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Chap 28 : La colo des gros lolos. (suite)

Chap 28 : La colo des gros lolos. (suite)



La colonie se transformait en véritable baisodrome. Chaque soir, après les réunions où l’on consommait plusieurs bières ou verres de vins, les esprits s’échauffaient. Les deux couples s’envolaient généralement ensemble dans une de leur chambre. Avec les trois filles de mon groupe, on se demandait s’ils partouzaient tous les soirs ou si cela n’était arrivé qu’une seule fois.
En tout cas, nous, on ne se posait plus de questions. Pendant les jours qui suivirent notre partie de jambes en l’air à trois, Anaïs, moi et Rozenn, on baisaient au gré de nos envies. Parfois à trois, parfois seulement avec l’une ou l’autre et parfois même, les filles s’amusaient juste entre elles.
Tout cela me surprenait, car plus je baisais et plus j’avais envie de baiser. C’était comme une drogue. Et depuis que j’avais vu le quatuor faire des galipettes, depuis que j’avais vu Cécile et Virginie en 69, des fantasmes germaient dans ma tête. Je les savais avides de sexe et de jouissance et je les trouvais chaque jour plus désirable. J’avais envie d’elle aussi.
Et que dire de Naïma, ma reine de beauté. J’aurais échangé volontiers tous ces moments de luxure juste pour pouvoir passer une nuit avec elle. Quand je pense que je l’ai vu en string et soutif, quelle image mémorable. Quelle frustration qu’elle soit fidèle.

Dans quelques jours, c’est la fin du séjour. Aujourd’hui, je suis en congé et je vais pouvoir recharger mes batteries. En effet, pendant les trois semaines de colo, chaque animateur a le droit à un jour de repos par semaine. Celui-ci est mon dernier et je compte bien en profiter. Au programme, grasse mâtiné, baignade tranquille dans la piscine sans les enfants et déjeuner au calme, sans le brouhaha des enfants dans le réfectoire, avec les cuistots avant leur service de midi.
Dans l’après-midi, j’ai prévu d’emprunter la voiture du directeur pour aller faire un tour en ville, histoire de rapporter dans mes valises quelques spécialités locales. Nous sommes dans le Sud-Ouest tout de même. Je me dis que je vais également faire quelques petites emplettes pour l’après-soirée. Ce soir nous organisons une boum. Etant en congé, je ne suis pas obligé d’y participer, mais je sais que je décevrais beaucoup d’enfants si je n’y vais pas. Je sais aussi qu’après il n’y aura pas de réunion et que c’est grasse mâtiné pour tout le monde le lendemain. Ce sera donc l’occasion pour nous animateurs, de faire un peu la fête et de se lâcher un peu plus.
Avant mon départ pour la civilisation, j’entreprends de faire le tour des chambres des animateurs, à l’heure de la sieste, pour savoir s’ils ont besoin de quelques choses. Rozenn souhaite que je lui prenne quelques timbres pour qu’elle puisse envoyer ses dernières cartes postales, Naïma a besoin de déodorant, Karim veut que je lui prenne des capotes. Je fais mon petit listing et empoche la monnaie.
Il ne me reste plus qu’une chambre à visiter, celle de Cécile et Virginie. Etant un peu pressé, je rentre, comme je l’ai fait dans toutes les autres chambres, sans frapper. Je ne pensais pas tomber sur ça à cette heure-là et je me retrouve totalement ébêté devant Cécile à genoux, seins nus, qui prodigue une pipe gourmande à Gaëtan. Je suis confus
– Oh je suis navré, je ne pensais pas…enfin je suis désolé de vous avoir dérangés.
– C’est rien, c’est pas grave, me dit Gaëtan. Qu’est-ce que tu voulais?
Tout en lorgnant sur les gros seins de Cécile, que je vois pour la première fois de si près, je balbutie:
– Bah euh…en fait, je vais en ville faire des courses, et euh…enfin je voulais savoir s’il vous faut quelque chose?
– Non merci, ça ira.
– Euh et toi Cécile?
– Moi non plus, besoin de rien. Mais je ne serais pas contre une deuxième queue.
Je suis pris au dépourvu, mais ne me fait pas prier pour les rejoindre. Je referme la porte derrière moi, j’ôte mon short et mon boxer, m’approche et lui présente mon sexe mollasson. Elle l’enfourne aussitôt dans sa bouche et c’est un ravissement pour elle, comme pour moi, de sentir ma tige gonfler entre ses lèvres. Elle est experte en la matière, elle me pompe avec une volonté impressionnante en astiquant Gaëtan de son autre main en même temps.
Puis elle alterne habilement entre ma verge et celle de son partenaire habituel, qui est plus grosse et plus longue que la mienne. Elle se goinfre de nos deux bites avec une ferveur incroyable, pendant qu’on lui masse chacun un sein. Gaëtan et moi, on se sourit, nous partageons le bonheur de la voir prendre autant de plaisir à nous sucer. Mais quand mon compère éjacule sur les seins de sa chérie, j’avoue que cela me fait bizarre car c’est la première fois pour moi qu’un autre mec jouit juste à côté de moi. Mais cela ne me refroidit pas, surtout que Cécile s’acharne encore sur ma tige, les seins maculés de sperme. Lorsqu’elle me sent venir, elle dégage sa bouche et me branle énergiquement en direction de ses globes. Je lui remets une couche en parsemant ses seins de jus blanc.

