J’ai essayé une nocturne à la salle de sport. A l’heure où je suis arrivé, il restait encore quelques retardataires qui finissaient leurs exercices. J’ai commencé à m’échauffer sur un tapis roulant face aux rameurs occupés par un costaud et étonnamment le patron. Son shorty moulait son entre jambe laissait deviner un sacré organe.
Nous n’étions plus que nous deux. Il me dit qu’il allait fermer, le temps de prendre une douche. Nous n’étions que nous à nous laver. Ce que j’estimais ne me déçu point. Il était équipé comme un âne, une queue moyenne mais épaisse, des boules en proportion, l’ensemble dans une fourrure bien entretenue.
Au fur et à mesure qu’il se savonnait, sa bite grossissait. J’étais subjugué de voir un tel engin qu’il nettoyait en un mouvement de va et vient. Je laissais aller mon érection qui était loin d’atteindre les dimensions que je voyais en face. Plus aucune pudeur ne m’habitait. Nous nous sommes branlés de concert, éjaculés en même temps. Lavé, rincé, séché, je me suis rhabillé. Nous sommes sortis ensemble. Au moment de se quitter, il m’a fait une bise.
Là où je fus surpris, c’est lorsque mon père insista pour m’accompagner à la salle de sport. Bien qu’ayant essayé de le dissuader, il vint avec moi. Après une bonne heure de transpiration, nous sommes allés à l’endroit que j’aimais le plus, mais qu’aujourd’hui j’appréhendais le plus. Presque toutes les douches étaient prisent. Il n’en restait que deux l’une en face de l’autre. Mon père s’est mis à poil sans complexe, moi avec un peu de retenue, car c’est la première fois que je voyais mon père prendre sa douche. Il était pas mal foutu pour son âge, son torse recouvert d’une pilosité noire avec un filet de poils jusqu’à son sexe bien proportionné, une belle queue reposant sur de magnifiques testicules toutes aussi poilus. Son fessier avec sa raie bien velue m’hypnotisait. Je me savonnais tout en le regardant. Ce qui m’a le plus surpris, c’est qu’il matait les autres types. J’ai même cru voir sa queue grossir et se relever doucement. Il s’est dépêché de se rincer, sécher et s’habiller. Pendant le retour, il m’a dit qu’il avait trouvé cela super, qu’il y retournerait. De mon côté, je repensais à mon père avec son début d’érection en me disant qu’il n’était pas indifférent aux attributs masculins.
Avec le temps, je savais que je devais pratiquer un métier en rapport avec le corps, surtout masculin. Avec mes facilités à étudier, je me dirigeais naturellement vers la médecine. Les traditions ne se perdant point, la journée de bizutage était le prétexte de se retrouver à poil dans des situations plus ou moins risquées, mais aussi cela me permettait de voir encore des bites et queues. La journée commença calmement, puis l’après-midi était déjà plus chaude, puisque les étudiants de deuxième année se jetèrent sur des premières années pour les foutre à poil dans la fontaine sur la place du village. Le soir, cela se passait sur la scène d’un amphithéâtre. Une dizaine de mecs durent se déshabiller. Le premier à poil gagnait le titre de roi de la soirée et pouvait infliger des gages. Les filles étaient épargnées, mais profitaient tout comme moi du spectacle de sexes du plus petit au plus impressionnant dont le propriétaire s’amusait à agiter de gauche à droite.
Je recherchais toujours des moyens de regarder la nudité en général, plus particulièrement celles des hommes. Les activités sportives étaient souvent l’occasion de mater durant la douche collective. Je décidais d’aller passer quelques jours de vacances dans un camp naturiste dans lequel je pouvais voir les objets de mes fantasmes. Il y avait ceux qui faisaient leur jogging, leur sexe en mouvement, ceux qui allaient dans l’eau leur sexe et testicules bien détendus, ressortant de l’eau avec leur attribut plus compact, celui qui partait le sexe décalotté, ressortait son gland recouvert de son prépuce rétracté. J’ai même vu un couple marchant sur le sable, dont le gars avait un début d’érection qu’il ne cachait pas, presque fier de son état.
