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Nicola

Nicola



J’avais fait un voyage de trois semaines dans une superbe nature au Québec. Il s’était terminé par trois jours à Montréal que j’avais visité en vélo car c’était le début de l’été et l’air était doux. En me baladant j’avais vu plusieurs salons de massage qui bien que discrets affichaient leur vocation de lieu de détente. Il y en avait un grand, proche de mon logement chez l’habitant sur Christophe Colomb. Le dernier après-midi ma valise pour le voyage de retour du lendemain matin étant bouclée j’étais un peu désœuvré et je décidais d’aller voir de plus près comment ça fonctionnait.
La porte franchie on était dans un hall d’accueil avec un comptoir et une jeune femme au look d’une vendeuse banale vint m’expliquer que les massages étaient pratiqués par des masseuses qu’on pouvait choisir sur un catalogue. Il y avait deux tarifs avec jacuzzi ou avec douche et la durée était d’une heure en tarif de base. Elle précisa les prix et rajouta que ce n’était pas du massage médical et que les relations sexuelles étaient prohibées. Elle me tendit un catalogue assez épais où sur chaque page il y avait un prénom deux photos de la masseuse qui dit-elle avaient toutes été formées.
Je feuilletai et vit surtout de grandes filles pulpeuses à la peau claire, bien nourries comme le sont souvent les nord-américaines et dont les pseudos correspondaient : Barbie, Ava, Lena. Il y avait aussi une chinoise, une haïtienne, une cubaine, une métisse afro-américaine et une bolivienne. « Toutes ne sont pas là en même temps mais je vous dirais si vous choisissez » précisa-t-elle. Je n’étais pas emballé en plus c’était un peu cher pour une fin de vacances. A la fin du catalogue je vis une fiche au nom de Nicola avec des photos d’une jeune femme brune, petite, bronzée, peu maquillée et qui avait un regard franc et coquin. Je regardai de plus près et vis qu’elle n’avait quasiment pas de poitrine. J’hésitai à poser la question car on aurait pu penser qu’il s’agissait d’un jeune-homme efféminé. La vendeuse lu dans mes pensées car elle dit « Nicola est ici un prénom féminin, cette jeune-femme vient juste de commencer à travailler avec nous, elle est disponible sur vous la souhaitez ». Banco je réglai pour une heure avec douche. On me fit quitter mes chaussures qui durent rester à l’accueil et la vendeuse m’emmena dans un grand couloir. Il y avait plusieurs salles de massages des deux côtés. Elle me fit entrer dans une grande pièce qui avait une douche, une table de massage, un fauteuil, une musique douce en fond sonore, peu de lumière et une déco très kitsch.
Nicola me rejoignit aussitôt. Les photos ne mentaient pas. Elle était agréable à regarder, menue, nue sous un court peignoir soyeux qui lui descendait juste sous les fesses. Je ne pus m’empêcher, dès que nous eûmes échangés nos prénoms et un bonjour souriant d’ouvrir son peignoir. Et c’était bien vrai, elle n’avait pas de seins mais juste des tétons pointus et bruns qui semblait interpeller. Elle avait le pubis lisse. Je me mis à bander aussitôt. Nicola me conduisit à la douche et me dit « voilà une serviette je vous attends près de la table ». Elle avait une voix très douce et souriait des yeux.
Je la rejoignis assez vite en me séchant. Elle me fit signe de m’allonger en précisant « sur le ventre ». Elle me pratiqua en suite un massage avec huile, assez bien fait, mais je sentais la débutante peu sûre de sa pratique. Lorsque je fus sur le dos elle continua par les épaules les bras. Je la questionnai sur sa vie. Elle se confia avec simplicité. Elle travaillait comme caissière mais avait besoin d’argent pour entreprendre des études d’infirmière. Elle faisait des massages pendant ses heures libres. Son copain, qui était facteur, avait accepté car il savait que la loi interdisait les pratiques sexuelles dans ce genre de salon. Et qu’en cas de plainte ou d’infraction le salon serait fermé sans délai.
Elle continua en me massant le torse, puis le ventre, les cuisses. J’étais nu et mon pénis avait une très fière érection mais cela ne la gênait par du tout. Elle continua par les mollets puis les pieds et doigts de pieds. Quand elle passa près de moi je mis ma main sur sa taille et lui dit « tu veux pas venir sur moi ». Elle me regarda en souriant et me dit « non ici au salon les rapports avec pénétration ne sont pas possibles. Mais des fois mes collègues prennent rendez-vous ailleurs».
Je la remerciais et lui dit « il nous reste du temps, moi aussi j’ai eu une formation de masseur, si tu veux maintenant c’est moi qui te masse ». Je me levai et lui indiquai la table avec la main. Surprise elle hésita puis me dit « pas de pénétration » et s’allongea.
Je lui fis rapidement un massage très tonique en malaxant bien les muscles et en passant sur l’ensemble de son petit corps. Je l’entendis gémir doucement quand je travaillais les muscles de son cou en lui massant aussi l’arrière du crâne, ou malaxais ses fessiers. Je passai ensuite à la phase douce en lui effleurant l’intérieur des cuisses, puis le dessous des fesses. Je la fis mettre sur le dos et lui caressai les tétons qui durcirent instantanément. Puis je massai doucement sa taille, son ventre et enfin son pubis. Elle laissait faire et semblait bien car elle écarta légèrement les cuisses quand je frôlais l’ouverture de son sexe. Je lui caressai les lèvres en descendant jusqu’à l’anus que je massai doucement. Elle écarta carrément les cuisses. Elle me regarda avec des yeux humides en me redisant « pas dedans ». Puis elle prit mon pénis en main et le branla doucement pendant que je m’activais sur son clito d’une main et sur ses tétons de l’autre. Elle pris son temps, laissa monter son plaisir lentement puis se cambra fortement en partant en une série de contractions des cuisses qui ne laissait pas de doute sur la v******e de son orgasme.
Moi je me suis masturbé en la regardant, assez content de moi car elle revenait très lentement dans son monde habituel. Elle avait bien plané. Elle me regarda me branler puis se souleva sur un coude en se tournant vers moi pour mieux me voir. Ses yeux de quittaient pas mon sexe qui semblait la fasciner. Elle introduisit deux doigts dans son vagin et se masturba en même rythme que moi. Quand j’ai accéléré, elle fit de même et nous avons joui ensemble mon sperme giclant sur son ventre musclé.
On a pris une douche ensemble. Une fois rhabillé, et elle en peignoir, elle se serra contre moi, se dressa sur la pointe des pieds et déposa un baiser sur mes lèvres en disant « tu es un chum qu’a du cœur, c’est triste que tu partes demain, on aurait pu se voir ailleurs pour approfondir ». Nous sommes partis d’un bel éclat de rire.
Le lendemain, dans l’avion du retour, je repensais à cette belle rencontre si incertaine dans ce lieu de plaisirs tarifés.

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