Depuis que nous avons marié nos enfants, notre fils Thierry et Samantha, nous somment devenus amis avec les parents de ma belle- fille, nous nous côtoyons ‘périodiquement’, je passe tous les jours devant chez eux et une fois par semaine je m’arrête prendre des nouvelles et boire une bière a l’occasion, c’est ce que je fais aujourd’hui…
– Bonjour Mathilde, ça va ?
– Ça va merci Julien
– Ton mari n’est pas là ?
– Non, mais ce n’est pas grave, je vais tout de même t’offrir une bière
– Ce n’est pas de refus j’ai une de ces soif ! tu as des nouvelles des enfants ?
– Eeeuuuuuh … oui …
– Qu’y a-t-il ? tu me cache quelque chose toi, c’est grave ?
– Non, juste une contrariété
– Raconte Mathilde
– Tu sais que ma fille est proche de moi, elle me confie tout
– Thierry la trompe ?
– Non, Samantha a mal
– Il là bat ?
– Non ! non !
– Alors elle a mal où ?
– Pendant les rapports
– Ha ? une infection ?
– Non plus, ton fils est trop gros
– Trop gros ? il est mince comme un fil de fer
– Sooooonnnn ….. Hummmm, son sexe ! il a un sexe trop développé
– Aiiiieeeeee … ils ont certainement fait l’amour avant le mariage que diable !
– Oui mais pas trois fois par jours !
– Je commence à comprendre
– Il … il parait que c’est de famille ?
– Tu fais allusion à moi ?
– Ce n’est pas le cas ?
– Isa me supporte très bien et elle ne changerait de mec pour rien au monde !
– Alors ma fille ment ?
– Tu veux que je te montre mon sexe ?
– Je n’irais pas jusque là
– Si-si, j’y tiens
– Soit, ainsi je serais fixée
– Par contre même si je suis prompt je ne bande pas sur commande
– Tu veux une revue cochonne d’Hubert ?
– Surtout pas ! si tu me laisse toucher ta chatte par-dessus ta robe ça pourrait marcher
– S’il n’y a que ça …
– Approche toi face à moi, plus près, à me coller, ainsi nous n’aurons pas à supporter nos regards, j’ouvre ma braguette …et je ‘le’ sort
– Bofff, il parait ordinaire …
– Attend ! à présent je vais masser ton pubis, ouvre un peu les jambes …, tu possèdes une belle chatte lippue on dirait !
– Soit raisonnable … alors ça vient ?
– Non, si je pouvais relever ta robe et toucher par-dessus ta culotte ?
– N’en profite pas hein ?
– Bon, restons-en là, dommage je sentais que ça venait
– Fais-toi plaisir ….
– Merci … tes cuisses sont lisses et chaudes … plus je monte plus c’est brulant …
– Normal … ah ? ça gonfle dans ma main … ça n’arrête pas de s’allonger !
– Je vais passer des doigts dans ta culotte
– Juliiieeeeennnnn …… ne fait pas ça … tu touches mon point sensible, je ne réponds plus de rien
– Tu coules comme une fontaine …
– Tu bande comme un taureau… continue à me doigter, tu me fais du bien Julien
– Fais-moi décharger …
Elle coule abondamment entre mes doigts, j’éjacule longuement sur son carrelage, un silence pesant suit, je me rajuste tandis qu’elle va dans la salle de bain éponger sa vulve trempée, incrédule, je repars sans attendre son retour et ne pas la voir nettoyer mon sperme, le lendemain un bref texto de sa part, elle me demande de repasser sans faute, cette fois Hubert est présent, j’espère qu’il ne s’est aperçu de rien
– Salut Hubert ! tu as d’autres nouvelles des enfants Mathilde ?
– Non-non
– C’est moi qui veux parler avec toi julien
– Ah ????? OK Hubert , que veut-tu savoir ?
– Ne te braque pas mais pour hier je suis au courant, l’idée que tu montres ta queue a Mathilde vient de moi
– De mieux en mieux la belle famille !
– Nous voulions nous assurer que notre fille ne mentait pas sur la grosseur de la verge de Thierry
– Vous este satisfaits ? tel père tel fils !
– Mais ça n’explique pas le fond du problème, à savoir est-ce que ton fils fait vraiment mal à sa femme pendant les rapports ?
– Qui sait ?
– Il n’y a qu’un moyen de savoir si ça vient de ton fils ou de Samantha…
– Lequel ?
– Je fantasme depuis très longtemps sur le fait de voir Mathilde avec un autre homme
– NOOOOOONNN ! ?
– Si, tu vas baiser ta commère Julien
– Tu es fou ?