Dans l’après-midi, alors que je fais mes petits achats, je repense à Cécile et à la bonne lipette qu’elle m’a donnée. En repensant à tout ce qu’il se passe dans la colo depuis plusieurs jours, j’ai l’intime conviction qu’il va se passer quelque chose de spécial ce soir.
Je flâne dans les rues du centre-ville et m’arrête à la terrasse d’un bistrot. Je déguste une bonne bière fraîche à côté d’une troupe d’étrangers de types allemands ou hollandais, dans laquelle se trouve une très belle jeune femme aux grands yeux bleus et au décolleté plongeant. Elle ne porte pas de soutien-gorge et ses gros tétons pointent fièrement. Cela m’émoustille un peu.
Je rentre à la colonie vers 17h30 et je retourne me baigner seul à la piscine. Je fais une petite sieste sur un transat pour parfaire mon bronzage et pour être en forme ce soir.

A l’heure de la boum, tout le monde est sur son 31. C’est trop mignon de voir tous les enfants dans leur plus belle tenue. Les petits garçons ont mis du gel dans leurs cheveux et les petites filles ont pris le soin de se maquiller.
Pendant la boum, je sens que j’ai une pêche d’enfer et je ne cesse de danser et d’amuser la galerie. Et lors de la dernière danse, le dernier slow, j’invite Naïma. Nous dansons collé-serré. Elle sent bon et je la trouve vraiment désirable dans sa belle robe noire et blanche. J’ai trop envie de l’embrasser.

