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Odile

Odile



Odile, 50 ans, vivait à l’extérieur de la ville dans une petite maison. Son mari est parti dès qu’elle eut son deuxième enfant. Dès que Antoine et François eurent 14 et 16 ans, la mère de Odile, Renée, 69 ans, vint vivre avec eux trois dans la maison minuscule.
Odile n’avait pas d’emploi et vivait d’aide sociale. Elle avait un problème, elle était un peu attardée mentale, mais les services sociaux ne s’en étaient pas aperçus.
Les deux garçons allaient au collège et avaient de brillants résultats. Ils dormaient dans leur chambre car la deuxième était occupée par Odile et Renée.

Les discussions concernant le sexe n’avaient aucun cours à la maison. Les deux garçons apprirent à l’école les mystères du sexe. Un soir, ils ramenèrent une cassette vidéo qu’ils installèrent dans leur magnétoscope de leur chambre et regardèrent un film porno. Ils en profitaient pour assouvir leurs fréquentes pulsions normales à leurs âges en se branlant de concert dans leur lit.

Mais un soir, Odile pénétra dans la chambre pendant le spectacle, croyant ses enfants devant un film normal pour ramener le linge propre dans l’armoire. Elle vit les deux sexes de ses enfants pointant vers le haut et leurs regards fixés sur l’écran. Elle regarda à son tour et vit une femme faisant l’amour à un homme.

François, le plus âgé prit rapidement la parole :
Maman, tu nous déranges !
Pardon…dit-elle.

C’est la première fois qu’elle voyait les sexes de ses enfants en érection.
Ca vous plaît de regarder ce genre de film ? demanda-t-elle.
Mais oui, répondit Antoine, ça détend…

François eut une idée derrière la tête :
Tu veux me branler, maman ?
Tu crois qu’une mère doit faire ça à son fils ?
Mais oui, maman, toutes les mères à l’école branlent régulièrement leurs fils…
Ah bon ?
Mais oui, dit François, viens poser ta main sur mon zizi…

Ne sachant que faire, Odile s’approcha du lit de son fils et s’assit sur le côté, à hauteur de son corps et tournant le dos à la télévision.
Tiens, prends ma bite dans ta main, sens comme elle chaude…

Effectivement, la queue de François en main, Odile sentit la chaleur s’en dégager. Elle commença un court va et vient sous le regard bienveillant de son fils. Le bruit des bracelets entourant son poignet rythmait la course vers le plaisir.
Continue, je sens que je vais venir et après, je vais pouvoir dormir…

Soudain, ce fut l’explosion, le sexe de François se contracta et cracha trois longs jets dont un vint s’écraser sur le visage de sa mère. Finalement elle était satisfaite d’avoir donné du plaisir à son fils aîné. Elle changea de lit et vint s’asseoir à côté de Antoine :
Tu veux la même chose ? demanda-t-elle.
Oui, maman, s’il te plaît.

De nouveau, elle branla la queue de son autre fils et l’amena à l’éjaculation.
Quand ce fut fait, elle s’essuya le visage et embrassa ses deux enfants. François coupa le film et ils s’endormirent ravis.

Durant un mois, tous les soirs, alors que Renée attendait dans le salon, Odile branlait ses deux enfants. Mais un soir, ils demandèrent plus :
Maman, est-ce que tu pourrais nous branler en top less ?
C’est quoi top less ?
Les seins nus, maman…
Mais pourquoi les seins nus ?
C’est plus excitant…

Odile enlevant son pull par-dessus la tête, ainsi que son tee-shirt et son soutien gorge et mis sa grosse poitrine à jour. Pour les deux ados, c’était la première fois qu’ils voyaient les seins de leur mère se balancer sous leur nez. Ils n’étaient pas fripés, blancs mais pendaient un peu. Les auréoles étaient plus beige et les bouts tous petits disparaissaient dans les auréoles.
Odile s’approcha de François et en lui saisissant le sexe bandé le branla doucement, faisant tinter ses bracelets. François, ne tenant plus, saisit avec sa main droite le sein gonflé de sa mère. Il le malaxa sous son regard interloqué :

Que fais-tu ?
Je te touche les nibards du temps que tu me branles, maman, c’est plus excitant ! Je peux ?
Oui, si tu veux…répondit Odile.

Elle entendit un froissement de drap derrière elle et sentit une autre main lui empaumer l’autre sein. Il s’agissait de Antoine qui venait lui aussi réclamer son dû. Odile se tourna et vit le sexe en érection de Antoine qui brillait attendant lui aussi sa caresse. De sa main libre, elle lui attrapa son vit et le branla à son tour.

Regarde les bouts ! Dit François à son frère. Ils grossissent, ils sont énormes !
C’est vrai ! dit Antoine. On te fait pas mal, maman ?
Non, non, les enfants…

Odile sentait une douce chaleur au fond de ses reins se réveiller. Le fait de se faire triturer les seins par ses enfants alors qu’elle-même les branlait, réveillait une douce plénitude. Soudain, une langue se posa sur un mamelon trituré et Odile se tordit de plaisir, alors que François lui aspirait goulûment son sein droit. Puis se fut au tour de Antoine, et la pauvre femme se retrouva avec deux bouches entrain de lui bouffer les seins. Elle leva les yeux et vit le film de cul qui passait à l’écran et une femme qui se prenait une double pénétration et semblait avoir le visage figé sur une prière muette de souffrance. Sa chatte mouillait comme une fontaine et le feu commença à sourdre dans son antre de plaisir.
Elle ne pouvait plus lutter. François la coucha en travers sur le lit. Il lui fit descendre son pantalon de survêtement aux chevilles. Il lui agrippa sa culotte couleur chair et lui fit faire le même chemin. La chatte touffue maternelle voyait le jour sous les regards des deux ados. François posa la main sur le vagin et sentit la chaleur humide à travers les poils. A son tour, Antoine caressa l’abricot de sa mère, glissant un doigt entre les lèvres brunes. La sensation de l’intérieur du sexe rose le fit frissonner.
Odile, se rendant compte que cette situation singulière commençait à lui échapper, souffla :
Doucement…Il ne faut pas…
Tu es tellement belle, maman, dit Antoine.

