Comme la veille et l’avant-veille, Josie entreprit son numéro de séduction envers le jeune barman tunisien qui nous apportait les trois apéritifs du soir. Elle l’aida à décharger son plateau en lui jetant une œillade langoureuse et, un sourire coquin aux lèvres, elle posa les verres sur la table basse en lui offrant une vue plongeante de sa poitrine lourde et laiteuse nichée dans les broderies d’un soutien-gorge en dentelle rouge. Le mari de Josie semblait ne rien remarquer, plongé qu’il était dans la préparation de la visite du musée du Bardo de Tunis qu’il avait envisagé pour le lendemain après-midi. Moi, j’avais compris depuis trois jours qu’on prenait l’apéritif ensemble que son épouse n’était pas venue dans ce palace de thalasso seulement pour faire disparaître son petit ventre rond, qui tendait sa robe chatoyante très décolletée et très courte.
Josie, après vingt ans de mariage, avait visiblement envie d’ouvrir une petite parenthèse exotique dans sa vie conjugale. Elle continua son numéro de séduction comme d’habitude en profitant de l’inattention de son époux pour décroiser les jambes .Elle voulait offrir au barman une vue panoramique sur deux cuisses musclées assez ouvertes , volontairement, pour laisser entrevoir une petite culotte de dentelle, assortie au soutien-gorge. Moi, assis en face d’elle, je bénéficiais aussi du spectacle mais j’étais très conscient que celui-ci ne m’était pas destiné. Le regard blasé et indifférent du jeune employé de l’hôtel ne la décourageait pas, Josie continuait de lui lancer son regard de braise en espérant que peut-être ce jeune mâle lui accorderait ses faveurs en lui arrachant fougueusement la petite culotte qu’elle découvrait si impudiquement. Visiblement ma modeste personne ne l’intéressait pas, peut-être parce que j’avais une dizaine d’années de plus qu’elle… Josie préférait surtout avoir une discrète aventure extra conjugale portant l’ estampille « sentant bon le sable chaud. » Moi je la laissais à ses douces illusions car, de par ma connaissance du pays, je savais qu’elle n’avait aucune chance. Mon entreprise multinationale m’envoyait souvent en Tunisie pour programmer ou installer des robots-machine-outils utilisés dans l’industrie textile délocalisée dans ce pays charmant. Je savais donc que, dans les palaces de la côte, comme dans tous les pays à vocation touristique, le personnel ou les gigolos professionnels du pays abandonneraient les allemandes couvertes de bijoux pour une gazelle française, seulement si la gazelle avait moins de vingt ans…
Elle me plaisait bien Josie : assez courte sur pattes certes mais une poitrine bien ronde et ferme, les jambes galbées et musclées, une belle croupe rebondie, un visage toujours souriant avec de belles joues enfantines et surtout une joie de vivre exubérante qui tranchait avec la morosité chronique de son mari. On avait sympathisé très vite, d’abord parce qu’on était les seuls français à prendre l’apéro et qu’ils s’étaient vite rendus compte que ma connaissance du pays pouvait les aider à organiser leurs excursions et leur éviter les achats asiatico-tunisiens réservés aux touristes. En outre, j’étais très content d’avoir la compagnie d’une compatriote qui, certes, ne me considérait que comme un charmant compagnon de rencontre, mais dont la joie de vivre me faisait oublier les tracas de ma vie familiale et sentimentale pas du tout brillantes en ce moment. Après trente-cinq ans de mariage et des centaines de prises de bec de plus en plus violentes, mon épouse avait déménagé chez un couple de filles homosexuelles de nos amis en attendant le divorce. Ma fille avait abandonné ses études pour rejoindre une communauté qui vivait en kolkhoze bio machin au Larzac et, encore une fois, mon fils avait fait une connerie…. Ce cher enfant, alors que son épouse sortait quasiment de maternité, s’était fait surprendre par cette dernière en train de prendre en levrette, dans la cuisine, une dame complètement à poil qui hurlait son plaisir accrochée à l’évier en grés. Cette grande andouille de fils m’avait envoyé comme médiateur auprès de sa charmante épouse. Ce pleutre avait simplement oublié de m’informer que la dame à laquelle il rendait hommage dans la cuisine était la mère de son épouse, donc sa belle-mère, qui avait soudainement eu envie d’égayer un veuvage trop pesant. Bref, pour moi, rien n’allait mal !