Une fois les enfants couchés, nous nous retrouvons entre adultes dans le bâtiment où nous avons fait la boum. C’est une sorte de petit hangar à une cinquantaine de mètres du bâtiment principal, où nous animons également les activités d’intérieur. Nous installons deux tables et mettons un peu de musique. Je dépose les bouteilles d’alcool que j’ai acheté grâce à la cagnotte commune et les festivités démarrent. En allant se coucher avec sa femme, le directeur nous demande de ne pas trop abuser car il faut être opérationnel le lendemain. Mais tout le monde se fout de ses recommandations.
On chante en chœur, on danse en groupe, on trinque plusieurs fois. On s’embrasse aussi, on se câline. Au bout d’une heure, on transpire un peu, on a chaud et tout le monde est passablement ivre. C’est alors qu’Anaïs nous soumet l’idée de continuer la soirée dans la piscine. La proposition est accueillie par un grand « Oui » général. Nous embarquons les verres et les bouteilles et nous migrons vers le bassin aquatique.
En arrivant devant l’étendue d’eau chlorée, une idée me traverse l’esprit.
– Et si on faisait un bain de minuit?
– Je pensais à la même chose, me dit Karim.
– Moi aussi, surenchérit Anaïs, l’œil lubrique.
– Allez tous à poil, crie Cécile avec joie.
Tout le monde se dessape entièrement, sauf Naïma qui me murmure dans un moment de lucidité:
– Je ne vais quand-même pas me mettre toute nue devant tout le monde.
– Mais si vas-y, regarde on le fait tous.
– Ouais enfin, je ne suis pas super bien épilée.
– On s’en fout, de toute façon on ne verra rien dans l’eau.
Les autres l’encouragent.
– Allez Naïma, déshabille-toi et rejoins-nous.
L’effet de groupe la stimule et elle ôte les dernières barrières qui cachent son corps. Je suis en extase devant cette magnifique créature. Ses fesses sont bien rebondies et semblent fermes et ses seins me laissent rêveur. Un joli 95C bien rond, qui tend légèrement vers le bas. Ils sont à croquer. Elle s’approche du rebord pour sauter dans l’eau et les filles la sifflent.
– Whaou Naïma, tu es trop bandante s’exclame Gaëtan.
Nous voilà tous les huit à poil dans l’eau pour une baignade nocturne et je suis étonné que ça ne dérive pas encore. Pourtant je lis dans les yeux de certains et certaines, l’envie que tout bascule, mais personne n’ose lancer les hostilités.
Je nage vers le trio Rozenn, Virginie et Anaïs, qui se partagent la bouteille de vodka qu’elles boivent au goulot, pour en prendre une gorgée. Quelle n’est pas ma stupéfaction en découvrant les seins de Virginie. Je les avais aperçu de loin lorsque je l’avais espionné lors de sa partouze et je n’y avais pas trop fait attention, mais ils sont d’une splendeur sans pareil. Ce ne sont pas les plus gros, puisque nous avons tous remarqué qu’Anaïs remporte la compétition à ce niveau là, mais ils sont assurément les plus beaux que j’ai vu du séjour. Ils sont parfaitement dessinés, légèrement en poire. Je les adore, ce que je ne manque pas de lui signifier.
– Tu as des seins magnifiques.
– Merci, c’est gentil, heureuse qu’il te plaise.
Anaïs, un peu jalouse de mes compliments me demande:
– Et tu préfères lesquels? Les miens, les siens ou ceux de Rozenn?
Ma préférence va automatiquement pour la poitrine de virginie, mais je ne veux faire de tort à personne.
– C’est difficile à dire, vous avez toutes les trois de beaux seins.
Karim intervient dans la conversation.
– Je dirais même qu’elles ont toutes les 5 des nichons incroyables.
– Ouais c’est clair, la nature vous a toutes gâtée et on la remercie pour cela, plaisante Gaëtan.
Devant ces belles paroles, le narcissisme d’Anaïs ressurgit.
– Et si on faisait un concours ou une sorte d’élection pour savoir quelle poitrine vous préférez les garçons, sûre d’elle de remporter la mise.
Les filles sont toutes d’accord pour participer à notre petit jeu.
Assis sur des transats avec la queue bien dressée, mes deux collègues et moi-même sommes les juges.
Je me lève et proclame:
– Je déclare la cérémonie de miss « gros lolos » ouverte.

La première à sortir de l’eau et a défilé devant nous est Cécile.
Elle nous offre un 90C. On les détaille minutieusement. Ils sont ronds, tiennent bien en place, ils ont de larges auréoles et des tétons tout ce qu’il y a de plus normaux.
– On peut toucher?
– Oui allez-y
Nous nous y mettons à 3 et tâtons ses instruments d’enchantement. Je les trouve un peu mou. Mais cela l’excite et elle frissonne.

C’est au tour de Virginie de passer devant nous et autant dire qu’il n’y a pas photo avec Cécile. Son 90D est majestueux. Karim a vraiment de la chance. On examine ses seins, on les soupèse. Karim ne peut s’empêcher d’y faire un petit bisou.
La favorite laisse ensuite sa place à Rozenn, légèrement intimidée. On regarde son joli 90C que je connais très bien. Elle me fait un clin d’œil lorsque je malaxe sa poitrine.
Naïma est la suivante. Désinhibée et décomplexée par l’alcool, elle s’avance vers nous d’un pas franc. Ses deux objets de fascination sont sublimes. Elle fait de la concurrence à Virginie. Lorsque je pose mes mains sur son 95C, elle me sourit.
– Alors ça te fait quoi depuis le temps que tu rêvais de les toucher?
– Regarde ma queue et vois l’effet que ça me fait. Comme dirait Greg le millionnaire, « je suis tout dur de partout ».
Elle me sourit, elle tremble avec la chair de poule. A ce moment-là, j’ai envie que le jeu s’arrête pour lui sauter dessus, mais je me contiens.
La dernière participante est Anaïs. Elle en fait des tonnes. Elle déambule devant nous et caresse ses gros seins (100D je vous le rappelle) de façon lascive et provocante. Elle tente de nous amadouer en pinçant ses tétines, puis en les léchant. Dès que je palpe ses obus, elle caresse mon sexe. Cela me fait du bien, mais je la stoppe.
– Les pots-de-vin sont interdits mademoiselle, plaisante-je.

