Ma sœur et moi, nous avons mis au point un stratagème pour tenter de percer les secrets de nos parents ; Aude s’occupera de papa et pour ma part, je tenterai d’y voir plus clair avec maman.
Du même coup, nous décidons de partir, immédiatement, en campagne et nous nous sommes promis, Aude et moi, de faire le point, régulièrement, sur l’avancée de nos découvertes.
Très excité par cette nouvelle manière d’aborder les relations familiales, je me mets en quête de la vérité dès le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil.
Sachant que Nicole, ma maman, prend sa douche, en principe, 10 minutes après la mienne, je fais exprès de prendre plus de temps qu’à l’accoutumée. Et la pensée de provoquer Nicole suffit pour me faire bander sous la douche…, mais attention à ne pas brûler les étapes…, je dois attendre encore un peu…
Quelques minutes plus tard, alors que mes pensées s’envolaient vers Aude et la délicieuse scène d’hier, je commence, lentement, à me caresser le sexe, en imaginant Aude entrain de me sucer. Alors que ma masturbation bat son plein, j’entends la porte de la salle de bain. Ni une ni deux, je sors de la douche comme si de rien n’était…, et me voilà nu comme un ver, le sexe fièrement dressé…, en face de ma mère, elle-même, vêtue d’un court peignoir non attaché et, par conséquent, ne cachant rien ou presque de son anatomie.
Je remarque que l’effet de surprise sur ma maman est total, à tel point qu’elle n’arrive pas à articuler un son et ne pouvant détacher son regard de mon sexe toujours au garde-à-vous.
« Excuse-moi ma p’tite maman, je suis désolé, je ne voulais pas te faire peur… !
‒ Mais, mais…, je n’ai pas peur, c’est juste que…, euh…, ma foi…, je ne m’attendais pas !
‒ Tu n’attendais pas, à quoi ?, lui fis-je, non sans employer un ton mi-provoquant, mi-enfantin… !
‒ Ben, à te voir comme ça… !
‒ Me voir comment ?
‒ A te voir nu, pardi ! Maintenant vas-tu arrêter avec tes questions ? »
Je la sens un peu agacée…, certainement en raison du trouble qui doit l’habiter en ce moment. Car, plutôt que de m’enrouler une serviette de bain autour de taille, je me suis approché de maman et, pendant que je me penche pour lui susurrer quelque chose dans l’oreille, je fais bien attention de faire reposer mon sexe durci contre le haut de son ventre, différence de taille oblige
« Maman, je ne voulais pas te fâcher… Regarde, pour me faire pardonner, je te fais une grosse bise… ! »
Et je m’exécute aussitôt et lui dépose un doux baiser sur sa joue, à la limite de la commissure de ses lèvres et en la maintenant fermement avec mes bras autour de ses épaules pour éviter qu’elle ne fuie le contact avec mon sexe.
Je sens bien que maman est désarçonnée par ce qui se passe dans sa salle de bain… J’ai même dû la soutenir pour qu’elle ne tombe pas. Et j’ai préféré en rester là, pour ce matin, non sans lui avoir fait une petite tape amicale sur les fesses en lui criant, en rigolant :
« Je t’adore, maman chérie, à plus, pour le petit déjeuner… ! »
Alors que je suis en grande conversation avec ma sœur (papa s’est levé aux aurores et n’est déjà plus dans la maison), voilà que Nicole nous rejoint…, une trentaine de minutes plus tard. Qu’a-t-elle fait pendant ce temps ? D’habitude, maman est beaucoup plus dynamique et quinze minutes lui suffisent, généralement, pour se préparer. Il faut dire que maman ne se maquille que très peu, elle dit toujours qu’elle préfère le contenu, à l’emballage…, ce qui, dans son cas, est tout-à-fait pertinent.
Mais ce matin, je vois bien qu’il y a quelque chose qui cloche et nous n’avons pas besoin d’attendre longtemps avant qu’elle nous dise qu’elle ne se sent pas très bien ce matin, qu’elle ne va donc pas aller travailler. Maman est architecte d’intérieur et peut compter sur sa principale collaboratrice, Nadine, une « vieille fille » de quarante ans qui est compétente en diable, dans tous les domaines à ce qui se dit dans la ville…
« Qu’est-ce qu’il y a maman ? Tu es malade ?, fis-je, innocemment.