Josie me tira de mes sombres pensées en me faisant part de son intention de ramener un authentique tapis artisanal pour son salon. Ça tombait bien car j’avais invité à souper le jeune ingénieur tunisien responsable de la maintenance de nos machines. Une lueur lubrique illumina le regard féminin quand Ahmed se pointa. Très timide, il fut complètement déstabilisé quand Josie entama son numéro de séduction habituel : Un regard envoûtant, des jambes qu’elle n’arrêtait pas de croiser et de décroiser pour faire admirer leur galbe, le buste penché en avant pour ouvrir un décolleté généreux…. Bref, Ahmed eut droit à la totale et, comme il semblait troublé, Josie lui assuma le coup de grâce en s’enfonçant dans son fauteuil et en ouvrant carrément son entrejambes pendant que son époux était parti commander une autre tournée . La petite culotte épousait parfaitement l’imposant renflement pubien et, comme aspiré, le tissu s’enfonçait dans la fente de la chatte sur quinze bons centimètres. Josy ignorait que dans la culture de certains pays il était peu convenable de garder sa pilosité féminine… Ce qui fait qu’elle ne comprit pas du tout pourquoi Ahmed détourna poliment son regard (horrifié certainement par l’abondance des poils bruns et frisés qui s’échappaient allègrement du triangle de tissu rouge).
Josie ne se découragea pas pour autant et, en aparté, m’expliqua comme à un vieux confident, qu’elle serait ravie qu’on dîne ensemble à fin de faire plus ample connaissance . Le repas se passa fort bien, Josie se montra drôle et exubérante. Trop directive cependant, elle n’arrivait pas à convaincre mon collègue tunisien ( un gros peu traditionaliste sur la place de la femme dans la société ) de l’emmener visiter une petite fabrique de tapis dont la tante d’Ahmed était propriétaire. Josie insista alors grossièrement pour que je fasse partie de l’équipée. Elle avait senti que le jeune cadre, reconnaissant, ne ferait rien qui puisse me fâcher. (Ahmed avait en effet avoué à table, que je l’avais sorti d’un beau pétrin en n’informant pas sa direction qu’en fait, le robot avait refusé carrément la mauvaise programmation du jeune tunisien inexpérimenté)
On termina la soirée sagement dans la boite de nuit du palace en dégustant du thé vert. Josie apprenait le twist à Ahmed, moi je parlais mosaïque romaine avec son mari tout en observant. Trois ou quatre jeunes éphèbes cherchaient une proie argentée parmi les nombreuses allemandes venues, sans leur mari, faire une cure de thalasso avec leurs copines. Du twist on passa au rock et, les danseurs firent un cercle autour d’un couple d’allemands surprenant, en les encourageant par des applaudissements. La dame avait la cinquantaine, son époux aussi mais il était sur un fauteuil roulant et faisait virevolter sa partenaire tout autour de lui dans une chorégraphie bien réglée. Ils eurent beaucoup de succès mais, ce qui attira mon attention, c’est l’attitude provocatrice de l’infirme. Il regagna sa table en traversant la piste, un regard malsain et un rictus vicelard enlaidissait son visage. Pendant tout le trajet il caressa grossièrement et sans pudeur les fesses de son épouse au vu de tout le monde. Je fis part de ma mauvaise impression à Josie qui se moqua de mon imagination trop fertile. Pourtant, elle fut la première à reconnaître le bien-fondé de mes impressions. Dans le fond de la salle, près de notre table, le fauteuil roulant de l’infirme tournait le dos au public mais son épouse faisait face à la piste. Elle repéra très vite deux jeunes accoudés au bar et, adressa quelques mots à son mari qui approuva d’un bref mouvement de tête. Ensuite, elle attendit que les jeunes regardent dans leur direction et, à notre stupéfaction, la sexagénaire écarta les deux pans de sa longue jupe indienne. Elle découvrit entièrement ses deux jambes gainées de bas noirs et les écarta ostensiblement avec une perversité qui se lisait sur les traits de son visage. Elle resta ainsi une dizaine de secondes avant qu’un des deux gigolos ne se décide à les rejoindre. Debout, il écouta l’invalide dont la main gauche agitait discrètement une grosse coupure de banque. L’épouse semblait complètement blasée et indifférente à cette situation que moi je jugeais surréaliste. Le jeune hésitait encore, alors elle tira complètement un pan de la jupe indienne et dévoila la trace blanche, non bronzée, du bas d’un maillot de bain qu’elle ne portait plus. Elle fit même semblant de se caresser, pour le narguer, en lui lançant un regard provocateur et méprisant à la fois. Josie choquée par ce marchandage de néo-négrier m’entraîna manu militari sur la piste pour la série de slow baveux. Elle se montra franchement amusée que je teste manuellement, dans la pénombre de la piste, la fermeté de son fessier et l’arrogance moelleuse de sa poitrine, à cinq mètres de son mari, inconscient de la frivolité de sa moitié.
