lu sur le net
La religion occupait une place de choix dans ma vie, Depuis des générations, ma famille s’est consacrée à l’oeuvre,
C’est dans cet environnement que j’ai rencontré l’homme qui deux années plus tard, allait devenir mon époux, De notre mariage sont deux adorables enfants, J’étais comblée,
Mais avec les années, la passion qui nous unissait a finit par s’effriter, Mon mari m’a délaissé et il était rare que nous ayons des rapports sexuels dans le mois, De plus il entretenait une relation secrète avec ma meilleure amie, F mariée à un autre pasteur de notre église,
J’ai découvert leur tromperie en les surprenant en plein ébat dans son lit, Je passais la voir pour une petite visite improvisée. Le gardien qui me connait bien m’a fait entrer et installer dans le salon. La télé était allumée, donc elle devrait sortir d’un moment à l’autre. Mais vingt minutes plus tard, C ne venait toujours pas. Craignant qu’elle fût malade, je suis montée la voir dans sa chambre. Parvenue dans le couloir, j’ai été attirée par des gémissements entrecoupés de râles et soupirs. Je sus immédiatement qu’elle était entrain de faire l’amour. Sachant que son mari était en voyage, mon coeur a fait un bond. En dehors de ses apparences puritaines, C était infidèle. Elle n’a pas attendu plus de vingt quatre heures après le départ de son mari pour le tromper. Son amant semblait la prendre avec une telle ardeur à voir comme elle gémissait et hurlait de plaisir. La porte étant entrouverte, j’ai risqué discrètement un oeil dans la chambre, Placée en levrette, les fesses tendues, elle offrait gracieusement ses fesses à un homme dont je ne distinguais pas le visage, la pièce étant plongée dans une semi obscurité. Ils ont changé de position, se plaçant sur le côté. Le profil et la corpulence de l’amant me rappelaient vaguement ceux de mon mari. De plus en plus intriguée, je suis restée sur place pour en avoir le coeur net. De l’autre côté, les gémissements et râles se sont multipliés pour finir dans un long feulement. Ils venaient de jouir. Un instant après, on alluma et là, comme je le craignais, je reconnus mon mari. Je me suis effondrée, incrédule. Le monde s’est écroulé autour de moi. N’arrivant pas à surmonter ma peine, je suis restée là devant la porte à pleurer ma douleur. Mes sanglots ont attiré leur attention. Ils se sont précipités dehors sans se couvrir. Je me suis ruée sur mon mari pour le rouer de coups de griffes, et comble de l’ironie, C est intervenue pour le défendre, essayant de m’immobiliser. Je me suis débattue comme une folle, mais à deux ils ont eu raison de moi. H s’est rhabillé et a foncé, me laissant plantée dehors, hors de la propriété de C. Elle ne semblait éprouver aucun regret pour sa trahison.
J’ai déambulée comme un automate jusqu’à la maison. H m’attendait tranquille au salon. Je me suis mise à pleurer en le voyant. Puis ce fut le noir. Je m’étais évanouie. A mon réveil, Je me suis retrouvée dans le lit. J’ai appelé une cousine et avec les enfants nous nous sommes rendus chez mes parents. Ma décision était prise, j’allais divorcer.
Pendant une année, j’ai vécu seule avec mes enfants dans une villa offerte par mes parents. Contre toute attente, le mari de C ne l’a pas répudié et je sus par des amies qu’elle continuait de plus belle son aventure avec mon ex mari.
La vérité s’était révélée à moi de la façon la plus horrible. Dépitée, j’ai abandonné toute activité religieuse.
Un soir en allant faire des courses au supermarché, j’ai croisé J un ami de longue date. Nous avons discuté et il sut tout de ma nouvelle situation. Il m’a proposé de sortir, j’acceptai sur le champ, n’ayant plus de contrainte.
On s’est rendu, le jour venu dans une broîte de nuit de la ville. C’était une découverte car ce genre d’endroit m’était interdit car propice au vice et à la dépravation. De plus je me sentais gauche avec ma tenue de bonne femme alors que les autres étaient vêtues si courtes, si moulantes que faillis en perdre la tête, n’ayant jamais imaginer pareille chose.
