8. Le slip kangourou du vicaire (1).
Stéphane habite dans une petite ville et en tant que célibataire, il avait toujours participé au mouvement de jeunesse de son entité et de sa paroisse depuis sa prime jeunesse.
Voici donc l’une des histoires que Stéphane nous a racontées durant cette soirée entre copains, celle de sa rencontre avec Luc.
Lors de l’arrivée du jeune vicaire et aumônier de la troupe scout, Stéphane se proposa d’aider celui-ci à s’installer dans la cure qui lui était réservé mais qui ressemblait bien plus à un débarras qu’à un lieu d’habitation valable. A cette fin et avec l’aide des scouts les plus âgés, il entreprit de nettoyer complètement la maison et de la réhabiliter en effectuant des travaux de peinture et de tapisserie. Toutefois comme les scouts ne pouvant pas se libérer à tout moment, il lui resta des travaux de finition et de mise en ordre de certains débarras. Le jeune vicaire lui proposa de l’aider l’après-midi d’un jour de semaine ou il était disponible. Il fallait vider un local situé dans le fond d’un couloir. Ce local ne possédait aucune fenêtre et le fait d’être au bout du couloir aussi sans fenêtre fit que l’éclairage devait fonctionner en permanence lorsque l’on y accédait.
Pour cette occasion, Stéphane avait apporté sa salopette pour se changer afin de pouvoir travailler sans problème de salissure de ses vêtements. Le jeune vicaire l’avait rejoint et avait également une salopette à sa disposition. Les deux hommes se changèrent donc dans un local du couloir qui servait de vestiaire au curé. Stéphane fut surpris que le vicaire retire sa soutane sans problème devant lui. Voyant sa perplexité, le jeune vicaire appelé Luc lui dit qu’il n’y avait aucun problème puisqu’il était tout les deux des hommes. Stéphane se fit en soi-même la remarque que le slip kangourou du vicaire avait une poche de très grande dimension ce qui lui procura un certain fourmillement dans son slip, commençant même à bander légèrement.
Les deux hommes se mettent au travail et comme le local n’est que le prolongement du couloir, il est assez étroit. Il servit de débarra et à accumuler un tas de chose inutile de l’ancien occupant et peut-être encore de ses prédécesseurs. Il faut donc enlever une par toutes les caisses, boîtes et autres choses entassées dans l’endroit. Stéphane s’étant engagé dans le local, il ne restait plus qu’au vicaire que de se placer derrière lui pour réceptionner chaque objet, colis ou boîtes que Stéphane sortait du tas. Plus d’une fois lorsqu’il demandait au vicaire la destination de l’une ou l’autre chose, celui-ci se collait carrément contre les fesses de Stéphane. En faisant cela Stéphane avait l’impression que le jeune vicaire voulait lui faire sentir la forme de sa queue. Au fur et à mesure des contacts, il semblait à Stéphane que le vicaire bandait de plus en plus fort à chaque contact avec ses fesses. Vers la fin de l’après-midi, il faisait déjà sombre dehors, ils étaient arrivés presque au fond du local car il ne restait plus que quelques pièces à évacuer.
Tout d’un coup, l’éclairage s’éteignit suite probablement à une panne électrique du secteur comme cela arrivait de temps à autre. Les deux se trouvaient l’un derrière l’autre dans l’obscurité. Stéphane senti tout à coup que le vicaire était tout contre lui et contre ses fesses. Il sentait nettement que le vicaire poussait son bas-ventre vers l’avant afin de se blottir contre la raie des ses fesses. Stéphane ne fit rien et resta immobile. Il sentit que le vicaire faisait aller et venir de bas en haut son bas-ventre contre ses fesses. N’ayant rien contre cette manœuvre, il poussa ses fesses légèrement vers l’arrière afin d’accentuer le contact. Aucun des deux ne dit mot mais participait l’air de rien à l’action. Comme Stéphane avait légèrement reculé ses fesses, il pouvait nettement sentir la forme de l’érection du vicaire au travers des salopettes et slips. Il sentit que le vicaire plaçait ses mains sur les hanches de Stéphane afin de mieux pouvoir pousser et frotter son bas-ventre contre les fesses. Cette fois Stéphane sentit nettement l’érection du vicaire entre ses fesses malgré les épaisseurs de tissus. Tout à coup la bite se mit à tressauter contre son cul. Il sentit que la bite éjaculait dans le slip en de gros jets. Le vicaire émit un soupir de satisfaction. Comme Stéphane ne disait rien le vicaire s’excusa pour ses mouvements désordonnés derrière lui. Les deux hommes étaient toujours dans l’obscurité la plus complète. Stéphan répondit simplement que si cela lui avait procuré une satisfaction il pouvait compter sur lui pour garder le silence, n’était-on pas entre homme comme lui avait dit le vicaire au début de l’après-midi. Celui-ci l’en remercia.