‒ Je crois que quelque chose m’est resté sur l’estomac ! »
Fait-elle allusion à mon sexe posé sur son ventre ? À ce stade, je n’ose pas encore trop la provoquer, surtout en présence de ma sœur à qui j’avais déjà tout raconté.
« Ecoute maman, dit Aude, si tu veux, je peux rester avec toi…, ce matin, je n’ai pas cours… ! »
Voilà Aude qui marche sur mes platebandes. Qu’a-t-elle derrière la tête ?
« Je crois que maman a besoin d’être seule ce matin, si l’on a quelque chose sur l’estomac, il faut se soulager avant tout… !
‒ Tu as totalement raison mon chéri, je voudrais rester seule ce matin, en espérant pouvoir me soulager le plus rapidement possible ! »
Ma réponse aussi ambigüe que celle de maman déclenche, à mon plus grand étonnement et néanmoins avec beaucoup de satisfaction, une œillade complice de ma génitrice.
Dans la tête, je m’entends crier « Bingo » ; je crois que maman et moi sommes sur la même longueur d’onde…
Alors que Nicole est allée se recoucher en raison de son « état », je profite de mon tête-à-tête avec Aude pour lui faire part de mon courroux…
« Pourquoi t’as voulu rester auprès de maman ? On avait dit que je m’occuperai de maman et toi, de papa !
‒ Oh la-la, qu’est-ce que tu es susceptible…, je n’ai proposé ma présence à maman que par charité d’âme… !, me glisse-t-elle, d’un ton espiègle…
‒ Ta charité d’âme…, laisse-moi rire… c’est plutôt ta libido qui te guide, ma sœurette ! »
Je me lève de table, aussitôt et, en passant derrière elle, je me penche par-dessus son épaule et, tout en lui écartant son t-shirt pour voir sa jolie petite poitrine, je lui colle un baiser dans le cou, puis regagne, en courant, ma chambre.
« Voyou !, me crie-t-elle Je t’aurai… ! »
Quelques minutes plus tard, me voilà en route pour la fac… Je n’ai pas congé. Et franchement, de laisser Aude, seule avec notre délicieuse maman, j’ai peur qu’elle n’en profite.
La journée se déroule de manière bien monotone à la Fac…Les filles me semblent bien insipides lorsque je les compare à ma sœur et à ma mère. Je n’ai qu’une pensée en tête, regagner au plus vite notre maison familiale.
C’est donc en courant depuis l’arrêt du bus que j’arrive à la maison, tout essoufflé. En poussant la porte d’entrée, je me retrouve nez à nez avec ma sœur Aude…
« Alors, frérot…, on s’est dépêché, on s’ennuyait de sa maman…, ou de sa sœur ?
‒ De maman, bien sûr…, parce que toi… ! », répondis-je en utilisant un ton sarcastique pour provoquer, délibérément, ma sœur.
J’ai su que ma réplique avait atteint son objectif lorsque Aude me colle un baiser des plus tendres, forçant le passage de mes lèvres avec sa langue, puis se retirant tout aussi subitement.
« Et maintenant ?
‒ Mais bien-sûr que je m’ennuie de toi aussi… ! »
Et à mon tour de lui rendre son baiser, qu’elle accepte avec le plus grand des plaisirs…, mais qu’il ne faut pourtant pas prolonger au-delà du raisonnable, si l’on veut éviter d’être pris sur le fait par nos parents.
Je suis impatient de savoir ce qui s’est passé aujourd’hui, entre maman et Aude… Je propose à ma sœur d’aller faire un brin de causette et nous nous retrouvons de facto dans la chambre de ma sœur, après avoir pris la précaution de bien fermer la porte. Même qu’Aude la ferme à clé. On n’est jamais assez prudent.
Elle commence à me raconter que maman avait effectivement manifesté le désir d’être seule et qu’elle avait respecté ce souhait. Elle était donc retournée au lit, mais n’avait pas fermé sa porte complètement. Aude, qui se doutait bien de quelque chose, puisque je lui avais raconté l’épisode de la salle de bains ce matin, s’était approchée de l’embrasure de la porte et observait maman, couchée sur son lit, en culotte, en train de feuilleter une revue qui n’avait rien à voir avec « Sciences & Nature »… Maman se caressait, visiblement, pendant sa lecture, passant sa main dans sa culotte. Au bout d’un moment, le recours à la revue devenu inutile, maman s’était positionnée sur le dos, ce qui était beaucoup plus confortable pour se caresser.
