Je prends la plume sur les conseils de mon mari. Je suis Isabelle, trente-cinq ans, 1,67 m, 49 kg. Brune et très sexy, je porte rarement une culotte. Mon mari vous a raconté nos vacances (LA n° 4817, Couples n° 206). C’est vrai que j’ai pris un pied du tonnerre, surtout lors de la triple vaginale, où je suis tombée dans les pommes. Je n’en suis pas restée là. Avec l’accord de mon mari, je me fais défoncer par les amis de mon beau-père. Ce dernier est au courant et il regarde les vidéos et les photos que ses amis ont faites de moi.
Je leur sers de vide-couilles et j’en suis ravie. Ils m’emmènent très souvent dans les deux sex-shops de Dijon, et ils m’offrent à des inconnus de tous âges et de toutes races. Ensuite, ils s’amusent avec moi chez l’un d’eux. La dernière fois, Luc, soixante-quinze ans, m’a dit : « Viens ce soir, j’ai une bonne surprise pour toi ! »
Durant la journée, j’étais dans tous mes états. Le soir venu, mon mari a tenu à m’accompagner. Luc nous a ouvert, nu, et a dit à mon mari : « Jean-Louis, il faut la laisser prendre son plaisir, car elle nous a dit qu’elle se gênait devant toi ! » Mon mari m’a dit : « Ma chérie, fais comme si je n’étais pas là ! » Il est allé s’asseoir et m’a laissée avec Luc dans la salle. En plus, il y avait Jean-Paul et Robert. J’ai appris par la suite que Marcel, le père de mon mari, était caché dans une pièce à côté. Je crois que si son fils n’avait pas été là, il m’aurait défoncée avec les autres.
Luc m’a dit : « Ma petite salope, on t’a trouvé deux étalons avec des bites de vingt-cinq centimètres sur sept. Tu peux refuser mais ce serait dommage. En plus, il y en a un autre avec une bite normale, mais très vicieux. Il veut te fouiller la chatte et le cul, et surtout bien te préparer pour prendre les deux grosses queues dans ta chatte ! » J’ai regardé mon mari, mais il était en train de branler les deux vieux salauds pour les faire bien bander, ils leur disaient : « Elle est belle, la petite pute, elle va se faire ouvrir les trous, hein, les gars ! » Alors j’ai dit oui.
Luc a fait entrer les trois hommes, ils étaient en robe de chambre, sauf le plus petit, qui avait la bite normale. Il la tenait à la main. Il a dit : « Bon ! Vous me la laissez, je vais la préparer ! Allez, salope, dans le fauteuil ! Luc et Robert vous allez lui tenir les jambes bien écartées que je puisse la fouiller à fond ! » Une fois mes jambes bien à l’équerre, il m’a sucé le clito puis la chatte et le trou du cul. Je mouillais très fort rien qu’à l’idée que mon mari puisse me voir en train d’être ainsi tripotée. Je ne savais plus où j’en étais.
L’homme a serré le poing et l’a fait entrer en moi d’une seule poussée, puis il a fait aller et venir sa main à toute vitesse, ce qui eu pour effet de me faire jouir en crachant des jets de mouille. Il a gueulé : « Ça y est, elle vient, la petite pute ! Vous allez pouvoir la prendre à deux dans la chatte ! » Mon mari est venu vers moi, il m’a embrassée tendrement en disant : « Ma chérie, si tu veux tout arrêter, tu peux ! » J’ai répondu : « Non, j’en ai trop envie ! Regarde un peu ces belles bites, il me les faut dans la chatte ! »
Mon mari et Luc m’ont soulevée du fauteuil et l’un des hommes est venu s’asseoir à ma place. Il se tenait la bite bien en l’air, je dois avouer que c’était un monstre, gros et beau à la fois. Si mon mari avait tout arrêté, je lui en aurais voulu très longtemps. Donc, mon homme et le vieux Luc m’ont fait descendre sur la bite, le gland est entré très facilement. Mon mari a dit : « Oh la pute, elle est si ouverte et si inondée qu’elle ne le sent même pas ! » Le deuxième homme est venu devant moi. Me prenant la tête à deux mains, il s’est servi de ma bouche comme d’un vagin.
Quand il en a eu assez, il m’a soulevé les jambes et a léché ma chatte autour de la bite de son ami. Il m’a regardée dans les yeux en disant : « Tu es prête ? Tu vas le sentir passer ! » D’un signe de tête, j’ai répondu que oui. Mon mari et Luc ont écarté les lèvres de ma chatte, l’homme a poussé sa queue contre celle qui était déjà au fond, et d’un coup de reins, il est entré bien au chaud à côté de l’autre. J’ai joui trois fois, avant qu’ils se retirent.
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