Comme l’éclairage ne revenait toujours pas, il fallait sortir du local afin d’aller voir si rien d’autre n’étais en panne. Le jeune vicaire se retourna et à tâtons avançait dans le couloir suivit par Stéphane. A un moment donné le vicaire s’arrêta mais pas Stéphane ce qui fit que tout en tâtant les murs pour trouver son chemin, Stéphane sans le vouloir tâta le vicaire à hauteur de son bas ventre. Comme celui-ci ne dit rien Stéphane continua à tâter et constata que la salopette était ouverte. Sa main avait déjà glissée plus loin et se trouvait en fait dans la braguette de la salopette tâtant le slip du vicaire. Toujours dans l’obscurité Stéphane sentis également une main sur sa braguette tentant de pénétrer dans le vêtement. Les boutons sautèrent et la main s’engouffra dans le vêtement de travail se mettant à caresser le slip de Stéphane. De son côté sa main ne restait pas inactive non plus, elle caressait la poche du sous-vêtement humide de la l’éjaculation précédente. Cette fois la main du vicaire avait trouvé la bite de Stéphane au travers du slip. Le vicaire émit un petit sifflement et rompit le silence « Il me semble que tu es bien monté d’après ce que je sens. Tu dois avoir une bite de cheval? ». Stéphane surprit par le langage du vicaire lui répondit « Je crois que tu n’es pas mal monté non plus d’après ce que j’ai sentis contre mes fesses. Tu dois avoir éjaculé un fameux paquet dans ton slip. La poche est toute trempée. Vas-y continue à caresser ma bite. Je suis habitué à juter dans mon slip. Cela me fera du bien car comme je bande depuis un certains temps, cela devient nécessaire de me vider les couilles. De ton côté je sens que tu rebande déjà ». « Ce serait plus simple de m’appeler Luc, puisque maintenant on se connait un peu plus intimement ».
Stéphane – « Ok, continue à branler. Oui comme ca, bien de haut en bas. On dirait que tu à l’habitude »
Luc – « Oui mais, toujours un peu en secret, la soutane est facile pour cela on ne voit pas quand on bande ».
Stéphane – « Tu n’aurais pas par hasard une poche sans fond dedans pour te caresser le slip? ».
Luc – « Oui, comment as-tu deviné? ».
Stéphane – « Dans tout mes pantalons et shorts j’ai une poche qui me permet de me branler ».
Luc – « Tu te branles souvent comme cela dans ton slip? ».
Stéphane – « Presque tout le temps, j’adore me branler dans mon slip ».
Luc – « Et tu éjacule dedans? ».
Stéphane – « Ben oui, ou veux-tu que j’éjacule quand je bande et que je me branle. Et toi ? ».
Luc – « Moi aussi. Bien obligé, je ne peux pas me mettre à juter n’importe où ».
A ce moment-là la lumière revient et les deux compères peuvent maintenant voir leur salopette ouverte avec bien en évidence le slip qu’il branle.
Stéphane – « Fameux ton slip, il a une grande poche pour cacher ta bite. Continue je sens que je vais juter ».
Luc – « Je t’expliquerai plus tard l’histoire des slips que je porte, continue également je sens que cela vient de nouveau ».
Stéphane – « Ouais vas-y, ouuuiii, je jute dans mon slip, oooooh, oouuiiii que c’est bon, il va être rempli de jute ».
Luc – « Moi aussi, ooouiiii, encore une bonne couche dans la poche ».
Et les deux compères de s’appuyer contre le mur pour récupérer de leur jouissance.
Quelques instants plus tard après avoir récupéré, les deux hommes se rendent dans la cuisine de la cure pour y prendre une boisson après s’être naturellement remis dans une tenue convenable.
