Sylvie était allongée, sa tête reposant au creux de l’épaule de son homme, elle jouait avec le torse velu de celui-ci.
_ Pourquoi avoir dit que tu n’avais jamais ressenti une chose pareille?
_ Pierre n’a pas été gâté par Dame Nature, de plus il est éjaculateur précoce, donc une petite bite plus la précocité, c’est pas top et comme il n’est pas patient quand il déguste mon fruit, c’est du vite fait tant il est pressé d’y mettre son petit bout. Tu es le deuxième homme que je suce et qui me pénètre et comme Dame Nature s’est penchée sur ton berceau et te dotant d’un sexe de bonne taille, le ressenti n’est pas du tout le même.
Et Sylvie de rajouter
_ Quand Pierre louait une cassette porno, nous regardions le film, il bandait, il suffisait que je le touche pour qu’il éjacule.
Et toi, demanda Pascal, qu’est ce qui t’excitait?
_ Tout, les membres en érections des acteurs, certains mots que les acteurs disaient aux femmes et vice et versa, la bestialité dans l’acte, la soumission des femmes.
_ Ahhh, moi aussi ça m’excite et voilà encore un point commun avec ta copine.
Sylvie se leva pour se rendre à la cuisine prendre une bouteille d’eau, la tendit à Pascal qui lui rendit après avoir bu puis elle repartit, Pascal, regarda cette femme mature aux fines hanches, au cul pommelé, aux jambes fines et bien dessinées, montée sur des talons de douze centimètres, traverser la chambre pour se rendre aux toilettes, son sexe se redressa, il voulait de nouveau la posséder.
Il la vit revenir, marchant à quatre pattes, le fixant droit dans les yeux, dandinant du cul
_ Je suis ta chienne, tu as mis le feu en moi et depuis longtemps, je suis en chaleur, prends moi.
Pascal se leva
_ Je vais te baiser par la bouche pour commencer.
Il lui enfonça son pieu dressé dans la bouche, la tête de Sylvie entre ses mains puissantes et fit des allers retours, des larmes coulaient sur les joues de sa pute, il sorti sa queue, des filets de bave la reliait à la bouche, Sylvie pu enfin déglutir.
_ Tu aimes ça ma pute
_ Oui, prends moi comme une chienne, je suis bonne à saillir
Pascal se plaça derrière, de la main gauche, il attrapa une touffe de cheveux, tira, de la droite il lui administra une claque sur son cul et d’un magistral coup de rein la pénétra comme l’aurait fait un étalon, Sylvie laissa échapper un cri puis d’autres. Pendant un temps de pose Sylvie quémanda
_ Encore, j’en veux encore, défonce moi, je suis ta putain de chienne
Il sorti sa bite de la chatte béante ce qui libéra un torrent de mouille
_ Je vais te la mettre dans le cul maintenant.
Et il entra dans ce petit trou ouvert, lui écartant les deux globes et imprima un rythme régulier pour commencer et accéléra déclenchant des spasmes de jouissance à Sylvie
_ T’en voulait encore, tu est servie, tu apprécies j’espère
Pascal senti son plaisir arrivé, il augmenta la cadence, la chienne jouie une dernière fois
_ Je vais jouir dans ta bouche, tu avales tout, n’en perds pas une goutte, quand tu auras tout avalé, tu feras la toilette de ma queue avec ta langue.
Un flot de sperme se déversa dans sa bouche, bouche fermée sur le membre elle avala tout puis comme demandé entreprit reconnaissante la toilette de ce membre qui lui avait donné tant de plaisir.
Pascal s’habilla, Sylvie enfila son imper, ne serra que la ceinture, remis un peu d’ordre à sa coiffure et ils quittèrent l’appartement. Près des escaliers, Pascal plaqua Sylvie contre le mur, passa trois doigts dans le sexe encore ouvert et mouillé de sa pute et les porta sans un mot à sa bouche, elle compris et sans un mot elle lécha consciencieusement les doigts.
_ Je t’offre un café.
Sur le chemin qui les menait chez Pascal, Sylvie heureuse marchait droite, soutenant le regard des personnes qui avait vu son décolleté ou plus bas, ces bas résilles et de la peau blanche et pour elle même, elle se disait oui, je suis une salope, je suis la pute de cet homme.
Quand ils pénétrèrent dans la maison Monique était là, elle compris immédiatement.
Monique déposa un baiser sur la bouche de son mari et fit trois bises à Sylvie.
Monique perçut la gêne de son amie
_ Ne soit pas gênée Sylvie, je ne suis pas peinée ni jalouse, c’est la règle du jeu, du libertinage, tu t’habitueras. Donne moi ton imper et assis toi, je vais nous faire un café.
Sylvie dénoua la ceinture et Monique découvrit sa nudité
_ Pour une première fois tu as fait fort mon amour et toi Sylvie qu’as tu ressenti
_ De la gêne au début mais tout en étant excitée par la situation
_ Comment c’est passée cette première fois au lit
_ Ce fut divin, magistral, tu en as de la chance de connaître cela depuis tant d’années
_ Dis toi bien que cela n’est que le début pour toi, d’autres moments d’extase d’attendent.
_ Merci à vous deux.
FIN
Ajouter un commentaire