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Vive le cinema l’Amour

Vive le cinema l’Amour



Mes bas collants rouges a motif, ma jupe en jean, brassiere et mon t-shirt rouge, je décide d’aller au cinéma l’Amour, dans mon sac a dos, ma perruque, je mets par-dessus ma jupe mon jogging. J’arrive, paie, un beau sourire a la demoiselle et me dirige a la toilette des femmes, deux hommes qui se masturbent. Comme si de rien n’était ils continuent, moi je monte et devant eux, j’enleve mon jogging et devant le miroir, ajuste ma perruque. Je me retourne et leur offre un sourire

– oh la belle salope

-merci

– je te baiserais bien

– on se calme et le romantisme alors ?

– je vais te le mettre dans le cul mon romantisme

L’un d’eux m’agrippe par la main et m’amene a eux. De suite leurs mains viennent me tripoter le cul sous ma jupe, j’essaye de me débattre, mais ils sont plus forts que moi

– sale chienne, habillée comme cela, tu pensais a quoi ?, connasse, a genoux et suçe nous

Ils me forcent a me mettre a genoux et une bite se colle a ma bouche

– ouvre et suce grosse pute

Je tremble de peur et d’un autre coté, je bande tellement je suis excitée. J’ouvre et commence a le sucer

– bon, c’est bien, soit docile et nous aurons beaucoup de plaisir

Je passe d’une tige a l’autre, deux queues d’un bon huit pouces. L’un d’eux me tripote la poitrine

– humm, elle a une brassiere, enleve ton t-shirt salope

J’obtempere

– beau soutien-gorge, elle a du gout la pute, releve-toi, enleve ta jupe et va t’accoter sur le comptoir du lavabo

J’obéis, comme une bonne chienne soumise et docile. Une fois installer, les deux s’avancent et bais mes collants, deux mains écartent mes fesses et un doigt mouiller se glisse en moi, puis un deuxieme et un autre et un quatrieme

– oh la pute, elle dilate tres bien

– laisse-moi la planter la truie

Je tremble a nouveau, mais je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit, un gland se colle a ma rondelle et s’enfonce d’un coup sec, je pousse un cri

– ta gueule, assume ce qu’il t’arrive

– un peu de tendresse svp

la seule tendresse que je reçois, c’est une paire de tapes qui s’abattent sur mon cul

– je vais t’en foutre de la tendresse

Me dit-il en placant ses mains sur mes hanches et en me pilonnant avec force

– elle est trop bonne, je vais jouir

un long ralement se fait entendre, il se retire, son copain prend sa place. il crache sur ma rondelle, colle son gland a mon trou et doucement pousse. La j’aime cela, tout en douceur, il me penetre, il me caresse les fesses. Il s’arrete et ne bouge plus, toute sa queue est moi, ses mains se retirent de mes hanches, il n’y a que sa tige qui nous unit. Une immense douleur me traverse le corps, je pousse un grand cri, il me donne de grandes tapes sur les fesses, le con, j’ai vraiment mal

– ta gueule

– arrete, cela me fait mal

– c’est tout ce que tu mérites, une pute reste une pute

Et il recommence a m’enculer, la douleur s’estompe lentement, la jouissance monte en moi, le plaisir de se faire enculer, j’adore.

– c’est vrai qu’elle a un bon cul, la truie, je vais jouir a mon tour

Il dévers tout son foutre en moi, je sens le sperme couler le long de mes cuisses, il se retire, je ne bouge pas. Je les entends se rhabiller et s’en aller. Toujours dans la meme position, j’entends quelqu’un monter les marches

– bonjour belle demoiselle, je vous trouve dans une position tres invitante, puis-je

– oui, venez

Je le sens coller sa bouche a ma rondelle, il me bouffe le cul, avalant le sperme qui sort de mon cul. Il me caresse tout le corps, j’espere qu’il ne changera pas en tapant le cul, lui aussi. Non, que de caresses, tendresse. J’ai la tete collée au comptoir, je ne sais pas a quoi il ressemble, je me laisse faire, une vraie pute. Il se releve, J’entends la fermeture éclair, des froissements de vetements. Il doit se cracher sur sa bite. Il colle sa tige a mon trou

– puis-je

– au point ou nous sommes rendus, faites vous plaisir

Tres lenetemnt je sens sa queue s’insérer en moi, encore et encore, seigneur, est-ce une bite de cheval ?, je la sens tellement longue et d’une bonne grosseur. Je me trémousse du fion

– oh, vous avez une belle queue, belle longue et si douce

– merci mademoiselle, je vous offre mon treize pouces

– vive la vie

Je finis par sentir ses couilles se coller aux miennes

– vous avez un cul bien accueillant, rarement j’ai eu le plaisir de pouvoir toute la rentrée, merci

Et il commence ses mouvements de va-et-vient, pur bonheur, le voudrait en moi pour toute la vie. Je sens bien cette tige, ce pieu prendre possession de mon cul, Je souris, j’ai tellement de plaisir, je me sens si heureuse, je jouis, je déverse mon sperme, une décharge électrique me traverse le corps, j’en pleure de bonheur, je ne pensais pas pouvoir jouir aussi fort un jour, je tremble

– arretez de trembler comme cela, vous m’exciter beaucoup, je vais exploser, je vais jouir a mon tour

– oui faite honneur a mon cul, remplissez-moi de votre semence

Je sens ses mains serrer mes hanches, une chaleur couler en moi, il retire. Je me releve, me tourne voit ce bel homme cheveux grissonants, baisse les yeux pour admirer son pénis. Je me mets a genoux pour venir le déguster. je le suce tant bien que mal, passe ma langue sur la longueur, il me caresse les cheveux

– vous faites une bonne fille, j’apprécie

– merci a vous monsieur

– je dois vous quitter

– j’aimerais tellement vous revoir, puis-je vous donner mes coordonnées

– non la vie a faite qu’on se retrouve ici, peut etre qu’un jour on se retrouvera ici ou ailleurs, merci encore et bonne chance

Je n’ai pas d’autre choix que de respecter sa décision. Je me nettoie un peu et part a mon tour.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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