Aude continue son récit, mais une lueur inhabituelle dans ses yeux me laissent penser qu’elle n’est peut-être pas restée aussi sage qu’elle voulait me le faire croire. Pour en avoir le cœur net, je demande à ma sœur :
« Et alors, tu n’as même pas profité pour la surprendre ? L’occasion aurait été belle de te rapprocher d’elle, non ?
‒ Tu ne crois pas si bien dire… !
.. En effet, pendant que maman jouait avec son clito, tout en se caressant les seins, le plaisir éprouvé lui fit crier ton prénom ! »
« Oh Marc, oh Marc, oui, j’ai envie de ta belle queue ! »
Du coup, Aude s’était précipitée vers sa maman.
« Maman, qu’y a-t-il, tu as appelé Marc ?
‒ Euh, non…, peut-être en rêvant alors !
‒ Et à quoi rêvais-tu ?
‒ Ecoute Aude, ce n’est pas facile à t’expliquer… !
‒ Maman, ne t’inquiète pas, Marc m’a tout raconté ce matin, sa sortie de la douche, le trouble que cela a provoqué en toi, le contact de son sexe sur ton ventre !
‒ Comment ça ? Il te raconte tout… ?
‒ Et bien plus encore…, même qu’il m’a laissé entendre que tu lui plaisais énormément et que si tu n’étais pas sa mère, il y a longtemps qu’il t’aurait… !
‒ Quoi, qu’il m’aurait quoi… ?, fit-elle, impatiente.
‒ Ben, tu sais très bien, qu’il t’aurait baisée comme jamais !
‒ Mais, ce n’est pas possible, je suis sa mère !
‒ Précisément, c’est ce qui le retient… !
‒ Ecoute, Aude, ne parle pas de cette conversation à ton père, ni à qui que ce soit… Puis-je compter sur toi ? »
Et comme le silence est d’or, dit-on, maman a gratifié Aude d’un tendre baiser sur les lèvres, sans que cette dernière n’en profite pour autant.
« Et bien, tu vois, frérot…, pas la peine de s’inquiéter, je n’ai pas couché avec maman avant toi et cette pseudo retenue qu’elle manifeste vis-à-vis de toi, ce n’est que roupie de sansonnet… Je le voyais bien dans ses yeux. Comme si sa pupille avait même la forme de ton sexe !
‒ Là, tu me charries un peu, non… ? »
‒ Pour la pupille en forme de sexe…, oui ! Mais au fait, à quoi il ressemble ton sexe ? »
Joignant le geste à la parole, Aude glisse subitement sa main sur mon entrejambe et s’apprête à tâter le terrain comme l’on dit…
« Aude, que fais-tu ?
‒ Rien, nigaud… ! Je vérifie si tes arguments seront suffisants pour dévergonder maman !
‒ Alors, si c’est pour la bonne cause… ! »
Je ne sais pas ce qui me prend sur l’instant, mais je me lève précipitamment, décroche le bouton de mon jeans, je descends lentement la braguette, je repousse, à la fois, mon jeans et mon boxer sur mes pieds ; mon sexe se trouve à la hauteur du visage de ma sœur qui, visiblement, s’est délectée du spectacle.
« Vu comme ça, ce n’est pas terrible… ! Tu peux faire mieux ?
‒ Ben, il me faudrait une vision un peu plus érotique… ! »
Cette fois, c’est Aude qui se lève et qui enlève son chandail sous lequel, sa poitrine – petite et ferme– est confinée dans un soutien-gorge en dentelles, du plus bel effet.
Nous sommes face-à-face. Je m’approche et l’embrasse- tendrement- en déposant d’abord mes lèvres sur les siennes, puis en faufilant ma langue au travers. La magie de notre premier baiser est à nouveau là, ce qui me provoque, immédiatement, une érection du plus bel effet et qui est remarquée de suite par ma sœur qui prend l’engin en mains, puis l’agite d’un mouvement de va-et-vient aussi doux que caractéristique. Elle n’est évidemment pas à son coup d’essai.