Le concours terminé, nous délibérons pendant que les filles attendent le verdict dans l’eau.
Virginie fait l’unanimité, mais avant de donner le résultat du vote, Gaëtan propose de porter un toast pour remercier les animatrices. Nous buvons tous un verre de vodka cul-sec, puis Karim annonce le résultat. Virginie est trop contente, sort de la piscine pour nous rejoindre et joue la comédie comme une vraie miss France. Elle fait semblant de ne pas y croire et de pleurer.
– Quelle est ma récompense?
– Un baiser de nous 3, ça te va?
– Oui bien sûr.
Je lui dépose un doux baiser sur les lèvres, Gaëtan m’imite et lorsque son chéri l’embrasse, ça part en vrille.
L’excitation est trop forte et Karim l’emballe goulument en lui pelotant copieusement les fesses. Virginie se laisse attendrir et pose sa main sur son sexe pour le cajoler. Le jeune homme pose ses paluches sur les épaules de sa maîtresse et appuie dessus pour la faire descendre. A genoux devant son mâle, elle glisse sans gêne son pénis entre ses nichons et lui administre une branlette espagnole. Nous les regardons tous, immergés dans la piscine en les encourageant. Les sifflements se font entendre, mais Virginie est imperturbable. La voilà qui le prend en bouche de façon torride, en se caressant le bouton rose. Cela galvanise le reste de la bande. Cécile et Gaëtan s’embrassent et se tripotent juste à côté de moi. Cela me donne envie et soudain, je sens une présence derrière moi, puis une main qui empoigne mon sexe sous l’eau. Cette main commence à me branler en douceur. Mais à qui appartient-elle? Anaïs? Rozenn?
Je tourne la tête et je découvre Naïma qui me fait un sourire éclatant. Mon cœur fait des bonds gigantesques dans mon poitrail. Sans un mot, je la regarde surpris, l’air de dire « mais qu’est ce que tu fais ». Elle me comprend et me dit:
– Ne pose pas de question, j’ai juste envie de sexe.
Je me sens le plus heureux du monde. Je me retourne vers elle et je l’enlace. Nous nous embrassons à pleine bouche, nos langues tournent dans nos bouches et mélangent notre salive. Dans l’eau, elle enroule ses jambes autour de ma taille. Je pose mes mains sur ses fesses et je sens son minou contre ma raideur. Je l’ai tant espéré et rêvé que je savoure cet instant. Nous restons quelques minutes ainsi, on s’embrasse, on se câline, on se regarde, on se sourit.
Un premier gémissement attire notre attention.
C’est Rozenn qui prend son pied par l’intermédiaire d’Anaïs qui la masturbe à deux doigts en suçant son clitoris. En observant autour de moi, je réalise que nous sommes en orgie collective. Dans les escaliers de la piscine, Anaïs et Rozenn se trifouillent entre elles. Un peu plus loin, Gaëtan, assis sur le rebord reçoit une fellation par Cécile et hors de la piscine, allongés sur un transat, Karim et Virginie se donnent 1001 plaisirs. Naïma me dit que tout cela l’excite trop. Nous sortons de l’eau, Naïma est toujours agrippée à moi. Je le dépose sur le transat près de Karim et Virginie. Je la regarde un instant nue devant moi, je ne l’ai jamais trouvé aussi belle. Je m’agenouille devant elle et place ma tête entre ses cuisses. Je lappe avec délice ses lèvres charnues et foncées. Elle fredonne une douce mélodie.
– Huummm, ouuhhh.
Elle n’est pas la seule à faire des vocalises. Tout le monde copule dans son coin et je les observe pendant que ma beauté féline active sa langue sur mon tube de chair.
Proche de nous Karim prend possession de Virginie sur le côté. Elle me regarde dans les yeux et me sourit. Ses superbes seins qui gigotent me surexcitent.
De l’autre côté de la piscine, ils ont changé de partenaires. Rozenn, devenue accroc aux joies homosexuelles, est en 69 avec Cécile, pendant que Gaëtan sodomise Anaïs.
Ces visions obscènes m’enivrent et je focalise maintenant mon attention sur Naïma qui me fait un bien fou avec sa bouche.
Elle se retourne à quatre pattes sur le transat. Sa fente ouverte au désir est trempée. Je saisis ma verge d’une main et caresse ses lèvres pour badigeonner mon gland de ses sécrétions. Je la pénètre lentement en profondeur. Elle est bouillante de l’intérieur et la chaleur de son sexe, déconnecte mon cerveau du reste du monde. Plus rien ne compte. Je la besogne en levrette en massant son joli cul bombé. Mes va-et-vient sont de plus en plus rapide. Je la lime avec ardeur pour la faire jouir le plus possible. Le bruit des clapotis et ses cris de jouissance me rendent dingue et nous atteignons l’orgasme simultanément sous le regard avide de Virginie et Karim.

