En attendant que je puisse continuer à traduire la suite des récits postés ici, je vous propose une histoire tirée de mes archives dont l’auteur est un certain GERONIMO. Merci à cet auteur.
Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle sous contraintes de plusieurs femmes. Cette histoire peut choquer alors si vous n’aimez pas ce genre de récits, ne lisez pas. Je rappelle que cette histoire est fictive et les personnages imaginaires.
Je me regarde une dernière fois dans la glace de ma chambre cherchant un défaut dans ma tenue. Je suis habillée d’un tailleur parme avec des bas clairs et des hauts talons : Très «bon chic-bon genre».Il faut dire qu’il y a une cérémonie importante aujourd’hui au Monument aux Morts de la commune. Un hommage va être rendu à des soldats de notre régiment morts pour la France dans les différents conflits où la France fut impliquée.
Je vais y retrouver la femme du capitaine, Elisabeth, que David m’a demandé, ordonné serait plus juste, de piéger afin qu’elle devienne la nouvelle proie de son harem qu’il a réussi à se constituer en nous réduisant moi et d’autres femmes d’officier au rang de «vide-couilles». C’est son expression, bien entendu, pas la mienne.
Je sors de mon appartement après avoir donné les dernières instructions à la baby-sitter que j’ai engagé pour garder mes enfants. C’est la fille d’un officier, étudiante, plutôt jolie, un peu rebelle comme tous les jeunes.
Je tombe sur Béatrice, l’épouse du commandant et son mari dans la cour de la caserne. Elle est très élégante dans un tailleur beige avec des bas d’un luxe évident. Elle baisse les yeux en me croisant, gênée. Son mari me propose de profiter de sa voiture pour nous rendre à la cérémonie. Nous nous dirigeons vers sa voiture et mon cœur s’emballe quand j’aperçois David qui tient la portière ouverte.
Nous montons dedans, nos jupes courtes laissant apercevoir les trois-quarts de nos cuisses. J’aperçois même le haut de la jarretière du bas de Béatrice. David aussi sans doute qui me lance un coup d’œil égrillard. Le commandant monte à l’avant, David ayant prétexté que ces dames seraient plus à l’aise.
La voiture sort lentement de la caserne et s’engage sur la route. David n’arrête pas de lancer des coups d’œil dans le rétroviseur, matant nos jambes. Le mari de Béatrice ne se rend compte de rien, occupé à lire le Monde. Innocemment, David lance :
– Madame le Commandant n’a pas trop chaud ?
Son mari ne relève même pas, mais Béatrice rougit jusqu’à la racine des cheveux. Je me demande pourquoi quand je comprends. Lentement, Béatrice vient, le plus discrètement possible, d’ouvrir ses jambes afin de montrer sa chatte à David, qui n’en perd pas une miette. La jupe de son tailleur est tendue tellement elle écarte ses cuisses. Et son mari qui ne voit rien, toujours plongé dans la lecture de son journal. Puis, elle croise ses jambes dans un crissement de nylons. Sa jupe remonte dévoilant largement le haut de ses cuisses, on voit nettement le haut des bas maintenant.
Je reste stupéfaite devant ce manège. J’en conclus que cela doit se passer ainsi chaque fois que Béatrice se fait conduire quelque part par David. Il me regarda soudain avec insistance et je sens mon visage s’empourprer. Il me fait comprendre qu’il veut que je fasse pareil. Morte de honte, je croise également les jambes, dévoilant mes cuisses. David sourit et il fait un geste du menton vers Béatrice qui comprend un message qui pour moi est bien obscur.
Elle tend sa main vers mes jambes et commence à me caresser doucement les cuisses. Sa main monte et descend sur mes jambes et je sens un trouble m’envahir. Ses ongles longs font crisser les bas et je frémis. Elle insiste et remonte ma jupe. Affolée, je jette un œil vers son mari qui est toujours plongé dans la lecture de son journal. Ne voit-il donc pas ce qui se passe sous ses yeux ? Sa femme et l’épouse d’un officier de son régiment sont contraintes de s’exhiber devant un pervers. J’ai maintenant la jupe entièrement retroussée, quasiment tirebouchonnée autour de la taille. Béatrice me plonge deux doigts dans ma chatte dégoulinante. Cette séance d’exhibition m’a mise dans un état pas possible.
