Le collier de Matilde.
Matilde vient d’avoir ses dix-huit ans. Matilde est jolie, brune, fine, même très fine. Elle à de tout petit seins qui pointent sous son chemisier blanc. Quand elle est descendue dans la cuisine ce matin là, elle pensait être seule, comme souvent le matin. Elle n’avait mis que son chemisier blanc sur ses épaules. Son petit cul était à l’air et on voyait une fine toison noire comme de l’ébène. Elle ne se rasait pas mais taillait les poils de sa chatte pour ne dessiner qu’un tout petit triangle noir.
Elle était encore vierge de la chatte. Par contre son petit trou avait déjà fais pas mal d’entrée au compteur. Elle aimait se faire prendre comme une chienne à quatre pattes, les fesses bien tendues par les hommes de la ville voisine. Des hommes qu’elle ne connaissait pas et ne voulait pas connaître. Habitant la campagne, ou tout ce sait, elle était discrète. La ville c’était pour les études et les petits plaisirs. Elle partait tôt le matin, sa sacoche à la main par le train. Sérieuse on lui aurait donné le bon dieu sans confession. Mais une fois les cours terminés, elle partait pour trainer en ville, après avoir mis sa sacoche à la consigne.
La première étape était les wc de la gare. Là elle retirait ses dessous, mettait une jupe classique et un chemisier en jean. Cul nu et tétons frottant sous la toile raide, elle repartait en bus pour deux heures dans les quartiers extérieurs, les parcs, les endroits isolés, mais aussi les wc publics, voire les abords des maisons de retraite. Bien sage dans le bus avec juste un petit sac, on ne la remarquait même pas. Dans le sac, un nécessaire de nettoyage, des préservatifs, des lubrifiants, un plug anal, un collier pour chien avec une laisse… des bricoles quoi ! Matilde une fois sortie du bus, commençait à se transformer psychologiquement. Dès les premiers pas, elle sentait sa chatte se gonfler et son petit derrière commençait à la démanger. Dans sa tête, elle voyait des bites partout. Les hommes qu’elle croisait, mais ne regardait pas, sentait le foutre et elle les voyait tous avec des bites énormes à la main, l’appelant. Elle marchait toujours environs dix minutes pour s’éloigner de l’arrêt bus. Une fois en zone inconnue, elle libérait les boutons de son chemisier en jean, laissant apercevoir discrètement ses petits seins pointus dans l’échancrure. Sa chatte avait envie, mais ce serait encore son cul qui va se tendre vers une bite. Aujourd’hui Matilde à choisi, un petit parc ou il y a un wc public. Il est 17h, elle s’installe sur le banc près de trois joueurs de pétanque. Trois hommes entre 55 et 65 ans. La casquette vissait sur la tête, le plus vieux, la regarde. Elle vient d’écarter ses jambes, bien ouverte, elle fait mine de lire un livre de poche. De l’autre main, elle caresse son sein droit sous la chemise. Le vieux à remarqué le manège de la jeune femme.
-Alors tu joue Albert ?
-Voilà, voilà, j’arrive.
Albert lance sa boule, puis montre la fille aux deux autres.
Le plus grand, regarde Matilde avec insistance, il croit rêver en voyant la fille écarter sa chemise et lui montrait son petit sein en lui disant.
-J’ai une heure à perdre, si vous savez être discret, je peux vous branler.
-Quoi ? Pardon ?
-Ben dit donc ! Dit le troisième qui semblait être un vieil arabe.
Albert s’approche de Matilde.
-File on ne veut pas d’histoire nous, t’es bien jeune pour te prostituer. Ça craint dans le coin, tu ferais mieux de rentrer chez toi.
-Crains rien, bonhomme, j’aime la bite, je suis majeur et tu ne me reverra pas de sitôt. Suivez-moi dans les chiottes, je vais vous sucer. Elle se dirige vers les wc et entre dans les pissotières.
Albert et l’arabe s’approche et voit Matilde accroupie.
-Dépêchez vous, je n’ai pas beaucoup de temps, sortait vos bites.
L’arabe est le premier à sortir un beau morceau, mais mou. Albert à une bite fine, mais longue avec un beau gland bien décalotté. Quand au grand qui arrive en dernier, on voit qu’il est plus jeune, il y à déjà une belle bosse dans son pantalon.
Ce jour là, Matilde à sucé deux bites et avalé le foutre. Un quart d’heure après, elle avait passé le collier du chien autour du cou, retroussé sa jupe sur son cul nu et c’était mise à quatre pattes sur le béton des pissotières. Ce n’était pas très propre et ça sentait fort l’urine, mais qu’importe, le cul offert, elle tendit la laisse à Albert après s’être enduite le trou du cul de lubrifiant. Son jeune cul était bien chaud, elle avait une de ses envies… Un doigt, puis deux, puis trois enduits de lubrifiant lui écartent le trou du cul comme il fallait. Les hommes, la regardaient faire en se branlant encore. Elle tendit la laisse à Albert en lui disant.
-Ta bite et fine et grande, tu va m’enculer vieux salop, en me traitant de chienne.
Albert saisit la laisse et se plaça devant le petit cul de Matilde. Son gros gland poussa sur la rondelle et disparu entre les fesses
-Plus fort, encule-moi vite dit-elle.
Sortit de la bouche d’une aussi jeune fille avait de quoi surprendre ses hommes tranquillement installés a jouer à la pétanque chaque après-midi. Heureusement que cette fin d’après-midi était calme. Mais cela n’avait pas été le cas, Matilde, il ne l’aurait jamais rencontré. Albert était là à la besogner comme un âne, il s’enfonçait en elle par grands coups, tirant sur la laisse qui lui relevait la tête en arrière. Elle les yeux révulsés, était en transe. Du bruit et des voix firent sortir l’arabe de la pissotière pour voir ce qui arrivait.
-Et les gars, vlà du monde et des mômes.
-Bon dieu, pas moyens d’être tranquille ici. Je vais essayer de lui mettre mon jus à cette salope.
– Vas-y gros salop, joui moi dans le cul. Vite j’ai envie de sentir ta semence.
L’Albert rugit en tirant la laisse qui étrangla à moitié Matilde et il déversa un flot de foutre avant de vite remballer sa queue sans même l’essuyer dans son pantalon. Les trois sortir des pissotières sans se préoccuper de Matilde. La jeune fille se releva en regardant ses genoux tout rouges. Elle poussa la porte du wc et entra dans le réduit puant. Elle s’appuya contre la porte encrassée. Aux murs des dessins porno et des messages de rendez-vous pour gaie. Remettant de l’ordre dans son chemisier, elle en lut quelques uns en passant une lingette sur sa chatte trempée de jouissance et son cul meurtri. Elle jeta la lingette dans le trou des chiottes à la turc. Elle avait joui, mais elle n’était pas rassasiée pour autant, mais il fallait retourner à la gare et rentrer chez elle où sa mère l’attendait pour souper.
Matilde était là dans la cuisine à faire chauffer son bol de lait, les fesses à l’air. Elle se retourna vers la table en se caressant la toison. Un jour, j’en prendrais plein la chatte, ce dit elle. Du bruit venait de la buanderie, pourtant sa mère aurait du être au travail…
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