Le lendemain, après le repas de midi , pendant que la rondelette française visitait les métiers à tisser et filmait les bédouines qui officiaient, la tante d’Ahmed nous conduisit dans une petite pièce avant de rejoindre sa cliente. Sans me demander mon avis, alors que je m’asseyais sur un pouf en cuir, Ahmed alluma le narguilé et lança une cassette de musique arabo-andalouse très lancinante. En tirant la première bouffée, je me rendis compte que le mélange n’était pas habituel : Normal puisque Ahmed, croyant me faire plaisir, avait ajouté quelques brindilles d’herbe magique… C’est à ce moment que la tante du tunisien ouvrit la porte et s’introduisit dans la pièce en compagnie de sa cliente et d’un superbe tapis artisanal. La tunisienne était si ravie d’avoir fait affaire, qu’elle entama quelques pas de danse orientale rythmée sur la musique langoureuse. Elle invita Josie qui tirait, par curiosité, une longue bouffée de la pipe à eau, à l’imiter. Ma copine, me demanda de filmer cette leçon improvisée de danse du ventre, en me tendant sa caméra numérique. La tante d’Ahmed, me somma tout de suite d’arrêter car elle venait d’avoir une idée lumineuse.
Les deux femmes disparurent dix minutes et, je dus me frotter les yeux car, une Josie inattendue, déguisée en danseuse de tripot, réapparut sur la piste. Ses seins volumineux s’agitaient dans un soutien-gorge d’un vert fluorescent parsemé de centaines de paillettes dorées. Une large ceinture assortie au soutien-gorge retenait une longue jupe de voile pailleté d’or . La taille très basse de la ceinture contenait un ventre bien rond orné d’un faux diamant très brillant dans le nombril. Avant de reprendre son cours de danse, Josie me supplia de filmer ces instants historiques. Quand la vielle tunisienne nous quitta, la française se débrouillait déjà assez bien.
Encouragée par nos applaudissements, avec un sourire ambigu, elle transforma la danse orientale en danse plus que sensuelle en nous invitant à la rejoindre sur la piste moelleuse du tapis berbère qui recouvrait le sol. Bien entendu, Josie savait très bien ce qui ne manquerait pas de se passer vu le regard coquin qu’elle nous lança. Ahmed et moi, commencâmes à lui tripoter ses gros nichons en faisant disparaître le soutien-gorge pailleté. Elle joua un peu les vierges effarouchées en s’échappant quelques secondes mais cela décupla nos instincts de primates car, elle continuait de se dandiner, ses longs bras ondulant au-dessus de sa tête, et ses gros nichons libérés de toute entrave tournoyant, comme au ralenti, en apesanteur.
Pour la suite des événements, mes souvenirs sont plus flous, conséquence logique de mon inexpérience en herbe locale. Je me souviens quand même que des mains masculines fébriles s’étaient immiscé sous les voiles et l’avaient débarrassé, en même temps, du bas de la tenue et de sa petite culotte. Josie, complètement nue, sous nos supplications lubriques, avait alors consenti à continuer de danser. Ses mouvements de hanches devinrent provocateurs :Sa chatte velue suivait les saccades d’une pénétration simulée. J’ai encore le souvenir très brumeux de Josie, allongée sur le tapis, qui nous faisait remarquer gentiment, qu’elle appréciait qu’on s’occupe de ses seins mais qu’elle aimerait beaucoup qu’on la caresse partout, partout… Alors on tint compte de ses observations et elle s’en montra ma foi fort satisfaite. Une fellation fougueuse nous remercia de tous nos efforts. La française était une grosse gourmande et elle avalait notre sexe avec beaucoup d’enthousiasme en l’emprisonnant dans sa petite main qui coulissait divinement sur nos membres moites. D’après mes souvenirs, ce fut elle qui organisa le bouquet final. Josie sortit même de son sac une broîte neuve de préservatifs (aventurière, mais prévoyante). Elle invita Ahmed à s’allonger sur le tapis et, comme si elle avait géré cette situation régulièrement, Josie s’enfila sur le gros sexe tunisien en s’accroupissant. Ahmed, sur ses injonctions, commença à limer cette charmante touriste qui posa les genoux à terre et commença à pousser de petits cris de bonheur en agitant son bassin pour que la pénétration soit plus aisée. Moi, affalé sur les poufs, j’attendais naïvement mon tour, tétant la pipe à eau, entretenant manuellement la raideur de mon sexe. Je fantasmais sur une double pénétration possible de notre partenaire à la croupe si épanouie.