– Si ma femme hurle de douleur nous serons fixés, ton fils n’est pas compatible avec notre douce Samantha ! mais si elle braille de bonheur notre fille affabule ! chérie ? montre-nous ta chatte
– Je mouille déjà Julien …vient toucher …
– Comment résister à une femme en chaleur ? !!! que suis-je sensé faire ?
– Te déshabiller pardi, je vais t’aider, Mmuuummm ta bite est aussi grosse qu’hier !
– Lèche-lui le gland puisque tu ne peux pas tout avaler, je vais défaire le lit, rejoignez moi
– Depuis hier je ne rêve plus que d’une chose, que tu m’enfonce ta trique dans le con
– Suce moi chère commère !
– Tu me boufferas la motte sur le lit ?
– Bien sûr, J’ai gardé le plus longtemps possible ton parfum sur mes doigts, j’en suis dingue !
– Alors tu vas être servi, elle vomit tout son jus !
– Allons faire un soixante-neuf dans la chambre
Je laisse tomber mes fringues au hasard dans le couloir, la femme en fait autant, Hubert entièrement nu, nous attend en manipulant son modeste sexe, il écarquille les yeux en voyant mes attributs
– Avec un tel démonte pneu entre les cuisses je pense que ma fille a raison
– Attends avant de tirer des conclusions hâtives
– Tu permets que je décontracte le vagin de Mathilde avec ma bouche ?
– Tu permets chéri que je suce notre invité afin qu’il soit au maximum de sa forme ?
– Faites comme si je n’étais pas là …
Allongé sur le dos je reçois le corps inversé et bien conservé d’une sportive sur moi, je dispose ses genoux de chaque côté de ma tête afin de lui ouvrir l’abricot avec mes doigts et ma langue, je sens un souffle brulant sur ma queue tenue à deux mains avant de percevoir une langue agile tournoyer sur mon bout en feu décalotté
La vulve entrebâillée par l’écartèlement dût a la position laisse voir l’étroit passage où ma queue devra pénétrer sans faire souffrir sa propriétaire, je dois tout faire pour décontracter ses chairs, un premier coup de langue fait frissonner Mathilde, j’aspire le clitoris dégagé de son capuchon tandis que mon pouce courtise l’anus qui se rétracte avant de se relâcher totalement, la femme accepte cette intrusion en poussant un long soupir, ravie de mon audace elle gobe mon nœud , son mari applaudit son exploit
– Bravo ma chérie ! pompe le zob qui va t’ouvrir le con, branle-le, fait lui cracher sa purée
Ses sphincters travaillent à une vitesse folle, mon pouce a trouvé sa place dans son rectum, mes doigts et ma langue ont dilaté le conduit vaginal a son extrême, je suis rassuré, baiser ma commère sera aisé, je peux à présent me laisser aller dans sa gorge
– Avale chérie ! il décharge ! avale tout !
– Aide-moi toi qui es si fort !
– Gardes-en dans la bouche et embrasse-moi, donne-moi la becquée …. C’est boooooonnnnnnnnnnnnn ! il débande ?
– Touche, elle est encore bien raide !
– Tu te mets en levrette ? je verrais mieux
– D’accord Julien ?
– Ça me vas, montre-moi ton cul
– Elle est vachement ouverte ! tu vas pouvoir tout lui enfoncer ?
– J’en suis certain, elle en redemandera ! je vais me frotter entre ses cuisses pour m’enduire le membre de ses sécrétions, prête Mathilde ?
– Empale-moi de ton manche….
Hubert maintient les lèvres bien ouvertes qui blanchissent sous la poussée, ma queue se courbe, le vagin n’a d’autres choix que de me laisser entrer ou de craquer, la femme ne cesse de bramer des ooouuiiiiiiiii ! des noooonnnn ! encore ! arrête ! défonce-moi !
Elle se serait affalée si Hubert ne l’avait pas maintenue lorsque ma queue est entrée de moitié dans sa grotte, prêt à me retirer je suis resté immobile croyant lui faire mal mais c’est elle qui s’est lancée en arrière pour s’empaler sur mon membre
– Qu’attends-tu ? baise-moi fainéant
– Ça va chérie ?
– Bien sûr Hubert, pardonne ma franchise mais tu ne m’as jamais autant remplie, le moindre mouvement déclenche des ondes qui vont me mener au paradis en une minute, notre fille est une conne pour ne pas aimer les grosses triques
– Ou alors Thierry ne fait pas ce qu’il faut pour décontracter sa minette
– Tu devrais montrer à Samantha comment tu t’y prends
– Ça ne va pas ? je ne vais pas faire cocu mon propre fils ?