Très troublés par cette situation, ni Aude, ni moi ne prenons d’initiatives. Au bout de 2 à 3 minutes, je me risque, enfin, à dégrafer son soutien-gorge pour libérer deux magnifiques seins, surmontés d’une aréole de petite dimension de laquelle émerge le mamelon dressé. Les tétons de ma sœur, je vous jure, sont, tout simplement, divins. Je ne pense plus qu’à les prendre en bouche, à les sucer, les mordiller, les pincer…, et visiblement, ma sœur adore ça, si j’en crois ses gémissements. Même qu’elle a arrêté de me branler…, trop prise par son plaisir. Peu m’importe, je prends mon pied en m’occupant de ses seins, que je caresse, que j’embrasse, je ne m’en lasse pas, mais j’ose, simultanément, glisser ma main sous sa jupe et me retrouve à lui caresser ses fesses, à même la peau. Ma coquine de sœur, à mon grand étonnement, ne porte pas de culotte. J’entreprends d’effleurer son sexe, totalement épilé et cet abricot est tout ce qu’il y a de plus juteux. Je prélève un peu de cyprine sur mon index que je fais sucer à Aude. Elle s’en délecte.
« J’ai trop envie de toi, frérot !
‒ Moi aussi, Aude !
‒ Prends-moi, comme tu veux ! »
Encouragé par cette invitation que je n’imaginais pas arriver si tôt, je lui enlève sa jupe, puis, je lui fais comprendre de se mettre à genoux.
« Suce-moi maintenant, fais-moi jouir avec ta bouche ! »
Elle n’en demande pas tant. La voilà qui s’empresse d’enfourner mon sexe dans sa bouche. Le contact de la chaleur et de l’humidité de son orifice buccal m’arrache un rugissement de plaisir. Sentir sa langue jouer avec mon gland, tout en me branlant d’une main experte m’amène à ressentir un plaisir intense à tel point que je ne pourrai pas résister longtemps à ce traitement.
Ma sœur s’en aperçoit, d’ailleurs, très rapidement, mes soubresauts attestant de l’évolution de mon excitation.
« Attends un peu, pas si vite… ! Ne jouis pas encore… ! »
Ne voulant pas me montrer trop égoïste, je la soulève par les aisselles, la fais pivoter. D’elle-même, Aude se penche en avant, prenant appui avec ses bras sur le bord de la commode, ce qui a pour effet, non seulement de m’exciter royalement, mais de me présenter son sexe et son petit orifice de manière tout à fait éloquente.
À mon tour, je me penche et me mets à lui embrasser tendrement ses fesses, un globe après l’autre, puis j’effleure délicatement son anus, non sans tenter, au passage, de presser ma langue dans son petit trou. À peine a-t-elle le temps de réaliser ce qui lui arrive que je continue ma plongée en direction de son sexe, dont l’odeur m’attire irrésistiblement. Une odeur d’amande épicée, mêlant douceur et acidité mélangée. Je bande comme un chameau.
Pour mieux profiter de sa chatte, je m’assieds, dos contre la commode, ma bouche et ma langue peuvent alors donner la pleine mesure de mes talents linguistiques. Ma sœur, d’ailleurs, n’y résiste pas et à peine ai-je eu le temps d’exciter son clitoris qu’elle connaît son premier orgasme, intense et long. Elle m’enserre le visage entre les cuisses comme pour me supplier d’arrêter de la lécher, tellement le plaisir est intense.
Au premier signe de relâchement, je me libère. Je me lève et me place derrière ma sœur. En m’abaissant légèrement, je présente mon membre à l’orée de son sexe, humide. Aude est encore toute tremblante, encore quelques spasmes bien marqués, mais elle trouve la force de s’empaler sur mon sexe en reculant légèrement. Non, je ne rêve pas, mon sexe dans celui de ma sœur. Dieu que c’est bon ! Je commence à bouger, doucement, faisant coulisser ma bite jusqu’au fond de son vagin.
« Vas-y, plus fort, Marc, défonce-moi ! C’est trop bon avec toi ! »
Du coup, je propulse mon bassin en avant, violemment, ce qui a pour effet d’arracher un cri de plaisir de ma petite sœur qui répond à mon assaut, par un mouvement rapide de sa croupe. Elle monte, elle descend, c’est elle qui imprime le rythme de notre union… Cette fois, c’est moi qui n’y résiste pas. Je me répands en elle, en quelques giclées de foutre bien chaud, ce qui déclenche le second orgasme pour ma sœur. Aude est aux anges et je l’accompagne, sans que je n’aie plus aucune retenue morale quelle qu’elle soit… C’est trop bon.
« Aude, merci…, je suis un frère comblé… ! »
Chapitre 3, à suivre.
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