Je me souviens parfaitement avoir essayé de me relever pour passer à l’acte mais…. Le grand trou noir…. plus de son, plus d’image…Une coulée d’eau glacée dégoulinant sur mon visage me fit refaire surface. Ahmed m’avait rhabillé sommairement et Josie, en tenue de ville, un seau vide à la main se foutait ouvertement de ma tranche déconfite. Le narguilé à l’herbe magique avait anéanti tous mes espoirs de stupre et de fornication !
Le retour du bus d’excursion fut tardif et, le mari de Josie se pointa à notre table, avec un paquet cadeau et un couple de Suisses âgés avec lequel il avait sympathisé. Je faillis m’étrangler quand Josie ouvrit le cadeau de son gentil cocu de mari car, il s’agissait d’un superbe ensemble prévu pour la danse orientale. Il suggéra même à son épouse adorée de l’essayer dès ce soir, avec des sous-entendus grivois concernant le devoir conjugal… Ce qui n’enchanta pas du tout du tout Josie.
On soupa tous ensemble, le couple suisse était sympa et Josie dut faire un compte-rendu très éludé de son après-midi en évoquant le narguilé mais, en omettant la danse du ventre qui avait dégénéré dans la luxure. Le vieux touriste suisse en profita alors pour me demander de l’initier au fonctionnement d’un narguilé qu’il avait acheté dans les souks, la veille, pour épater ses amis de Lausanne. Son épouse, un peu plus jeune que lui mais ,qui devait quand même assumer une petite soixantaine, insista pour que cela se passe le soir même car elle savait mon retour en France proche.
Alexandra, c’était son prénom, était élancée et mince. Elle portait des fringues griffées, de luxe, notamment une jupe DIOR d’un blanc immaculé, longue fermée latéralement par une série de gros boutons turquoise. Madame devait être très aisée car, manifestement, elle avait fait un lifting qui lui tirait un peu trop les joues. Sa chevelure blonde et abondante était coiffée en chignon , agrémenté d’un gros nœud en tissu assorti aux boutons de la jupe. Alexandra m’inspirait le respect par sa distinction et sa retenue naturelle .Aussi me choqua-elle profondément quand la famille Josie s’éclipsa : Elle me chuchota alors que les deux tourtereaux avaient bien de la chance de pouvoir s’envoyer en l’air alors qu’elle, depuis la grave opération de la prostate de son dépressif de mari… Elle vivait comme une none, paraît-il, dans son petit village, sans voir personne depuis trois ans.
Cet appel du pied, Alexandra me le confirma clairement dans leur chambre : Quand le vieux pharmacien suisse se mit à préparer le narguilé en suivant mes instructions, son épouse se plaça à mes côtés. Comme tous les fauteuils étaient pris par les valises, je m’étais installé, debout, derrière le haut dossier d’un divan sur lequel monsieur déballait la pipe à eau. La main d’Alexandra mesura alors la musculature de mes fesses tout en entretenant la conversation avec son mari. Surpris et intimidé, je ne savais quoi faire. La Mamie me prit alors la main droite et elle l’introduisit dans l’ouverture située entre sa taille de guêpe et le premier bouton latéral de sa jupe. Alexandra n’avait pas froid aux yeux et, c’est avec un plaisir non dissimulé, qu’elle me laissa vadrouiller sur le satin d’une petite culotte très échancrée qui ne comportait pas d’élastiques latéraux mais, une bande des froufrous en fine dentelle .Dans la foulée, ma main passa sous le tissu et rencontra d’abord une toison clairsemée avant de s’attarder sur une fente déjà humide, hérissée de petites crêtes moelleuses. Alexandra resta même imperturbable quand je finis l’exploration, en lui enfonçant délicatement mon index dans son trou du cul.