Durant cette pose, Luc explique que lors de sa formation au séminaire, on leur à expliqué que pour que l’on ne voit pas quand une érection se produit lorsque l’on porte la soutane, il était de bon d’avoir soit un slip très serré ainsi la bite reste bloquée vers le bas ou dans sa position de mise en place ou alors il faut avoir un slip kangourou avec une très grande poche ainsi la bite se maintien vers le bas et peut bander la tête en bas. L’avantage du slip avec une grande poche permet également de se soulager en éjaculant dans la poche tout en ne laissant rien remarquer. La poche est pour cela nettement mieux doublée que dans une version standard ce qui permet de la remplir avec une très grande quantité de sperme.
Stéphane – « Oui, j’ai bien vu, tu as juté une première fois derrière moi, puis ensuite ici dans le couloir encore une fois. Vu la grandeur tu peux encore en mettre beaucoup ».
Luc – « Oh oui, si tu savais? ».
Stéphane – « Raconte alors, je ne demande pas mieux ».
Luc – « Si tu veux bien on en parlera un autre jour lorsque l’on aura plus de temps ».
Stéphane – « Aucun problèmes on aura encore l’occasion de se revoir à de nombreuse occasion. Tu est la bienvenue chez moi si tu veux ».
Luc – « Parfait on fait comme ça. A bientôt et merci pour le boulot effectué. Je te contacte ».
Ceci fut donc la première partie d’une histoire de Stéphane.
Le vicaire Luc pris donc contact avec Stéphane pour organiser leur rencontre. Elle se fit de préférence chez Stéphane car à la cure il pourrait toujours avoir un intrus ou un inopportun qui se présenterai et trouverai cela déplacé.
Ce fut donc pour une soirée que le vicaire Luc se présenta chez Stéphane.
La soirée débuta sur une discussion très franche entre eux. Le sujet tourna donc assez rapidement sur le sexe chez les religieux et principalement sur les sous-vêtements qu’ils portaient ainsi que la découverte de ceux-ci.
Luc expliqua donc que les hommes religieux pouvaient porter comme lui des slips avec une très grande poche qui leur permettait de bander sans être vu en étant en soutane et aussi de se soulager dedans en éjaculant également sans que personnes ne s’en aperçoivent. Ils pouvaient également porter des slips très étroits qui collaient leur sexe contre leur ventre. Certains de ses slips étaient même équipés d’une cordelette sur la partie haute afin de ficeler le sexe en position verticale. Pour ceux qui portaient ce type de slip lorsqu’il bandait cela pouvait les gêner énormément et les empêcher d’éjaculer. Il y avait encore des slips avec étui pénien qui servait comme le nom le dit bien à tenir le pénis dans une gaine et à l’empêcher de gonfler suivant le même système que celui à cordelette mais sans empêchement d’éjaculation. Certains aimait ce type de sous-vêtement. Ce n’étais pas son cas bien qu’il avait dans son armoire un slip de type très serré mais sans cordelette. Si cela m’intéressait il pouvait bien me le montrer.
Luc expliqua que tout avait commencé au séminaire lors de leur apprentissage de la vie religieuse. Il se rappelle bien son entrée au séminaire avec cinq autres jeunes gens d’une vingtaine d’années. Dés leurs arrivées ils furent pris en charge par un abbé d’une quarantaine d’années nommé Marc. Ils furent installés dans leur chambre et ensuite commencèrent leurs études, Marc étant chargé de leur instruction concernant les choses de la vie. Dans le groupe certains étaient plus mystique que d’autre et aussi plus prude. Marc avait une façon bien à lui d’inculquer les choses de la vie à ces jeunes hommes. Un soir il les convoqua tous et commença par un discours sur le sexe. Deux des jeunes parurent offusqués. Voyant cela Marc expliqua que le jour ou ils se retrouveraient devant leur paroissiens, il fallait pouvoir faire preuve de retenue. Il leur expliqua que parfois certaines paroissiennes ne cachaient pas leurs atours et que cela pouvait provoquer chez les hommes qu’ils étaient des réactions physiques. A la question d’un des deux offusqués, Marc répondit carrément par « Qu’il aurait une érection du pénis ou en langage du peuple comme il aimait dire, tu aurais la bite qui bande bien dure « . Fou rire des quatre autres et rougeurs sur le visage de nos deux prudes. Marc continua son exposé face au six jeunes gens.
