histoire tirée du net mais j aimerais beaucoup la réaliser
J’avais en ce temps là un ami guyanais, un collègue forestier comme moi, de qui j’étais très proche. Je le savais dragueur et jouisseur. Jamais il ne m’avait invité chez lui, me disant que sa femme Léone était un trésor guyanais, et que j’étais bien trop « métro » pour la découvrir.
J’allais avoir 23 ans. Lors d’une soirée arrosée, en bivouac, nous comparâmes durant de longues heures les charmes et les pratiques de quelques unes de nos conquêtes, parfois imaginaires.
En fin de soirée, il me dit avec un sourire énigmatique:
-Manu, lundi c’est ton anniversaire; je vais t’offrir un trésor guyanais!
Je t’ai raconté, me dit-il, cette histoire avec le brésilien et la brésilienne dans le bordel à Léontine, tu sais celui de l’Oyapock…Et ben je te propose le même chose avec Léone!
-Tu es fou, Daniel, ta Léontine; jamais elle n’acceptera
-Attends, manu, nous avons une petite manie ces temps ci elle et moi: je la prends aux foulards…chevilles, poignets, et yeux bandés elle nue sur le lit grande ouverte, offerte…Je ne lui ai rien dit mais ce qui me chauffe le plus quand je la voie ainsi c’est l’idée que je pourrai pour ainsi dire l’offrir au premier venu…à toi…
-Daniel tu déconnes, c’est le rhum
-attends un peu lundi soir à 6 heures tu viens chez moi, je t’introduis dans ma chambre derrière le paravent…
Le lundi, je fus fidèle au rendez vous. A 6h 15, j’étais recroquevillé derrière ce paravent aux motifs fleuris .Angoissé, plein de doute, plein d’espoir…
A 6h 30 j’entendis Léone rentré chez elle et Daniel l’accueillir. Quelques rires, des chuchotements et la porte de la chambre s’ouvre.
Daniel roucoulait, Léone riait et j’entendais des bruits de vêtement qui glissaient, des fermetures éclairs, des chaussures qui volaient. Daniel tira les rideaux et m’adressa un clin dil.
J’entendais sa voie qui gazouillait , celle de Léone aussi, puis tout fut couvert par une musique genre jazz brésilien.
Une minute, deux minutes: j’étais encore habillé car je voulais pouvoir quitter les lieux sans problème si tout cela s’était révélé être un canular. Mais les gémissements de Léone montaient
-oui ta bouche lèche moi oui
Je me dévêtis en silence et risquai un oeil hors de mon abri
Léone était toute entière ouverte sur le lit;la moustiquaire était levée.
Ces poignets étaient attachés avec deux foulards rouges aux barreaux blancs du lit. Ces chevilles également, ces deux pieds distant de plus d’un mètres.
Léone était une superbe chabine, comme on dit à Cayenne, aux chevaux très courts et aux petits seins en poire.
Je me redressai et avançai sur a pointe des pieds. Daniel à genoux devant le lit léchai sa femme et de ses mains agiles lui caressaient le sein et le ventre.
Mon dieu, jamais je n’avais bandé aussi fort. Ma verge tendue en était presque douloureuse.
Je touchai l’épaule de mon ami. Il releva la tête, et sans un mot les doigts sur les lèvres me fit signe de me taire.
Il se redressa debout maintenant devant le lit
–Danou, mon danou, ne me laisse pas
Sans répondre, Daniel posa sa main sur le sexe de Leone le caressa puis il enleva sa main puis la remit, en accompagnant ses caresses de paroles douces et lancinantes .Il retira sa main une fois encore et …posa la mienne sur cette chatte trempée, et à demi épilée. je caressai cette femme si belle. Son mari lui parlait. Elle ne se rendit d’abord compte de rien.