C’est vers minuit qu’elle me rejoignit dans ma chambre et que j’entamais les préliminaires que je voulais longs et élégants. Alexandra éclata alors d’un rire distingué et, tout en déboutonnant son chemisier, elle déclara crûment qu’après un si long jeûne, elle espérait plutôt d’un français pas trop mal foutu, une bonne baise à la place du flirt poussé que j’avais ébauché…
Complètement nue maintenant, Alexandra joignit le geste à la parole en empoignant mon sexe à deux mains, et en m’entraînant sur le lit. Un écrivain avait avoué qu’il adorait les femmes mûres car on avait l’impression qu’elle faisait l’amour pour la dernière fois…. Il avait foutrement raison. Allongée dans la largeur du lit, la tête dans le vide, j’avais fait faire une demi pirouette arrière à ma partenaire pour que, debout, je puisse avoir accès à toute l’intimité helvétique. Alexandra savourait mes caresses et me donnait même des instructions pour que son plaisir soit complet. Ma bouche, ma langue, mes doigts se mirent au service d’Alexandra qui continuait à guider son amant sans aucune pudeur. Quand je reprenais mon souffle, alors elle s’agrippait à ma jambe pour remonter son visage et engloutir profondément mon sexe dans une fellation a****le. On arrêta l’exercice, d’abord parce que la mamie avait mal aux reins et ensuite parce que son partenaire était au bord de l’éjaculation.
Après un court entracte de récupération, j’enfilais Alexandra très lentement dans la position classique du missionnaire. Je commençais à accélérer mon rythme quand ma partenaire s’échappa sournoisement de mon emprise en prétextant que mon apothéose était loin de confirmer la réputation du french lover. La suite des événements fut si rapide que je n’ai pas eu le temps d’être choqué. Tout en m’expliquant que sa retraite sexuelle forcée l’avait contrainte à visionner quelques films cochons et qu’elle ne voulait pas mourir idiote, Alexandra sortit de son sac un flacon de liquide après bronzage. La septuagénaire que je croyais BCBG, m’enduisit le membre et me pria de préparer la lubrification de son petit trou ridé d’un ton très naturel. Elle posa au sol les deux oreillers, s’agenouilla, appuya sa tête en biais sur les oreillers et ouvrit largement ses cuisses , son petit cul bien tendu vers l’infini (« à la portée des lapins .. ») .Madame était prête à satisfaire sa curiosité… certes, un peu tardive !
Sur le parking de l’aéroport français, la voiture de mon fils m’attendait avec tous les emmerdements que j’avais réussi à évacuer quelques jours. Surprise, ma belle fille m’accueillit. Cette belle plante, d’un mètre soixante quinze, m’emmena déjeuner au Novotel pour qu’on cause … Ça démarrait très fort!
Elle avait réglé le problème de sa mère en la menaçant de ne plus revoir ses petits-enfants si elle ne trouvait pas, au plus tôt, un mâle de son âge, pour libérer sa sexualité exubérante. Mon fils, lui, avait droit à un cahier des charges assez impressionnant et non négociable. Le problème semblait avoir été réglé, d’une main d’acier, par ma belle fille dont je connaissais la force de caractère. En buvant le café, elle sortit une clé de chambre Novotel et l’agita, négligemment, devant mon visage qui exprimait l’étonnement. Ma belle fille m’expliqua avec une fureur contenue que mon cher rejeton l’avait profondément humiliée. Elle l’avait donc informé que son retour au domicile conjugal serait forcément précédé d’une partie de jambes en l’air avec le premier inconnu venu.
— Vous préférez attendre dans la voiture pendant que je choisis un de ces commerciaux qui me reluquent depuis une demi-heure ou bien…
Elle but son café paisiblement en laissant sa phrase en suspens.
— Ou bien préférez-vous assumer ma vengeance, au moins cela continuerait à se passer en famille, ce serait même un amusant retour des choses…non???
Alors qu’elle ouvrait la porte de la chambre, ma belle fille se retourna vers moi et m’annonça calmement :
— Soyons clairs, il ne s’agit pas d’une partie de touche pipi d’adolescents… je ne me considérais quitte que si la prestation de mon charmant beau papa s’avère satisfaisante… surtout verso… j’adore çà… personne n’est parfait n’est ce pas???…
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