1992,35 ans, je suis fatigué de mon taff qui me mène de nice à paris en passant par pamiers, macon et un peu partout en france, en 5 ans 300000 kms au compteur, je pars me ressourcer pour un mois chez ma mère et son mari, aux lecques. les premiers jours je reste avec eux, je me repose vraiment, farniente et bains de soleil près de la piscine me vont bien, mais bon je ne vais quand même pas faire ça pendant un mois, alors un soir après le diner je vais faire un tour sur la promenade, comme d’habitude il y a un monde fou, tous les bars,restos et cie sont pris d’assaut par les touristes, je m’installe en terrasse d’un café et regarde passer les gens en sirotant mon coca, (je ne bois pas d’alcool) suivant parfois des yeux quelques jolies nanas, accompagnées ou pas, une ou deux heures plus tard je rentre!
le lendemain matin c’est à vélo que je vais checher le pain et les journaux au centre commercial , au moment de remonter sur ma bécane, une femme elle aussi à vélo passe près de moi, vite fait je remarque qu’elle a l’air pas mal du tout, j’enfourche et je pédale fort au début pour m’en rapprocher, je suis bientôt derrière elle, je ne m’étais pas rompé, elle a un super cul, bien tendu vu sa position, sous son short, on voit le string blanc en transparence, de long cheveux bruns coulent sur son dos, j’accélère pour la dépasser, en doublant je la détaille un peu plus, brune donc je dirais une petite cinquantaine, apparemment une grosse paire de seins que j’aperçois sous l’angle des aisselles et finalement un joli visage, j’ai bien apprécier et la laisse repasser devant puis continue ma route quand elle s’arrête au bureau de tabac.
l’après midi, toujours à vélo,direction la plage, une petite plage naturiste à la sortie du village,j’y suis déja venu une fois ou deux lors de précedentes visites, je laisse mon vélo en bas du chemin et continue à pieds sur les cailloux glissants, au détour d’un méndre de la falaise, un couple, lui petit, nu, brun, la soixantaine, lunettes de soleil sur le nez, petite queue ratatinée sur ses couilles, elle, c’est elle la femme au vélo de ce matin, nue, whaouuuu un morceau de choix, toute dorée par le soleil, ses gros seins bien en vue, des cuisses pleines et une chatte brune au poil dru mais entretenue, superbe!! elle a relevé la tête et m’a regardé passer!
je me suis installé un peu plus loin, un peu décu de ne l’avoir pas trouvé seule, mais bon, en enlevant mon short j’ai vu qu’elle matait derrière ses lunettes fumées, ca me titille, je suis en semi érection et ne manque pas de tourner autour de la serviette avant de m’allonger sur le ventre, ma queue serrée contre les cailloux se développe un peu plus, je me mets de côté pour rester discret et relâcher la pression, son mec est étendu près d’elle, dort peut être, en tout cas elle ne lâche pas du regard, je la regarde avec insistance en passant ma langue sur mes lèvres, elle sourit!
on en est toujours là quand je décide de partir, je plie la serviette, je passe près d’elle, la queue lourde,je ne bande pas mais je ne suis pas au repos non plus, elle me sourit encore et je continue mon chemin!
le soir après diner, je sors de nouveau, je vais sur la promenade, toujours aussi fréquentée, je m’assoie sur le bord d’un bac à fleurs,à 2 ou 3 mètres de la plage, le regard au loin sur la mer, je suis sorti de mes pensées par quelqu’un qui est dans mon dos, mon dieu c’est elle, elle fouille dans le bac, retourne les copeaux, cherche je ne sais quoi jusqu’a ce que je lui demande! des boucle d’oreilles me dit elle, je suis venu ce matin et je les ai perdues par ici!
dois je être dupe?, est ce la vérité ou une occasion d’engager la conversation? en tout cas c’est réussit, en moins de 5 minutes nous sommes assis ensemble à palabrer sur la vue, sur le monde, moins d’une demi heure plus tard nous sommes attablés devant un verre à discuter comme de vieux amis, j’apprend qu’en fait elle est seule,son mari est resté en rp, elle a 55 ans, le mec de la plage, un dragueur qui ne la lâche pas mais qui n’a aucune chance selon elle, quand on en vient à parler un peu de moi, quand elle apprend mon âge, 35 ans, elle pensait que j’étais un peu plus vieux et me dit qu’avec un jeune elle aurait l’impression de sortir avec son fils, ça me refroidit un peu, mais bon je lui propose une balade, on va pas rester assis là pendant des heures non plus!