Antoine sentait la chaleur de cette chatte et cela le rendait fou. Il se pencha et posa sa langue sur ses lèvres intimes et les aspira comme il faisait pour ses seins. Odile se cambra et laissa échapper un cri. Mais elle laissa ses jambes ouvertes pour que l’adolescent poursuive cette caresse. Elle continuait de le branler et sentait cette queue vibrer. Elle ne voulait plus à présent que cela s’arrête, son corps réclamait un orgasme.
François se mit au niveau de la tête de sa mère et l’enjamba. A genoux, il glissa sa queue entre les deux gros seins et la fit coulisser en les serrant fermement. Il voyait la langue de son frère écarter les lèvres intimes et la sève lui couler dans la bouche.
C’est bon ?
C’est une fontaine, lui répondit son frère.
Ooooh ! Mes enfants, qu’est-ce que vous me faîtes ?…. Soyez gentils, arrêtez…

Mais Odile ne voulait plus qu’ils s’arrêtent, elle sentait poindre son orgasme et les caresses des deux ados l’amenaient ostensiblement vers son désir immédiat le plus cher.
François frottait son membre dur entre les deux globes laiteux et marbrés de traces rouges et brillants de plaques de salives. Il sentait entre ses pieds la tête de sa mère osciller de droite à gauche. Il prit les deux bouts de seins et les torsada entre ses doigts, lui arrachant des gémissements.
Puis, n’y tenant plus, il se pencha en avant et dirigea son sexe bandé vers sa bouche. Il tâtonna un peu et força doucement les lèvres pour enfoncer son gland dans la bouche. Une chaleur brûlante envahit son sexe :
Oooooooh putain ! dit-il.

Antoine leva la tête et vit le sexe de son frère déformer la bouche de sa mère. Il faisait de petits va et vient pour ne pas l’étouffer. A son tour il se redressa et vint coller son gland à l’entrée de la vulve maternelle. Il poussa d’un petit coup de reins et s’enfonça délicieusement dans cette grotte humide et brûlante. Il sentit le corps de sa mère se tendre sous la pénétration et crier un « Oh ! » d’étonnement, mais il continua jusqu’à ce qu’il soit au bout. Il regarda son frère qui lui sourit, ce dernier s’étant couché sur le côté et se servant de la bouche de sa mère comme d’un sexe. Elle referma ses jambes derrière le dos de Antoine.
Odile fermait les yeux, elle ne savait plus où elle en était. Des ondes de plaisir arrivaient de partout. Elle venait de réaliser que son enfant avait enfoncé son sexe dans le sien, qu’il la baisait et qu’elle aimait ça. Elle ne savait plus si c’était mal ou non. Ce ne devait pas être mal puisque elle en avait du plaisir. Mais elle n’arrivait plus à réfléchir tellement elle goûtait ce moment là.
Plus un homme ne l’avait touchée depuis plus de dix ans en raison de sa laideur et ce sont ses enfants qui lui faisaient redécouvrir les plaisirs charnels de la vie.
Et cet orgasme arrivait comme un train lancé à l’assaut de ses faibles résistances et lui fit perdre connaissance dans une explosion d’étoiles. Elle s’entendit crier mais elle ne crut pas à ça venant d’elle. Son corps se détendit, elle se sentait comme dans du coton, son premier orgasme depuis un bout de temps.
Ses deux enfants accueillir eux aussi cet orgasme avec joie, preuve que leur mère était comme toutes les autres et pouvait profiter de la vie.

On tourne ? demanda François.

Elle fut mise à quatre pattes par terre, François se rapprocha d’elle par derrière et glissa son sexe dans le vagin bouillant. Il s’enfonça jusqu’au bout sans que sa mère ne bronche. Il envoya ses mains en avant et commença la cavalcade en pétrissant ses seins.
Antoine, s’allongea par terre et se fit sucer son sexe en érection.

Des grognements, des cris et des claquements de peau sortaient de la chambre des enfants. Renée, qui était assise dans le canapé du salon entendait tous ce qui se passait dans la chambre, étant à moins de cinq mètres des protagonistes.

Dans la chambre, Odile avait mal à la mâchoire à force de sucer :
Je ne peux plus sucer, j’ai trop mal ! dit-elle en retirant le sexe d’Antoine de sa bouche.
C’est pas grave, maman, dit Antoine, je me finirai dans ta chatte…
Oui, si tu veux…

François n’en finissait pas de s’enfoncer dans ce vagin soyeux et humide. Il sentait venir la jouissance et se retira. Il s’approcha du visage de sa mère, du temps que son frère prenait sa place, et gicla en de longs jets en criant de joie.

Antoine ne fut pas bien long lui non plus à venir et sous les hourras de son frère et de sa mère, il gicla sur le cul bombé maternel.

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