Arrivé en fin de son explication, il invita le groupe à le suivre vers la salle des douches. Arrivé dans le vestiaire, s’adressant aux jeunes gens « Nous sommes tous des hommes et il n’y donc aucun problème à se mettre en slip devant les autres ». Et joignant le geste à la parole il retira sa soutane ainsi que son singlet. Il apparu ainsi en slip. Nous nous aperçûmes alors que le slip kangourou de Marc comportait à l’avant une très grande poche. Il continua notre éducation en nous expliquant tous les types de slips que je t’ai déjà explique. Il expliqua nettement l’avantage du type de slip qu’il portait car cela permettait comme il le disait de se soulager sans que personne ne s’en aperçoive.
Tout en écoutant, je m’étais aperçu que la poche du slip de Marc prenait légèrement de l’ampleur. Il faut dire que nous étions la devant lui soit en slip kangourou soit pour les deux prudes en caleçon à jambe. Je voyais d’ailleurs que Marc fixait principalement ces deux-la. Regardant un peu mieux, je remarquai que l’on voyait nettement la forme allongée de leur pénis le long de leur jambe. A cette vue, je sentis également que dans mon slip il eut comme une poussée dans mon sexe. Je me mettais à bander sans savoir pourquoi. Marc continuais son exposé sur les sous-vêtements. Il expliquait que le slip kangourou à grande poche avait également la poche doublé et que si par hasard une éjaculation pouvait se produire aucune goutte ne s’échapperait. Tout à l’écoute de Marc, je regardais à nouveau vers son slip et je constatai que la bosse avait à nouveau augmentée. Rien que cela me fit bander plus fort. Je regardai les autres à côté de moi et les trois autres en slip kangourou avaient tous la poche déformée par l’excitation. Les deux prudes en caleçon savaient encore moins cacher l’effet provoqué par le discours de Marc car on voyait nettement leur bite bandée contre leur jambe. Marc termina son exposé sur les sous-vêtements en disant « Voici la preuve de mon exposé vous êtes tous en érection et nous ne venons que de parler de sous-vêtements d’où la nécessité pour chacun de choisir le modèle qui vous conviendra le mieux. Nous allons nous rhabiller et renter dans vos chambres ou vous pourrez vous soulager en toute intimité. Merci d’avoir suivit mon exposé avec tant d’attention ». Nous retournâmes dans nos chambres et pour ma part, je me suis branler énergiquement avant de m’endormir.
Les jours suivant Marc continua donc à nous mettre face à nous et à nos réactions. Nos deux compagnons plus prudes commencèrent également à s’intéresser aux choses de la vie comme Marc les expliquaient avec toute sa franchise et simplicité. Marc expliqua également qu’il ne fallait pas être honteux d’avoir des désirs sexuels car c’était une réaction naturelle chez l’homme et que se soulager en faisait partie. Il expliqua également qu’il était meilleur d’en parler avec un confrère que de se cloîtrer en soi. La solution pouvait parfois se trouver simplement.
Vint un cours sur la toilette intime chez les religieux. Pour celui-ci, il nous invita à nouveau au vestiaire des douches et nous invitas à nous déshabiller. Nos deux compère prudes n’avait toujours pas changé de modèle de slip, ils portaient toujours leur caleçon à jambes et montraient par là toujours la forme de leur sexe. Les autres avaient tous adoptés le type de slip kangourou à grande poche mais de modèle plus moderne donc à taille basse. Puis il commença ses explications du matériel à disposition dans la salle de bain. Entre nous nous étions demandés à quoi pouvait bien servir le tuyau équipé d’une canule au bout qui se trouvait à côté de celui qui portait le pommeau de douche. Marc expliqua que cette canule servait à la même fonction que le pommeau de douche qui servait à se rincer à l’extérieur mais celui-ci servais à rincer l’intérieur de l’anneau anal. Stupéfaction de tous. Petit sourire en coin de Marc, qui continuant affirme ceci « Il faut parfois bien se contenter de ce que l’on a sous la main pour se satisfaire. L’anus pouvant servir à beaucoup de chose ».
Parmi nous six, j’avais remarqué que deux de nous se tenait toujours très prêt l’un de l’autre. Maintenant que nous étions rassemblé près de la baignoire il était évident que ces deux-la s’aidait probablement lors de leur montée de chaleur car a les voir collés l’un presque derrière l’autre, le bas-ventre de l’un contre les fesses de l’autre, il devait se passer certaine choses dans leurs chambres. Il était très évident qu’ils avaient compris le but de l’ustensile.
Comme pour blaguer Marc dit tout à coup « Quelqu’un veut-il essayer ? De toute façon nous sommes entre nous ».