Nous avons tous partagé un superbe moment et j’ai la sensation qu’inconsciemment, tout le monde souhaitait que cela arrive.
L’air commence à être frais, mais notre excitation ne retombe pas. Alors que nous fumons une clope et buvons un dernier verre, l’envie de recommencer nous emporte. Nous ramassons nos affaires et nous réintégrons la salle de boum. Nous installons au sol des serviettes, des tapis, des coussins. Nous prenons place,tous les 8, sur cet emplacement dédié à la débauche. On se mélange, on se caresse, on s’embrasse. Cette partouze devient extraordinaire, voir hardcore. Il y a des culs, des chattes, des nichons, des queues à portée de mains. Ca lèche et ça suce à tout-va, c’est un véritable concert de gémissements qui résonne dans la pièce.
Je ne sais plus où donner de la tête. Cécile me pompe goulument. Elle me demande:
– Alors c’est aussi bon que ce midi?
– Hum oui, c’est génial.
Puis je glisse mon majeur dans le premier trou du cul que je trouve. C’est celui de Virginie, qui se régale encore du chibre de son compagnon.
Notre étreinte collective dure des heures. Quand certains se reposent, d’autres enchaînent les positions, et il y a toujours quelqu’un ou une une pour raviver l’excitation générale. Bref, ça baise à foison, en missionnaire, en levrette, celles qui pratiquent la sodomie se font élargir l’anus. Il y a de nombreuses giclées de sperme un peu partout, des effusions de cyprine et les orgasmes se succèdent au fil de la nuit. Des fantasmes sont réalisés. Anaïs, la plus salope d’entre toutes, débloque lorsque nous la prenons par devant, par derrière et par la bouche en même temps. Gaëtan ne boude pas son plaisir lorsqu’il ressent pour la première fois, une langue qui lui chatouille la rondelle. Prise par l’euphorie, Naïma s’essaye aux plaisirs lesbiens avec Virginie, pendant que Rozenn hurle sa jouissance en recevant sa première sodomie par mes soins.

Il est près de 4h du matin, quand j’éjacule pour la dernière fois sur la face de Cécile. Je suis exténué, je pue le sexe et la transpiration. J’ai le gland tout rouge et mes couilles sont des raisins secs. Je n’en peux plus. J’ai goûté à tous les abricots, je ne sais même plus par qui, ni combien de fois je me suis fait sucer. J’ai baisé avec Cécile et Naïma, j’ai enculé Rozenn et Anaïs. J’ai passé une soirée formidable, mais il est vraiment temps d’aller dormir. Je quitte la salle en premier et Naïma, qui a fait une croix sur sa fidélité, m’emboîte le pas. Avant d’aller nous coucher l’un à côté de l’autre, nous prenons une douche en commun. Nous partageons un moment tendre, complice, câlin, sans sexe. Je l’embrasse, elle me serre contre elle. Nous prenons conscience à regret, qu’il ne nous reste que quelques jours à vivre ensemble.

A suivre

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