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Au jardin.

Au jardin.



Je me plains sans cesse que le fouet de Maîtresse Wanda ne soit pas assez mordant. Toute nue sous mon peignoir ouvert, des pinces aux tétons, je l’emmène au jardin pour la faire s’exercer sur le tronc d’un arbre. Son fouet claque enfin comme il faut.
Dans mon dos, je ne vois pas la voisine qui regarde en souriant par-dessus la clôture.
Wanda lui fait signe de faire silence. Elle me dit :
– A toi maintenant !
Tout content, j’ôte mon peignoir et elle me lie les mains derrière le tronc, puis me bande les yeux.
Elle s’approche de Bernadette et lui propose en chuchotant de nous rejoindre et de participer.
– Mais qu’est-ce qu’il va dire ?
– Il ne saura pas si tu ne dis rien !
Wanda va lui ouvrir, lui explique que j’aime être fouettée et comment, lui donne le fouet court. Elles me rejoignent en silence. J’attends. Tout à coup, je reçois une gifle.
– Tu es prête ?
– Oui Maîtresse, de tontes vos forces, s’il vous plaît.
Ça commence par ma poitrine, je sens qu’elle veut faire sauter les pinces de mes tétons. Ah, ça va les faire délicieusement souffrir.
Elle fait signe à Bernadette en désignant mon sexe. Alors je reçois quelques coups directement sur ma bite et même mes couilles. Je hurle.
– Silence, lopette. Tu veux ameuter le voisinage ?
Puis c’est de nouveau l’attente tandis que Wanda offre le café à Bernadette.
– Alors, tu as vu comme mon mari est masochiste.
– C’est incroyable, je ne connaissais pas ça !
Wanda lui explique que j’ignore qu’elle a un amant et qu’ils voudraient partir en weekend.
– Ça te dirait de t’en occuper ? Tu sais c’est une parfaite femme de ménage.
– Ben, je ne saurais pas trop comment faire.
– Je peux t’expliquer en détail. Tiens, la liste des choses qu’il, ou plutôt « elle » me demande. Parce qu’en plus, il aime être féminisé. Et regarde.
Wanda lui passe des vidéos où je suis fouettée toute nue, où je fais le ménage en boniche, où je me pisse dessus bouche ouverte, où je suce une petite culotte.
– Ça m’excite ! Mais quel salaud dégénéré ! Et tu crois qu’il m’obéirait ?
– Alors là, aucun problème. Il suffit de le piéger pour un chantage.
– Et puis il faudrait que j’en parle à André. Mais ça me plairait beaucoup !

Le lendemain, Wanda me lie tout nu au même arbre.
– À tantôt, Solange. Médite sur ton esclavage.
Elle s’approche de Bernadette et chuchote.
– Tu en as parlé à André?
– Il ne dit pas non mais il veut en savoir plus.
– Amène-le, je vais lui parler.
Ils arrivent ensemble.
– Bonjour André. Bernadette t’a expliqué ?
– Oui, mais je n’y comprends rien.
Wanda lui demande s’il serait d’accord que Bernadette et lui s’occupent de l’esclave.
– Oui, mais il y a Odile !
C’est leur fille de 17 ans.
– Oh, tu sais, elle est pas mal délurée depuis le Cap d’Agde, fait Bernadette.
– Oui mais lui montrer « ça » !
– Vous savez, elle nous a déjà vus à l’œuvre, dit Wanda. Je l’ai aperçue qui se cachait pour observer. Je lui ai fait un clin d’œil et elle m’a souri.
– Bon, si vous êtes sûres toutes les deux. Mais, et moi la dedans ?
– Ne t’en fais pas, tu seras son Maître autant que ta femme sa Maîtresse.

Pour commencer, Elle branche sur la TV une clé USB que j’ai archivé.
Dossier photos : une série qui me montre dans toutes mes tenues, en boniche, en soubrette, en lingeries et toute nue, gros plan sur mon pubis rasé, maquillage, perruques.
Puis les vidéos : urinant accroupie dans un verre que je bois, m’introduisant le gode, m’en masturbant, m’installant aux cordes, séance de masturbation, léchage de petite culotte, puis fouet et cravache. Au jardin dans les orties. Faisant les travaux ménagers en boniche, marchant perchée sur mes escarpins à talons aiguille. Et sur ordre, prendre ma position d’attente : toute nue, jambes très écartées, mains à la nuque. Puis la même pose à genoux.

– C’est incroyable, je n’en reviens pas, fait André.
– Allons la retrouver. Tu vas voir qu’il aime ça, et que ta femme sait y faire. Mais faites silence, je veux lui ménager la surprise.
Elle commence par me gifler.
– Alors esclave, comment veux-tu le fouet ce matin ?
– Bien fort, s’il vous plaît Maîtresse. Encore plus qu’hier si possible.
Cette fois, c’est Bernadette seule qui inflige le fouet, avec beaucoup de force. Elle fait sauter les pinces de mes tétons puis vise ma poitrine, mes flancs et mon sexe sur lequel elle s’acharne méchamment de quelques coups de badine.
– Ça te suffit Solange ?
– Ouf oui, merci beaucoup Wanda, vous êtes une merveilleuse Maîtresse.
Ils rentrent au salon.

– Ça va, cette fois je suis convaincu, dit-il.
– En pratique, comment on fait alors ? demande Bernadette.
– Voila. Chaque matin à 6H, elle va se promener toute nue dans les orties et elle pose ses vêtements sur la clôture. Tu la filmes discrètement quelques jours pour être sûre puis samedi tu confisques ses vêtements, tu lui claque un grand coup de fouet, puis le chantage de tout révéler. Et tu la fais venir chez toi.
– Tu es sûre que ça marchera ?
– Certaine. D’ailleurs avant de partir, je lui rappellerai qu’elle a l’ordre d’obéir sans discuter à toute femme, et à tout qui l’appelle Solange. Maintenant, je vous ai fait une copie de la clé USB et de son contrat d’esclave. Il y a tous les détails de ce qu’elle aime subir. De plus, voici une clé de la maison. Si elle se montrait rétive, André pourrait venir la contraindre, mais je sais que ce ne sera pas nécessaire.
–Tu es d’accord André?
– Oui, je crois qu’on va s’amuser.
– Encore une chose, fait Wanda. Il ignore aussi que j’ai un amant. Tu lui diras que je suis avec lui et que je t’ai chargée de s’occuper d’elle. On viendra la récupérer dimanche après-midi. D’ici là, traitez-là en esclave, en femelle. J’aimerais la voir couverte de belle traces rouges. Et toi André, si tu pouvais la dégrossir en pute, par exemple lui faire sucer ta bite, ça me rendrait service.
– OK, et bon weekend alors ! fait André.

Rentrés chez eux, ils se repassent les images. Puis lisent mon contrat, discutent de mon incroyable besoin de souffrir et d’être humiliée. Ils se remémorent une séance de domination à laquelle ils ont assisté les vacances dernières au Cap d’Agde. C’était public et bien plus soft. Et Odile s’en était beaucoup amusée.

A SUIVRE…

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