Silence intégral, aucun de nous n’étais désireux de baisser son slip devant les autre et de s’enfiler la canule dans l’anus. « Je vais donc vous montrer comment s’en servir » fut la réponse de Marc et d’abaisser son slip nous découvrant par la-même son sexe à moitié bandé. Il se tourna, entra dans la baignoire les fesses tournées vers nous s’enfila la canule et ouvrit le robinet d’eau. Il nous fit remarquer que l’on devait tenir compte de la température de l’eau de façon à ne pas se brûler le fondement. Ensuite il fit aller et venir la canule dans son anus, nous montrant ainsi parfaitement comment il fallait utiliser l’instrument. Il semblait prendre du plaisir à faire le mouvement de va et vient dans son arrière-train. Il ferma le robinet d’eau pris une serviette et s’essuya. Se tournant à nouveau vers nous, nous vîmes qu’il était en érection totale. Il demanda « Des questions ? ». Un des deux prudes dit « Et quand on se trouve dans votre état que fait-on ? ». « Je fais comme toi, qui es dans le même état que moi, je met mon slip et je me soulage » fut sa réponse. Il remit son slip. L’air de rien, il frotta quelque fois doucement sur son slip en mettant son pénis vers la bas dans la poche ceci tout en regardant celui qui avait posé la question. Après quelques instants on vit plusieurs soubresauts dans la poche de son slip tout en restant impassible, Marc venait d’éjaculer sans laisser rien paraître sauf que nous étions au courant de la manœuvre. Celui qui avait posé la question déglutis péniblement et l’on vit une tâche s’agrandir à hauteur du bout de sa verge le long de sa jambe dans son caleçon. Il venait également soit de jouir ou alors il venait de mouiller un fameux coup, mais chez lui c’était nettement plus voyant. A partir de ce jour les deux séminaristes prudes portèrent également des slips à grandes poches.
Luc continua. Durant la suite des études l’un et l’autre se rendait de temps à autre chez Marc pour lui demander conseil quand à tout ce qui avait rapport avec le sexe en milieu religieux.
Un jour que Luc était seul avec lui, ils discutèrent de ses premiers pas dans le monde religieux, il m’expliqua comment il avait découvert l’utilité du slip kangourou à grande poche. Se trouvant avec un autre jeune à attendre debout dans le couloir la visite médicale tout deux en slip. La lumière s’éteignit tout à coup, le couloir étant sombre, son camarade se colla contre lui et il senti directement que celui-ci était en érection. Il était connu comme ayant assez bien de problème avec le sexe et lui avait même avoué qu’il se masturbait au moins quatre à cinq fois par jour. Donc son camarade était collé contre ses fesses avec une érection magistrale, il sentit tout à coup que celui-ci se mettait à faire aller et venir son bas ventre contre ses fesses. Le laissant faire espérant qu’il allait se calmer celui-ci pris cela pour une approbation. La main du camarade s’insinua entre le bas-ventre et ses fesses et tout à coup il sentit le pénis en contact avec ses fesses. Son camarade avait introduit dans la jambe du slip son sexe qu’il faisait maintenant aller et venir entre les fesses de Marc jusque contre sa bourse. Marc serra les fesses ce qui accentua la pression sur le membre du camarade qui dans un soupir s’épancha dans le fond de la poche du slip de Marc. Marc sentit la chaleur du sperme inonder ses testicules. De son côté d’ailleurs le fait d’être ainsi caresser par le membre de son camarade l’avait également amené à avoir une érection. Comme son camarade avait finis de jouir dans son slip il avait entrepris de se caresser sur le devant de son slip et quelques instants plus tard c’était à son tour d’inonder la poche de son slip. La quantité de sperme présente aurait dans un autre slip totalement imprégné celui-ci et rendu celui-ci non présentable. Mais dans ce cas ci, rien n’apparu. Lorsque l’éclairage revint, ils se présentèrent à la visite qui n’était qu’une formalité de contrôle et rien ne se remarqua quant à la jouissance des deux camarades. Marc su qu’à partir de ce jour-là il porterait toujours des slips à grandes poches.
Luc demanda à Marc si cela lui arrivait encore de se faire prendre ainsi par derrière dans le slip. Marc émit un sourire évasif et lui répondit « Tu veux essayer peut-être ? ». « Non, plus tard peut-être si c’est nécessaire » fut la réponse de Luc.
L’histoire du slip à grande poche ne s’arrête pas là.
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