< aller marcher un peu oui,,mais il y a un monde fou là me dit elle
on a longé le sable de la plage « public », on a traversé un mini chantier naval, on s’est retrouvé sur les cailloux de la plage naturiste, on a progréssé jusqu’au rochers plats ou on s’est assis, il est près de 23h, il fait encore chaud et je lui dis que je vais me baigner, je me lève tombe la chemise et le short, je suis nu, je pars à l’eau, elle hésite à venir, je l’appelle, lui fais de grand geste, je la vois se lever, elle va partir? non elle enleve chemisier ,short et string, elle me rejoint, elle est tout près de moi elle dit avoir froid, je lui tends la main elle se serre contre moi, ses gros seins s’écrasent contre mon torse; ses cuisses contre les miennes, elle sent bon, on reste un peu comme ça, je lui prends la tête sous le menton,pose mes lèvres sur les siennes, on se roule une pelle, mes mains partent à la découverte de son corps!ses fesses sont aussi fermes que ses seins, j’adore! on s’amuse un peu dans l’eau avant de remonter sur la plage, pour le coup je suis exité maintenant et j’ai le chibre au garde à vous, gros et dur, on s’est allongé sur la grande pierre, mes mains mes lèvres sont partis à la découverte de ses trésors, ses seins que j’ai tété faisant durcir les pointes, son nombril que j’ai titillé du bout de la langue tandis que mes doigts partaient entre ses cuisses, elle est humide quand sa fente s’ouvre, elle n’est pas en reste, de ses doigts elle joue avec ma queue, me caresse les couilles, branle doucement ma queue, juste sous le gland, je lui écarte les cuisses, plonge ma langue dans sa chatte, lèche les lèvres, plonge dans la fente revient sur les lèvres, trouve le bouton,l’agace,le mordille, retourne dans la fente, les mains sur ses seins à jouer avec les tétons tous durs, son bassin ondule, elle pousse sa chatte dans ma bouche, je lache ses nichons et un doigt vient lui taquiner le petit,c’est trop pour elle quand mon doigt lui entre dans le cul elle crie, elle jouit en hurlant, des jets me coulent sur la langue et sur le visage comme si elle me pissait dessus,je suis trempé, une fontaine,je suis tombé sur une femme fontaine, elle est retombée sur la pierre, haletante, je me glisse entre ses jambes, ma queue dans la main je passe le gland dans sa fente pour le mouiller, elle trésaille, je pointe son trou et m’enfonce d’un coup jusqu’au fond, elle gémit et son bassin reprend le rythme, sa chatte avale mes 20 bons centimètres,je fais tout pour cogner bien au fond, elle crie de nouveau, ça m’exite, quand elle jouit encore ses jets arrivent à sortir alors qu’elle est emmanchée à fond, mes couilles, mon pubis sont trempés, alors c’est mon tour, encore deux ou trois poussées et je lui envoie mon foutre au fond de la chatte, on s’etend pour se calmer un peu!! il est bientôt une heure du mat, les lumières de ct cyr brillent encore, on va se baigne un peu, se rafraichir,l’eau fraiche nous fait du bien, on se rallongent sur la pierre, elle se sert contre moi et prend ma queue en main, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je suis de nouveau tout dur, le gland gorgé de sang la tige raide au maxi, elle avance sa tête et me fait de bisous sur le gland, passe sa langue tout autour, insiste sur le frein, là ou on aime tous, une de mes main repart sur son cul, écarte les fesses
quelques jours plus tard, je suis de nouveau sur les promenades, je vais des lecques au village en passant côté parking , il y a moins de peuple, sous les arbres une corsa grise, portière ouverte, c’est elle, jupe blanche, chemisier bleu marine fleuri, elle me voit, se tourne sur son siège,écarte les cuisses suffisamment pour que je voie qu’elle n’a pas de culotte, j’adore voir sa chatte bien poilue, elle sourit se remet en place, je mapproche,m’appuie sur la portière, me penche pour lui faire un bisou, elle a déjà sa main sur ma bite, illico je durcis, comme dab je n’ai rien sous mon short, elle passe sa main dans l’entrejambe et masse ma queue, la fait passer sous le tissu, la sort et l’embouche, sur un parking, en plein village, en plein après midi, elle recommence à me sucer comme elle sait si bien le faire, je suis obligé de m’accrocher à la portière, j’ai du mal a surveiller que personne n’arrive et nous grille avec les conséquence que ça pourrait avoir, mais elle,elle continue, elle joint sa main à sa bouche pour me branler en même temps qu’elle me pompe,j’aventure une main vers son chemisier, les boutons cèdent, ses seins sont nus aussi, j’en prends un en main, quand je sens la pointe toute dure je pars, une de fois de plus elle m’a eu, elle avale les jets que je lui envoie dans le gosier
je l’ai rappellé bien sur, mais ça sera pour le prochain chapitre
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