J’avais découvert le plaisir de ne rien porter sous mon short lorsque je faisais mon jogging, sentant mon sexe se balader au rythme de ma course, même parfois selon ma pensée avoir une érection que je maitrisais pour ne pas choquer les coureurs croisés, ou bien sous mon pantalon, en particuliers lorsque j’étais de permanence nocturne à l’hôpital.
Lors de mon internat à l’hôpital, j’avais accès à la nudité de certains patients. Je me rappelle, une nuit de garde, un jeune homme qui devait subir une intervention chirurgicale nécessitant le rasage intégral de son intimité avait demandé à l’infirmière de garde si cela pouvait être fait par un homme. Je ne me fis pas prier pour le faire. Je m’annonçais en entrant dans sa chambre en disant : « Voilà le barbier ! »
J’avais devant moi un jeune homme d’une vingtaine d’années, avec une chevelure frisée brune très fournie, une barbe de trois jours, un sourire ravageur pour cacher son embarras. Il me remercia d’avoir accédé à sa demande que ce soit un homme qui le rase. Pas de souci, répondis-je.
Je lui dis qu’il devait se détendre, et pour cela mettre ses bras sous sa tête, que cela allait bien se passer. Ses aisselles étaient aussi bien fournies. J’ôtais le drap qui le recouvrait. Il était en caleçon. Je lui demandais de soulever son bassin afin de glisser une alaise sous ses fesses. Une fois l’alaise mise en place, je retirai son caleçon. Je découvris un superbe sexe bien calotté reposé sur ses testicules, le tout dans une toison de poils noirs assez denses. En rigolant, je lui dis qu’il y avait du boulot.
Je commençais par désépaissir aux ciseaux en soulevant des touffes de poils, les coupants assez ras. Ma main tenant les ciseaux reposait sur le début de sa verge toujours bien sage. Je dus écarter ses jambes pour accéder sur le côté de ses boules de belles proportions Tantôt je les repoussais d’une main et coupais de l’autre, tantôt je devais les soulever pour tailler dessous. Lui était toujours dans la même position, l’air détendu. Après avoir terminé cette première coupe, je débarrassais de ma main les poils restés sur son ventre. Je constatais à cet instant que sa verge avait grossi, s’était légèrement soulevée.
J’étalais la mousse aux endroits qui devaient être rasés, maintenant sa verge que je sentais gonfler dans ma main. Je dois dire que dans mon pantalon, la mienne aussi.
A la fin de la préparation au rasage, sa queue était entièrement redressée. En rigolant, je lui dis :
– « Je t’avais dit de te détendre ».
– C’est vrai mais je suis très épidermique.
– Ce n’est pas grave entre nous, mais pour ne pas être dérangés, je vais fermer la porte à clé.
En revenant vers le lit, il ne pouvait pas ne pas s’apercevoir que ma braguette était bien tendue et de me dire avec un sourire ravageur :
– Ce n’est pas grave entre nous
Mon rasoir en main, je m’appliquais à mon ouvrage, choisissant la meilleure position. Soudain, j’ai senti sa main caresser ma braguette, carrément saisir ma bite à travers le tissu blanc de mon pantalon de médecin. Je lui dis que si il continuait, j’allais tâcher mon « blanc de travail » Sans se démonter, il dénoua la ceinture, et mon pantalon chuta sur mes chevilles. Alors que je me concentrais sur mon travail pour ne pas le couper, lui se concentrait sur ma queue aussi raide que la sienne, jouant à me décalotter, passant sa main entre mes cuisses pour saisir mes testicules, les faire rouler entre ses doigts.
Je lui demandais de soulever ses jambes, d’écarter ses fesses avec ses mains afin d’aller raser aussi son anus. Il ne se fit pas prier. J’avais une vue panoramique sur sa jolie rondelle rosée, bien gardée par ses poils. J’étalais avec mes doigts là aussi de la mousse à raser. Mon indexe ne put s’empêcher de titiller son trou. Il se mit à gémir lorsque je l’ai introduit.
