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Ma derniere aventure en date….04

Ma derniere aventure en date….04



Effectivement, cette situation totalement inattendue, éveilla en moi une excitation inconnue jusqu’alors. Je me sentais prisonnière, d’abord de ces hommes, et surtout prisonnière de cette envie d’explorer le monde de la jouissance. Comment m’en défaire ???
Cette main qui vint se poser sur mon sein droit, me rappela la présence du deuxième bonhomme. J’avais oublié sa présence à celui là tellement concentré sur ses doigts explorateurs de l’humidité de mon entrejambe.
– Fais attention…… On peut nous voir !
– T’inquiète ! Avec cette pluie qui tombe en ce moment, il y a pas grand monde dans les rues ou devrai – je dire qu’il n’y a personne ! En me malaxant ferment le sein il rajout, j’ai l’impression que cette petite chienne en chaleur, en redemandera une fois qu’elle aura vu le plaisir que nous lui administrera ! Hummmmm…. Elle est plus que bandante !
Après 5mn ou 10 ou 15, j’en sais rien, car j’étais dans mes réflexions, la voiture s’arrête, j’entends le bruit d’un moteur d’une porte. J’en conclus que nous sommes enfin arrivé, à la demeure réserver à me faire vivre les jouis le ces messieurs.
La voiture redémarre, franchi le portail de la demeure, c’est une maison qui se trouve sur un terrain d’au moins 2mille m². Une belle maison. C’est vrai que le maître de maison n’a pas eu la galanterie de me faire le tour de la propriété, mais c’est ce que j’ai réussi à apercevoir lorsqu’on m’a retiré mon bandeau (bien plus tard !!).
La voiture s’arrête enfin, les portent s’ouvrent et on me fait descendre.
– Garde ton bandeau ! me dit – on quand j’ai fais le geste de vouloir me l’enlever.
La pluie avait cessez de tomber. escorté par les deux hommes, nous rentrons dans la maison. A peine le pas de la porte franchi, qu’on me délesta de mon manteau, puis nous reprîmes notre marche, vers le salon.
– Salut à vous messieurs ! Voilà le cadeau que cette belle île de Djerba renferme ! Délicieuse non ? Cria mon ami.
– Hummm ! Tourne toi un peu pour que l’on puisse t’admirer dit une voix que je ne connaissais pas.
Je m’exécutais, mais avec une peur au ventre, car si je compte bien…. 3….. 1….. 4 mecs !
– On est combien ? Ose – je demandé.
– Tu la sixième ! Me répondit mon Boutty.
– Que voulez vous boire ? Dit une autre voix que je ne connaissais pas.
– Un Whisky pour moi ! Répondit Philippe.
– De même pour moi, mais un bien serré ! Répondit mon ami.
– Et pour cette dame ? me demande – t – on.
– Euh… Euh… Rien pour le moment !
Le temps qu’on leurs verse leurs boissons, je sens des corps qui me tournent autour. M’auscultent, comme s’ils soupesaient de la viande chez un bouché.
Tout un tas de compliments furent exprimés sur ma plastique.
– Allons, ne perdant pas de temps ! Dit mon ami.
Il me tira par le bras, me mis au milieu du salon et me dit :
– Montre à mes amis que tu aime tu faire prendre, montre leurs qui tu es toute mouillée rien qu’à l’idée de les faire joui ! Penche toi en avant et montre leurs que tu es dégoulinante, que ta chatte n’attend que leurs zob pour te faire grimper aux rideaux !
Hypnotisé, que j’étais je me suis exécuté sans brancher. J’avais honte de moi d’être traité ainsi. Je me penche un peu.
– Penches toi plus salope ! Et écarte tes fesses ! M’ordonne-t-on.
– Reste comme ça ! ME dit – on lorsque je pris la position voulue.
– 25 !
– 50 !
– 150 !
– 210 !
– …
– 210 une fois ! 210 deux fois !…….. 210 adjugé ! Bravo Patrick, c’est à toi de commencer.
Commencer quoi me suis – je posé comme question.
La réponse ne tarda pas à venir. Patrick, s’avança et me planta sa queue dans la bouche en m’ordonnant de le sucer. Ce que je fis de peur que quelque chose de fâcheux ne m’arrive.
– Oh que c’est bon ! Elle sait s’y prendre les gars ! Vous….. Vous conseil d’essayer !
Après lui avoir astiqué du mieux que je pu cette grosse queue qui emplissait ma bouche, Patrick me fis pivoter sur moi-même, s’accrocha à mes hanches, frotta sa bite sur les lèvres humides de mon minou, et d’un coup me planta son zob bien au fond le mon chatte.
Je ne pu étouffer un cri de douleur et de surprise lors de cette pénétration.
Patrick me donna des coups si profonds, que je sentais ces ouilles frappés les lèvres (humides) de ma chatte.
Cela fut rapide, en quelques allées et venues, alors que je commençais à avoir ses frissons dans mon bas ventre, il s’est retirer et à libérer ton son jus sur mon dos.
Tous les assistants étaient pliés de rire.
– Hé Patrick ! C’était rapide ! On te connait plus résistant !!
– Attendez de gouter à cette chatte et vous verrez qu’on ne résiste pas bien longtemps !
