Récit envoyé par un ami photographe
Je laisse à Julia le soin de choisir ce qu’elle veut porter pour cette expérience impromptue. Elle jette son dévolu sur une tenue de bdsm qui met ses seins et ses fesses en valeurs. Elle se fige, hésite un moment. Puis, repensant peut-être à l’audace de Martine, elle passe derrière l’écran sans un mot, d’un pas résolu.
Julia se place devant certain accessoires du donjon et je mitraille.
Je demande à Julia :
« Chagez les expressions de votre visage : sourire, grimace, sourcils froncés ou écarquillés, moue boudeuse, air ingénue les yeux au ciel et la bouche en O… «
Elle se prête au jeu de bonne grâce et avec un certain succès. Je lui montre les photos à l’écran, insistant sur quelques détails qui font toute la différence. Puis je lui sers du vin à nouveau. Son sourire un brin timide esquissé sur le rebord du verre, ses yeux pétillants qui me fixent. Elle semble se cacher, sourire d’une blague qu’elle seule connaît.
Sous mes directives, sa main libre tire sur une bretelle, ce qui met en valeur le vêtement. Elle se laisse faire, réceptive. Je reprends ma place et capture quelques clichés. Comme elle semble de plus en plus confiante, je décide de continuer à expérimenter des position plus BDSM.
« Posez la coupe devant vous, placez vous sur les agrées ! regardez-moi d’un air de tigresse. »
Elle joue le personnage de façon tellement exagérée que je pouffe de rire, ce qui la fait glousser à son tour. Ses joues tournent à l’écarlate, ce qui améliore son teint. J’en profite pour l’attacher.
Elle se laisse faire et me demande :
« Quelle expression du visage? »
« On va en essayer plusieurs. »
Elle s’exécute. Je constate que ses mamelons pointent. Je ne dis rien pour ne pas créer de malaise. C’est si bien parti.
Elle devine mon intention et jue le jeu de la soumise docile.
« Ca vous va comme ça ? » Demande-t-elle en poussant sa poitrine vers le haut.
Je la sent receptive et tout en mettant mon appareil en time laps, je commence à l’embrasser. Elle est totalement sans défence mais répond à mon baisé.
Je descends vers sa chatte brûlante et humide et me met à lui faire un cuni lungus qui la fait se tendre sous mes coups de langues.
La bourgeoise se lâche en me disant :
« Baise moi ! »
Je fais quelques autres clichés, puis déclare que c’est assez pour cette soirée. Julia est frustrée m’insulte. Je souris de la voir ainsi restabilisée. Moi même je n’y tiens plus et me rue sur elle la défonçant sauvagement.
Rapidement nous atteignons le nirvana et explosons dans un orgasme commun.
Remise de ses émotions, alors que je la détache, elle me demande très pro :
« Quand pourrais-je voir ces épreuves ? »
« Je promets de mettre les bouchées doubles et de montrer les premières épreuves dans deux jours plus tard. »
Elle prend une douche et tout en allant se rhabiller, je remarque qu’elle semble fière de sa performance. Son visage est illuminé de son magnifique sourire, les fossettes saillantes et les yeux pétillants. Je l’accompagne à la porte et au lieux de m’embrasser, elle me serre la main avec aplomb avant de quitter.
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