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Annabelle progresse 1

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Aujourd’hui mon amour, j’aimerai bien que tu ne mettes aucun dessous. Tu veux bien me faire ce plaisir? Tu es tellement belle que je veux que tout le monde le sache. Et j’aime tant quand tu excites les autres hommes alors que je te sais à moi.
C’est donc vêtue d’une petite robe à bretelles, imprimée de petites fleurs que tu m’accompagnes en ville. Je dois passer chez l’assureur et aller retirer un livre à « France loisirs ». Le soleil du midi inonde un ciel d’un bleu infini. Il fait chaud en cette après-midi de juillet.
Nous avons garé la voiture au parking du bord de rivière et on fait tout à pieds. Dans les rues piétonnes les hommes et même certaines femmes, se retournaient sur nous. Ou plutôt sur toi mon amour. Bien d’autres femmes étaient légèrement vêtues avec cette chaleur. Il régnait une ambiance estivale. Dans le square, les enfants jouaient sous les jets d’eau du bassin. La ville semblait heureuse, tout le monde souriait, l’été commençait vraiment.
Chez l’assureur, nous ne sommes restés qu’un court instant. En nous rendant chez « France loisirs », toujours à pieds, nous nous sommes attardés devant les vitrines. Lorsqu’on stationnait devant l’une d’elles, la vitre me renvoyait souvent le reflet d’un homme qui te déshabillait du regard. Peut-être se rendait-il compte que tu ne portais rien sous ta robe?
Finalement, après avoir arpenté quelques ruelles commerçantes puis achetées un nouveau livre, je te propose d’aller prendre un verre à la terrasse d’un café.
Il y a beaucoup de monde et j’ai du mal à trouver une place libre. D’autant que cette terrasse propose, sous ses parasols, des brumisateurs qui atténuent un peu l’ardeur du soleil.
Mais la chance me sourit. En effet, la table libre que j’ai trouvée est juste à côté d’une grande table ronde où sont installés cinq hommes d’une trentaine d’années. Et tu ne le sais pas encore, mais j’escomptais bien une telle situation afin de mettre à exécution mon petit plan.
Déjà en t’asseyant, ta robe est remontée largement sur tes cuisses. Ce qui n’a pas échappé à un ou deux de nos voisins mâles. J’ai vu leurs têtes se rapprocher et expliquer à leurs amis ce qu’ils avaient découvert. Du coup, avec plus ou moins de discrétion, chacun d’entre eux tournait la tête afin de constater par eux-mêmes ce que leur pote avait décrit.
Toi, tu n’avais rien vu. Nous avons commandé des boissons et discuté du bouquin qu’on venait d’acquérir. A côté, nos voisins continuaient à se contorsionner et riaient comme des collégiens boutonneux. Il faut dire que la vue de tes cuisses et de ta généreuse poitrine qui tendait le tissu léger de ta robe donnaient matière à discussion. Les hommes adorent ça.
Comme tous n’avaient pas la même vue, ils prétextaient l’un d’aller aux toilettes, l’autre de se dégourdir les jambes, pour changer de place de temps en temps et ainsi, avoir une meilleure vue sur tes charmes. Conscient de leur manège, je décidais de réaliser la première étape de mon plan.
Je me penche vers toi et je te demande si tu veux bien me faire extrêmement plaisir. Tu me réponds naïvement que bien sur, tu veux bien me faire plaisir et tu me demandes ce que je veux. Et bien je voudrais que tu te rendes aux toilettes et que, quand tu vas revenir t’asseoir, tu remontes un peu plus ta robe, pratiquement jusqu’aux hanches. Là, tu ouvres de grands yeux ronds en me regardant fixement. Tu me demandes si je ne suis pas fou, que tu n’as rien dessous et qu’il y a plein de monde autour. Annabelle, si tu m’aimes vraiment, si tu veux vraiment me faire plaisir, tu fais ce que je viens de dire. De plus, tel que nous sommes situés, il n’y a que la table à côté qui peut nous voir, et précisément, c’est ce que je veux. Alors décides-toi!
Tu me regardes toujours. Ta bouche semble figée à demie ouverte. Je suppose que tu réfléchis. Puis tu te lèves et disparais dans le bar. A côté, les hommes te suivent des yeux puis se reparlent à voix basse. L’un d’entre eux prévient que tu réapparais. Tu marches doucement. Sans doute te demandes-tu encore si tu vas accéder à ma requête. Te voilà arrivée à ton siège. Je te regarde. Tu me regardes. Puis en te baissant pour t’asseoir, tu t’arranges pour que ta robe remonte. Pas autant que je le souhaitais, mais suffisamment pour que nos voisins, à leur tour, ouvrent des yeux comme des soucoupes. Là, ils n’en croient pas leurs rétines! Ils ne se gênent plus pour se retourner carrément. Ils parlent tous en même temps. Leurs mots ne sont même plus couverts. J’en profite pour leur demander si le spectacle leur plait. Aussi, tous en chœur, me disent que c’est magnifique mais incomplet. M’adressant alors à toi, je te dis, tu vois, ces messieurs te trouvent ravissante ainsi. Peut-être pourrais-tu satisfaire leur curiosité et écarter tes cuisses? Alors là, tu me regardes à nouveau en me faisant de gros yeux suppliants. Tu ne prononces aucune parole mais je sais que tu penses très fort car je t’entends me dire, non chéri, pas ça, s’il te plait! Je ne dis rien non plus, mais mon regard est suffisamment expressif et tu comprends que j’insiste pour que tu le fasses. Alors tu détournes la tête. Je te sens vaincue. Tes yeux sont dans le vague car tu ne veux pas croiser le regard de ces hommes, et tu écartes doucement tes cuisses, laissant apparaître ta fente qu’aucune toison ne dissimule. Durant tout ce laps de temps, nos cinq voisins étaient cois, la bouche entrouverte, et lorsqu’il découvre ta chatte, leurs mâchoires tombent d’un cran. Magnifique disent les uns, superbe disent les autres, merci madame, ce spectacle sera inoubliable.
Du coup, ces remerciements, ces encouragements te font plaisir. Tu rougis un peu tout en te rajustant, mais je vois bien que finalement tu n’es pas mécontente de l’effet produit.
Viens, on s’en va.
En marchant vers la voiture, je te tiens serrée par les épaules. Je te remercie mon amour. Je n’oublierai jamais ce que tu viens de faire pour moi. Je t’aime. Mais j’ai l’impression que tu y as aussi trouvé ton plaisir, je me trompe? Non, c’est vrai me dis-tu. Tu me dis que ça t’a excitée aussi vers la fin, que tu avais imaginé les verges de ces cinq hommes bien raides et à l’étroit dans leur pantalon. Tant mieux mon amour, allez, on rentre.
Ainsi je ne m’étais pas trompé. Ma petite Annabelle chérie était apte à l’exhibition. Peut-être plus même, son aveu d’excitation en était la preuve, la cochonne qu’elle était avec moi dans l’intimité, pouvait se révéler aussi à l’extérieur et avec des inconnus. Tout cela était bon signe pour mes projets.

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