–Ta bouche danou lèches moi encore
Daniel poussa mon cou et je posai ma bouche sur ce sexe offert. Mon esprit égaré était habité par deux questions : jusquoù irions nous et Léone était elle ou non au courant de ma présence
Le sexe de Léone sapproche de mes lèvres sous la poussée amicale de Daniel.
Lodeur suave de ce sexe ouvert et trempé empli mes narines.
Enfin, mes lèvres s entrouvrent et larôme intime de cette femme inconnue
envahit mes papilles. Un instant, une fraction de seconde. Car un cri déchire
cet instant de calme et de plaisir :
–Mon dieu Daniel que se passe t il qui est là
Je lève la tête et les yeux : les deux mains de Daniel pétrissent maintenant les
seins de sa femme. Les tétons bruns sont superbement dressés.
Daniel me sourit et semble confiant :
–Ma Léone je taime ma belle tu es superbe laisse toi aller
–Non Daniel je ne veux pas salop et toi la bas espèce de dégoûtant va-t-en
–Ma belle ma douce on va te faire jouir mon amour
–Non non tu sais que jai dit non et lautre pd retourne chez toi
Bref les insultes pleuvent. Je suis inquiet et près à quitter discrètement leslieux.
Bien sur, Léone est toujours dans la même position les bras en croix les cuissesà lécart et les yeux bandés.
Daniel se saisit de ma main et la pose sur le sexe de sa femme : je constate que malgré sa colère Léone est toujours trempée
Les cris, les insultes, les reproches continuent de jaillir de la bouche de
cette maîtresse femme.
Daniel me regarde encore une fois madresse un clin dil rassurant et ferme la bouche de son épouse dun baiser langoureux.
Je continue mon massage : la paume de la main sur le pubis, et mon pouce massant doucement le clitoris gonflé et ruisselant.
Lérection qui avait failli mabandonner revient avec une vigueur nouvelle
— haie fait Daniel Léone tu mas mordu
–et je te mordrai encore si tu y reviens
–mon ami, quel est létat de cette chatte, me demande Daniel
–trempée dégoulinante cest une fontaine
Devant ces commentaires dont elle sait la vérité Léone reste muette. Daniel,
derechef, se penche sur sa bouche et la baise goulûment.
Moi, et bien moi je me repets de la vision de ce corps ouvert, jécarte ma
main de cette chatte trempée, hume lodeur de mes doigts la trouve savoureuse et décide daller laper un peu à cette source suintante.
Ma bouche se colle donc à nouveau sur ce sexe offert et auquel il est impossible de se refuser ?
Léone, la Léone consciente est peut être furieuse du tour que son époux lui a joué mais la Léone sexuelle, elle , en semble ravie : ma bouche est
littéralement inondée. Ma langue joue avec ce sexe ; lape, lèche, pénètre, se
mêle à mes doigts ségare vers de plus sombres endroits. Quand à nouveau je
lève les yeux, oh surprise je maperçois que ce nest plus la bouche de Daniel qui est collé à celle de Léone mais son pubis.
Léone suce son homme les yeux fermés : dune main elle a saisi la hampe et de
lautre elle masse ses bourses. Daniel est accroupi et la tête de sa femme est
tourné vers lui.
Plus de protestations, plus dinsultes : les deux mains de Daniel sont sur les seins frémissants de Léone et les deux miennes se glissent sous ses fesses pour soulever et ouvrir un peu plus ce con que je dévore
Le regard de Daniel croise le mien et il madresse un clin dil réjoui tout en savourant son extase. De la main, il me fait signe de me placer sur le côté de sa femme et , arrachant à regret de la bouche de Léone son sexe luisant de salive, il se place en face de moi. Nous sommes donc tous deux accroupis à hauteur de ventre de Léone. Ma main saventure sur le sein droit de Léone tandis que celle de Daniel se pose sur son sein gauche : le téton ferme et dressé de la chabine roule entre mes doigts tandis que la douceur de ces seins réchauffe ma paume.