– Nous arrivons Mon Commandant. Lance David.
Béatrice retire ses doigts à la vitesse de l’éclair et je me dépêche de rabaisser ma jupe, le souffle court, les joues en feu. Le commandant se retourne et nous sourit :
– Ça n’a pas été trop long.
Plusieurs personnalités nous accueillent. Notamment le Maire et son épouse, qui est la sœur d’Elisabeth. Elle a la quarantaine, elle porte un tailleur cintré mettant en valeur ses courbes et ses longues jambes sont gainées de bas blancs. Elle me tend une main ferme et je la lui sers. On me présente ensuite le Député et sa femme, qui est, je vous l’ai déjà expliqué, la mère du mari d’Elisabeth. Elle a 56 ans mais elle est encore bien conservée pour son âge. Son tailleur noir et ses bas de même couleur affine sa silhouette.
Justement, à côté d’elle, se trouve Elisabeth, elle aussi vêtue d’un tailleur mais de couleur rose. Elisabeth doit avoir la quarantaine également, elle a les yeux bleus, un air austère accentué par son chignon qu’elle s’obstine à porter en toutes circonstances. On attend le Préfet qui doit arriver d’une minute à l’autre. Le Monument aux Morts se trouve dans le parc immense d’un château qui fait la fierté de la municipalité, un roi de France y étant né.
J’en profite pour prendre Elisabeth par le bras et l’entrainer vers un petit sous-bois qui se trouve pas très loin du monument. Nous serons à l’abri des regards. J’ai le cœur qui bat la chamade, me demandant comment je vais m’y prendre. Elisabeth me regarde, étonnée :
– Mais qu’y a-t-il Madame, la cérémonie va commencer, nous devrions…
Elle est interrompue par David qui débarque un sourire pervers sur le visage. Il s’approche de moi et, sans vergogne, me donne une claque sur les fesses. Elisabeth ouvre la bouche pour protester mais sous le regard de David elle se tait.
– Ton mari va bien ? Il est où déjà ? lui demande David.
Elisabeth, visiblement outrée d’être tutoyée par le chauffeur du commandant, rougit violemment mais elle bafouille une réponse malgré tout :
– En Guyane, pour une mission de deux mois. Mais de quel droit me parlez-vous sur ce ton. Et vous, dit-elle en s’adressant à moi, comment pouvez-vous vous laisser tripoter par ce…ce…
Les mots lui manquent. David s’approche d’elle et lui dit :
– Et il serait content d’apprendre, ton mari, que tu te tapes des petits jeunes quand il est en mission ?
Elisabeth devient blême sous son maquillage. Elle bafouille :
– Mais…Mais…Comment cela…Que voulez-vous dire.je n’ai jamais…
– Tu ne te souviens pas ? Quand ton mari était au Liban l’année dernière…
Je crus qu’Elisabeth allait s’évanouir.
– Mais comment pouvez-vous…Avez-vous pu…
Elle baisse les yeux, effondrée. David lui assène le coup de grâce :
– Si tu ne veux pas que les photos circulent dans toute la caserne, il va falloir que tu sois très gentille avec moi.
Je regarde David avec effarement. Il y aurait des photos d’Elisabeth avec ce jeune homme ? Était-ce possible où tout cela n’était-il qu’un bluff ? Cela semble marcher en tous les cas, Elisabeth relève la tête et dévisage David :
– Que voulez-vous exactement ? De l’argent ?
David s’approche et pose ses mains sur la veste du tailleur empoignant ses seins. Elisabeth sursaute mais se laisse faire. Au loin, on entend jouer la Marseillaise, le Préfet a dû arriver.
– – C’est toi que je veux, ton cul et ta chatte. Dit-il utilisant sciemment des mots vulgaires.
Il se tourne vers moi :
– Soulève ta jupe !
