et je me dis que si c’est le prix à payer pour la baiser, tant pis, je repartirais avec ses vieilles Vans puisqu’on fait la même pointure.
Pendant ce temps la beurette a posé ses doigts froids sur ma bitte et s’applique à la chauffer un peu. Je sens mon asticot qui hésite puis doucement se met a redresser la tête. La petite salope me regarde dans les yeux avec un petit sourire, je souris moi aussi bêtement.
Je recommence à être bien chaud et mon corps se met à onduler. La brune me regarde froidement assise sur une chaise, ses pieds posés sur le lit.
La beurette se penche sur ma queue qu’elle prend à pleine bouche. Je pousse un petit gémissement de plaisir lorsque je sens sa langue passer sur mon gland. Visiblement c’est une experte !
Elle s’active comme une folle et je sens des ondes de plaisir me traverser. Ouahou quel pied ! Je ne sais même plus ou je suis, finalement c’est elle qui me baise me dis je, noyé dans le plaisir. Je pose mes pieds sur son dos, j’ai les jambes écartées, je me fait baiser en douceur sous les yeux des deux autres qui n’en loupent pas une. « Dommage que j’ai pas emmené mon god » dit la brune, « il aurait peut être apprécié que je le mette dans son cul ! ». Et elle n’a pas tort ! Finalement, je finis par me décharger dans un apex de plaisir, une jouissance terrible ou le sperme coule a flot sur le visage de la beurette qui le lèche a grands coups de langue en riant.
Je mets un bon moment à m’en remettre, je suis en nage et encore sous le coup de la jouissance. La beurette s’est écartée et je jette un œil sur les autres. La brune est en train de ramasser mes habits avec mon fric dedans. La grande gigue s’est levée et me regarde bien campée dans mes godasses.
« Voilà mon gros, ça t’a plu j’espère ? » me dit elle. « Maintenant on se casse et toi aussi ».
« Quoi ? » dis je en me levant menaçant. « Vous croyez pas partir comme ça avec mes affaires juste pour une pipe ? ».
Je venais a peine de finir ma phrase et la grande gigue était tout près de moi. Soudain sa jambe s’est détendue et une grosse Doc coquée vint s’écraser violemment sur mes couilles. Il y a 5 minutes c’était la jouissance extrême et la c’est son contraire le plus terrible ! Je tombe la tête en avant, comme une merde, atterrissant le nez sur les Vans de la fille qui étaient encore par terre. Bigre ! Au niveau odeur elle n’a rien a m’envier me dis je dans un spasme.
Ensuite elles s’y mettent a deux, chacune une jambe et me traînent hors de la pièce dans le couloir désert. Je n’arrive plus à bouger, j’ai trop mal. J’entends la porte qui se ferme a clef, les 3 salopes m’entourent et la dernière chose que je voit d’elles sont mes belles pompes coquées aux pieds d’une autre et qui s’éloignent dans le couloir.
Je reste a poil, avec juste mes chaussettes dans le couloir froid. « Et on baise quand ? » parvins je a crier avant qu’elles ne disparaissent
Une petite semaine plus tard, une fois mes couilles remises du choc, je décide de retourner faire un tour du coté du square ou j’avais rencontré mes nouvelles amies pour la première fois.
Je me place donc en poste et au bout d’une heure j’aperçois ma copine la beurette à l’horizon. Je la détaille de loin. Toujours habillée aussi pouffiasse, petit bustier noir qui met en valeur ses gros seins, jupe courte encore une fois, bas résilles rouges et toujours ses adidas superstar a bandes rouges.
Je m’approche d’elle, elle me voit et se force à rire.
– Tiens, tiens mais c’est petite bitte !
– Ouais, je crois qu’on a pas finit ce qu’on devait faire la fois dernière, non ?
– Ca t’a plus tant que ça ?
– Oui, surtout la première partie. Au fait c’est comment ton prénom ?
– Pour toi ça sera Rachida.
– Ok Rachida, ne me force pas à te traîner par les cheveux, tu vas me suivre jusque chez tes copines bien tranquillement histoire qu’on finisse en beauté.
Elle ne dit rien et on se met en route.
On arrive rapidement devant la porte de la piaule que je suppose être celle de la grande gigue qui m’a pris mes pompes.
On tape à la porte et je place Rachida devant le judas. On entend des pas approcher et quelqu’un regarde par le judas, puis la porte s’ouvre. C’est mon amie la grande gigue. Elle a peine le temps d’entrouvrir la porte que je balance un grand coup de pied dedans. Elle se ramasse le battant de la porte en pleine tronche et va s’étaler de tout son long 2 mètres en arrière, jusque sur le lit.
On entre avec Rachida et je ferme la porte a clef et garde la clef dans ma poche. Il y a aussi la grande brune de l’autre soir qui est assise sur une chaise et regarde placidement.
La grande gigue se tient le visage, visiblement je l’ai bien esquintée. Elle est affalée sur le lit et je la détaille pour mieux m’exciter. Elle porte une longue jupe noire et un tee shirt noir et oh surprise elle a mes Docs Martens aux pieds. Entre la jupe et mes Docs je distingue ce qui doit être des chaussettes rouges, peut-être des burlington. Tout ça m’excite bien…
Ok, elle a la bonne position sur le lit, le visage dans les couvertures et le cul pointé vers moi. J’arrive devant son postérieur et remonte la jupe par-dessus sa tête. Voyons voir, un string noir qui s’enfonce profondément dans la raie d’un cul ma fois plutôt gros, des grandes chaussettes (des Burlington effectivement) rouges qui montent jusqu’au dessus des genoux.
Les autres ne disent rien et attendent, parfait.
