Franchement, je vivais le rêve. Dès que mon père quittait la maison le matin pour aller travailler, je me levais pour retrouver ma mère. La première semaine, j’ai passé mes journées à taper au fond de sa chatte, et à profiter du confort de la maison. J’avoue aussi que j’appréciais de ne plus travailler, non pas que je n’étais pas bon dans mon boulot, mais cela me demandait du temps et pas mal d’energie.
Ma mère aussi était contente de revivre dans cette maison, elle avait tellement d’affaires à elle, et mon père n’arrêtait pas de lui offrir des cosmétiques, des crèmes, des parfums, des vetments, des fleurs… Parfois même de la lingerie, toujours chic et un peu sexy, que je lui demandais de garder sur elle pendant que je la baisais, lui écartant simplement la culotte sur le coté.
Ca arrivait aussi que le soir, je me tienne avec ma mère derrière mon père installé dans le canapé, et alors qu’il regardait la télé, je passais mes mains sous la chemise de nuit de ma mère, à lui toucher les seins et lui carresser la chatte.
De jour en jour, elle prenait davantage de distance avec mon père. Elle faisait de moins en moins l’amour avec lui, jusqu’à limiter cela à une fois par mois. Mais toutefois, elle continuait de l’aguicher, de porter des chemises de nuit décolletées et sexy, se frotter contre lui. Mais elle ne le laissait plus la toucher.
Un soir qu’il avait vraiment envi, il lui fit remarquer qu’il ne lui achetait pas de la lingerie pour rien. Elle lui retorqua qu’il pouvait se masturber dedans en la regardant, mais qu’elle était trop fatiguée ce soir pour faire quoique ce soit. Mon père s’executa. Et ce fut la première d’une longue serie. Presque chaque soir, mon père prenait une culotte de ma mère, parfois celle portée dans la journée, et se masturbait avec en regardant ma mère.
Mon père avait beau argumenter en disant à ma mère qu’elle était son épouse, qu’il avait envi d’elle, qu’il l’aimait… Ca ne changeait rien dans le comportement de ma mère, qui reprenait tous ses arguments à son avantage : « si tu m’aimes, prouve le moi et masturbe toi ».
Un soir, alors que mon père se branlait et que ma mère était allongée à coté de lui dans le lit, à lire un bouquin, elle se tourna un peu vers lui et lui dit :
– Tu te branlais sur les culottes de ta mère quand tu étais jeune ?
– Hein?? Non mais cherie…??
– Allez dis moi s’il te plait, fit ma mère en écartant le drap au dessus d’elle, et en écartant les cuisses. Elle glissa un doigt vers sa chatte et commença à se caresser.
– Il parait que les hommes fantasment souvent sur leur maman… C’était ton cas ?
Ma mère se glissa un doigt dans la chatte et commença à taper dedans.
– J’ai envi de toi… fit ma mère, que mon père n’avait pas touché depuis plus d’un mois. Mais réponds à ma question….
Elle remarqua que mon père bandait vraiment dur.
– Je pense que tous les garçons ont eu un jour une attirance pour leur mère.
– Prends moi…
Mon père lacha la culotte et vint s’allonger sur ma mère. Il la pénétra avec aisance. Ma mère continua :
– Tu t’es beaucoup masturbé pour ta mère ?
Ma mère embrassait mon père dans le cou et écartait les cuisses le plus possible. Mon père lui donnait des coups de queue. Il ralentit un peu.
– Qu’est ce qu’il y a ? murmura ma mère.
– Rien, fit mon père, ça me rappelle des souvenirs ce que tu viens de dire.
Mon père ferma les yeux et murmura : « oh merde pardon », tandis que ma mère le sentait ejaculer en elle.
– Et bien, tu es excité à ce point ?
Mon père se repoussa pour s’installer à coté de ma mère.
– La première femme que j’ai vu nue, par accident, c’est ma mère. Et quand on est un garçon, ça ne laisse pas indifferent. Mes premières masturbations étaient pour elle, et c’est vrai que j’ai pas mal joué avec ses culottes. Ca fait longtemps tout ça.
– Elle en a su quelque chose ?
– Bien sur que non. C’était mon jardin secret. Tu es la première à qui j’en parle.
– C’est vrai que ta mère était une jolie femme. Ca aurait été un fantasme qu’elle t’initie à l’amour ?
– Oulà… Beaucoup plus qu’un fantasme… Et de son coté, je pense que ce genre de chose n’a jamais effleuré sa pensée. L’amour maternel est tellement fort, ca peut etre déstabilisant pour un garçon. Pourtant longtemps j’ai eu un peu peur des filles, de les decouvrir, d’établir une relation avec elle. Dans le monde idéal, une mère devrait pouvoir donner une petite initiation, pour mieux préparer son fils à tout ça.