Ils étaient tous partis en fou rire. Moi je me sentais…… Bizarre. Je souriais à leurs blagues débiles, des blagues de macho. Les yeux dans le noir, des tas de questions se bousculaient dans ma petite tête. Quesque j’ai bien pu faire de si mauvais pour me retrouver ici ? Et c’est quoi cette histoire de vente aux enchères ? Et c’est quoi ce groupe que fréquente mon ami ? Quel sera mon devenir avec tous ces mecs ? Vais – je les satisfaire ? Pourrai – je les combler ?….. Et où est mon ami ??
– Boutty….. Ya Boutty ! Hija hné (viens ici NDLR) !
En moi de deux seconde, une main se pose sur mon épaule :
– Oui Douda, que se passe t – il ?
– J’ai quelques questions ? (en arabe dans le texte !! NDLR)
– Je t’écoute !
– Tu m’as vendu aux enchères?
– Non, c’est pour alimenter la caisse de nos soirées ! Celui qui offre le plus aura le privilège de baiser tout seul, la fille que nous ramenons !
– Vous en ramenez beaucoup de filles ?
– Une à deux par mois….. Des fois plus !!!
– Et maintenant ???
– Ben tu vas avoir droit aux autres zobs !
– Tu leurs dis, pas de pénétration sans capote !
– Il va sans dire……….. petite salope !
J’ai failli avaler de travers quand j’ai entendu ses mots ! Jamais il n’a osé me dire une chose pareille.
– Et tu sais ce qu’elle te dit la salope ? lui répondis-je après réflexion……… N’oublis pas d’immortaliser ses moments…… Puis je me tus en ravalant ma colère.
Il me fit un smack et parti (je suppose) rejoindre ses amis (je vous rappel, pour celui qui ne suit pas, que j’ai toujours le bandeau sur les yeux !)
%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%%
J’étais là debout comme une conne à siroter une vodka – orange que l’un de ses messieurs m’avait bien gentiment donné. Et après quelques secondes, j’ai senti que les hommes se mettaient debout et se rapprochaient de moi. Une main me pris le verre alors qu’une autre main pesait sur mon épaule et on m’ordonna de me mettre genoux à terre.
C’est alors que je senti toutes ses queues qui n’attendaient que ma bouche pour les revigorer.
– Hummmm c’est vrai qu’elle suce bien cette coquine !
Je passais d’une queue à une autre, et à chacune j’essayais de lui appliquer le meilleur massage que j’ai en réserve.
J’entendais les voix au dessus de ma tête qui jugeaient mon action que je prodigué et quelques vannes de gros macho o tout simplement des soupirs de bienêtre (c’est le son de voix que j’aime le plus).
Je ne sais pas au bout de combien de minutes, qu’on me prit par les aisselles (ouf commençais à avoir mal à la mâchoire) pour me conduire vers une chambre et on me poussa sur le lit qui s’y trouvait.
Me retrouvant à quatre pates, un des messieurs commença à me lécher la moule. C’est une caresse qui ne fit que raviver la flamme de mon puits d’amour, alors qu’un second me colla son zob sur les lèvres, et je n’ai eu d’autre solution que de l’ingurgiter est lui appliquer une bonne fellation.
– Regarde – moi ce cul…… Regardez comme elle suce, cette salope…. Va s’y Patrick, fais la jouir, fais la mordre les draps ! Entendis-je tout autour de moi.
Je sentais une chaleur qui montait de mon arrière train (c’est un terme qu’on utilise pour les animaux… et chienne je suis !) pour venir exploser dans ma tête.
Je ne savais plus où donner de la tête ! Une deuxième queue se présente à petite mon bouche qui délaisse la première bite pour l’engloutir profondément et joyeusement je dois dire !
Patrick (je suppose que c’est lui qui me bourrait la chatte) se retire pour laisser la place à un autre membre qui combla assez rapidement l’espace délaissé par la queue de Patrick.
Mon baiseur, s’accrocha fermement à mes hanches et à chaque que de queue qu’il m’infligea je criais mon plaisir qui était étouffé par la bite que j’avais entre les lèvres.
Puis je sentais qu’on me claquait les fesses, une fois, deux…… trois…. Après la dixième j’ai arrêté de compter. Je sentais que mes fesses devenaient toutes chaudes.
Je voulais crier d’arrêter mais aucun son ne sortait de ma bouche. On me bascula sur ma droite, mes lèvres laissaient échapper la queue qui comblait l’espace vide de ma bouche. On me releva les jambes et c’est avec grande douceur que je senti un membre bien raide pénétrer ma chatte toute chaude et dégoulinante de jus d’amour.
Après les premières introductions en douceur, celui qui prit possession de ma cave à bite, accéléra la cadence. A chaque coup de queue, je sentais mille feus envahir ma grotte. C’était une succession de jouissance que j’étais entrain de vivre et de déguster !
Je crois que toutes les bites me sont passés dessus, j’ai été tourné et retourné à mainte reprise, que j’en ai perdu le compte. Car il ne m’importait plus de faire l’inventaire de mes amants.
Je me suis surtout concentré sur ma jouissance, mon plaisir et l’instant présent.

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