– Écoute Julien l’avenir de notre enfant en dépend
– Mon mari à raison, personne n’en saura rien, je vais de suite parler à ma fille
– Si elle dit oui je me plie à vos désirs
Deux jours plus tard je me rends à leur domicile…
– Bonjour beau papa
– Bonjour Samantha …
– Décontractez-vous je suis tout à fait consentante pour faire un test, maman m’a confié que vous lui aviez fait un bien fou
– Tes parents sont absents ?
– Ils sont partis pour la matinée
– Bien… alors commençons, as-tu une idée d’où vient le mal dont tu souffres durant les rapports ?
– De sécheresse
– Tu ne mouille pas ?
– Difficilement lorsque l’homme vous prend sur le lit sans préliminaires, et ceci trois fois par jours sans autres fantaisies
– Qu’est-ce-qui t’apporterait de ‘l’humidité’ ?
– Simplement des caresses, ah, aussi j’aime me montrer, me balader nue dans la maison mais ça exaspère Thierry… j’aimerais aussi qu’il prenne des clichés osés de mon anatomie, je m’exhibe quelquefois à l’extérieur sans qu’il le sache, ces fois-là je rentre la culotte à tordre
– Est-ce que tu mouille en ce moment ?
– Rien que de vous en parler j’ai le string humide
– Montre ?
– Venez plutôt toucher … je vois que votre braguette s’est subitement gonflée ?
– Elle le serait à moins, si tu permets je vais prendre mon portable
– Pour appeler qui ?
– Personne, c’est pour prendre quelques photos
– De ma chatte ?
– Et de tes seins, je les posterais anonymement sur internet, ainsi des milliers de mecs se masturberons devant leur écrans
– C’est mon rêve ! passez votre main entre mes cuisses …
– Effectivement c’est vachement trempé là-haut ! et dedans aussi …
– Enfoncez vos doigts… encore plus profonds, ouvrez-moi le col afin que votre bite entre aisément et entièrement dans mon con
– Les paroles crues aident beaucoup, il faut l’imposer à mon fils
– Sorts ta queue Julien
– Fais le toi-même, baisse toi, défait mon pantalon et dis-moi si ton mari a la même queue ?
– Attends …hoooouuu, je dirais même que la tienne est plus épaisse après le gland
– Je ne te demande pas de me sucer, tu vas prendre des poses et je vais faires des prises de vues sans ton visage tu mes diras si ça te fait mouiller davantage
– Ma culotte colle déjà à ma chatte
– Montre-moi … ouuuuuaaaiis ! pose un pied sur cette chaise et écarte le fond de ton string, bien tes doigts qui entrent dedans ! je perçois des clapotis, agite-les fortement
– Je vais jouir Julien
– Imagine que des mecs te regardent …ils se branlent sans se cacher pour éjaculer dans ta direction
– Haaaaaaaaaooooouuuuuuiiii !! je veux être pénétrée maintenant !!
– Comment ?
– Debout dans cette position !
– Tient-toi a moi …ça rentre ou je te soulève !
Après avoir pris quelques clichés bandants que lui enverrais petit à petit sur son portable, arc-bouté, les genoux un peu pliés mon manche va écarter ses chairs pour pénétrer en force dans le vagin extrêmement lubrifié, Samantha reste muette, bouche ouverte, attendant que la douleur se manifeste, ma queue se décalotte au point de péter le frein du prépuce qui me tord le nœud, soudain nous avons faillis perdre l’équilibre lorsque ma verge est avalée par le puits d’amour, ma belle-fille pousse un hurlement qui se transforme en miaulement de chatte en chaleur
– Mmmmmmmmooooooooouuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiii !! que c’est boooooooooonnnnnnnnnnn Julien je n’ai ressenti que du bonheur, bourre-moi le connin avec ta trique de bourricot
– Tu parles ainsi à Thierry ?
– Avant ? non ! à l’avenir ? OUUUUIIIIII !!
– Accroche toi à mon cou je vais te soulever par les cuisses
– Je ne l’ai jamais fait … ahhhh ….AAAAAAAAAHHHHHHHOOOOOOOOOUUUUUUUIIIIIIIII !!!!!!
– Tu ne peux pas descendre plus bas ! je te laisse faire le travail
– Soulève deux ou trois fois mon cul pour me faire tomber sèchement sur ton pic, je suis prête à jouir
– Salope tu me pisse sur les jambes
– Fait gicler ton foutre dans mon ventre toi aussi, je le garderais en moi parce qu’en rentrant je vais me faire sauter par Thierry sur l’évier !
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