Je suis appuyé sur l’arbre, penché en avant, les jambes bien écartées. Ma jupe est relevée, mon slip est déchiré par terre. Il est derrière moi, je sens son souffle dans ma nuque, il passe sa queue de haut dans bas dans ma raie que j’ai bien lubrifiée avant de venir traîner dans ce bois. Il a passé son autre main sous ma chemise et mon soutien-gorge et il me triture les tétons. C’est bon. Ça y est, il appuie son gland sur mon trou.. il est énorme, une mandarine, un poing ?? Ça ne rentre pas, il insiste, je me cambre au maximum et pousse pour lui faciliter la tâche.. hummm, une douleur fulgurante, comme un déchirement, il est entré. Je dois me retenir pour ne pas crier. Il s’arrête pour que je reprennes mon souffle, une minute, deux …je me masturbe pour calmer ou masquer la douleur… il reprend lentement sa progression, lentement, doucement, fermement.. je sens ses grosses couilles sur les miennes, ses cuisses qui se collent à mon cul… je suis enculé à fond.. nous restons comme ça sans bouger, emboîté l’un dans l’autre. Je serre et relâche mes sphincters pour m’habituer à sa queue. Il m’att**** les tétons qu’il tire et triture, il marmonne des bribes de mots que je comprends mal, « chérie…salope.. je t’encule.. » je tourne la tête, je voudrai pouvoir voir sa bite dans ma chatte, lui rouler une pelle…je gémis…
Après quelques minutes il commence à limer, doucement, son vis ne bouge que de quelques millimètres dans mon cul, puis progressivement de plus en plus loin, de plus en plus vite, il alterne le rythme, doucement, vite, la profondeur de la saillie, jusqu’à presque sortir de la chatte qui s’offre à lui. Je n’ai plus de douleurs mais je sens au contraire le plaisir qui monte de plus en plus, je roule des hanches pour accompagner ses mouvements, je me branle de plus en plus fort. Il sort complètement son sexe pour l’y remettre immédiatement sans difficultés dans mon cul béant qui s’offre avec passion. Juste à côté de nous un voyeur a sorti sa bite et se branle sans aucune gêne. J’adore ça, j’aime m’exhiber, je redouble de gémissements et d’encouragements à mon enculeur , « vas y…c’est bon…baises moi… je suis ta salope.. » . Combien de temps cela dure t’il ? Je ne peux le dire mais c’est long et j’apprécie chaque minutes. De son côté il commence à s’essouffler et à ne plus pouvoir retenir sa jouissance. Il décule, ôte sa capote et m’invite à me mettre à genoux pour me jouir sur le visage et dans la bouche. En deux ou trois coup de main il atteint son but et m’envoie de puissants jets de sperme sur la langue, le menton et jusque sur le front. Je suis aux anges. Je fait signe au voyeur de s’approcher pour que je le suce et je pompe avec plaisir une queue un peu plus petite que celle de mon enculeur mais quand même de belle taille. Lui aussi ne tarde pas à jouir dans ma bouche. Pour finir je me relève et je me branle à mon tour devant mes compagnons qui ont eu la délicatesse de rester et qui me caressent les fesses et les seins. J’éjacule moi aussi, les jambes et tout le corps électrisés. Satisfait je descends ma jupe, rectifie ma tenue et retourne à ma voiture en roulant du cul comme une putain pour exciter les voyeurs. Une excellente après-midi. J’ai hâte de recommencer
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