– un fantasme encore fort en toi… vu comment tu as joui si vite en y repensant…
– c’est un tabou, donc c’est excitant… enfin on va pas en parler toute la soirée… Ce sont mes premiers désirs, mais c’est vrai que ca a toujours été extrement fort.
– ça t’aurait plu qu’elle t’initie un peu ? reellement…
Mon père regarda ma mère avec étonnement, puis répondit :
– Ca je ne peux pas dire. Mais je ne sais pas… Qu’elle me laisse la voir nue… Ca m’aurait vraiment plu. C’est quand meme la personne la plus proche que l’on a dans sa vie, et il y a toute cette pudeur. Oui c’est vraiment un fantasme… On est proche de sa mère, l’amour est complet, et en meme temps, il y a cette barrière.
– Tu sais que j’ai toujours fait très attention que notre fils ne me voit jamais nue.
Mon père ne réagissant pas, ma mère poursuivit.
– Ca te plairait qu’il me voit ?
– Heu non franchement… Il faut éviter ça… Déjà pour toi, et puis pour lui, j’ai du mal à le cerner, c’est un garçon assez secret.
– Tu disais que les garçons devraient tous donner une petite initiation avec leur fils.
– Non, je disais ça, mais c’est de la folie. Juste du fantasme.
– Toi, tu n’aurais pas été contre, que ton père t’autorise à voir ta mère nue.
– C’était une autre génération… Ca n’aurait pas pu se faire.
– Mais ça t’aurait plu ?
– Oui… Ca m’aurait impressioné mais ca m’aurait plu.
– Quoi par exemple ? Qu’est ce qui t’aurait le plus plu ?
Mon père réflechit quelques instants et dit :
– Je ne sais pas, je… c’est délicat…
– Vas y dis, je suis ta femme. Je suis contente que tu me confies des secrets.
– Que mon père baisse devant moi la culotte de ma mère indécise. Qu’elle me montre son corps à sa demande, mais qu’elle soit malgré tout indécise par rapport à tout ça. Mais qu’elle se laisse faire par amour pour moi.
– Qu’il ecarte la chatte de ta mère comme ça ? , fit-elle en ouvrant sa propre chatte devant mon père. Ca t’aurait plu de voir ça.
Mon père ne répondit pas, mais sa queue était à nouveau dure.
– tu penses que notre fils s’est déjà masturbé en pensant à moi ?
– je ne sais pas, répondit mon père. Mais certainement, au moins une fois.
Ma mère se mit à se masturber fort, en souriant à mon père.
– Repete ça un peu…
– Je pense que ton fils s’est déjà masturbé en pensant à toi.
Ma mère se carressa intensement, alternant entre son clitoris, et d’agiter deux doigts au fond de sa chatte, provocant un petit bruit mouillé à chacun de ses mouvements.
– Repetes encore…
– Ton fils s’est deja branlé pour toi…
Ma mère se tourna, prit un cadre dans lequel j’étais en photo, le garda dans sa main gauche devant son visage, tout en se masturbant fort de la main droite. Mon père posa sa main sur sa cuisse, mais ma mère le repoussa, et continua de se doigter fort.
– Oh je t’aime… Maman t’aime…
A ces mots, elle serra les cuisses en jouissant, lachant deux jets de mouille sur ses cuisses et sur les draps.
– Oh c’est fort… Tellement fort…
– C’est parce que c’est tabou et interdit… Tu peux t’occuper de moi, j’ai trop envi là…
– Prends ma culotte et masturbe toi avec. Je suis fatiguée là.
– Mais…
– Je te laisse me regarder, je ne me recouvre pas de suite du drap, alors profite en… Et… Pendant que tu fais ça en me regardant, tu peux me dire maman ?…
Mon père était tellement excité qu’il s’executa. Il se masturba cinq minutes, et termina rapidement parce que ma mère se recouvrait des draps, pretextant avoir froid.
– attends maman, je viens… fit mon père en accelerant la cadence.
– jouis fort pour ta mère.
Mon père ejacula dans la culotte, son sperme gicla à travers la dentelle, aspergeant le lit. Ma mère posa un doigt dedans, récolta un peu de sperme, et alla se l’étaler sur son clitoris.
– C’est dommage que tu ais joui si vite, j’aurai bien aimé la prendre par derrière.
Mon père, fatigué, s’écroula dans le lit.
(A suivre – Attention on approche du dénouement et de la fin de cette histoire – vos commentaires sont appréciés)
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