Une fois terminé, j’ai rincé avec un gant tout ce qui restait de mousse, m’appliquant bien entre ses fesses, essuyant bien sa verge que je décalottais au passage, découvrant un gland bien rond, bien rose, bien luisant de pré-cum. Rasé comme il l’était, sa queue semblait encore plus grande.
Encore humide, je ne pus me retenir d’approcher ma bouche, d’y faire pénétrer ce gland si désirable. Sa main appuya sur ma tête afin que je l’engloutisse entièrement. A entendre ses gémissements, je savais le plaisir que je lui procurai, autant que celui que je prenais. Il ne fallut pas longtemps avant de recevoir une quantité de son sirop dans la gorge. J’en ai apprécié le goût jusqu’à ce qu’il n’en resta point.
La nuit suivante, étant d’astreinte, je suis allé rendre visite à mon « client » de la veille. Il était un peu groggy mais détendu avec toujours le même sourire. Je lui demandais comment il allait.
– J’ai un peu mal, mais j’ai passé une nuit très détendu grâce à vous, moi qui appréhendais l’intervention. J’espère que vous viendrez me faire mes pansements.
– Comme je ne suis pas le chirurgien qui t’a opéré, c’est une autre équipe qui s’en chargera, mais s’il y a un problème, je suis de garde de nuit toute la semaine.
–
La nuit suivante, il me fit appeler. Une fois dans sa chambre, il me dit qu’il avait un peu mal. J’ai soulevé le drap, décollé doucement le pansement, il en profita pour me caresser les fesses. La cicatrice était impeccable. Je lui dis que tout allait bien, qu’il fallait qu’il soit patient avant de pouvoir jouer avec son sexe, de me répondre :
– je voulais vous voir pour vous remercier du plaisir que vous m’avez procuré avant l’opération.
Lors des prises de service, je consultais la liste des patients présents. Celui du jeune patient était absent. Il était sorti le matin, en me laissant un petit mot dans une enveloppe avec son numéro de téléphone.
Le matin, au changement d’équipe médicale, je croisais le regard d’un jeune interne qui ne baissa pas les yeux. Ce petit manège dura jusqu’au jour, où entrant dans le vestiaire, un collègue était en train de se changer. Dans le monde médical, la pudeur n’est pas de mise, aussi j’ai pu voir ses fesses. Entendant la porte il s’est retourné. Ma surprise fut grande et heureuse de voir le jeune interne du matin. Il me tendit la main et me dit :
– Je voulais savoir comment se passaient les gardes de nuit.
– Bienvenue, lui répondis-je.
Lors des pauses, nos discussions se précisaient. J’étais persuadé qu’il cherchait à aller plus loin dans le contact.
Cela est arrivé une nuit de garde très calme, peu de patients sans grande pathologie. J’en profitais pour aller me reposer dans la pièce qui nous était réservée. Nous ne verrouillons jamais la porte. Allongé à même la couverture, je me suis assoupi. Je fus réveillé par le bruit de la clenche. Je distinguais à la lueur de la veilleuse mon collègue portant juste son caleçon. Surpris, je me redressais. Sans rien dire, il s’approcha, poussa doucement mes épaules pour m’allonger, se coucha sur moi, puis ses lèvres se collèrent aux miennes.
Comme si j’attendais ce moment, je ne réagis pas, le laissant sa langue explorer ma bouche. Le plaisir que j’éprouvais me détendit. Ma langue se mêlait à la sienne alors qu’il ôtait ma chemisette. Nos peaux se frottaient l’une à l’autre. Je sentais ses tétons durs caresser mon torse, mais aussi la protubérance de son caleçon sur mon pantalon de coton blanc.
Mes seules expériences, à part la fellation du jeune patient, étaient de mater les attributs masculins, mais jamais encore franchi le pas. Cette fois, je me laissais aller à ce plaisir que m’apportait mon collègue. Mon corps s’adaptait comme si il avait déjà pratiqué.
Je ne protestais pas lorsqu’il fit glisser mon pantalon, passer sa main dans la jambe de mon slip, saisir ma queue qui avait pris une bonne dimension.
