Après de longues de semaines de travail, enfin les congés! Je travaille à Paris, et j’ai décidé de redescendre dans ma Alpes Maritimes natales. Pour profiter au mieux de mes congés, je prends un train de nuit. 9h du matin, je suis reposé, frais et dispo, je dépose mes affaires à l’appartement familial (vide pendant une semaine) et ça y est! Là, je peux me dire que les vacances commencent pour de bon.
Forcément, mon premier réflexe est d’aller faire un tour à la mer. Presque un an que j’y ai pas trempé un orteil, que je n’ai pas senti le soleil réchauffer ma peau pendant des heures de douce tranquillité. Par contre, hors de question de me poser sur une plage blindée de touristes. Depuis tout petit, je connais un petit coin à l’écart, connu des habitants du coin seulement. Habitants du coin qui profite du début du mois d’août pour aller dans des contrées moins envahies. Allez, un sac, une bouteille d’eau et autres affaires de base, et c’est parti. L’impatience me ronge.
Je prends mon vélo, et arrivé à proximité de cette plage, je le gare un peu à l’écart du chemin, et l’attache à un arbre. Mon sac sur le dos, je descends le petit escarpement rocheux, et voilà mon paradis! Un paradis moins vide que je ne l’espérais. Deux personnes sont déjà installées. Bon, pas grave: cela change un peu mes plans, mais pour autant, toujours mieux que les plages noires de monde. Par politesse, je me rapproche de ces deux personnes, pour m’assurer que ma présence ne les dérange pas. En me rapprochant, je constate qu’il s’agit de deux femmes, âgées certainement entre 45 et 50 ans.
« Hum, excusez-moi… Bonjour »
» Bonjour » me répond la première, cheveux noirs, lunettes de soleil sur le nez.
« Bonjour, me répond la seconde d’une voix plus timide, se protégeant les yeux des rayons du soleil avec sa main.
« Est-ce que cela vous dérange si je profite moi aussi de la plage? J’irai m’installer à l’autre bout, pour vous ennuyer le moins soleil »
« Absolument aucun souci, au contraire. restez-donc avec nous. Un peu de compagnie est toujours agréable. »
« Avec plaisir »
Je commence à m’installer, à côté de la brune qui avait fait un léger geste de la main pour m’inviter à mettre ma serviette à son côté. La blonde, elle, est déjà rallongée, yeux fermés.
« Vous venez souvent par ici? »
« Non, c’est la première fois. Ma soeur habite pas loin, et nous a conseillé cette plage. Et vous jeune homme? »
« J’ai grandi à côté. Quand j’étais plus jeune, j’y venais presque tous les jours en belle saison, avec mes amis. Mais depuis quelques années, j’ai dû partir pour les études, et là, je viens de finir ma première année de travail. Je reviens me ressourcer ici pour deux semaines, en toute tranquillité ».
« Seul? »
« Pour le moment. Mes amis sont tous partis à droite à gauche, études, travail, les trucs habituels. Quant à ma famille, ils sont en Italie du nord jusqu’à la semaine prochaine ».
« Je vois. Donc une semaine de vraies vacances, et une autre avec la famille » dit-elle avec un petit sourire.
« Exactement » dis-je en rigolant.
« Cette plage est si belle. Petite, mais belle. Vous amis et vous devaient passer de bonnes soirées? »
« Oui, c’était notre coin à nous. Le soir, avec quelques bières, quoi de mieux pour oublier la journée de lycée, ou encore fêter le bac? Mais aussi seul. Comme il y a rarement du monde, je profite qu’il n’y ait personne pour bronzer nu. Même si je vais peut-être éviter aujourd’hui. »
« Pourquoi donc? Ne vous gênez pas pour nous. On ne voudrait pas gâcher votre début de vacances pour rien. »
« Vous êtes sûre? Je ne voudrez pas vous mettre mal à l’aise. »
« Mais non, ne vous inquiétez donc pas pour nous ».
Je me relève alors, leur tournant le dos, et fais glisser mon short de bain. Je le range ensuite dans mon sac, puis me rallonge.
Nous continuons alors de discuter. J’apprends que la brune se prénomme Annick, 46 ans, et qu’elle habite du côté de Tours. Divorcée depuis 3 ans, elle est venue dans le Sud pour les vacances d’été avec une de ses collègues, Marina, 48 ans. Marina qui est toujours comme endormie sur sa serviette.
« Zut! »
« Quoi? »
« Je viens de me souvenir que je n’ai pas mis de crème. J’ai perdu les bonnes habitudes on dirait. Pas envie de finir rouge dès la première journée ».
Je me tourne vers son sac. Ne trouvant pas mon flacon, je me redresse un peu mieux, puis me mets à quatre pattes. Je farfouille dans mon sac, mais impossible de mettre la main sur ma crème solaire. Je commence à penser que je l’ai oubliée, quand Annick m’interpelle.
« Puis-je vous passer un peu de la mienne. Vous ne semblez pas trouver votre bonheur dans vos affaires. »
« Oui, j’ai dû laisser ça chez moi. »
« Très bien, allongez-vous, je vais pour en mettre sur le dos ».
