126 – Poulaine.
En mer – Anno 1667
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On s’habille… Moi, je passe la courte tunique.
Dans la pièce du capitaine, la servante est déjà occupée. Je vais avec elle, chercher ce qu’il faut à la cuisine.
Les officiers et les captives qu’ils ont choisies viennent déjeuner.
Un homme demande à Murphy: « Alors, la Princesse, elle a été sage??? »
Murphy fait un bruit avec la bouche: « Elle obéit mollement, je crois qu’elle va avoir le fouet ce matin ou cet après-midi. »
« Tu as raison, ça met tout le monde de bonne humeur. »
Je la supplie: « Non, Maîtresse, je vous en prie! »
Ça fait rire les convives.
La journée se passe en corvées diverses, dans les appartements du capitaine et la cuisine. Tout ça avec la perspective de me faire fouetter, dès que Murphy aura envie de s’amuser!!
Pour moi, ces corvées sont humiliantes et pourtant, ce n’est pas pire que ma façon de traiter les servantes au château… Y compris le fouet, quelle que soit l’ardeur avec laquelle elles avaient travaillé.
De plus, je m’attends à la vengeance des deux servantes que j’ai fait fouetter de temps en temps au château — enfin, régulièrement — pour le seul motif qu’elles avaient de belles fesses et que j’aimais les voir danser sous le fouet!
Bien sûr, elles ne se gênent pas pour me donner des ordres… ou pour me traiter de souillon.
Pour le moment, elles n’essaient pas de se substituer à Murphy. Elles ont bien compris que c’était nécessaire d’attendre qu’elle se lasse de moi.
Le lendemain matin, je suis de nouveau attachée au mât. Murphy me dit: « Sous le fouet, tu vas chanter comme un petit rossignol, Mina! »
Elle fait une démonstration de sa science: le fouet trace des lignes parallèles sur mes fesses et mes cuisses et elle a raison, je crie très aigu et je fais le rossignol qui a mal et qui supplie!!!
Le fouet, les corvées humiliantes et les services intimes rendus à Murphy toutes les nuits, c’est beaucoup, donc je ne pensais pas qu’il y aurait pire. Pauvre petit rossignol naïf.
Le lendemain soir, alors que je sers à la table du capitaine, Orla, une des deux servantes qui étaient au château et dont je crains la vengeance, dit innocemment à Murphy: « Vous avez de la chance d’avoir une esclave pour la nuit, nous on doit aller se soulager aux latrines de la poulaine et c’est très sale. »
L’autre servante — heureusement, il n’y en a que deux ici — renchérit: « C’est vrai, on glisse dedans, tellement c’est sale. »
Le Capitaine a l’air surpris: « Aah… Je n’aime pas que mon bateau soit sale. »
Putain! Mieux vaut entendre ça qu’être sourd!!!
La suite est pire, Orla lui dit: « Si on mettait la Princesse à la poulaine, elle prendrait l’air. Et puis vous seriez le seul Capitaine à avoir une Princesse pour nettoyer vos latrines! »
Il part d’un gros rire: « C’est vrai ça! » Il se tourne vers Murphy pour dire: « Choisis une autre fille. »
Orla savoure sa vengeance: « On pourrait l’attacher là, pour qu’elle s’occupe du nettoyage. »
Le Capitaine trouve que c’est une très bonne idée. Il dit à Orla, mon ancienne servante: « Tu t’occupes de ça! »
Murphy s’en mêle: « Tu l’attacheras là, tous les matins et elle dormira dans la cale. Demande à Hassan de quoi l’attacher… »
Mmmmhhh, c’est du miel qui coule dans les oreilles d’Orla — je voudrais qu’elle étouffe sous une tonne de miel…
Je la suis chez Wilson, un grand Black maître d’équipage.
« Tiens, voilà la Princesse! » dit-il en nous voyant.
« Elle va s’occuper des poulaines » lui dit Orla. « Il faudrait l’attacher avec une chaîne et me donner la clé. »
Le Noir fait un grand sourire en répondant: « Une Princesse pour nettoyer notre merde! On est gâté! »
Tout ça pour quelques punitions quand on était au château!!!
On va à l’avant du bateau, la proue. Là, sur la partie qui surplombe la mer, il y a un plancher de bois aux lattes écartées… Ce sont les latrines. Les matelots se soulagent ici, tandis que les officiers ont des seaux en bois ou des pots de chambre en faïence.