Je descend le string noir de la fille jusqu’aux chevilles en donnant une petite tape sur son gros cul.
– Ca va aller va !
Elle ne répond rien, elle a l’air groguie par le coup de porte dans la gueule.
Je défais la ceinture de mon jean, puis la braguette et exhibe mon sexe en érection, un sexe qu’elles connaissent déjà toutes les trois.
Et ma bite se dirige illico vers son anus. Au début il y a problème, soit qu’elle contracte trop le fion mais ça ne rentre pas. Alors je force un peu et la oh bonheur, je rentre ma queue a sec dans son trou. Elle a un gémissement de surprise dans les couvertures et je lance un sourire satisfait aux deux autres.
Rachida sourie (elle est pas si méchante que ça cette gamine) quant a l’autre elle fait la tronche et étend les jambes en croisant ses Converse bleue, les mêmes que l’autre fois.
Et je la ramone à grands coups de queue. Je prends mon panard pendant un bon moment comme ça puis je la retourne. Bigre ! Une grosse chatte bien poilue ! J’approche mon nez de la chose, une bonne odeur de mal lavée. J’y met un doigt histoire de voir et oh surprise ça mouille un peu. Elle doit y prendre plaisir la bougre !
Je regarde la brune sur sa chaise et l’appelle.
– Viens participer un peu tu veux !
Elle ne bouge pas alors je vais la chercher et la lève de force en la prenant par le bras.
Je la fais s’agenouiller entre les jambes écartées de sa copine et lui dit d’y aller a coup de langues. Elle commence très timidement, de la pointe de la langue elle touche les grosses lèvres de la chatte de sa copine qui se contractent comme un a****l. Alors je l’incite a y aller franco en lui collant le visage dedans. Les coups de langue deviennent plus vrais, au début les contours des lèvres puis petit à petit des incursions plus profondes à l’intérieur du sexe.
La grande gigue commence à pousser des gémissements de plaisir, visiblement elle rêvait de ça depuis longtemps. Je la vois prendre la tête de sa copine entre ses mains et écarter les jambes de plus belle pour que l’autre puisse mettre sa langue au plus profond.
Je demande alors a Rachida de lui enlever ses (mes) chaussures. Elle se dirige vers l’un des gros godillots et commence à défaire les lacets. Puis elle force un peu en tirant et la chaussure vient dévoilant un pied. Elle fait de même avec l’autre puis me tends les grosses chaussures bien odorantes.
– Ok, les chaussettes maintenant.
Elle s’exécute et fait glisser les chaussettes le long des jambes. Elle me les tend également.
Je met tout ça a portée de main et m’agenouille devant elle. Je glisse mes mains sous sa jupe et rencontre l’élastique des collants que je fait lentement descendre dévoilant ses cuisses puis ses genoux et se mollets. Puis je fais descendre sa petite culotte blanche en dentelles pour faire apparaître un petit sexe bien rasé avec des lèvres charnues.
J’approche mon visage et touche du bout de la langue. Puis je m’enhardis et enfonce ma langue dans sa fente. Le goût est délicieux et j’y vais à grands coups ne me lassant pas de sentir son liquide se déverser dans ma bouche. J’explore tous les recoins de sa chatte, elle a l’air d’apprécier au vu de la tête qu’elle fait.
Puis je la déshabille complètement, la laissant nue devant moi. Je lui demande alors d’enfiler les grandes chaussettes de sa copine et mes grandes pompes. Elle s’exécute. Mes chaussures doivent lui aller deux fois, elle nage dedans. Alors seulement je fais rentrer mon sexe en érection dans sa fente, y allant à grands coups.
On baise comme des forcenés, en deux minutes on est en sueur tout les deux, elle poussant des petits cris de plaisir. Je jouis brutalement à l’intérieur d’elle, laissant ma queue devenir molle.
Je jette un coup d’œil aux deux autres. Elles sont en transes elles aussi. Visiblement elles viennent de se découvrir gouines ! La brune (qui est un véritable canon !) a baissé son jean et sa culotte jusqu’à ses genoux et continue de lécher l’autre qui n’en peu plus de jouir. La brune a un cul magnifique et la peau mate.
Je laisse Rachida pour me diriger vers elle, et commence à délacer ses Converse. Je me retrouve avec ses shoes à la main, elle a des pieds minuscules pour sa taille. Je m’enivre avec l’odeur de ses chaussure puis lui retire ses chaussettes. Une fois qu’elle à les pieds nus, je commence à lui sucer les orteils, laissant ma langue passer entre les doigts. A un moment, elle quitte la chatte de l’autre et m’embrasse violemment. Sa langue a le goût de sa copine mais c’est pas désagréable. Je m’allonge à coté des deux et la brune commence à astiquer mon sexe pour le faire redémarrer. Il repart tout doucement, alors elle le met dans sa bouche un moment et le lèche. Et la j’ai sérieusement la trique !
Quand je sens que je bande bien, je me dégage d’elle et plonge ma bite dans le vagin de la grande gigue que je chevauche. Elle a un vagin énorme et j’ai l’impression que ma queue se perd dedans sans qu’elle s’en aperçoive. Mais a force d’activité intense et de coups de queue bien sentis elle commence à réagir. Au bout de 5 minutes elle devient carrément folle et je sens qu’elle jouis violemment sous mes coups de boutoir. Son corps se cambre et elle pousse un cri rauque de plaisir. Les vannes sont ouvertes et j’ai du liquide plein ma queue.
Quant a moi je ne jouis pas et me retourne vers la brune que je chevauche a son tour m’enfonçant dans son sexe. Et la c’est instantané et au bout de 2 minutes je lâche un jet de sperme en elle. Trop rapide, dommage.

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