Nous avons dansé d’abord décemment, puis après les multiples verres d’alcool, je me suis éclatée. J dansait avec moi d’une façon bien surprenant, me serrant, me caressant, m’embrassant dans le cou; on aurait pensé que nous faisions l’amour. Mon désir si longtemps en sommeil s’est éveillé instantanément. J’étais vraiment excitée et j’avais envie de faire l’amour. J m’a ramené dans notre divan et m’a fait assoire sur ses cuisses. Tout en me parlant, il m’a caressé les jambes et remonta lentement vers les genoux, puis les cuisses. J’étais en feu, le corps envahi par de douces ondes enivrantes. J m’a embrassé sur la bouche et nous avons échangé un long baiser, le premier après deux ans d’abstinence. Sa main a glissé sous ma jupe, remontant vers mon ventre. J’ai sursauté quand il toucha la chatte. Je mouillais comme jamais. J m’a déculotté jusqu’à mis cuisse et a repris ses caresses profondes. Ses doigts sont rentrés en moi. J’ai jouis
Ensuite, il a dégagé sa bite en ouvrant sa braguette et m’a fait assoire sur son pénis. J’étais tellement fermée que le membre entra difficilement en moi. Bien empalée comme j’étais désormais, il m’a demandé de bouger lentement sur lui en balançant les hanches d’avant en arrière. Le résultat a été fulgurant, inattendu. J’ai jouis intensément, ne parvenant pas à contrôler le flux qui déferlait en mon corps. J’étais en feu, ivre de plaisir. J me baisait sans relâche. Vers la fin, je jouissais si fort que je me suis mise à pleurer. C’était simplement irréel, envoûtant.
Nos ébats a dû attirer l’attention car sortant d’un ultime orgasme, je remarquai que tout le monde nous regardait. J’ai prié J de me faire sortir de là.
Il m’a ensuite emmené chez lui. Et toute la nuit, nous avons baisé.
Le plus délicieux restait à venir.
Il m’a invité un autre jour en me promettant de nouvelles sensations fortes. J’ai attendu ce jour avec impatience.
J. est venu me chercher un dimanche matin vers 10 heures. J’étais habillée comme il le souhaitais très court et moulant. Nous avons échangé un baiser avant de démarrer vers le lieu de notre rendez vous, une villa juchée sur le flanc de la colline surplombant la ville. Un homme, le propriétaire des lieux, est venu à notre rencontre. Il s’appelait W et était un ami intime de J. Il m’a enlacé et m’a embrassé sur la bouche, une minute environ. Lorsque je me suis dégagée, confuse, je vis J sourire. Dans quel piège m’avait il entraîné ? Rejoignant son ami, ils m’ont pris par la taille pour m’entraînant dans la maison. La table basse était couverte de champagnes et de la musique passait en sourdine. On s’est installé dans le divan, les deux hommes à mes côtés. J’étais de plus en plus émoustillée par cette ambiance. Ils me caressaient tendrement en me faisant boire énormément.
Sentant que j’étais détendue, ils se sont mis à me caresser, plongeant les mains dans ma culotte et mon soutien gorge, me couvraient de baisers torrides. Après une minute, j’étais entièrement dénudée, incapable de résister. J’étais livrée à leur bon vouloir. Ils se sont déshabillés et ont présenté leurs sexes contre ma bouche. Je les ai sucé du mieux que je pusse, n’ayant jamais caressé un homme de cette façon. Mes hommes fouillé toutes mes orifices; j’étais doigtée de partout, dans la chatte, le cul et la bouche. W m’a fait allonger et m’a pénétré. Il était aussi bien doté que son ami J. J’ ai hurlé sous ses saillies puissantes. Je suçais J pendant ce temps. Puis, ils m’ont fait me mettre en levrette et cette fois, J me prit par derrière de la façon la plus ravageuse. Ses coups de boutoirs me faisaient crier comme une folle.
Les hommes m’ont baisé sadiquement des heures durant que vers le soir, je ne puis plus marcher. J’étais exténuée, ivre de plaisir et épuisée. J’ai dû passer la nuit en leur compagnie. J’ai connu la nuit la plus éprouvante de toute mon existence. J’ai été baisée, sodomisée. Je me suis évanouie de nombreuses fois de plaisir qu’à la longue, je sanglotais, ne sachant plus si c’était de douleur ou de plaisir.
Ma vie a complètement changé. Après cette journée, je ne pouvais plus me contenter d’un seul homme au lit. Je ne trouvais mon bonheur que dans les partouzes.
Un jour au sortir d’une soirée, mon ex -mari me découvrit à moitié ivre, dans les bras de deux hommes qui ne se privaient pas de m’embrasser en public. Il eu un choc qu’il a foncé sur mes amants pour les rouer de coups. Ils se sont battus un moment pendant que je gisais sur le sol. M’étant réveillée quelques temps plus tard, je me suis retrouvée dans le canapé du salon de mon mari qui pleurait à chaudes larmes, se sentant responsables de ma décadence. Le pouvoir de l’amour a été le plus puissant. Par son seul regard, un déclic s’était produit en moi. Je réalisai que ma vie avait pris un virage, un tournant irréversible.
Nous avons passé la nuit enlacés comme lors de nos jours de bonheur. Nous avons eu une longue discussion au terme de laquelle il réalisa que je ne pouvais plus faire marche arrière. Je n’étais plus la douce épouse fidèle, décente et entièrement dévouée à mon mari et ma famille. Une autre femme m’habitait désormais, une femme assoiffée de sexes, d’hommes et d’aventures.
Ajouter un commentaire