Il y a une petite cloison d’un mètre de haut, qui donne un semblant d’intimité…
Je porte toujours la courte tunique qui m’arrive juste sous les fesses.
« Enlève-la! » me dit Orla.
Brrrr! Il fait froid. On navigue vers le Sud et la température a augmenté, mais il y beaucoup de vent, surtout à la proue du bateau.
Quand je suis nue, elle me dit: « Mets-toi sur le bord, les fesses vers moi… »
« J’ai rien fait, Maîtresse!! »
Elle me fait un grand sourire: « En souvenir du bon vieux temps. »
J’obéis et… « ffffwwwwiiii!! », elle m’envoie un coup de fouet en travers des fesses, puis sur les cuisses, les mollets… Et puis elle recommence!
Je crie, je pleure, je supplie… J’essaie de parer un peu les coups en bougeant les fesses…
Des hommes sont venus regarder le spectacle… Ils apprécient, commentent: « Qu’est-ce qu’elle tortille bien ses fesses, la Princesse! »
Enfin… Orla s’arrête: « Voilà, 20 coups de fouet, ça te rappelle quelque chose? »
« Ouiiiiii Maîtresse, pardoooon!! »
Je me frotte les fesses et les jambes.
Orla se tourne vers les spectateurs et leur dit: « C’est comme ça que la Princesse faisait fouetter ses servantes!! »
Pour eux, c’est normal de donner des coups de fouet à une servante. Par contre, ils sont ravis de voir une domestique qui fouette son ex-maîtresse.
Elle ramasse le collier de fer avec une chaîne qu’Hassan a apporté et le ferme autour de mon cou. Elle attache la chaîne à un anneau, je peux me déplacer sur quelques mètres.
Orla me dit: « Le fouet, ce sera chaque fois que j’en aurai envie! »
C’est la méthode de Murphy, la menace qui plane au-dessus des fesses des servantes.
Elle repart… avec la clé!
On me donne une brosse et un seau d’eau de mer.
« Faut que ça brille, Princesse! » me dit un homme.
Je regarde les lattes de bois… Il y a de la… saleté un peu partout…
Je me mets à genoux sur les lattes et je frotte… Il y a beaucoup de vent… Je dois avoir les fesses couvertes de marques de fouet et de chair de poule…
La mer est forte et le navire bouge, je dois me tenir aux barres de bois… J’ai des hauts le cœur, tellement ce travail me répugne…
J’entends derrière moi une voix d’homme: « Alors Princesse, on t’a donné un sale boulot? »
Je me retourne en tenant « ma » chaîne pour répondre: « Oui, Maître. »
C’est Wilson, un Noir d’une cinquantaine d’années, grand et costaud, avec une belle cicatrice en travers du visage. Il est accompagné d’un tout jeune homme, sans doute un mousse.
Il me demande: « Qui t’a fouettée comme ça? »
« C’est Orla, Maître! Elle était ma servante et elle se venge. »
Il s’adresse à son jeune compagnon: « Ça te dirait de te faire sucer par une Princesse? »
Ah, oui ça lui dit! « Sûr! Merci M’sieur Wilson. »
Dure, la vie de mousse. Je suppose que, lorsqu’il n’y a pas de captives, c’est eux qui sucent!
Je fais un geste vers la poulaine en objectant: « Si je ne nettoie pas, elle va encore me punir, Maître. »
« On va arranger ça » dit l’homme.
Il part et revient avec deux jolies captives blondes et nues. Il leur dit: « Il faut que ce soit impeccable ». Elles ont dû être capturées avant moi, peut-être au Danemark car elles ne parlent pas anglais, mais elles ont compris et viennent m’aider.
Les filles ont quelques marques de fouet sur les fesses et les cuisses! Rien de tel comme stimulation… J’en sais, hélas, quelque chose!
Deux autres mousses viennent voir leur copain et l’un d’eux demande à Wilson: « On peut aider aussi, M’sieur Wilson? »
« Bien sûr. Après ça, la Princesse vous sucera! »
Ils sont ravis! « Merci, m’sieur Wilson. »
Les mousses remplissent des seaux d’eau… caressent les fesses des deux blondes, les miennes aussi!