Il se releva pour enlever son caleçon. Je pouvais admirer son sexe brandit comme une épée sur deux belles boules suspendues, le tout garni de poils sombres. Ma main fut aimantée. Je caressais ces joyaux, entourant sa verge pour décalotter son gland déjà humide.
Il retira mon slip, s’allongea sur moi. Cette fois, nos épidermes se collaient l’un à l’autre, nos corps se frottaient, nos sexes se croisaient, nos bouches s’unifiaient.
Je fus étonné de mon intrépidité qui ne fut pas pour lui déplaire. Comme il était allongé sur moi, mes mains pouvaient parcourir son dos, ses reins, ses fesses. Il écartait les jambes comme une invitation à explorer sa raie. Mes doigts glissaient dans son sillon poilu.
Il prenait de plus en plus d’initiative ce qui déconcentra, car je découvrais ce plaisir. Sa bouche parcourait mon cou, de faufilant sur mon torse, s’arrêtait sur mes tétons qu’il suçait, mordillait à la limite de la douleur. Plus il était actif, plus je devenais passif, le laissant s’abreuver de mon corps. Je gémis lorsque ma queue tendue effleura son menton au moment où il titillait de sa langue mon nombril.
Je ne crus pas tenir la distance lorsqu’il lécha le bout de mon gland à peine décalotté qui mit complètement à nu avec ses lèvres avant de l’introduire entièrement dans sa bouche. De sentir cette cavité chaude et humide m’excitait tant, que mes testicules remontés devenaient durs.
Ma passivité le rendit de plus en plus rustre, commençant à me brutaliser. Il me suçait avec frénésie de mouvements rapides, essayant de gober mes boules. Expert, il savait s’arrêter avant que j’éjacule.
Mon corps lui était entièrement dévolu. Il me manipulait, me retourna sur le ventre pour écarter mes fesses. Le ressenti de sa langue débordant de salive léchant ma rondelle, me fit gémir, ce qui l’excitait encore plus. Lorsque je sentis son doigt me pénétrer, je soulevais mon bassin pour faciliter ses mouvements de va et vient. Ce plaisir que je découvrais me faisait perdre la réalité de la situation, au point que je ne m’étais pas aperçu qu’il m’avait enduit l’anus de gel. Je croyais qu’il me mettait un doigt quand j’ai senti quelque chose qui voulait pénétrer. Je compris à la douleur ressentit qu’il m’avait empalé d’une seule traite. Heureusement, j’avais enfoncé ma tête dans l’oreiller ce qui atténua le cri de douleur pour mon dépucelage.
Une fois entièrement dans mon fondement, s’apercevant qu’il m’avait transpercé, il ne bougea plus. Petit à petit la douleur se dissipait. Je me détendis. A ce moment, il commença lentement son va et vient, accélérant progressivement. La douleur laissait place au plaisir. Je l’entendais ahaner au rythme de ses mouvements. Je recommençais à bander. Ses mouvements faisaient que ma queue frottait sur le drap, si bien que j’éjaculai plusieurs jets de sperme, et lui inondai mon dos de sa semence. Juste un baiser, il disparut. C’est l’infirmière de garde qui vint me réveiller. Il était presque l’heure du changement d’équipe. Elle me dit que la nuit a été calme, que j’avais bien fait de me reposer, que je devais être très fatigué, car elle m’avait entendu rêver fort, que mon collègue était déjà parti.
Cela me convenait. J’avais encore les stigmates de son assaut. Je ne souhaitais pas le rencontrer. Après les consignes d’usage à l’équipe de jour, je suis rentré chez moi bien content de prendre un bon bain chaud.
En retrouvant l’équipe de nuit, mon collègue était remplacé par une collègue. Le contact était excellent. A force de se côtoyer, nous sommes appréciés, fiancés et mariés.
Ma nouvelle vie de famille me comblait avec mes trois enfants – 1 garçon, l’aîné et deux filles, mais quand même mes envies de mater, voire plus, des attributs masculin me hantaient. Il fallait que je trouve un poste de médecin entouré principalement de garçons.
A suivre …………
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