Je m’exécute, humiliée comme jamais. Je prends l’ourlet de ma jupe et la remonte lentement. Elisabeth, les yeux exorbités, assiste à mon strip-tease tout en se faisant triturer les seins par David qui a carrément ouvert la veste du tailleur maintenant. Il baisse le haut qu’elle portait découvrant le soutien-gorge bien rempli. Elle a de gros seins Elisabeth. Elle reste sans voix en découvrant que je ne porte pas de sous-vêtements sous mon élégant tailleur. David sort ses seins des balconnets et commence à les sucer. Elisabeth gémit :
– Non.Non. Je vous en prie. Ne faites pas ça. Je vous donnerai de l’argent. Mon mari va…
– Ton mari ? Tu veux que je lui montre les photos ?
Elisabeth, mortifiée, ne répond pas et se résigne à se laisser peloter par ce pervers. David retrousse la jupe rose du tailleur de la femme du capitaine. Il siffle en découvrant un porte-jarretelles rose également. Il baisse, d’un coup sec, le string blanc le laissant à mi-cuisses. Je reste, les bras ballants, jupe retroussée, regardant la scène. Je sens que je mouille. Ma fente commence à s’humidifier et j’ai une envie folle de me masturber. Comme si David l’avait senti, il me lance :
– Caresse-toi, fais toi jouir salope, je suis sûr que t’en meurt d’envie !
Timidement, j’avance ma main vers mon ventre, je trouve mon clitoris et commence à l’agacer avec mes doigts, le griffant avec mes ongles.
David pousse Elisabeth contre un arbre et lui relève la jambe. Il se défait, exhibant son sexe dressé. Il l’embroche comme un soudard à la hussarde. Elle se pince les lèvres en sentant le membre de David envahir son ventre. Il lui donne de violents coups de reins, la poussant contre le tronc. Son chignon se défait sous les coups de boutoir de David. Elisabeth ouvre la bouche mais aucun son ne sort. Ses yeux sont fermés. Un de ses escarpins tombe à terre sous la v******e des coups de reins de David. Il me regarde par moment. Je me tords, donne des coups de bassin. J’ai enfoncé deux doigts dans ma chatte, je me branle sans aucune pudeur et sans aucune retenue devant David et l’épouse du capitaine qui, les joues rouges, subie les assauts de David, totalement inerte mais gémissante.
David se retire soudain et retournant brutalement Elisabeth la positionne de nouveau devant l’arbre. Elisabeth, les mains sur le tronc, attend. David se met à genoux et lui lèche la chatte, aspirant le clitoris. Puis il remonte et tenant sa bite à pleine mains, il s’enfonce de nouveau dans sa chatte. Elisabeth a poussé un long gémissement. Les coups de reins reprennent de plus belle. Je me branle frénétiquement, je vais jouir, je le sens. Je me mords les lèvres en ayant un orgasme qui me laisse extenuée.
David, les mains agrippées aux hanches d’Elisabeth se déchaine soudain, la pilonnant comme un fou. Elisabeth pousse un cri en sentant la queue de David qui s’enfonce de plus en plus loin. Elle hurle quand il se déverse en elle.
Nous avons rejoint discrètement la cérémonie. La belle-mère d’Elisabeth lui a lancé un regard noir. Elle s’est rendu compte de notre absence. Elisabeth la regarde tandis que les paroles de David résonnent encore dans sa tête :
– Dorénavant, tu vas m’obéir au doigt et à l’œil. Tu réponds à toutes mes exigences. Je viendrais bientôt te voir avec des potes chez toi. Et puis, j’aime bien la femme du Député, ta belle-mère. Avec ton aide, on devrait pouvoir en faire une vrai chienne comme toi.
Il se tourne vers moi :
– Tu demanderas aux autres leurs numéros de téléphone portable que je puisse les contacter n’importe quand ou leurs envoyer des instructions par SMS.
Elisabeth et moi rejoignons Béatrice que nous mettons au courant des dernières perversions que nous venons de subir et des ordres de David. Nous assistons au déroulement de la cérémonie comme dans un brouillard. Notre calvaire est loin d’être terminé.
A suivre…
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