« Merci »
Je m’allonge sur le ventre, tête tournée vers Marina qui dort toujours. Je n’avais guère fait attention à elle jusqu’à maintenant, mais de cet angle, je constate que ses seins forment une jolie montagne, couverte par un maillot de bain une pièce.
Alors que j’ai cette pensée, je sens Annick qui s’assoit à califourchon sur moi. Ses genoux sont de chaque côté de mes fesses. Elle commence alors à me mettre de la crème sur le haut du dos. La douce caresse de ces mains combinées aux formes de Marina commencent à me transporter légèrement.
Annick descend petit à petit, se décalant vers mes pieds dans sa position désormais quasi-assise. Alors que je ne sentais que la présent de ces genoux au début, je sens désormais ses fesses touchant mes mollets, ses main oeuvrant en bas de mon dos.
Elle se lève alors, du côté opposé à mon visage, puis se repositionne. Elle passe maintenant de la crème sur mes chevilles. Je sens ses fesses sur les miennes. Mais contrairement à avant, je ne sens pas ses fesses au travers de son léger maillot. Non, je sens sa peau, sa chaleur, directement.
Elle remonte le long de mes jambes. Alors qu’elle commence à masser mes cuisses, elle se décale sur le bas de mon dos. Sans se relever un minimum, mais en glissant, et même, j’ai l’impression,en frottant un peu.
Elle s’occupe alors du haut de mes cuisses et de mon fessier. Elle semble y prendre plus de temps que pour le reste. Lorsque ses mains descende le long de mes cuisses, pour bien passer de la crème, ses doigts frôlent mes testicules, mon pénis. Oh, très légèrement, mais je sens que le début d’érection que je cherchais à contenir commence à s’installer.
« J’ai fini pour ce côté, au suivant. Tourne-toi.
Je me tourne, et Annick recommence en me mettant de la crème sur le torse. Elle est là, en face de moi, nue. Là, je bande. Sa petit poitrine, les traces de bronzage bien visible, sa touffe fournie, son ventre un peu rebondi, sa peau et son début de rides, tout m’excite, alors que je n’avais jusqu’alors jamais fantasmé sur une femme plus âgée. Mais surtout, c’est son regard qui me capte. Jamais on ne m’avait regarder de la sorte, avec cette étincelle de désir intense.
Elle continue de me mettre de la crème. Elle est assis sur mon bas ventre. Ma bite désormais dressée est contre ses fesses. Elle recule alors un peu, plaçant son entrejambe au-dessus du mien. Elle positionne ma queue contre mon corps, maintenue par le sien. Je la sens qui fait de léger mouvement de bassin. Elle continue ainsi jusqu’à m’avoir passé de la crème sur mon ventre, ses mains passant de temps en temps sur mon gland.
Elle se tourne alors au-dessus de moi pour s’occuper de mes jambes. Sans se relever, en glissant, mon entrejambe contre le sien.Je n’ai qu’une envie, mais elle semble vouloir jouer encore.
Fortement penchée pour atteindre le bas de mes jambes, je profite d’une vue formidable. Plus elle remonte dans son massage, plus elle glisse vers mon visage. Si je peux sentir mon pénis libéré de toute pression totalement dressé, je peux surtout avoir une vue de plus en plus nette sur les fesses d’Annick.
Ses mains arrivent en haut de mes cuisses. Elle est presque allongée sur moi. Son entrejambe remonte, est désormais au niveau de mon visage. Je sens son intimité. Son odeur m’enivre. Je ne peux pas résister: je pose mes mains sur ses fesses, et sors ma langue pour embrasser son abricot. Comme si c’était le top départ, Annick prend ma queue en main, je sens sa langue jouer avec mon bout, puis sa bouche m’engloutir. Durant de merveilleuses minutes, nous restons comme ça, se dévorant le sexe l’un l’autre.
Je me décide alors à glisser un doigt dans sa chatte, mais Annick m’interrompt et se relève un peu.
« Non, ce n’est pas ça que je veux en moi »
Ce regard, ce désir, je suis à elle, je suis son jouet. Elle le sait, et je le sais. Elle prend ma bite en main, puis s’assoit dessus. Elle choisit son rythme. Au début, mon regarde reste rivé au sien. Puis il descend, je vois son corps bouger sur le mien. Elle prend mes mains dans les siennes, les pose sur ses seins. Je caresse ses tétons… Mais non! Après tant d’abstinence, je sens que je suis presque à bout, et le contact de ses seins me procure un sentiment d’excitation de trop.
« Je vais … Je vais jouir » ne trouvant pas mes mots comme un gamin.
« Alors vas-y », dit-elle avec conviction, un sourire gourmand au coin des lèvres. Ce qui me fait lâcher la purée de suite.
Oh que c’était bon. Mais une fois ce plaisir immense passé, je me sens coupable. Je n’ai guère duré longtemps, je n’ai pas procuré à Annick le même plaisir que celui qui m’a offert.
Elle semble lire dans mes yeux ce que je pense.
« Ne t’inquiète pas mon bichon. Maintenant que tu t’es vidé une fois, tu seras plus performant pour le second round » puis se baisse en m’embrassant.
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