Je vois que la main gauche de Daniel sest glissée sous les fesses de Léone. Ma main droite descend du ventre agité de spasmes au pubis toujours aussi trempé
Son clitoris sous mon pouce, mon index écartant ses lèvres Parfois je sens la main de Daniel rencontrée la mienne : je devine quil soccupe de lautre antre de son épouse : sa bouche sest maintenant posée sur le sein de son épouse dont il lèche les tétons. De sa main droite, il défait le lien fixé au poignet de Léone.
Interrompant un instant ses caresses, il fait le tour du lit pour défaire lautre.
Jen profite pour rejoindre lentrecuisse de Léone et caressée du bout de mon gland ce sexe toujours grand ouvert. Léone gémit :
-Daniel, mon danou il va me pénétrer !
Dun geste vif, Daniel ouvre le tiroir de la table de nuit et menvoie un préservatif ;
-Att****, me dit il
Jenfile le condom en deux secondes et me glisse dans cette chatte tant désirée. Daniel est maintenant derrière moi dénouant les foulards aux chevilles de Léone.
-Tu es belle, tu es si belle jaimes te voir ; il va te baiser tu le suceras et je te prendrai Léone je taime je tadore
Les mains de Léone sont sur mes épaules, ses cuisses remontées elles croisent les jambes sur mon dos.
-je lui ai tout dit de toi Léone, il sait tes goûts il sait ce que tu aimes
En effet Daniel, mavait confié que sa femme adorait être prise et branlée en même temps, un doigt dans lanus et une verge dans la chatte ou linverse.
Je posai donc mon index à lentrée de son anus : aussitôt je sentis son petit cul frémir et poussai plus loin ma caresse.
Léone avait toujours les yeux bandés et Daniel suivait des doigts ce foulard pour en défaire le nud
-Non Daniel, je ne veux pas retirer ce bandeau ; je ne veux rien savoir de lautre : je veux quil me baise, et cest tout je ne veux pas savoir qu il est : quil demeure linconnu dun jourJe ne veux même pas entendre le son de sa voix
Ces propos décuplèrent mon enthousiasme et je quittai le sexe de Léone ; Daniel prit ma place. Je me positionnai alors à quatre pattes au dessus de Léone qui prit mon sexe dans sa bouche immédiatement. Dieu que cette femme suçait bienJe quittai mon préservatif pour lieux apprécier cette caresse divine. Jétais maintenant accroupi, Léone me suçait avec ardeur et douceur, tandis quelle tendait sa croupe à Daniel.
-Je vais t’ … je veux quil le sache
-Oui vas y , murmura t-elle
Je vis le sexe de Dani se poser sur les reins de Léone et disparaître à ma vue
Léone me massait les couilles, me suçait , parfois sa langue passait entre doigts pour venir chatouiller un peu plus mes bourses.
Je sentis que jallais partir mais pour respecter son vu je mordais les lèvres et restait silencieux. Jéjaculai dans sa bouche. Elle pompai mon sexe pendant que je jouissais entre ses lèvres.
Daniel devina ce qui venait de se produire et hurla son plaisir.
-Je jouis du cul cest si bon jaime ça Daniel je taime, cria Léone en léchant mon sexe toujours aussi bandé.
Naturellement, le bandeau sur ses yeux était toujours en place. Comme moi Daniel après son premier orgasme avait conservé une virile érection. Léone se tourna vers lui le baisa à pleine bouche et le fit sallonger. Elle continuait pendant ses baisers de me caresser.
-Ca va être ton tour, me dit elle tu vas m’ … #8230;
Ce disant elle sempala sur le sexe de son homme. Je vins derrière elle et pris la suite de son mari.
Léone était heureuse, visiblement heureuse : après quelques minutes jexplosai littéralement : cétait pour moi une première : jamais je navais sodomisé de femme (et dhomme non plusnon merci).
VEN 15:46
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