Après une demi-heure, tout est propre et personne n’est venu salir…
Wilson leur dit: « Vous voulez vous faire sucer par la Princesse ou par les blondes? »
En chœur, ils répondent: « La Princesse! » Ben oui, les blondes, ils les connaissent.
Sur un signe, les filles repartent.
Johnny, le mousse, s’assied contre le bord du navire et dit: « Maintenant, tu vas remercier. »
Je réponds: « Oui… » d’une petite voix.
Il me reprend: « Oui qui…? » Il a 18 ans maximum!!!
« Oui, Maître. »
Il s’assied, le dos contre le pa****t… et sort un sexe déjà dur de son pantalon.
Je dis doucement: « C’est la première fois… Maître. »
Wilson rit en disant: « Oh, comme c’est mignon! »
Mignon! Prendre le sexe d’un homme dans sa bouche, c’est mignon!!!!
Il ajoute: « Tu es pucelle de partout alors? »
« Oui, Maître. »
C’est vrai, j’ai léché le sexe d’une femme, Murphy… mais c’est tout.
Le sexe du mousse est tout blanc… mais, pas très propre. Chez les pirates, l’hygiène n’est pas la préoccupation principale. Par contre, le capitaine veut que son bateau soit impeccable.
Les seules fois où les hommes se lavent, c’est quand ils vont à terre baiser des filles. Avec nous, captives et esclaves, ce n’est pas nécessaire.
Wilson vient s’asseoir à côté de nous et prend le sexe du jeune en main!
Je ne suis plus à une surprise près, ici! Il m’explique: « Tu prends le sexe en bouche, tu suces et tu lèches, en faisant attention à ne pas mordre. »
« Oui, Maître… »
Il tire sur la peau et dégage le gland. L’odeur est forte, même en plein vent. Je le prends en bouche… en faisant un peu la grimace. Le mousse me maintient la tête et va et vient dans ma bouche… Le mauvais goût disparaît, ça devient moins désagréable…
Wilson lui demande: « C’est bon, p’tit? »
« Super, m’sieur Wilson. J’ai l’impression que ma bite est dans un écrin velours… »
Je lève les yeux vers lui, surprise par l’image… Il est beau ce jeune homme… et gentil. Enfin, à la mode d’ici.
Il va et vient dans ma bouche, pendant que je fais tourner ma langue autour du gland… Je me dis qu’il utilise ma bouche comme si c’était le sexe d’une femme.
Au bout d’un moment, il accélère les mouvements et je sens son sexe se gonfler entre mes lèvres… Il me maintient bien la tête et m’envoie des saccades de foutre chaud dans la gorge…
Je n’avais jamais imaginé avoir un jour « ça » en bouche!! C’est un peu comme du blanc d’œuf, mais en plus épais et c’est légèrement salé et écœurant!!
J’avale le plus possible, mais c’est très abondant! Je m’étrangle un peu en toussant… Un peu de foutre sort de ma bouche.
Il me maintient bien la tête! Quand il a fini de jouir, il sort de ma bouche.
Son sexe est dressé sous mon nez. Il le presse entre deux doigts, de la base vers le gland pour faire sortir de grosses gouttes de foutre que j’avale!!
Ensuite, il me demande sèchement: « Ça ne te plaît pas? »
« Si, maître… mais c’est… »
Il relève ma tête pour bien me regarder: « Moi, ce qui ne me plaît pas, ce sont tes grimaces!! Je devrais te punir pour ça!! »
« Pardon, Maître, c’est la première fois! J’ai été surprise, mais maintenant, j’avalerai tout avec le sourire. »
« J’espère pour toi ». Il me montre, par terre, un peu de foutre qui a coulé de ma bouche!! « Lèche!! »
Je lape vite les quelques gouttes et je relève la tête pour lui dire: « Je commence à être habituée, Maître, c’est délicieux » et je lui fais un grand sourire. Bon, c’est toujours aussi dégoûtant, mais je suis prête à beaucoup pour éviter le fouet!
Il me caresse la tête, comme si j’étais un petit chien qui a bien mangé sa pâtée!!
« Bien, dit-il, puisque tu aimes ça, tu vas aussi sucer mes copains. T’es contente?? »
« Je suis ravie de vous obéir, Maître… »
À suivre.
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