Je me présente karim, 35 ans marié à Farida 35 ans également il y a de cela, 10 ans. j’ai connu farida, quand nous avions 20 ans, elle venait de sortir avec mon ami d’enfance Hakim, lui avait 23 ans à cette époque, on s’entendait bien. Il venait d’emménager dans un petit deux pièces et m’avait demandé de lui donner un coup de main pour rénover son appartement. J’étais étudiant, et comme c’était les vacances scolaire, j’ai accepté, vu que je n’avais pas de travail, alors que lui travaillait, et n’avait que le week end pour bricoler, si bien qu’en semaine sa copine Farida, restait avec moi pour bricoler. et c’est ainsi que la chaleur aidant, elle se mettait en petite tenue, t-shirt sans soutif, débardeur, je voyais nettement la naissance de ses seins ainsi que les tétons qui pointaient à travers le t-shirt. je voulais en voir plus, et j’eus une idée lorsqu’on s’est retrouvé dans la salle de bain, j’ai ouvert exprès le robinet alors que le pommeau de douche était par terre, ce qui a eu pour effet de l’asperger d’eau sur quasiment tout le corps, laissant ainsi apparaître ses beaux seins ronds à travers un t-shirt transparent par l’eau et des tétons rosés pointant, me faisant bander d’un seul coup, ses yeux se sont tout de suite dirigés vers mon érection qui ne pouvait se dissimuler sous le fin tissu de mon bermuda, surtout que je ne portait pas de slip ni boxer. voyant cela, elle a pris le pommeau et m’a elle aussi aspergé en direction de mon sexe, qui maintenant se collait au bermuda.
Elle me dit :
– au point où on est, on peut tout retirer …
– heuu … t’es sûr ?
– bah quoi ? je n’en suis pas à ma première bite, ton copain est un bon coup je l’avoue, mais moi j’ai toujours faim, si ça n’était que moi, je m’offrirais à la population entière, sans honte.
A ces mots tout en enlevant mon bermuda, ma bite a doublé de volume. Elle en a été impressionnée. Et me dit :
– Waaaw! quel engin ! je peux toucher ?
– Oui bien sûr, mais, Hakim, ne va pas être content
– Si tu ne lui dit rien, il n’en saurait rien, sauf i tu es langue de vipère mais ce serait dommage, car tu ne pourrais plus profiter de moi
– Heu, oui tu as raison, je peux te toucher aussi ?
– Vas y, te gêne pas, ne sois pas timide.
J’ai empoigné ses seins, c’était la première fois que je touchais des seins, mais elle n’en savait rien, ce qu’elle savait, c’est que j’était maladroit, mais ce qu’elle aimait, c’était l’épaisseur de mon sexe, car celui d’Hakim est plus fin. Elle a osé me le dire, et m’avouer que c’est la première fois qu’elle en touche une grosse. j’étais tout content, même si je trahissais un peu mon ami.
Après avoir libéré ses seins et retiré son pantalon de bricolage, elle s’est retrouvée en string, c’était la nouvelle mode.elle s’est accroupie et a mis en bouche mon sexe bien raide, je n’ai pas mis longtemps à me déverser dans sa bouche. la salope, elle a tout avalé, elle me dit :
– Mummm! excellent, dommage un peu rapide, mais ça vaut le coup !
– je suis vraiment désolé d’avoir éjaculé dans ta bouche
– Ne le sois pas, j’aime le sperme, en bouche dans ma chatte et même sur mes seins, si un jour tu as juste envie de te branler sur mes seins, je le comprendrais, et je me laisserais faire .
– Vraiment! tu es géniale !
Par la suite, deux heures plus tard, étant tous deux nus, ou presque pour elle, je me suis approché derrière elle, pendant qu’elle était à demi penchée sur le mur entrain de le nettoyer, m’offrant ainsi ses fesses rebondies, j’y ai glissé mon sexe à demi tondu, sur la raie, ce qui l’a fait sursauter dans un premier temps, je me suis retiré mais, elle a repris sa position et a secoué ses hanches sur les côtés, me faisant un appel à recommencer, je me suis approché de nouveau, en y glissant mon sexe de bas vers le haut, et de haut vers le bas sur la raie. Elle me dit :
– Vas y continue, ne t’arrête pas, j’aime sentir la douceur de ton sexe sur ma rondelle et mon vagin.
Tout en disant cela, elle retira son string, me laissant découvrir une belle chatte poilue, j’en avais jamais vu de près, le plus souvent dans les films porno, elles sont toutes épilées. Donc, je continue mon manège et là j’ai senti, qu’elle en mouillait vraiment, j’ai poussé un peu le gland, j’ai senti un frémissement et elle a reculé de façon à s’auto pénétrer, j’ai senti une chaleur m’envahir au niveau du sexe, et une sensation agréable dans les va et vient de ses fesses car j’étais resté figé face à ce spectacle qui s’offrait à moi. je n’ai pas tenu longtemps, en moins d’une minute, je me suis entièrement déversé en elle. Elle était un peu déçue, mais ravie de cette nouvelle approche avec moi. Car depuis ce jour, bien qu’elle vivait avec Hakim, je lui appartenais. j’étais devenu son objet sexuel. les travaux ont duré tout le mois de juillet.
Je dormais chez eux, pendant toutes les vacances juillet aout, nous faisions régulièrement l’amour, le soir, elle dormait avec Hakim mais ils ne faisaient rien, car rassasiée pour elle, et fatigué de la journée de travail pour lui. Il ne restait plus que le week end pour eux, je les entendais, la salope, se lâchait beaucoup plus avec lui qu’avec moi, et ça durait plus longtemps, il était vraiment un bon coup, même s’il avait une petite bite. Je me masturbais en les écoutant.
Quelques mois passèrent, avec une routine installée, j’allais souvent chez eux me vider les couilles avant que Hakim ne rentre du boulot, mais arriva ce qu’il devait arriver.
C’était un vendredi après midi, je n’avais pas cours, Farida non plus car étudiante, nous nous sommes retrouvés dans son appartement, et c’est sous la douche que nous faisions l’amour, j’avais fini par apprendre à maîtriser mon éjaculation. C’est alors que la porte de la douche, s’ouvra. Hakim était rentré plus tôt que prévu. Leur chef, leur a donné l’après midi. C’était une première pour lui. Il nous a surpris en pleine action. Rage de colère, il s’est mis à crier :
– Non ! Ce n’est pas possible ! tu couches avec mon meilleur ami ? et toi, tu couches avec la femme de ma vie ? j’avais entièrement confiance en vous deux, depuis quand couchez vous ensemble ?
Nous sommes vite sortis de la douche, et nous nous sommes rhabillés aussi vite qu’on a pu. Et il continu :
– Sortez d’ici, je ne veux plus vous revoir tous les deux !
Farida, éclata en sanglots, coupable de l’avoir trahis, moi je ne savais quoi faire, je suis parti, j’ai essayé de consoler Farida, mais elle a préféré s’effacer dans son studio d’étudiante, il ne me restait plus qu’à retourner chez mes parents. Jusqu’au jour où ma mère m’annonçait qu’une certaine Farida, voulait prendre de mes nouvelles …
A suivre.
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